Malicia avait traîné un bon bout de temps dans la salle commune. Le temps était frais et elle avait préféré restait à l’intérieur bien au chaud. Elle avait travaillé un peu, fini les devoirs qu’elle avait en retard et avait commencé à lire devant la cheminer, les pieds bien au chaud. Mais cette tranquillité fut de courte durée. En effet la petite Serdaigle fut dérangé par un étrange bruit à la fenêtre. Elle n’y fit pas attention en premier mais le bruit se fit plus insistant. S’apercevant que les autres élèves présent de semblait pas le remarqué, elle se leva. Elle n’en avait pas vraiment envie mais sa curiosité l’avait titillé. Elle s’approcha de la fenêtre et vit un hibou tenant une lettre à la main. Refermant rapidement la fenêtre car le froid l’avait mordu, elle prit l’hibou et demanda s’il appartenait à un des Serdaigles présents. Personne en semblait le connaître et Malicia s’aperçut que c’était un du service postal. Elle prit alors la lettre des mains bien décidé à la remettre en main propre à son destinataire. Elle lut alors son propre nom sur la le parchemin. Elle s’assit dans un fauteuil poussant un première année au passage .

Qui pouvait bien lui écrire? Sa mère lui avait envoyé une lettre il y a peu de temps et n’avait donc aucune raison de lui en envoyé une nouvelle. Quand à son père, cela faisait un moment qu’elle n’avait eu de nouvelles et il ne lui aurait pas envoyer de lettre par un simple hibou. Mais qui alors?

Elle ouvrit avidement le parchemin. Et lut rapidement la lettre. C’était son cousin. Elle failli sauter de joie tant elle était contente d’avoir enfin de ses nouvelles. Il ui demandait simplement quand il pourrait se revoir. Il avait rajouté qu’elle devait lui répondre rapidement. Malicia prit ses paroles à la lettre, monta rapidement dans les dortoir, écrit une petite réponse et couru toute excitée à la volière.

Son petit mot était certes petit et faillit s’envoler plusieurs fois mais la petite fille ne voulait pas perdre de temps à écrire une belle lettre. Sa réponse devait être rapide et elle l’était. Et puis elle avait envie vraiment de le revoir son beau cousin qui la faisait toujours rêvé. Il avait été le seul à qui elle avait pu expliquer qu’elle était une sorcière et qui l’avait cru. Mais c’était déjà un moment.

Elle était perdu dans ses pensés quand elle arriva à la volière. Elle déboula en courrant parmi les rapaces. Elle vit alors qu’elle n’était pas seule. Elle rougit légèrement et s’excusa, peut-être avait-elle déranger la jeune fille.

Salut! Je te dérange peut-être, je n’en ai que pour une minute.

Elle attrapa le premier hibou et lui attacha sa lettre. Elle chuchota l'adresse en espérant qu'il n'est pas déménagé. Puis elle observa le volatille partir au loin. Au moins son cousin aurait sa réponse. Puis elle se tourna vers la jeune fille, et voulant se montrer polie, elle reprit la parole:

Je suis Malicia Fowl et toi? Tu attends des nouvelles?
**Et c'est ce qui s'appelle de la conversation...*

A notre petite fille adorée,
Nous espérons que tout se passe bien et nous te félicitons pour ton admition dans l'équipe des Poufsouffles. Même si ton père ne sait pas trop en quoi consiste le quidditch, il est ravis pour toi et ton grand-père aussi. Il écrira un mot sur la lettre, ne t'en fait pas. Quand à moi ma chérie, je voulais te demander si tu n'avais besoin de rien et surtout te dire que nous partirons chez ton oncle et ta tante pour les prochaines vacances. Tu n'es pas obliger de venir, il n'y aura pas ton cousin qui est à un stage de voile. Donne moi ta réponse le plus vite possible.
Je t'embrasse,
Maman

Ma petite chérie,
Je suis ravis que tu sois prise dans l'équipe de ta maison ! Je suis extrèmement fier de toi aussi ai-je descidé de te faire un cadeau. Nous verrons tout cela enssemble.
Ton grand-père.

PS : Un bisou de ton papa. Je n'écris pas grand chose, c'est fou ce que c'est dûr d'écrire sur un parchemin.
Je t'aime

Cela ne faisait que depuis ce matin que Meï avait reçue la lettre de ses parents mais comme elle était tête en l'air, autant leur répondre maintenent avant d'avoir un moi de retard. Aussi, lorsque Meï eut finit de recopier son parchemin, elle s'emitoufla dans une cape chade et une écharpe aux couleurs de sa maison et sortie de la salle commune. En marchant tranquillement dans les couloirs, une voix l'interpela. C'était un tableau, il représentait un chevalier, un tout petit chevalier qui ne cessait de hurler des phrases du genre : « En garde ! », « A l'assaut ! » ect... La petite fille s'arréta et l'observa. Quand le tableau s'en aperçus, il proliféra un flot d'insultes du Moyen-Age qui résonna dans tout le couloir. Meï tira la langue au chevalier et reprit son chmin porsuivit par le petit chevalier qui sautait de tableau en tableau, busculant les autres personnages sans la moindre excuse.

Lorsque Meï fut enfin dehors, elle soupira de soulagement et bifurqua pour prendre le chemin de la volière. Le vent froid la piqua aux joues et fit monter les larmes. La petite fille accéléra le pas pour se réchauffer. Une fois devant les marches qui menaient à la volière, elle ralentit pour ne pas glisser sur l'escalier qui était verglacé par endroit.
En haut, il y avait deux élèves. Aussi petites que Meï. Visiblement, l'une d'elle était partie très vite car elle n'avait pas pris le temps de se couvrir et par ce froid, c'était du sucide.

« Salut ! »

Elle leur sourit, choisis un grand hibou et lui attacha sa réponse à une patte. Une foi que l'oiseau sût ou il devait aller, il s'envola dans un bruissement d'elle étrangement légé vu la taille du rapace.

« Je suis Meï et vous ?»

[j'ai tapé l'incruste...si sa vous gènes j'édite ^^]

Mathilde jugea la première des deux filles à arriver, et elle lui lança un regard pénétrant, comme l’aurait fait n’importe quel Serpentard. La Verte et Argent du trio avait fait bien des progrès depuis son entrevue avec Narcissa Bodom. C’était fou l’influence qu’avaient les aînées sur les plus jeunes, Narcissa avait servi à Mathilde de calque, sur lequel elle avait copié puis amélioré. Elle jugea donc du regard la nouvelle venue, et découvrit avec surprise que c’était une Serdaigle, et qu’elle était plus âgées que la Rusée. Elle ne voyait plus son hiboux et elle en fut rassurée elle ne voulait pas tomber dans un guet-apens de Serdaigle, bien qu’en y réfléchissant à deux fois, elle n’avait encore rien fait aux Serdaigles. Ni à aucune des autres maisons. Le vent frais lui happa le cou, et dans son dos, comme si elle sentait un maléfice, un froid indescriptible se fit sentir.

Elle écouta parler la jeune Bleue et bronze, et elle comptait bien lui répondre sur un ton qui convenait à la conversation, un ton froid mais pas non plus désagréable, elle ne voulait pas non plus se faire détester de la jeune fille qui devait être en troisième ou quatrième année, et dont s’attirer les foudres n’était pas la meilleure des idées.

« Je m’appelle Mathilde Roma. Tu ne me déranges pas, et non j’envoie une lettre à mon père pour lui faire remarquer qu’il a faillit à une promesse.»
Les mots fusèrent telles des flèches et atteignirent la cible, ils pénétrèrent ses oreilles. Quand Mathilde pensait en avoir fini une nouvelle arrivante fit son entrée, et elle se présenta elle aussi Mathilde n’avait pas vraiment envie de se représenter, et la jeune fille comme pour aggraver son cas était de Poufsouffle. Mathilde lui décocha un regard assassin et elle répondit à la jeune Meï d’une voix sanglante et dénoué de sentiments. Si le regard de Mathilde avait une couleur verte émeraude on n'apercevait maintenant qu'un vert profond et puissant qui ressemblait à la couleur des sapins.
« Moi c’est Mathilde, Mathilde Roma. »

Elle espérait presque qu’un Serpentard les rejoindrait pour rehausser le niveau que les deux arrivantes et surtout la dernière avait fait chuter. En effet Mathilde se sentait un peu reine d’un poulailler, même si elle était plus jeune qu’une d’entre elle, elle était la plus noble et la plus digne des trois, et elle le savait. Elle se demandait quand son père recevrait la lettre qui lui était destiné, et elle espérait surtout que le hiboux ne lui reviendrait pas avec sa lettre à la patte, car il n’aurait pas trouvé le destinataire. Soudain une bourrasque blanche s’engouffra dans la volière soulevant des plumes, et l’hiboux blanc se scratcha contre un mur. Mathilde sourit, il n’était pas plus digne d’intérêt que les deux autres jeunes filles avec qui elle discutait, mais au moins il avait le privilège d’avoir décroché un sourire de la jeune Mathilde Roma. Ce qui n’était pas rien, quand on connaissait son passé.

[Post ridicule désolée, et tu ne tapes pas l'incruste c'est Libre!]

Elle sourit à la jeune fille qui semblait à peine moins âgée qu’elle. Elle laissa la jeune fille la dévisageait . A son regard glaçant et à son maintien la petite Serdaigle en déduit que la jeune fille devait avoir du sang pur dans les veines. Elle devait ainsi appartenir à une grande famille sorcier, une de celle qui se dise pur, et cette suffisance d’elle ne pouvait indiquer qu’une Serpentard. En effet il faut croire qu’être né dans une noble famille donne tout les droits. Mais le plus étrange c’est que jamais elle n’avait rencontré d’autres élèves de maisons. Mais en y réfléchissant Malicia se dit que tout les Serpentard n’étaient pas comme ça. D’ailleurs l’un d’eux ne la considérait-il pas comme une amie? Certes elle avait eu aussi un accrochage plutôt fâcheux avec deux Serpentard, il avait même résultait à la perte de sa première baguette. Elle sourit tout de même à la Serpentard quand celle-ci lui répondit d’un ton froid. La petite fille se rassura en sentait sa baguette à porter de main. Avec les verts et argents, on n’est jamais assez sûr.

Malicia allait répondre quand une nouvelle jeune fille les rejoignit. Elle lui adressa un sourire. Décidément elle n’était pas la seule à vouloir envoyer une lettre ce soir. Le froid ne semblait en aucun cas dissuader les expéditrices du soir. Elle murmura un vague «bonjour» à la nouvelle venue .
Puis elle reprit la parole s’adressant à Mathilde puisque tel était son nom.

Enchanté. Il semblerait que les pères n’aient pas pour habitude de tenir quoique se soit…

Elle se tut puis elle laissa son regard partir au loin comme à chaque fois qu’elle pensait à son père. Il ne voulait pas entendre parler d’elle et elle devait vivre sans lui. Pourtant souvent elle pensait à son père même si elle ne connaissait strictement rien de son paternel. Mais elle se dit que la jeune Serpentard ne souhaitait peut-être aucun commentaire. Elle se mordit la lèvre. Malicia avait la mauvaise habitudde de parler sasn réfléchir.

Elle se tourna vers la dernière arrivée se représenta:
Et moi, Malicia Fowl.

Elle souriait aux deux jeunes filles. Elle s’aperçu que si l’une était à Serpentard l’autre devait être à Poufsouffle. Il manquerait plus qu’une Griffondor arrive pour que les quatre maisons soient présentes. Mais il semblait qu personne ne viendrait plus.
Un frisson parcourut son échine. Il faisait vraiment frais dans cette tour. Puis elle vit un hibou blanc s’engouffrait par la fenêtre. Elle ne put retenir un cri quand elle le vit se prendre un mur. Elle le prit puis demanda à Mathilde et à Meï si elles l’avaient déjà vu.

J’espère que ce n’était pas cet hibou qui devait apporter vos lettres.

Puis elle l’examia à son tour et vit qu’il avait encore une lettre accroché à sa patte.

Oula ! Le serpent semblait avoir envie de mordre. Pourtant quand une couleuvre se sens opressée, elle fait la morte...Pourquoi est ce que cet instinct avait échappé aux serpentards ? Ils éviteraient de jetter leurs regards glacial et leurs paroles vénimeuses à tout bouts de champs , non ? Malgrés le regard de la dénomé Mathilde, Meï fit smebmlant de ne pas l'avoir remarqué, elle ne releva pas non plus le ton de celle ci et elle se contenta de lui adrésser le même sourire qu'à la Serdaigle : Un sourire gentil.
C'était assez amusant que trois des maisons de Poudlard se retrouvent dans une tour froide, dans un vent froid et un froid....froid. Même si Meï avait toujours appréendé la rencontre avec un Serpentard, elle était finalement ravi d'en voir un....de près, sortis des cours. Ils, enfin en locurence elle puisque Mathilde était seule représentente de sa maison, n'avait pas l'air si effrayante même si Meï la trouvait terriblement antipathique. Avait elle une seule bonne raison de de jetter toute la haine du monde au visage d'une petite poufsouffle qui n'avait pas demander à la rencontrer ?
Lorsque le hibou s'écrasa sur le mur, Meï retint un cri et porta sa main à sa bouche. Le pauvre ! Et cette fille cruelle souriait de le voir étalé sur le sol.

La petite Pouffy s'approcha du rapace et se pencha pour voir dans qu'elle état il était. Surement sonné mais tout semblait en ordre, plus de peur que de mal. Alors, Meï porta son attention sur la lettre. Elle la pris et regarda derrière pour voir un quelquonque destinataire. L'écriture était fine,d'un style très jolie mais indéchifrable.

« Je n'arrive pas à lire ce qu'il y a écrit. »

Elle la tendit aux deux filles pour qu'elles essaient.
Si elle l'avait prise, c'était par curiosité. Peut être était ce une lettre piégée, codée, ultra-secrette. Une Serpentard ''alliée'' à une Serdaigle et une Poufsouffle découvrait peut être un secret que personne ne devait savoir, ormis le destinataire ! Peut être que quelqu'un allait venir ici dans la nuit pour récupérer la lettre ! Sinon, pourquoi le hibou avait pris la peine de s'arréter à la volière au lieu d'aller directement voir la personne conscerné ?

[désolé pour ce post...]