Suite de Promenade dans les cachots

9h30...9h45...10h00...10h30... Toujours pas la nuit, toujours des gens debouts... 10h45... 11h00... 11h15... Enfin, plus un bruit, les premières étoiles dans le dortoir des filles de la tour des gryffondors. Une jeune fille tire les rideaux de son lit, elle attrape d'une main furtive une jupe courte plissée et un débardeur. Elle tatonne dans le noir, à la recherche de ses chaussures. Enfin, elle les trouve et les attache. Puis, elle entrouvre le rideau du côté du mur. Elle regarda les autres filles, toutes endormis dans des rêves plus beaux les uns que les autres. La jeune fille sort doucement de son lit et sans un bruit traverse la pièce, ses cheveux blonds paraissent pâles voire blanc dans la lumière de la lune. Soudain, alors qu'elle passe à côté d'un lit, une main l'attrape.

Tu vas où?

Maria regarda la fille en question, elle chuchote de peur de réveiller la préfète.

Nulle part, laisse moi, j'arrive pas à dormir, je vais en bas...

Puis elle se dégage de la main, l'autre regarda sa camarade ouvrir la porte et la refermer doucement derrière elle. Puis, elle soupire et se rendort dans ses draps, cela ne la regarde pas. Maria descend l'escalier à vive allure, ouvre le portrait et se faufile dans l'ombre des murs. Le chemin est différent de celui qu'elle avait emprunté l'autre nuit. Son pied est sûr et franc, elle est portait par une envie intarrissable de LE revoir, de ressentir SON odeur... Toute la journée, elle a attendue, de plus le lieu où elle va, elle ne l'a jamais vu et cela l'intrigue au plus haut point.

La jeune fille monte les marches aussi vite qu'elle le peut. Destination, la tour d'astronomie ! Elle n'a jamais vu autant de marches, elle est obligée de s'arrêter souvent pour reprendre son souffle, mais son exitation est telle que les arrêts ne durent pas deux secondes. Enfin, elle pousse la porte de la tour et arrive à l'air libre sur une sorte de plate forme.

La journée à été chaude, aussi l'air est encore pesant mais la petite brise qui vient dès que la nuit tombe raffraîchit l'athmosphère. Maria scrute de ses yeux bleus le lieu, personne... Elle lève donc la tête vers le ciel, la lune est pleine et éclaire d'une lueure blanche et magique tous ceux qui sont présents. Le doux vent caresse ses bras et ses épaules nus, faisant onduler ses boucles et sa jupe courte. Maria perdue dans sa contemplation, émerveillée, n'entendit pas la porte qui était poussée doucement...

Maria regardait toujours le ciel, elle regardait les premières étoiles qui brillaient dans le loingtains. Elle ferma les yeux, inscrivant leur lumière dans ses yeux.

Citation :

Salut ...

Maria sursauta, elle n'avait pas entendue la porte souvrir. Pourtant lorsqu'elle reconnu le timbre de la voix de derek, un immense sourire s'afficha sur ses lèvres. Vraiment heureuse qu'il soit venu et surtout qu'il ne se soit pas fait choper, sinon, elle s'ens erait voulue au plus haut point. Elle s'aprocha de lui, en sautillant légèrement. Elle vit les roses qu'il avait à la main, à vrai dire, il avait les joues rouges et montrait le bouquet sans vraiment le montrer, ce qui était assez rigolo. Maria prit les fleurs, ses yeux pétillants de bonheur. Elle sentit le parfum envoûtant des roses, fermant les yeux, parfum qui embomait son coeur de milles couleurs. Elle rouvrit les yeux et les plongea dans ceux de Derek.

Merci...

Elle approcha son visage de celui du garçon et déposa ses lèvres volatiles sur le joue de Derek. Puis, elle se recula, le regardant en souriant, elle trouvait ses cheveux magnifiques, se balançant un peu dans tous les sens au grès du vent, cela lui allait très bien et lui donnait un petit air de malignité supérieure. Maria fondait littéralement, elle voulait pouvoir le comtempler à jamais, puovoir plonger ses yeux bleux dans les siens et toucher les mèches folles du bout de ses doigts. Elle retourna son regard vers les étoiles, tournant le dos à Derek, les mains le long du corps.

J'aimerai être une étoile, pour éclairer tes nuits, scintillante et magique...