Dimanche matin (Libre à tous et pour tous!Beaucoup de monde)

[ HJ : Viendez le monde ! Viendez ! ]

Biiiip. Biiip. Biiiip.

Ca devait être la onzième fois que ce fichu réveille sonnait. Franchement, y’a des boulots qu’il fallait mieux éviter de faire, notamment : Réveil Matin.
Zélie Coline, nommée de ce magnifique prénom par sa maman, se retourna pour au moins la onzième fois dans son lit. C’était dimanche matin, rien de grave vous allez me dire, et puis, on était au moins de mai, alors pourquoi diable ce réveil sonnait ? Tout simplement parce que hier soir, la rouquine s’était mis dans la tête que : « Demain, j’me lève tôt, et j’travaille pour les exams de fin d’année » : parole de Zézette. Malheureusement (ou pas), les paroles de Zélie n’étaient pas toujours très … Sérieuses.

« Grrrrrrnieuhnieuhnieuhnieuhnieuh. »

Ceci est un bruit d’une Zézé qui s’assit sur son lit, les yeux fermés, la tête dans le cul. Rien de très étrange à vrai dire.
On ouvre un œil.
On ouvre l’autre œil.

Personne dans ce foutu dortoir, déjà que les filles de Serdaigle n’étaient pas très nombreuses mais si en plus elles n’étaient jamais là, je vous dis pas moi ! Ca n’allait pas avancer d’un minipouce !

« Neeookiiiii ! Sallyyyyyyy ! Ha – Ha – Ha. J’ai pas d’amies -__- »

La rouquine posa le pied gauche en premier par terre. Malheur à elle, malheur à tous ceux qui allaient la rencontrer aujourd’hui. Ce dimanche ne serait pas un dimanche ordinaire. Ca se sentait à des kilomètres d’ici. Vous voyez ? J’ai raison, vous avez senti aussi.
Cheveux n’importe comment, cheveux roux, pagaille, matin et bien sûr :

** J’ai faim **

Soudain, la chose qui ne faut surtout pas faire le matin lorsqu’on se réveille : Regarder le réveil. Là, tout de suite, sans hésiter, sans rien faire du tout d’ailleurs, les yeux de Zélie s’ouvrirent grand comme des pastèques. Si si, j’vous le jure !

« Maaaamaaaaan. Midi. J’AAAII CRUUU QUE LA VIE C’ETAIT UUUUUUUUUNNNNNN KIIWIIIIIII ! Et j’ai faim. »

Ca, c’était le truc indispensable. Mais bien sûr, comme vous pouvez sûrement très bien vous en douter (ou pas) à midi il n’y a plus de croissants, de toast, de café, de thé, de lait, de chocolat de tout ça. En fait, il n’y a plus rien qui puisse faire que votre petit dèj soit un petit dèj de rêve. La rouquine fila alors directement dans la salle de bains, et top chrono, dix minutes plus tard, c’était fini. Zézette, cheveux attachés : deux grandes couettes (Ouais, maintenant Zélie elle a les cheveux qui lui tombe en bas du cul , pantalon beaucoup trop grand vert, tee-shirt rose et elle était prête ! MISSION COMMANDOOOOO : Révisions.
C’était parti mon kiki. La Serdaigle fila chercher quelques bouquins, elle ne savait même pas lesquels et sortit en vitesse du dortoir pour nana cinglées. En même temps, quand on voit qui il y a dedans on ne se pose même pas de questions quoi. :niakrniark:

Bien entendu, nous sommes au mois de mai, et souvent au mois de mai, il fait super beau, c’est le printemps, c’est la belle vie, les amours itout itout. Donc : personne dans la salle commune, ce qui aggrava encore plus la mauvaise humeur de Zélie. Malheur à elle, à vous, à nous. Une pastèque pour toouuuut l’hiver.

** Si j’attrape celui qui fait qu’il est midi quinze, je lui pète la yeule ! **

« TWA ! Vire de mon chemin ou j’te mange. Haaaaan non. J’ai faim T_T »

Très belle vie en ce magnifique dimanche matin.
Il fallait pour Zézette un endroit calme, très calme, mais pas trop, avec un décor, de la verdure, un peu de bruit, et un pu de silence. Tout quoi. Un endroit hétérogène en fait. Puis, soudain, une idée, une petite lumière : les serres de botanique. Parfait, oui, c’était ça l’endroit vraiment très parfait. Un sourire naquit alors sur les lèvres de la rouquine.
Aussitôt pensé, aussitôt arrivé, la Serdaigle venait tout juste de franchir les portes d’entrée du château. Le parc était bondé, trop bondé. Trop de gens trop pas beau et pas normaux, quelque chose clochait, ça n’allait pas être un dimanche de révisions ordinaire.

Zézette parcoura alors le parc à grands pas, sans se regarder derrière soi. Pour le moment elle ne voyait que les serres qui avaient l’air de briller, c’était magique.
Puis, en deux temps, trois mouvements, elle y était. Comme ça, hop hop. Les plantes, elles au moins elles étaient gentilles, très même. Elle ne bougeait pas, ou presque, enfin, ça dépendait des moments. En plus, la rouquine détestait la botanique mais bon, aucune importance.

Et voilà, elle était enfin dans un endroit très tranquille pour travailler. La belle vie quoi, en ce magnifique dimanche matin.

Or donc, lors de cette belle vie du dimanche matin, un air curieux clamait sa joie de vivre à tous les passants alentours qui avaient le malheur de pouvoir l'entendre.

- Eeeeeeeeen ce joyeux dimanche matiiiiiiiin, (on l'aura compris) réveillons-nous et prooooooooomenons-nous joyeusement ensemble dans le paaaaaaaaaaaaaarc !

Ce petit air qui allait probablement chasser très vite le beau soleil de mai, sortait de la bouche d'un bonhomme de neige qui avait cru bon de ne pas fondre en mars avec le reste de ses congénères. Ledit bonhomme de neige, qui aurait mieux fait de s'abstenir de vouloir à toute force survivre en été, était en réalité, une bonfemme de neige ! Et même une bonfemme toute toute petite, avec un petit bout de nez retroussé en guise de carotte, de longs cheveux de soie blanche en guise de chapeau, et une robe datant des années hippies beaucoup trop large et qui la nanifiait horriblement en guise de boutons de charbon. Nanifier : qui fait paraître plus petit. Par exmple, un éléphant, bien que cette joyeuse bestiole soit plutôt du genre énorme, sera nanifiée auprès d'un mammouth ! Ou d'un dinosaure. Encore que, ne nous y trompons pas, malgré la féroce réputation des gentils ancêtres de nos crocos actuels, il y en avait des tout pitits et des tout mimis. Larëliane Decircée - oui, c'est bien là le nom de cette fameuse bonfemme de neige - rêvait d'en adopter depuis qu'elle était toute petite. Malheureusement, la magie n'était pas encore assez savante pour recréer des dinosaures perdus. Et pourquoi pas aussi un dodo ? Oh oui, c'était mignon un dodo, ça pouvait te faire un câlin le soir avant de dormir, c'est comme une peluche vivante, c'est supeeeereuh ! Mais bon, Liane était une féroce Serpentarde, et n'avait donc que faire d'une peluche vivante à qui faire des câlins le soir avant de s'endormir. Le dictionnaire nous apprend que le verbe nanifier est plus utilisé pour les plantes. En réalité, littéralement, il ne signifie pas ce que je viens de vous expliquer (muah ah ah ah, tout ça pour rien) mais plus simplement empêcher de grandir. Et, non non, ne paniquez pas, c'est bien utilisé uniquement pour les plantes. Par exemple, le bonsaï ! Bref, je m'égare.

Nous venons donc de trouver une raison totalement débile pour laquelle Larëliane ira retrouver Zélie dans les serres. (J'ai deux remarques super intelligentes, là : un, serres est un mot palindrome (si si !) Et deux, après tout, c'est logique que Liane, surnom de ma boule blanche, aille dans les serres rejoindre ses congénères... Muah ah ah. Ahum. C'était pourri, excusez-moi.) Nous disions donc : pourquoi Larëliane va dans les serres ! Ne nous égarons pas, s'il vous plaît. *Trop tard* **Taggle** Eh bien, la deuxième année venait, comme vous avez pu le lire au paragraphe précédent, de faire un raisonnement très compliqué à partir du verbe nanifier. Un éléphant est nanifié auprès d'un dinosaure. Elle voulait adopter un dinosaure. Et le verbe nanifier s'employait uniquement pour les plantes ! Donc, très logiquement, où la verte et argent trouverait-elle un dinosaure ? C'te question ! Dans les serres de botanique, bien sûr ! Oui, c'est un raisonnement stupide. Mais c'est du rp. Et si on doit être censé et raisonnable autant dans le rp que dans la vraie vie, autant ne rien faire du tout ! Mais si, mais si.

Je vous épargnerai la transition pour passer de la réflexion intense de Larëliane à la chasse de Larëliane et passerai donc directement à - toujours - Larëliane, équipée avec tout le matériel nécessaire et indispensable pour chasser le dinosaure (soit une robe hippie et un filet à papillons) entrant dans la serre à toute vitesse avec un hurlement sanguinaire du style :

- AAAAYAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !

Ouaip. Ca, c'est Larëliane qui débusque le dinosaure. Bof, après tout, sa grande soeur chasse bien l'araignée septentrijambiste dans la Forêt Interdite, alors pourquoi elle-même n'irait pas chercher un T-rex dans la classe de botanique ? C'est vrai, quoi, à la fin ! La deuxième année, après cette entrée en matière destinée à attirer et effrayer sa proie, courut se cacher dans les feuilles et autres espèces de machins qui pendouillaient et étaient communément appelés "plantes". Elle guetta un mouvement. Il ne fallait pas risquer de se faire surprendre ! C'était dangereux un dinosaure ! Il pouvait parfaitement arriver par derrière et croquer la verte et argent en deux coups de dents ! Et soudain... ~~croc croc, fini, plus de Larëliane !~~ Nan, j'déconne. Reprenons. Et soudain... une masse rouge se fit entr'apercevoir par le regard de lynx de notre chasseuse de dinosaures ! Larëliane ne savait pas qu'il existait des dinosaures rouges. Peu importe ! Le rouge, dans la nature, signifie danger ! C'est une bestiole sanguinaire qu'elle va attraper là ! Wataaaaaaah ! Ce fut d'ailleurs ce que la miss Decircée se dit à haute voix :

- C'est une bestiole sanguinaire que je vais attraper là ! WATAAAAAAAH !

Et la fillette se jeta à travers les fourrés, brandissant rageusement son filet à papillons, et l'abattant sauvagement sur la tête d'une pauvre Zélie qui n'avait rien demandé...

Interloquée, la Serpentarde regarda mieux sa prise.

- Ben... T'es quoi, toi ? Un rouquinosaurus-rex ?

[Je sais pas si c'est assez long, je sais pas si c'est assez bien. J'espère que ça te plaira quand même, ainsi qu'à tous ceux qui viendront après ^^]

[hj: est trop mort de rire pour laisser passer l'occacion j'espère que ça vous conviendra, si ce n'est pas le cas; n'hésitez pas à me le dire. Je me suis permis de commencer à démêler un peu le filet]

C'était un joli matin de mai comme dirait le poème. Harry s'était éveillé tôt et avait put finir quelques révisions, les théoriques en tout cas. Quel délice de s'allonger sur son lit après un bon petit déjeuner, de laisser les rayons de soleil caresser votre visage; ceux-là même qui filtrent pas la fenêtre entrouverte. Harry s'était même félicité d'avoir prit le lit si prêt de cette dernière en première année. Quelle joie c'était de faire ses devoirs dans le calme, la tranquilité et la sérénité de ce joli moi de mai; allongé sur sa couverture. Puis le Gryffondor se leva, parce qu'il devait bien se lever à un moemnt n'est-ce pas ? Ses révisions avaient été si agréable sous la chaleur tendre de l'astre du jour qu'il avait été presque triste d'avoir finit ses devoirs... Shocked

...Toujours éprit de son Hermione's Attitude le sorcier décida de passer aux exercices pratiques. Il étudia un peu ses sorts, fit malencontreusement sauter son chaudron..." Arf, une épine de Porc épique en trop" puis décida de reconnaître les plantes de Madame Chourave. Pour la première fois depuis 4 ans c'était THE bonheur concernant les examens...Il n'était pas en retard sur ses révisions !!!

Ainsi le Gryffondor se permit une légère flânerie dans le parc après avoir prit un bon déjeuner. Se dirigeant donc vers les serres pour reconnaître les plantes suesptibles d'être demandés aux B.U.S.E.S Harry rencontra de moins en moins de monde: ce lieu n'était pas très fréquenté c'est sûr...Cependant sa surprise fut grande en voyant 2 filles par la fenêtre des serres. L'une d'elle avait...une épuisette sur la tête de l'autre o_O. Le Survivant se maudit alors de ne pas avoir mit de crème solaire par un temps si chaud...Mais en fait il put bientôt cesser de se maudire en se rapprochant un peu plus. Non son imrudence ne le faisait pas halluciner, c'était pire, c'était vrai...Le Brun fut hésitant sur la démarche à suivre mais, en ce dimanche du joli mois de mai son esprit avait décidé qu'il n'avait pas rempli son quotat d'ennuis et de soucis...Il fallait donc pointer plus sérieusement-vous savez comme un ouvrier quand il arrive au travail-C'est ainsi que son instinct, un brin facétieux avec son propriétaire le fit entrer. Le voilà complice et témoin de cet acte...euh de cet acte euh...qu'on ne pouvait qualifier.

La Survivant reconnut Zélie à qui il n'avait jamais parlé mais dont les frasques l'avait rendu célèbre. Hermione lui avait raconté son aventure avec l'étrange Serdaigle à la bibliothèque concernant le "Seigneur des Pas Lumières" avant de lui la montrer du doigt discrètement dans un coin de couloir pour lui dire: "Celle-ci Harry, évite-là autant que tu peux ! Même Luna la fuit"Et là PAF; quelques jours après les recommandations de son amie...Le sorcier tombait dessus-_-'. L'autre fille, la détentrice du "machin" sur la tête de Zélie lui était inconnue mais lui parut tout aussi folle. En fait ce n'était pas une épuisette mais un filet à papillons qui trônait gracieusement sur le front de Zélie-Zézette pour les intimes avait-elle dit à Hermione, mais bon interdiction de l'appeler ainsi, elles n'étaient pas mariées...-

Harry- Ryry pour les Intimes...A celle qui voudra l'épouser surtout XD- s'approcha de Larëliane; il lui offrit un léger sourire faute de mieux puis observa la scène; essayant de l'analyser: hum... Accident ou tentative de meurtre ? Prémédité ou non d'ailleurs ? Et depuis combien de temps ?...Mouais autant se maintenir à la thèse de l'accident, il y avait moins de questions à se poser, moins de réponses à trouver. Harry regarda comme il pourrait s'y prendre pour n'abîmer ni le filet ni Zélie ni Larëliane puis proposa son aide aux demoiselles.

-Euh Bonjour...Vous ne voudriez pas un peu d'aide par hasard ? Attendez, je vais enlever le filet. Ne bougez pas surtout

Le Survivant s'approcha encore, dans l'intention de ce faire; se demandant si ces dames lui donnerait cette liberté. Avouons quand même que ce filt ceignant le front de la Serdaigle n'était pas le plus gracieux des diadèmes et que la position de Larëliane ne devait pas être des plus agréables. Le Gryffondor se retint de rire, c'est vrai que l'étonnement passé l'on ne pouvait trouver la scène qu'hilarante. Mais heureusement Harry avait un minimum d'éducation de respect et d'envie d'éviter les ennuis-même si l'on pouvait penser le contraire à force- aussi il retient son éclat et le coinça dans sa gorge, parvenant à garder son allure sérieuse. En attendant son aide se faisait appeler Désirée. Se dirigeant vers le filet l'adolescent entreprit de démêler les cheveux de la rousse en essayant de ne pas infliger de coups de manche à celle qui se trouvait à l'autre bout: autrement dit Larëliane...Rien n'était gagné apparemment. En attendant, le Brun était tellement concentré sur l'objet du délit qu'il n'avait pas remarqué les attitudes des deux filles jusque là (pour vous laisser jouer cos persos sans le faire moi-même^^)

[HJ : Désolée les gens, c'pas super, mais y fallait à tout prix que je réponde alors walà, c'bof, mais j'ferais mieux au prochain ]

Un cri déjanté, surprenant, et … fou se fit entendre. Zézette essaya bien vite de tourner la tête mais rien. Juste des feuilles. C’était plutôt gênant d’ailleurs. Les plantes mangent, mais les plantes ne crient pas. Ha ha ha. Elle était bien bonne celle-là ! Non, il est vrai que la rouquine était à Poudlard, dans l’univers de la magie, mais il ne fallait tout de même pas exagérer. Les plantes ne pouvaient pas ressentir d’émotions, il leur était donc alors impossible de crier d’un air déjanté, surprenant et fou. Nous sommes d’accords. Pourtant, Zélie n’était pas folle. Enfin, pas dans ce sens-là. Certes elle était un peu à côté de la plaque bien souvent, elle faisait des choses que d’autres ne feraient pas, mais jusqu’à preuve du contraire elle n’entendait pas des voix, et surtout pas des voix comme celles-ci. Etrange ... Etrange.
Mais comme quelque chose n’arrive jamais pas hasard, la rouquine se retrouva alors soudainement en dessous d’une jeune fille et avec un truc à attraper les papillons sur la tête. Sexy comme posture, c’est moi qui le dis.

Nen mais franchement, en plus cette fille avait l’air beaucoup plus jeune que la Zézette, mais en plus elle ressemblait à un cachet d’aspirine. Trop fort, y’a des gens comme ça, on sait pas trop comment ils arrivent à vivre tellement y sont moches Je décooooonneeeee. No stress. Faut pas s’en faire. Mais c’est toujours ce que je me dis (Moi joueuse derrière son écran d’ordinateur) en voyant des gens passer à côté de mwa dans la cantine du lycée. Breffons.

En plus, comme beaucoup de gens devaient le savoir (ou pas), la devise, la fameuse devise, de la rouquine était : « Si je t’attrape, je te mange », si si, c’es tune devise, j’vous jure. Là, elle était en colère. Vraiment, bien qu’elle était légèrement flattée tout de même. Bine oui, fallait pas exagérer non plus, et puis, la positive attitude quoi. Récapitulons donc (Répétez ça dix fois d’affilé, ça va me faire rire x) ) La rouquine était sous un gros (très gros) cachet d’aspirine, avec un filet à papillons sur le crâne. Et comme je disais c’était très flatteur car Zézette c’était un tout zoli papillon orange. La classe. Mais bien sûr, cachet d’aspirine ne rime pas rime avec Aspirinasautor, Zélie c’était en fait un rouquinosaurus-rex. La classe. Surtout si le topic se continuait avec tout plein de nom de dinosaures inventés, ça va être bien, c’est moi qui le dis.

« Mais naaaaaaaa ! Mwa j’suis pas un Rouiquinosaurus-rex. J’suis un Zézettator. Et fait gaffe inh, on dirait pas comme ça, mais j’ai les cheveux roux, et le roux, c’est comme rouge, pis ça montre le danger. Alors j’te conseille de pas rester là si tu veux pas que j’te pète la tonche. Par contre twa tu es un … Aspirinasautor. Tu ressemble à médoc. Y’a une fille dans ma classe elle est pareille, elle fait trop peur, tu peux pas savoir. Et nen, j’compte pas taper la discut’ avec twa, rêve pas, tu sors. »

Zélie avait énormément d’autorité, mais avant qu’elle puisse ajouter quoi que soit, un autre dinosaure fit son apparition. Une sublime apparition d’ailleurs. Tel un héros, un beau gosse : le Survivant. C’était la semaine de la chance d’ailleurs cette semaine. Aux portes ouvertes la rouquine avait rencontré Hermione Granger, et maintenant Harry Potter. Ouais, Zézette elle était tellement connue que même Potter voulait lui parler et lui sauver la vie. C’est trop la classe moi je dis.

« Pssshhhttt tais-toi Aspirinator ! V’la un Potterrator ! Graaaaooouuuuu *_* »

[Grand sourire de la part de Zézettator au Potterator ]

« Neeeeen, on est des femmes nous, des vraies, on a pas besoin d’aide nous, tu sais… En tout cas Potter,, tu répondras maintenant au nom de Potterator. C’t’un ordre en plus, t’as même pas besoin de te discuter, t’as de la chance. Hey gros tas, tu m’écrases là, tu peux jarter steup ? »

Bien sûr, Zélie, dans un geste de grande intelligente, elle poussa brusquement l’Aspirinator et s’envola avec puisque (je suppose inh… ) la Serpentard n’avait toujours pas lâcher Zézette avec son truc à attraper des papillons, et lorsque la vert et argent tomba à la renverse (là aussi je suppose inh…) Zélie fit une triple pirouette toute loupée. La classe, et tout ça devant Harry Potter. La honte.
Mais bien sûr, la rouquine, dans n’importe quelle position (esprits mal tournés fuyez !) elle avait le sourire (et non la bouche ouverte -___-‘) enfin si, forcément, ça va de soit, mais bon, pas dans le sens que vous croyez. Niah, c’pas propre tout ça, c’bien gore moi je dis.
Puis, d’un geste un peu brusque encore, la rouquine se releva vite fait bien fait en ne prenant même pas le peine d’enlever le truc à papillons. Elle se retrouva alors face à Potter et pis, d’une voix très sérieuse (Mais si, mais si), elle regarda le Survivant et :

« Diiiis, tu veux être mon namoureux ? »