[HJ]Affaire réglée par mp, désolée de cette intrusion ^^' Palumbo, tu pourras effacer quand tu passeras ?[/HJ]

Helione avait regardé l'échange Elza-Page comme un match de ping-pong ... Elza l'impressionnait beaucoup avec sa manière de prendre plaisir à stresser et à énerver les gens, elle vit la vipère prendre sa baguette et Page porter la main à sa poche.
Puis Fabula cassa le vase ...
- Oup's monsieur palumbo, dit Helione après un léger sursaut ...
Il y eu un blanc et à se moment là un serpantard entra ...
*oh nan jcommence à pas les aimer eux *
Il répara le vase et lança une réflexion à la Fabula. Helione le regarda d'un air mauvais et murmura tout bas se qu'elle ne disait pas tout haut .
Puis Elza rejeta une phrase surement visée à vexer.
-Si c'était bien lui cette porcelaine, maintenant, on peut être sûrs qu'il est mort.
Helione baissa les yeux.
Là Helione se demanda se qui se passait entre les 2 serpy car Elza commença à s'énerver pour une raison de distance et le serpy s'éloigna en lui jetant quelques répliques.
- Mais tu sais, quand on ne sait pas vivre en société, on se cache, comme ça on est pas gêné par la promiscuité. Il parait que c'est surtout les trolls que ça dérange...
Helione retint son souffle ,ayant peur de la réaction de la Serpy , mais en même temps ne put retenir un sentiment d'admiration pour le serpent... Mais le prof aurait quand-même du être une chaise ...

* J'en ai marre! Mais qu'est ce que je leur ai fait à ses livres pour qu'ils me pourrissent la vie?! *

La jeune fille était en retard à son cours de Métamorphose, à cause d'un livre, un fichu livre qu'elle avait mis près de dix minutes à retrouver alors que le cours avait déja commencé. Ou du moins, c'est ce qu'elle croyait. Elle avait perdu ses livres à deux reprises, c'était trop. Lorsqu'elle retrouva le livre sous une pile de vêtement qu'elle avait jetter sur son lit afin de retrouver le manuel, elle l'attrapa et se mit à courir, le rangeant dans son sac en même temps qu'elle approchait des escaliers.

Aaah les escaliers. Elle aurait bien voulu les éviter. Un mur d'escalade aurait été plus rapide. Deborah les detestait, et elle commençait à croire qu'elle ne les maitriserait jamais. Non mais sérieusement, ils changeait tout le temps de destination! Comment voulez-vous arriver en cours après ça? Bref, alors que ça patiente était sur le point de disparaitre, les escaliers s'arretèrent devant le deuxième étage, et Deborah se hâta de revenir sur la terre ferme de peur qu'ils ne repartent à nouveau dans une escapade qui lui coûterait du temps.

Elle fonça, et arriva devant la salle. Elle toqua et entra, hâletante.

« Bonjour, je .. »

Elle s'arreta, constatant que le professeur n'était pas là. Dans la salle se trouvaient quelques élèves, dont certains que la jeune serpentard connaissait de vue, ou connaissait tout court. Parmis eux, Daneel, le poufsouffle qui l'avait aider lorsqu'elle cherchait son bouquin de DCFM, Page, la gryffondor du même jour, Gael, le malade qui se prenait pour monsieur-j'ai-du-pouvoir-parmis-les-élèves, et d'autres visages qu'elle avait l'habitude de cotoyer en cours, sans pour autant leur avoir déja adressé la parole. Elle arqua un sourcil, sentant sa respiration reprendre un rytme normal.

« Mais .. Il est où le prof'? »

demanda t-elle sans s'adresser à quelqu'un en particulier tout en se dirigeant vers une table libre où elle déposa ses livres. Après ça, elle dégagea repoussa certaines mèches de sa frange qui la genait à l'aide d'une de ses mains, et s'adossa sur sa table, debout, pour prendre appui sans vraiment s'assoir dessus. Elle croisa les bras, jettant un rapide coup d'oeil à chacun des élèves.

Les yeux écarquillés, la jeune irlandaise continuait de regarder la Serpentarde, incrédule. La voix de Fabula la fit sortir de sa contemplation étrange. Elle se retourna vers l'aiglonne. Son ton était tout à fait neutre, comme à chaque fois que la lionçonne l'avait entendue s'exprimer.

- Si Elza semble tellement sûre de ce qu’elle avance, c’est peut-être qu’elle en sait plus que nous… Peut-être qu’elle a vu quelque chose… Ou fait… Et vous avez remarqué que le vase s’est brisé peu après ses théories sur ce qui justifierait un tel retard… Peut-être que le professeur Palumbo, ou ce qui en reste, voulait nous faire passer un message ?

Page poussa un profond soupir. Elle n'allait pas s'y mettre elle aussi ? Les théories farfelues pour expliquer l'absence de leur professeur, elle commençait à en avoir par dessus la tête.
En même temps, insinuer que la verte et argent bizarre aurait vu ou fait quelque chose était plausible, en tous cas dans l'esprit de Page.

*Elle est trop bizarre cette fille, c'est peut-être vrai, au fond.*

Mais la rouquine secoua la tête. Pourquoi voir forcément le mal partout ? Elle n'allait tout de même pas rentrer dans ce jeu d'hypothèses morbides. Daneel avait raison, sur toute la ligne. Le professeur était en retard, point. La fillette doutait légèrement, mais elle prit le parti d'être raisonnable et de ne pas remettre le feu aux poudres en rebondissant sur la déclaration de Fabula pour questionner une fois de plus l'étrange fillette. Surtout qu'elle n'était pas sûre de réussir à rester totalement calme et raisonnée si jamais elle s'adressait à nouveau à elle. Elle préféra donc répondre le plus sereinement possible à Fabula :

- La maison Serdaigle ne va pas aussi s'y mettre, vous êtes tout de même plus raisonnés que ça. Tu sais bien que c'est un bête retard...

Elle espéra que l'aiglonne ne se sentirait pas agressée par ses paroles, qu'elle avait prononcé sans animosité aucune, mais dont la formulation était quelque peu maladroite, il est vrai.

Helione sentit ses joues s'empourprer quand le professeur entra ... Elle pensa à son idée idiote de métamorphose en vase ,loucha vers celui-ci et remarqua qu'elle n'était pas la seule ...

- Vous pourrez peut-être mieux faire la comparaison à présent, non ?

Là, c'était pratiquement sûr que ses joues étaient couleurs cerises ...

- Bien, bonjour à tous...Aujourd'hui nous verrons les sortilèges de Transfert...
Qui peut m'en donner une définition ? A quoi cela peut vous faire penser ? Nous construirons la notre à partir des vôtres...

Helione était décidée à faire partir son étiquette de débile et essaya donc de se concentrer pour trouver la réponse ... Elle loucha sur son livre qui était miraculeusement ouvert à la page de la définition ... Helione réprima sa joie et leva la main en souriant :

-Une partie des sorts de Métamorphose qui transforme une chose en une autre. Et euh, commença Helione en réfléchissant à la deuxième question ,ça me fait penser que euh ça change quelque chôse en une autre .

* Ouh, mince très original *

La petite Mélissa, perdue dans les méandres du château, était totalement affolée à l'idée d'être en retard à son premier cours en tant qu'élève à Poudlard...
Qu'allaient donc penser les autres en la voyant arriver, à peine peignée, et... Non, elle ne le croyait pas, elle avait aussi revêtu sa robe à l'envers, et n'avait même pas pris soin d'enlever l'étiquette avec le prix encore présente dans l'une de ses coutures...
*Tant pis*, se dit-elle à elle-même, *je n'ai plus le temps*!

Après maintes allés dans les nombreux couloirs du château, un jeune Serdaigle lui avait indiqué le lieu du cours de métamorphose, et elle se mit alors à courir de plus belle.

En arrivant devant la salle, elle essaya tant bien que mal de reprendre son souffle, et d'avoir l'air le plus naturel et le moins stressé possible, chose qui relevait de la magie selon elle.
Après une profonde respiration elle frappa à la porte et entra.

Une masse d'élèves étaient déjà présents, et malheureusement, le professeur aussi...

"Je suis désolée pour mon retard Professeur, cela n'arrivera plus..."

Elle regarda autour d'elle et s'empressa de s'asseoir à la première table libre, vidant à moitié son sac sur la table, et faisant, malgré elle, un raffût digne d'une petit tremblement de terre...

La porte s'ouvrit enfin sur le professeur Palumbo, visiblement essoufflé. Il n'était donc effectivement pas mort, autant pour les théories morbides de la serpentarde bizarre. Toutefois, au lieu d'un franc soulagement, c'est un malaise palpable qui se saisit de la classe, et Page, comme les autres élèves, ne put s'empêcher de laisser passer son regard du vase au Professeur, non sans s'arrêter un bref instant sur Elza et ses affirmations douteuses.

Le professeur ne fit pas grand cas de la gêne qu'il avait certainement sentie chez les élèves et, après avoir transformé le vase en mannequin comme s'il ne s'était agi que d'un vulgaire sortilège de foloreille, il commença son cours immédiatement.

*Purée, il perd pas de temps lui... Remarque, il faut bien qu'il rattrape son retard...*

Page déglutit pour vraiment chasser de son esprit les évènements qui avaient précédé l'arrivée du professeur, et elle se concentra sur le cours. Après tout, c'était pour ça qu'elle était là. Helione avait déjà avancé une réponse aux questions posées par Palumbo.
La fillette fouillait dans sa mémoire. Par Merlin, elle avait pourtant feuilleté un peu son manuel avant de venir au cours... Elle qui avait trouvé les propos de ce cher Emeric G. Changé si intéressants ne serait pas capable de s'en remémorer ne serait-ce qu'une toute petite phrase ?
Elle perdit le fil de ses pensées lorsqu'une jeune Gryffondor, plus encore en retard que le professeur -était-ce encore possible ?- fit irruption dans la salle et s'installa sans aucune discrétion. Page fronça les sourcils mais préféra passer la main sur la couverture de cuir usée de son manuel, espérant y trouver l'inspiration. Coïncidence ou pas, quelques bribes lui revinrent et elle leva la main.
Après que le professeur lui ait accordé la parole d'un regard, elle tenta :

- Je crois que les sortilèges de Transfert prennent un élément d'un objet ou d'un être vivant existant pour le passer sur un autre objet ou être vivant sur lequel on lance le sort. On ne peut pas inventer ce qu'on transfère, il faut que ça existe déjà quelque part.

Elle s'interrompit un instant et réfléchit à ce qu'elle venait de dire avant de reprendre immédiatement :

- Est-ce que ça veut dire que si on transfère des oreilles de lapin sur une souris, il y a quelque part dans le monde un lapin qui se retrouve avec des oreilles de souris ?

Le professeur était arrivé, et au fond de la classe Fabula s’ennuyait. Lorsque Page lui avait répondu, de façon posée et toujours campée sur ses positions, elle avait haussée les épaules et marmonné un vague « Ou pas ». Mais finalement ce fut sa théorie qui l’emporta sur toutes les autres, et Palumbo se révéla effectivement être en retard. Fabula se replongea dans un état de torpeur, laissant leur professeur jouer aux marionnettes et commencer son cours. Lui, elle ne l’aimait pas. Il avait déjà réduit à néant ses efforts en arrivant trop tôt dans son retard, mais surtout, il enseignait la métamorphose. Des sorciers avaient été envoyés à Azkaban pour moins que ça.

Après quelques minutes et de nouveaux retards, Palumbo entra directement dans le vif du sujet ; les élèves étaient concentrés et répondaient, pendant que les autres étaient tout aussi concentrés et dormaient. Fabula s’était volontiers ralliée à cette seconde catégorie, plus question de jouer le jeu cette fois. Si lors du premiers cours elle avait accepté avec mauvaise grâce de faire fonctionner sa baguette et ses méninges, ç’avait été uniquement pour démontrer à un Poufsouffle un peu trop bruyant qu’il n’était pas si brillant que ça. Mais elle avait tôt fait de regretter son geste. Maintenant, peut-être que Palumbo pensait qu’elle était attentive à son cours. Ou pire, qu’elle s’y intéressait. Ce fut donc avec la ferme intention de marquer sa désapprobation qu’elle cala sa tête contre sa paume et tourna son regard vers la fenêtre, scrutant le terrain de Quidditch qui se dessinait au loin, sous un ciel gris et derrière un rideau de pluie.

- Aujourd’hui, nous verrons les sortilèges de transfert. Qui peut m’en donner une définition ? A quoi cela vous fait-il penser ? Nous construirons la notre à partir des vôtres.

Encore une fois, ce fut une Poufsouffle qui répondit en première, et encore une fois Fabula eût envie d’intervenir pour lui faire prendre conscience de la pauvreté de sa réponse. Mais ce fut Page qui eût la courtoisie de s’en charger, et elle posa la même question qui lui était alors venue en tête. « Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme. » Qui avait dit cela déjà ? En tout cas, c’était la première règle de Métamorphose qu’avait compris Fabula, lorsqu’elle avait feuilleté son Manuel de métamorphose à l’usage des débutants. Car même si elle avait décidé dès le départ de détester cette matière, elle n’avait jamais imaginé ne pas la travailler. Pour qu’après elle ait l’air d’une parfaite idiote, incapable de transformer un pot de crayon en chaudron ? Non, elle se devait d’exceller partout, même dans les matières les plus méprisables. Simplement, elle se préservait en contrepartie de faire preuve d’enthousiasme. D’ailleurs, elle n’était pas la seule. Du coin de l’œil, elle observa Elza bailler sans aucune retenue. Cependant, la fillette finit elle aussi par prendre la parole. Voilà qu’ils s’y mettaient tous. Bon, puisqu’ils l’y obligeaient…

- C’est vrai que si l’on peut transférer des oreilles de lapin avec des oreilles de souris, pourquoi serait-il impossible de faire cela entre du sang et du plomb ? demanda-t-elle d’un air faussement curieux. Y-a-t-il des limites dans la pratique qui empêcherait quelque chose d’aussi dangereux, ou seul le domaine moral fixe les règles ?

Voilà, elle avait participé mais sans donner de réponse, signe de son désengagement. De toute façon, les autres s’en étaient chargés pour elle. Quant à sa question, elle avait toujours été curieuse d’entendre un spécialiste de la Métamorphose défendre son art à ce sujet.

- Le domaine moral.

Vous apprendrez que rien n'est impossible. 3 points pour vos deux participations, c'est bien.

Les sortilèges de Transfert sont une partie des sorts de métamorphose qui transforme une chose en une autre. Ils sont variés, selon la métamorphose désirée. Le Transfert inter-espèces est une de ses variantes. Il permet de transformer une créature en une autre.

Les élèves prenaient note.

- Aujourd'hui nous ne changerons rien. Nous allons voir la métamorphose des couleurs et des matières et la métamorphose d’objets inanimés en objets inanimés similaires.

Qui connait ces deux métamorphoses ?

Page McHenry... Bah, oui, il l'avait déjà vu quelque part mais où... Dans un magasin pour vampires ? Nan...
Dans une ruelle sombre où Nutella et Coca-cola circulaient illégalement ? Non plus... Mais où ça ?
Dans son cours ? Oui, peut-être... Mais ce n'était plus très probable à côté des autres hypothèses...

Bref, Page avait répondu à sa question.

Eh bien... j'imagine que la métamorphose des couleurs et des matières permet de changer la couleur d'un objet, ou sa matière, comme la pierre en bois ou un vase rose en vase jaune. Mais pour l'autre métamorphose euh... similaire, ça veut dire qu'ils doivent se ressembler en volume, taille ou forme ? On peut changer un stylo en crayon mais pas en gomme ?

- Oui, très bien... Bien , premièrement la métamorphose similaire s'exécute comme ceci :

1) Nom de l'objet à métamorphoser +
2) nom de l'objet à obtenir +
3) "similo est"

On pourra changer un stylo en gomme mais plus tard...

Bien, qui aime le réglisse ?

La moitié de la classe environ leva la main. Jojo passa devant chacun d'eux et donna un bâton de réglisse à ceux qui ne levait pas la main.

- Qui aime la cannelle ?

L'autre moitié de la classe leva la main, Jojo leur donna des bâtons de réglisse.

- Je ne vous donne pas plus d'explication. Au travail !

Apparemment, les élèves étaient ébahis. Au bout de vingt minutes, les premiers commencèrent à comprendre... :sifle:

Bon... Le professeur semblait changer d'avis comme de chemise. De "Nous ne transformerons rien aujourd'hui, on passait à "la métamorphose similaire s'effectue comme ceci". Ce n'est pas Page qui allait s'en plaindre. Elle adorait la pratique en Métamorphose. Elle haussa les épaules et écouta avec enthousiasme le mode opératoire. Tant pis si le prof ne savait plus ce qu'il avait décidé trois minutes auparavant. Au moins, ils utiliseraient leur baguette, et rien que cela, c'était une petite victoire. Et puis cela distrairait l'attention des dernières platitudes que la petite irlandaise avait sorties pour essayer de participer.

La rouquine se retrouva bientôt avec un bâton de cannelle posé devant elle sur sa table. Elle aurait préféré le réglisse, bien entendu, mais il y aurait eu un risque qu'elle le mange immédiatement, et cela aurait été quelque peu dommageable pour la suite du TP. Le temps qu'elle lorgne sur les tables de ses voisins pour voir si elle ne pouvait pas récupérer un morceau de bonbon quelque part, certains élèves avaient déjà commencé à chercher la raison de ce don soudain par leur professeur.
Lorsqu'elle se posa enfin la question du geste bizarre de leur professeur, elle finit par comprendre où il voulait en venir. Charge à elle donc de transformer cette fichue cannelle en délicieux réglisse si elle souhaitait n'en faire qu'une bouchée.

La rouge et or se repassa donc mentalement les consignes du professeur. Fixant avec intensité le petit morceau brun, elle fit un léger mouvement de sa baguette.

- CannelleRéglisseSimiloHesste !

Le bâton sucré commença à se rabougrir et à prendre une teinte olivâtre, tout en dégageant un mince filet de fumée grise.

*Houla ! C'est pas comme ça que c'est sensé se passer !*

La petite irlandaise avait forcément commis une erreur quelque part. Elle s'était certainement précipitée bien trop vite. Il fallait qu'elle recommence en posant bien ses mots.

- Cannelle, Réglisse, Similo Hesste !

La chose continua à se racornir en fumant. Mais cela n'était toujours pas très appétissant. Hors de question de mettre un coup de dents là dedans ! Page réfléchit un instant. Elle faisait forcément erreur quelque part. Plutôt que de faire une bêtise, elle préféra ouvrir son manuel pour vérifier.

*Bon. Il est dit que la formule est "similo est"... Je dois mal le prononcer !*

- Cannelle Réglisse Similo Est !

Cette fois, l'espèce de pâte non identifiée tournoya rapidement sur elle même pour se stabiliser sur la forme d'un bâton de réglisse.... Toujours verdâtre. Elle ne pouvait décemment pas laisser la couleur de ces chers Serpentards à son bâton de réglisse !

Elle poursuivit donc sa lecture. "Il est important de nommer avec précision les objets que l'on souhaite impliquer dans la métamorphose. Une erreur d'appellation peut compromettre très facilement la réussite du sortilège". Eh bien voilà où était l'erreur. La lionçonne fixa intensément l'objet du sortilège. Quelle précision pourrait-elle bien apporter ? Son visage s'illumina enfin.

- Bâton de cannelle bâton de réglisse similo est !

Enfin, le résultat fut convainquant. Page tenait au bout des doigts un magnifique bâton de réglisse. Très appétissant, pour tout dire. Il fallait que le professeur vienne vite vérifier son travail avant qu'elle ne le croque.

Cours fini !


Devoir : A rendre pour le 15 mai 2008

Faites-moi un essai sur le cours d'aujourd'hui (les notions et la métamorphose vues).

Je ne donne pas de nombre de lignes, mais soyez clairs, simples, précis !

Bonne chance !

Cours fini, il faut rendre le devoir ! ...