Hrp///C'est court mais avec la rentrée, j'ai préféré poster en l'état afin d'éviter de prendre trop de retard par la suite dans les cours :S//


Assise à sa place, Perle observait les différents élèves qui entraient dans la classe, et notamment leurs réactions. Lorsque cette dernière fut remplie, la prof s'avança et débuta le cours par un rappel à l'ordre, et une confirmation de la consigne, visant à séparer les Sang-Purs et les Impurs.... Ensuite, McGonagall reprit la parole, commençant ainsi le cours de Métamorphose :

« Bien. Nous débuterons aujourd’hui par un cours d’introduction à la métamorphose. Je vous prie d’ouvrir vos manuels aux pages 198, 199. Ne prenez pas peur, il ne s’agit pas de la fin du programme mais de documents annexes. »

Perle attrapa alors son livre épais et tourna rapidement les pages, jusqu'à tomber sur les 196 et 197, puis enfin 198 et 199. Hum.... Cela parlait des Métamorphoses d'Ovide, quel drôle de nom ! Enfin, la petite blondinette releva alors les yeux vers la directrice des Gryffondor, qui parcourait la salle, avant de prendre la parole encore une fois :

« Nous nous attarderons pour ces deux heures sur le caractère fondateur de ces mythes, en essayant d’établir ce qu’ils nous apprennent de la métamorphose à son origine, l’œuvre d’Ovide se faisant l’écho des témoignages les plus anciens que nous pouvons trouver. Il ne s’agira pas d’interroger la vraisemblance des métamorphoses présentées, ni de spéculer sur l’identité des dieux, ou que sais-je encore… Mais d’analyser comment la métamorphose nous est représentée. Quelles semblaient être, dès son origine, sa signification et ses fonctions. Cherchez dans un premier temps quelles sont les fonctions des métamorphoses présentées, voulez-vous ? »

Chercher quelque chose dans un livre ! Rien de plus ennuyant, enfin, encore elle avait donné les pages en question. Perle reposa ses yeux bleus sur la fine écriture, écoutant d'une oreille distraite les quelques réponses déjà trouvées par certains élèves, comme McGween, et deux Serdaigles. Mon Dieu, mais comment pouvait-on lire ça ? C'était impossible ! La jeune McLane avait beau essayer, après avoir lu dix mots, elle ne comprenait toujours pas le sens de la phrase et devait recommencer continuellement. Et pourtant, tous ces crétins de Gryffondor et des autres Maisons semblaient parvenir à comprendre le texte dans son intégralité et les réponses pleuvaient ! Elle était une McLane, comment était-ce possible qu'elle ne puisse comprendre un ridicule petite texte de Métamorphose bon sang ?

« Vous y êtes presque, poussez votre réflexion à son terme et vous trouverez la fonction exacte de cette métamorphose. Cette transformation marque une évolution, vous l’avez dit, mais de quel état à quel état ? »

La petite blondinette releva les yeux vers la prof. Quoi ? Les autres avaient presque trouvés ? Impossible ! La jeune Serpentarde du pourtant s'y résoudre, elle n'y parvenait pas et ce texte lui restait bien trop compliqué....

L’érudition de la jeune Poufsouffle était impressionnante, mais il était bien dommage qu’elle vienne parasiter sa réponse au service d’un bavardage tout à fait hors de propos… Et par Merlin, combien d’élèves dans cette classe connaissait la signification du mot repentir ?

« Veillez à faire plus court la prochaine fois, Miss Audronn, en allant directement à l’essentiel. Vous proposez deux éléments de réponse, si je vous ai bien suivie. Une métamorphose repentir et une métamorphose qui expliquerait le monde. Je ne retiens que la première, l’autre demande encore à être préciser. »

Minerva se dirigea vers le tableau où elle s’empressa d’inscrire la nouvelle fonction de la métamorphose qu’avait trouvé la jeune Erin.

Citation :

Métamorphose consolatrice - Myrrha

« Je préfère parler de métamorphose consolatrice plutôt que de repentir, dans la mesure où le mot de consolation vous est bien plus familier. Il s’agit pour ce type de métamorphose d’apporter un réconfort, que ce soit à la tristesse ou à la honte, comme c’est le cas pour Myrrha. J’accorde trois points à Poufsouffle. Un point sera attribué à chaque élève qui trouve quelles autres métamorphoses remplissent cette fonction, n’oubliez pas de justifier votre réponse. »

La petite McHenry tenta ensuite de préciser sa réponse. Elle visa tout à fait juste, faisant naître un discret et fugitif sourire de ravissement sur les lèvres de son enseignante.

« Voilà qui est bien mieux, Miss McHenry. Trois points pour Gryffondor. La fonction de la métamorphose de la statut de Pygmalion est de lui donner la vie. Nous pouvons parler de métamorphose vivifiante. »

La liste commençait à s’allonger et les dernières réponses allaient se faire chères…

Citation :

Métamorphose vivifiante - Statut de Pygmalion

Miss Tealsdale compléta sa réponse à son tour, mais s’attaquant à une fonction bien plus complexe de la métamorphose, elle eut encore du mal à cerner ce qui se jouait dans la métamorphose de Céyx et d’Alcyone.

« Je crois que je vais devoir vous aider pour cette fonction, ce n’est pas encore ça. Je vous accorde trois points pour votre persévérance et vos éléments de réponses, incomplets mais loin d’être malvenus. Ouvrez grand vos oreilles, dit-elle en haussant la voix, j’aborde un terme technique. Nous parlons ici d’une palingénésie. »

Elle alla inscrire cette nouvelle réponse au tableau.

Citation :

Métamorphose palingénésique (palingénésie) - Céyx et Alcyone

« Notez bien ce terme, sa définition devra être connue par cœur à compter du prochain cour. La palingénésie désigne une renaissance qui est en même temps une régénération, cette renaissance passant par une transformation profonde et salutaire de l’être. C'est ainsi une manière de prolonger la vie humaine. Pour simplifier, et j’insiste sur le mot simplifier, on pourrait parler d’une réincarnation. Avez-vous des questions sur cette fonction ? Si non, un point sera attribué à chaque élève trouvant quelles autres métamorphoses remplissent cette fonction. »

Elle scruta la classe d’un œil particulièrement perçant, s’assurant que la définition avait été notée.
Un jeune Poufsouffle demanda alors la parole, sa réponse fut pour e moins confuse.

« J’ai peur de ne pas vous suivre, Mr Newburry. De quelle métamorphose parlez-vous lorsque vous dites qu’elle rassemble deux apparences ? »

Une jeune Gryffondor se lança à son tour, combattant laborieusement sa timidité. McGonagall l’encouragea d’un sourire, afin de lui faire gagner en assurance.

« La métamorphose de Cyparissus est bel et bien une métamorphose consolation, un point pour Gryffondor. Vous avez pour le reste senti quelque chose, une des autres fonctions, mais ce n’est pas encore assez clair. »

Citation :

Métamorphose consolation - Myrrha ; Cyparissus

Le jeune Turner leva alors la main. Vif d’esprit, il ne lui avait pas fallu bien longtemps pour rebondir sur la réponse de Scylla et trouver la réponse.

« Excellent Mr Turner ! Trois points pour Gryffondor. La métamorphose de Céyx et Alcyone consiste en la création d’une espèce inédite, que l’on connaît aujourd’hui sous le nom d’Alcyon. Ainsi cette métamorphose est créatrice, dans son sens le plus absolu, c’est-à-dire qu’elle donne existence à quelque chose de nouveau. »

Citation :

Métamorphose créatrice - Céyx et Alcyone

« Un point sera attribué à chaque élève qui trouvera quelles autres métamorphoses remplissent cette fonction. »

Deux Serpentards prirent ensuite la parole, mais leurs réponses ne satisfirent pas la sévère McGonagall.

« Miss McGween, essayez de simplifier vos raisonnements. Vous cherchez des réponses bien trop complexes, ce qui joue en votre défaveur. La métamorphose remplit ici une fonction très simple, qui n’a pas encore été énoncée, peut-être parce qu’elle vous paraît trop évidente. Persévérez. »

« Gardez cette remarque pour plus tard, Mr Lydekker, nous y reviendrons. On ne peut vraiment dire que ces métamorphoses aient pour fonction propre de montrer la toute puissance divine, cette dimension est comme latente, secondaire. Mais nous y reviendrons, patience. »

*Palin... quoi... ?*

Bien sûr, il avait fallu qu'elle tombe sur la métamorphose qui avait la fonction la plus compliquée et avec en plus un nom imprononçable. C'était bien sa chance ça. Comment aurait-elle pu connaître ce terme, elle n'avait que douze ans ! Décidément, McGonagall méritait amplement sa réputation. Si elle était déjà aussi exigeante dans une partie théorique, qu'est-ce que ça allait être quand ils allaient enfin commencer à apprendre un sort ? Certes, c'était stimulant pour l'aiglonne, elle aimait pouvoir se surpasser mais encore fallait-il qu'elle y parvienne. La métamorphose était une matière difficile et leur enseignante ne pardonnera pas la moindre erreur. Aussi, la rouquine essaya de ne pas rêvasser davantage et recopia consciencieusement ce qui était inscrit au tableau.

Citation :

Métamorphose punition - Les Cérastes et les Propetides ; Midas
Métamorphose moyen - Jupiter
Métamorphose consolatrice - Myrrha ; Cyparissus
Métamorphose vivifiante - Statut de Pygmalion
Métamorphose palingénésique (palingénésie) - Céyx et Alcyone
Métamorphose créatrice - Céyx et Alcyone

Soupirant, Calypso relut pour la énième fois le corpus de textes de son livre. Elle avait toujours du mal à dégager ce que McGonagall désirait, mais cela avait eu au moins un avantage certain. Avec ce travail de recherche, la fillette ne pensait plus à son désastreux début de matinée. Ce qui s'était passé en Défense ne la préoccupait plus, de même que le placement obligatoire qu'ils avaient dû suivre. Après tout, à part ça, ils étaient apparemment tous logés à la même enseigne. La directrice des Rouges ne semblait favoriser aucun élève ou maison, préférant privilégier une bonne séance de creuse-méninges. Cependant, prise dans le tourbillon des questions-réponses, Calypso ne put s'empêcher de lever à nouveau la main.

- Madame, comme autre métamorphose créatrice, il y a aussi celle de Myrrha. Elle a été transformée en un arbre et c'est une nouvelle espèce aussi, le balsamier je crois... Et la résine qu'on y trouve portera son nom, la myrrhe.

Comme quoi l'histoire des rois mages et les cours du vieux papy Bachelard pouvaient servir à quelque chose...

Frémissant toujours d’une rage sourde et impuissante, Hector avait pourtant été soulagé de voir arriver Malcolm. Si McGonagall, aussi sévère que leurs aînés la décrivaient, se mettait en plus à suivre les raisonnements tordus des Carrow, ce cours serait un massacre.
Et tout courageux qu’il était, il ne voulait pas affronter ça seul.

- Complètement naze, tu veux dire, lui avait-il répondu, les poings serrés comme s’il s’en allait boxer le monde entier.

Un élan de culpabilité l’avait alors envahi, tandis qu’il tournait machinalement les yeux vers Lou, assise toute seule à sa table.

Quelques temps avant la rentrée, leur mère l’avait pris à part pour lui annoncer, les yeux rougis (elle leur disait qu’elle était enrhumée, croyant qu’ils n’avaient pas remarqué qu’elle avait passé l’été à se moucher), qu’il était le garçon (merci pour le scoop) et que donc il fallait qu’il veille sur sa sœur quand ils seraient à Poudlard.

Et c’est vrai qu’elle n’avait pas l’air très en forme, là. En fait, depuis le début de la journée, il n’avait pas entendu une seule fois le son de sa voix. Ses amis n’avaient pas l’air d’avoir remarqué ça (en même temps ils devaient avoir d’autres chats à fouetter), mais pour lui, qui vivait avec elle depuis onze ans, c’était très inquiétant.
Si leur mère et Conchita avaient été là, elles auraient convoqué un guérisseur pour qu’il vienne l’ausculter. Et s’il avait refusé, répondant qu’on n’ausculte pas les gens parce qu’ils ne parlent pas, elles seraient allées le kidnapper pour qu’il l’examine de force.

Tout ça pour dire qu’Hector s’en était un peu voulu de rester planté là à fixer sa sœur bêtement, alors qu’il était évident qu’elle était choquée. Mais d’un autre côté, il ne pouvait quand même pas se lever tranquillement, en plein milieu du cours, pour aller la consoler. Ils auraient eu l’air neuneu et en plus, à voir la tête de McGonagall, ils se feraient sûrement jeter dehors à coups de bâton sur la tête.
Et puis de toute façon, elle ne détonnait pas tellement, en fait. Avec le cours qu’ils venaient d’avoir, et les lignes qu’ils venaient de lire au tableau, presque tout le monde avait l’air aussi bouleversé qu’elle.

Ca lui rappelait un jour, à l’école primaire, où leur maîtresse avait fait la bourde irréparable de laisser échapper, devant une trentaine d’enfants de sept ans, que le père Noël n’existait pas.
Evidemment, l’ambiance ici était légèrement plus sinistre qu’elle ne l’avait été ce jour-là, mais c’était les mêmes traits révulsés de colère et d’incompréhension. D’ailleurs, beaucoup d’élèves s’étaient fait porter pâles le lendemain, et leurs parents outrés avaient écrit à la directrice pour lui demander de renvoyer cette indiscrète qui venait de détruire l’innocence de leurs chères petites têtes blondes.

Hector n’osait même pas imaginer ce qui arriverait aux élèves dont les parents s’aviseraient d’ordonner à Rogue de renvoyer qui que ce soit, surtout les Carrow.

Ayant décidé d’aller voir sa sœur plus tard, il sortit son livre, faisant lentement défiler les feuilles pour arriver aux pages demandées, sans rien dire.

Comme son ami, il avait vite compris que ce n’était pas l’endroit pour se lancer dans des discussions existentielles sur le bien, le mal, et la dignité d’un chevalier. Après tout, ils n’auraient plus rien de digne si la prof les transformait en cochons d’Inde pour leur apprendre la discipline.

D’ailleurs en parlant de transformations...Hector parcourut les pages une première fois...cligna des yeux...une deuxième...releva la tête pour s’assurer que les autres avaient l’air aussi perdu que lui...une troisième...et se passa la main dans les cheveux d’un air désespéré.

Il ne comprenait rien. Les mots étaient compliqués. Les métamorphoses étaient compliquées. Les noms des gens étaient compliqués.

Repoussant le livre d’un air dégouté, il s’appuya sur son coude pour écouter et noter les réponses qui fusaient, suivies, pour certaines, des aboiements de la prof. Forcément, si elle ne lisait que des trucs comme ça toute la journée, normal qu’elle soit sur les dents.

Le petit brun n’avait qu’une satisfaction, voir que son ami pédalait autant que lui. A voir la tête que tirait Malcolm, lui non plus ne comprenait rien aux palingénésies de Cypariss et de Myrrha il ne savait quoi. Maigre consolation, qui ne dura d’ailleurs pas longtemps. Horrifié, Hector vit le blondinet lever le doigt et répondre. Ah non alors ! Il n’allait quand même pas être le seul idiot du village à ne rien tenter !

Courageusement, le Gryffondor écouta attentivement la réponse de Page McHenry, se creusant fiévreusement les méninges pour trouver de quoi rebondir dessus.

- Euh...

Il leva le doigt à son tour.

- Quand le prince, là, Narcisse, est venu se regarder dans un lac et qu’il est tombé amoureux de lui-même...il s’était bien transformé en une nouvelle fleur après ? Le narcisse ? C’est aussi une métamorphose créatrice ?

Il n’était pas spécialement fort en mythologie...mais l’histoire d’un type qui trouvait le moyen de tomber amoureux de lui-même, ça valait le coup d’être retenu.

Minerva semblait particulièrement agacée par le manque d'enthousiasme des élèves qui, pour une fois qu'ils avaient une occasion facile de gagner des points, ne daignaient même plus poser leur regard sur les textes.
Le niveau allait en s'amenuisant d'année en année, constat navrant que les quarante ans d'enseignement de la vieille écossaise n'avait pas manqué de mettre en évidence lors de la dernière réunion organisée par le département de l'Enseignement du Ministère de la Magie. Depuis vingt ans qu'elle tirait la sonnette d'alarme, rien n'avait vraiment été fait pour résoudre ce problème. Simplifier les programmes n'avaient pas été la solution, d'ailleurs, d'où son retour à un enseignement somme toute classique, peu scrupuleux de suivre les lignes ministérielles mais validé par Dumbledore.

"Bien, Miss Tealsdale, Mr McLohan et Miss McHenry vous faites chacun gagner un point à votre Maison. Je vous laisse compléter la liste sur votre cahier, vous finirez d'ailleurs ce travail de recherche pour la semaine prochaine. On pouvait relever deux autres fonctions de la métamorphose. Tout d'abord une fonction de révélation de la nature profonde des êtres, c'est le cas deux métamorphoses punitions : les Cérastes n'avaient d'humain que leur apparence, mais se comportaient comme de véritables bêtes, aussi furent-ils transformés en taureaux. Je vous laisse trouver en quoi la métamorphose des Propétides est révélatrice de leur nature profonde."

Elle laissa à chacun le temps de prendre en note cette nouvelle fonction, ainsi que l'exemple qu'elle avait développé.

"L'autre fonction était peut-être la plus simple, il s'agit de l'ensemble des métamorphoses dont la fonction est d'exaucer le souhait d'un mortel, tout simplement. Cyparissus demande à être métamorphosé, la métamorphose répond à sa demande. Aussi peut-on parler de métamorphose-réponse, le terme n'est pas très heureux, je vous l'accorde, mais il a l'avantage d'être simple."

Elle patienta quelques dizaines de secondes, afin que chacun finît de prendre en note la suite du cours. Elle ajouta à la liste présente au tableau les deux dernières fonctions qu'elle avait exposées, puis se retourna et contempla l'ensemble de la classe avec un air quelque peu anxieux. La suite s'annonçait quelque peu plus ardue...

Citation :

Métamorphose punition - Les Cérastes et les Propetides ; Midas
Métamorphose moyen - Jupiter
Métamorphose consolatrice - Myrrha ; Cyparissus
Métamorphose vivifiante - Statut de Pygmalion
Métamorphose palingénésique (palingénésie) - Céyx et Alcyone
Métamorphose créatrice - Céyx et Alcyone
Métamorphose-réponse - Cyparissus
Métamorphose révélatrice - Les Cérastes et les Propétides ; Midas

"Bon, relisez ces diverses fonctions maintenant. Quelle vous semble être la signification de la métamorphose à travers ces diverses fonctions ? Comment comprenait-on, se représentait-on en quelque sorte, la métamorphose ? Toute réponse rapportera deux points, à condition qu'elle soit correctement argumentée et justifiée. Il n'y a pas, en soi, de mauvaise réponse : je vous demande d'interpréter."