Carl se tenait devant le magasin miteux qui servait d'entré à l'un des plus grand service de santé de Londre, il attendait patiemment que les moldues ne fassent plus attention à lui et traversa la vitrine aussi facilement qu 'on traverse le brouillard, on n'y voit rien sur quellques metres, il fait froid, mais on sait que l'on ne vas pas se cogner. Puis au brouillard céda la lumière d'un hall largement éclairé de diverses bougies et lampes pigeons. Il était la où il voulait etre, à St Mangouste.

*Bon, ca c'est fait.*

Pensat Carl en se rendant sans se présser vers l'acceuil, pour faire la queu devant une fille déjas bien longue. Il connaissait assez bien l'établissement, e temps qu'étudiant médicomage, il lui arrivait de devoir faire des stages d'une semaine dans un hopital de sorcier, à chaque fois il choisissait St Mangouste, c'était beaucoup plus instructif et les hotesse d'acceuil étaient beaucoup plus mignione.
C'était justement son tour et il se trouvait devant une standardiste qu'il n'avait jamais vu, elle semblait jeune, bien que plus agée que lui, elle était brune et arborait un sourire qui montrait une dentition sans défaults aucun.

-Bonjour, heuu, il regarda le nom de la jeune femme épingler sur sa blouse, ; bonjour Marie, je suis étudiant médicomage et je viens rencontrer un de vos médicomages pour lui poser quelques questions.

La standardiste lui tendit un formulaire aussi compliqué qu'inutile, le genre de formulaire qui vas vous demander l'heur à laquel vous pensez sortir ou des choses comme ca... Apres un petit moment de remplissage administratif, il tendit à Marie les formulaires remplies et remarqua avec éttonnement que soit la tenue de l'établissement avait changé, soit le décolté de la jeune femme n'était pas tres ... réglementaire, il restat sur le mot "non réglementaire", ne voyant pas d'autre adjectif pour cette partie, ou plutot "non partie" de vetement.

*Arrette de penser à ca, t'est censer etre la pour quelque chose de plus important.*

Pensa Carl qui nota quand même ses coordonnées et se promit de l'inviter le plus vite possible dans un restaurant chic de Londre.
Bien sur, quand il avait dit qu'il venait rencontrer un médicomage, ce n'était pas en soit un "mensonge", il avait juste oublier de lui dire que le médicomage était décédé depuis pres de quatre siècle c'est tous! Rien qu'il ne vaille la peine d'etre signaler, ce n'est rien qu'un détail apres tout; un détail de quatre siècles, mais un détail quand même.
Il faut toujour faire attention aux détails, autant rencontrer quelqu'un mort depuis 400 ans relevait de l'impossible, autant discuter avec lui était étonnamment simple quand on savait s'y prendre.
Le pire c'est que des dizaines de personne le croisait chaque jours sans le voir, sans faire attention à lui, non pas que cette personne était inconnue du public, bien au contraire, mais les gens ne font en général attention à rien , surtout si ce rien est enfermé entre 4 bouts de bois et accroché sur un mur juste au dessus d'une plque en or gravé : Mangouste Bonham, fondateur de St Mangouste.
Carl se mit bien en fasse du tableau, on pouvait y voir un homme d'apparence assez agé, assis sur un bureau en train de lire des papiers administratifs, comme tout les tableaux magiques, il pouvait se déplacer et bien entendu, et c'était le plus important, il pouvait parler.
Carl fixa le petit personnage.

-Mr Bonham Mangouste?

Dans son cadre le plus célèbre des médicomages, et le premier, leva la tête de ses papiers pour tourner son regard vers Carl.

Bonham vivait dans ce tableau et dans les autres depuis maintenant plusieurs décennies et il avait pris l'habitude que, quand il était à ce bureau, on l'ignore royalement. Etrangement, c'était quand même ici qu'il passait le plus clair de son temps. Tout d'abord parce que c'était dans ce tableau que se trouvaient ses ouvrages préférés mais aussi parce qu'il ne pouvait pas se passer de l'ambiance du l'hôpital. Cet endroit avait été pour lui comme une seconde maison depuis qu'il l'avait créé et il s'y sentait bien plus à l'aise que dans tout autre lieu.

De plus, dans ce tableau, il se sentait vraiment lui même. Il portait sa tenue de Médicomage avec le logo de l'hôpital en guise de blason sur le cœur alors que dans d'autres tableaux il était en costume étriqué ou en robe fluo. Il avait d'ailleurs été représenté dans son bureau, celui où il recevait certains patients. Il y avait donc une ambiance calme et sereine, des sièges des plus agréables, sa plume préférée, ses ouvrages de référence, des cadeaux de confrères… Il était vraiment ici chez lui bien plus que dans le tableau qui représentait sa chambre (et qui était exposé dans un musée soit dit en passant ce qui n'aidait pas à faire régner une atmosphère d'intimité).

Mais ce jour là, il avait été appelé dans un autre tableau un peu plus tôt dans la matinée et on lui avait annoncé le décès d'un éminent alchimiste et médecin : Nicolas Flamel. La nouvelle lui avait fait un choc car il avait toujours été persuadé que Flamel était éternel, mais il savait aussi que le monde sorcier vivait actuellement des chamboulements assez importants et cet événement n'en était qu'une preuve de plus.

Il était donc occupé à rédiger un épitaphe à son confrère quand il entendit son nom. D'abord, il chercha vers les côtés du tableau pour savoir si on l'appelait ailleurs puis l'évidence le frappa : c'était quelqu'un dans les couloirs de l'hôpital qui souhaitait lui parler. Avec surprise, il regarda donc dans cette direction pour tomber sur un jeune homme brun et souriant. Il s'approcha du bord du tableau pour le regarder avec un peu plus d'attention. Cela dura plusieurs minutes puis il se redressa et lui lança un sourire complice :

"Que puis-je pour vous, jeune homme ?"

Il avait l'impression que ce garçon savait qui il était et ne l'interpellait pas uniquement pour lui demander son chemin comme le faisaient certains… Mais peut être se trompait-il totalement.


[HJ : c'est court, mais j'ai du résister à écrire deux paragraphes sur Flamel… je voulais pas trop en révéler d'avance ^^]