[Bouh... c'est pas fameux je suis désolée... Mais avec les cours je fais ce que je peux xD!!! Je me rattraperais promis!]


Voilà bientôt deux mois que la petite souris de Poudlard n'avait pas vu l'homme de ses rêves, j'ai dénommé Weasley notre roi, alias Ron . Comment vous dire, vous expliquez plutôt, à quel point Sushi était déprimée mais surtout inquiète de plus avoir de nouvelles du rouquin? C'est très simple en fait , mettez vous à sa place! Pour une folle à lier groupie du meilleur ami de l'élu, passer un jour, sans apercevoir l'homme de sa vie était comme une mort lente et douloureuse... Vous direz que j'exagère et bla et bla et blaaaaa! Mais non, pas du tout, ce qu'elle ressent c'est l'amouuuuuuuur avec beaucoup de U au milieu (ouais parce qu'avec un grand A c'est trop ringard alors faut varier et trouver un truc plus chouette!!!)
Donc, comme je disais, Susi était triste, au bord du suicide, et tout le tralala mais je vais arrêter de détailler parce que je sens que ça vous casse les cou*lles et à moi aussi (même si j'en ai pas)!
Après une journée à déprimer, elle s'était décidée à se poser sur un fauteuil bien moelleux dans la salle commune au lieu d'aller prendre son repas comme tout le monde. C'était vraiment un signe de mal être surtout pour quelqu'un qui a l'habitude de se goinfrer comme personne (sans prendre un gramme sinon ce serait un sumo, et je veux pas jouer une sumo... xD) Breffons, la jeune fille avait le regard fixé sur la cheminée, cette jolie couleur orange que le feu possédait( ouais c'est pas beau comme phrase je sais xD) lui rappelait la chevelure brillante de son Ronald chéri d'amour... A cette pensée, elle ne pu s'empêcher de verser quelques larmes que serait Susi sans un Ron à idolâtrer et à aimer? Rien du tout, et c'était bien ce qu'elle était devenue depuis qu'elle ne le voyait plus... Ouais, c'est bien triste et morne une petite souris comme ça... Ça dit plus de conneries, ça fait plus de bêtises... Ça commencer à travailler pour les cours alors que d'habitude ça fou que le strict minimum!!! Et oui, les études ça vous permet d'oublier les peines de cœur... et devenir plus intelligent, mais ici n'est pas la question chers lecteurs! J'vous rappelle que la petite souris que vous aimez ou détestez tous (j'men fou si vous l'aimez pas z'êtes vraiment des nases) était pour la première fois, vraiment triste et mal pour de vrai... Donc moi j'ai envie de vous dire, espérons qu'une âme charitable passe par là et lui remonte quelque peu le moral

[C'est très bien, ne t'en fais pas, moi non plus je trouve mon post pas terrible du tout, donc je me rattraperai également ]

Sous la bise glacée d’Octobre, gifle cinglante sur les joues de Harry rosies par le froid, le Survivant rentrait au Château, son écharpe Rouge et Or étroitement serrée autour de son cou, sa Robe de Sorcier virevoltant au rythme de ses pas et le cœur gros. Il revenait du Terrain de Quidditch. Voir d’autres élèves chevaucher leur Balai, filer dans les airs à une vitesse fulgurante était un véritable supplice pour Harry qui avait l’interdiction formelle de pratiquer son sport favori. Son moral s’assombrit surtout lorsqu’il repensa à son Éclair de Feu, à ses yeux d’une valeur inestimable, parce que son coût était exorbitant et sa performance hors normes mais surtout parce qu’il était un cadeau de son parrain. Le somptueux Balai devait à présent croupir dans les Cachots, lui que Harry prenait soin de cirer et de lustrer consciencieusement. Ombrage savait qu’elle l’atteindrait en faisant cela, et c’était d’ailleurs son ultime but. Du sadisme à l’état pur.

Alors il était parti du Terrain, désespéré et abattu de ne pouvoir voler, de s’évacuer de la tête tous les soucis quotidiens qui disparaissaient comme par enchantement lorsque son pied frappait le sol et qu’il décollait dans les airs. Mais comme si sa déception et son cruel manque de vol auquel il était maintenant dépendant comme un alcoolique à sa bouteille ne suffisait pas, voilà qu’il croisait Cho dans les couloirs. Oh bien sûr, en règle générale croiser la jeune asiatique signifiait pour Harry rythme cardiaque saccadé, bégaiements et maladresse même si, en son for intérieur, son cœur éclatait de joie. Mais cette fois-ci, la croiser le mortifia. Pourquoi ? Parce qu’elle n’était pas accompagnée de sa bande d’amies stupides qui gloussaient à la moindre parole, mais qu’elle était seule, avec un garçon…

Grand, athlétique, aux cheveux châtains et aux yeux d’un bleu limpide, l’individu avait certes plus d’allure que Harry avec sa tignasse indomptable et ses lunettes rondes néanmoins, le Survivant put remarquer un air de stupidité profonde sur le visage de l’autre. Je vous l’accorde, sa jalousie était peut-être un peu trop excessive. Après tout, Cho était simplement en train de converser avec un jeune homme, et rien ne montrait que ce bellâtre imbécile avait une place particulière dans le cœur de la jolie Serdaigle. Toujours est-il qu’Harry hésitait entre fulminer et déprimer. Son esprit sembla choisir la deuxième option car ce fut littéralement abattu qu’il continua son ascension vers la Salle Commune des Gryffondor.

Celle-ci était quasi-déserte, et Harry fut heureux de n’y trouver ni Ron ni Hermione. Il n’avait absolument aucune envie de relater cet épisode encore trop frais à ses deux meilleurs amis qui ne le prendraient certainement pas au sérieux. C’était suffisamment douloureux et difficile à encaisser l’éventualité que Cho vive une relation amoureuse pour qu’Hermione en rajoute en l’accusant d’être totalement paranoïaque et que Ron le prenne à la légère. Alors, pour le moment, il préférait ruminer seul.

Surprit, car il ne pensait trouver personne dans la Salle Commune à l’heure du dîner, Harry observa la jeune fille blottie dans un fauteuil au coin du feu, l’air vraiment mal en point. Si, pour elle aussi, il s’agissait de déboires amoureux, le Survivant comprenait très bien qu’elle préfère rester ici plutôt que de se joindre à la foule attablée, occupée à se sustenter de victuailles devant laquelle la gorge des attristés se serrait douloureusement. Le Brun ne voulait pas déranger la jeune fille mais elle était placée dans le siège voisin du fauteuil préféré de Harry, juste en face du feu et particulièrement moelleux. Et puis, mieux valait de la compagnie plutôt que de ronger son mal-être en solitaire.

Au fur et à mesure qu’il s’approchait à pas discrets, Harry la reconnut. Il s’agissait de Susi, une petite Gryffondor de troisième année qui possédait une bouille à croquer qui lui donnait un air enfantin et adorable. Lorsque le trio passait devant elle, le Survivant l’avait souvent surprit à les fixer avidement et un jour, peiné parce qu’il en était venu à penser qu’elle aussi, le prenait pour un menteur détraqué et dangereux, Hermione lui avait répondu, avec une grimace et un ton dédaigneux que Harry n‘avait pas compris. Elle serait amoureuse de Ron, apparemment, et cela semblait beaucoup agacer sa meilleure amie qui grinçait des dents lorsque la petite brune se trouvait dans les parages.

Harry ne s’était donc pas installé sur SON fauteuil préféré dont il appréciait tant le confort et la chaleur que le feu envoyait, mais s’était accroupi à côté du siège ou était assise l’éprise de Ron et, s’appuyant d’une main sur l’accoudoir, tapota gauchement de l’autre l’épaule de la jeune fille, dans un geste qui se voulait réconfortant, et lui demanda maladroitement :

- Dis…Ça va aller ?