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| | |  Sujet: Apparence quand tu nous tiens ! [PV Lily] ![Apparence quand tu nous tiens ! [PV Lily] Empty](https://2img.net/i/empty.gif) Ven 27 Oct - 19:39:47 | |
| - Citation :
- J'espère qu'il va te plaire! Sois indulgente ma puce!
Elza s’éveilla lentement son esprit encore brumeux n’analysait pas encore totalement la situation.. Dès qu’elle ouvrit les yeux , son beau regard bleu glacier fut brusquement agressé par la lumière vive qui régnait dans la pièce fermant à nouveau prestement les paupières elle se tourna dos à la fenêtre. Elle retenta l’expérience et cette fois elle s’acclimata progressivement à la lueur puissante du soleil. C’était dimanche elle n’avait pas cours… Cette pensée emmena un beau sourire aux lèvres finement marquées de la Serdaigle. Elle se redressa ramenant sur elle le drap de soie blanche. La matinée serait tranquille elle n’avait pas encore d’énorme quantités de devoirs et n’avait pas la moindre envie de s’enfermer dans la bibliothèque pour lire un livre sur des sorts ou potions complexes. Une autre pensée bizarre le matin elle ne réfléchissait pas en temps normal XD lui vient , le bal d’Halloween il approchait et la belle n’avait toujours pas trouvée sa tenue.. Ses ongles longs frôlait dans un doux va et vient le tissus fluide du draps le froissant légèrement à chaque mouvement des mains de la belle. *Faut que je me décide qu’est ce que je fais ce matin ?? *Le choix n’était pas difficile aujourd’hui elle allait chercher son costume pour le bal , mais ou t’elle était la question.. Tout en réfléchissant à ce nouveau problème Elza remonta la bretelle de sa robe de nuit de soie rouge qui avait lentement glissé le long de l’épaule nu de la jeune fille. Elle la remis délicatement en place et d’un mouvement gracieux s’extirpa de la chaleur du drap , frissonnant au contact des pierres froides du sol… Elle commença à se préparer , démêlant ses longs cheveux devant un grand miroir en pied finement ouvragé sculpté dans le bois le plus noble et recouvert de feuillets d’or pur , d’une valeur inestimable ce présent de sa mère à son égard reflétait chaque jour son image… Elle s’observa un instant , ses longs cheveux cascadaient souplement dans son dos , son regard avait plus que jamais la teinte bleu tellement clair qu’il rappelait celui des glaciers. La reine des glaces sommeillait en elle. Ses lèvres au contour parfaitement dessiné d’un rouge vif délicieux contrastaient joliment avec la peau délicate et blanche de la deuxième année. Dans l’ensemble ses traits fin et noble trahissaient sa lignée. Sa silhouette grande et élancée pour son âge lui procurait une élégance rare chez les filles de 12 ans. Elle finit de ce préparer , se lavant , s’habillant se maquillant et pour finir coiffa une dernière fois ses cheveux après avoir mis des créoles en argent qui ressortaient bien au milieux des cheveux lisses d’Elza.« Allez on y va ! »Attrapant dans sa main droite l’instrument de bois qui l’accompagnait dans toute situation elle se dirigea vers sa salle commune. Rangeant sa baguette dans la poche de sa robe de sorcière ses doigts continuaient en permanence de garder un contact avec le bois de celle ci , contact apaisant qui procurait à la jeune fille une sensation de puissance que seule la magie lui avait apportée jusqu’ici. De sa démarche souple elle descendit les escaliers et trouva la salle commune vide comme elle s’y attendait. Poussant à la hâte le tableau qui masquait l’entrée du domaine des aigles la jeune fille sortit. Sans savoir pourquoi elle tourna à droite ce n’était pas elle qui guidait consciemment ses pas. Elle ignorait totalement quel phénomène agissait ainsi sur elle mais ne chercha pas après tot parfois il fallait suivre son instinct ce moment était venue pour elle , tant cela résoudrait son problème de robe pour le bal… Elle passa devant le portrait de la grosse dame qui paraît il fermait le monde des Gryffondors mais elle ne s’attarda pas pour vérifier. Les pans de sa robe voletaient derrière elle créant une impression étrange de légèreté , c’était comme si la belle ne touchait plus le sol tant la démarche était fluide et gracieuse pour ne pas dire aérienne a bon je l’ai dit ?? bon tant pis ^^ .* Faudrait quand même que je me prépare pour le bal , faudrait quand même que je me prépare pour le bal*Pensait elle inlassablement , ces mots se répétaient continuellement dans sa tête comme pour s’imprimer en elle. Elle ressentait plus que jamais l’envie de les faire taire et donc de trouver une solution à son problème. Regardant sur sa droite elle aperçut une porte en bois jusqu’alors inconnue a la jeune fille. La poignée de couleur d’or sculpté avec talent dans le métal dessinant des dessins harmonieux, attira magnétiquement le regard de la Serdaigle. Toujours sous l’emprise de cette attirance surnaturelle et de sa curiosité maladive Elza tendit la main , lentement , tremblante, elle la saisie et tourna , le déclic caractéristique ce fit entendre et la porte pivota sur ses gonds émettant simplement un léger grincement. Si la lumière de l’aurore l’avait éblouie le matin même celle de la pièce agressa littéralement son regard d’azur. Immanquablement elle du fermer les yeux afin de les rouvrir lentement pour permettre à ses pupilles noires de s’habituer aux éclats qui ne manquaient de provenir des robinets d’argent , les tringles d’habits qui gisaient sous les projecteurs du plafond. Ces spots de lumières puissantes projetaient leurs rayons aveuglants sur d’immenses tringles auxquelles étaient accrochés des dizaines et des dizaines de cintres , sur chaque cintre dans une house de mousseline blanche reposait une robe de soirée… Chacune plus belle les unes que les autres , elles se succédaient les houses se frôlant en permanence. S’il n’y avait que cela on aurait pu se croire dans les coulisses de ces grands défilés de mode moldus ou une à une les mannequins présentaient sur une estrade les derniers modèles de haute couture dessinés par de grands stylistes , mais non seulement la pièce était emplis de vêtements mais sur le panneau d’en face une immense coiffeuse était installé , un immense miroir révélant la même préciosité et luxure que celui qui, compagnon de ses matinées, ornait sa chambre. * Waouw quel luxe*Ouvrant quelques tiroirs au hasard elle découvrit une panoplie complète de produits de beauté , maquillage , soins pour le corps, soins pour les cheveux, manucure, brosses pinceaux à maquillages, accessoires en tout genre, tout ce qu’une fille pouvait avoir envie pour se préparer , imaginer n’importe quoi et elle était sure qu’elle trouverait ce dont elle avait besoin ici même une folie inimaginable. Promenant ses doigts sur le marbre imposant d’une vasque elle continua d’observer autour d’elle, des baignoires luxueuses aux robinets d’or prenaient place. Soudain son regard tomba sur un grand placard à peine entrouvert avec un sourire songeur elle s’approcha sa robe voletant toujours à sa suite. Prenant une poignée dans chaque main elle ouvrit prestement les deux portes en grand et commença son exploration par le bas , pas moins d’une centaines (pour vous dire s’il était grand le placard ^^) de boite à chaussures étaient empilées de façon régulière de manière à économiser au maximum la place. Progressivement son regard remonta le long des boites et à une tringle était pendus des sacs à main de toutes les couleurs dans toutes les matières du cuir jusqu’au velours passait par la soie et le tissus. Les formes étaient également variée , à lanières , à poignées, avec des poches , sans , etc… Si l’on remontait plus haut des loups duveteux de diverses couleurs, des plumes, chapeaux , fines écharpes de soient , de longs gants, et autres accessoires tous plus qualiteux les uns que les autres/* y’a vraiment l’embarras du choix ! *La jeune fille se déplaça dans la pièce somptueuse saisissant au passage sur la coiffeuse un petit miroir tenant fermement le manche gravé dans le creux de sa main. Elle faisait attention à ce qu’il n’échappe pas à l’étreinte délicate de sa main , il paraissait que le briser revenait à attirer sur soi 7 années de malheurs. Cette ancienne croyance était elle exacte ?? En tout cas une chose était sûre elle ne tenterait pas l’expérience pour vérifier ! Elle contempla son regard pur dans la glace et chercha à imaginer quel maquillage ferait sensation sur ses yeux si particuliers. Ses pas la conduisirent vers le grand miroir , elle n’avait aucune idée encore de ce qu’elle allait porter , comment ce coiffer , comment ce maquiller ?? La belle était un peu perdue et regrettait que sa mère si belle et si classe ne soit la pour la conseiller , comment savoir ce qui attirerait l’attention sur elle ? Sa mère en avait elle tellement l’habitude elle aurait su sans aucune hésitation ce que sa fille bien aimée devait porter pour faire sensation.* C’est tellement compliqué ! Bon allé c’est partie !*Tandis qu’elle commençait à examiner une a une les nombreuses robes en sélectionnant quelques unes au passage le bruit de la porte ce fit à nouveau entendre , des pas feutrés brisèrent le silence des lieux qui auparavant n’était dérangé que par le bruissement discret des tissus qui passaient dans les mains de la jeune fille. Elle se retourna pour voir… |
| | | | | | Sujet: Re: Apparence quand tu nous tiens ! [PV Lily] Sam 28 Oct - 17:55:13 | |
| Pourquoi ce matin là avait il fallu que le ronflement incessant de ses camarades de dortoir s’élève dans toute la pièce ? Décidément, ceux qui à l’avenir, oseraient dire que les demoiselles sont silencieuses au lit – n’y voyaient aucune connotations malsaines ^^ - auraient le plaisir d’avoir affaire à Lily, ou plutôt à la paume de sa main, ce qui faisait soit dit au passage un quart de kilos multiplié par la vitesse et la force ce qui faisait… euh… bon très lourd !
* Bordel mais ce n’est pas possible… *
Aussi, toujours dotée d’une si grande délicatesse telle que, se releva, les yeux endormis et encore à demi clos, elle poussa d’un battement de main et sans délicatesse, le drap qui avait hébergé sa nuit, blottie en de chauds tissus. Posant ses pieds au sol, ignorant la froideur des pierres aux formes étranges. Ses yeux ses posèrent sur celles-ci. D’un gris prenant, elle étaient taillées de façon irrégulière et peu appliquée, si bien que l’on en distinguait à peine, les contours et les limites.
Puis, relevant la tête, elle se dirigea vers ce qui lui servait de penderie, mais qui, malheureusement, ne pouvait tout contenir. Aussi, se saisissant de sa robe de sorcier et l’enfilant maladroitement, encore trop sonnée par son profond sommeil pour pouvoir agir avec précision et agilité, elle vint s’asseoir devant sa conseillère des grâces, autrement dit, son miroir… Les bordures fines de celui-ci étaient agréablement ornées. Mais sans s’attarder sur la vue de cet objet qui à présent lui était familier, elle se saisit de sa brosse, et en quelques mouvements, brossa des cheveux à l’ébène saisissant. Une fois ceci fait, et vérifiant à nouveau si aucune mèche rebelle ne menaçait de se pointer, ses yeux émeraude s’attardèrent sur ses ongles.
Aujourd’hui, elle avait décidé de prendre son temps, ses devoirs pourraient attendre, elle voulait se faire belle. Sa baguette allait lui être fort utile, et en même temps, elle réviserait les bases de ses sortilèges.
« Wingardium Leviosa ! »
Articula-t-elle sans trop de bruit, pointant sa baguette sur un flacon de vernis. Le capuchon dorée de l’onguent noir se détacha pour flotter doucement dans les airs. Et, Lily faisant preuve du maximum de précision dont elle était capable un dimanche matin, attaquée par des ronflements, sources sonores dérangeantes. Déplaçant lentement sa compagne de bois, elle effectuait de doux mouvements réguliers pour finalement, finir les deux mains. Reposant le bouchon à sa place et terminant le sortilège, elle plaça ses mains devant son regard et souffla pour sécher l’épais liquide. Ses ongles ressemblaient à présent à dix petits onyx, oxymore des pierres noires sur sa peau ivoirienne.
Il ne restait plus que ses yeux. Avec son crayon, elle dessina, d’un trait fin et unique, une ligne de jai autour de son regard. Intensifié, le vert de ses prunelle prenait à présent une autre mesure. Soupirant, elle se demanda ce qu’elle pourrait bien faire aujourd’hui. En effet, elle n’avait aucun travail à effectuer, et il faisait encore trop froid pour faire du Quidditch, peut être cette après midi. Mais en attendant que toutes les marmottes de sa maison se réveillent, elle devrait bien faire quelque chose.
Prenant appui d’une main sur sa commode et se levant de sa chaise, elle sortit à pas feutrés du dortoir et de la salle commune. Dans les cachots aux odeurs incommodantes, elle flâna un long moment, avant de grimper un escalier qui la menait directement dans un couloir illuminé de frasque et d’immenses vitraux. Cette scène éblouit la jeune fille qui, plaçant un main devant ses yeux, continua d’avancer dans ce couloir qu’elle ne connaissait pas.
* Où puis je bien être ? *
La réponse semblait se faire attendre, lancinante. Elle croisa, sur son chemin, quelques élèves marchant avec peine, frôlant les murs, encore bercés par les dernières voix que Morphée leur lançait. Mais, celui-ci semblait avoir abandonnée la jeune fille, qui, avançant d’un pas pressé, tomba sur une porte. La poignée, forme circulaire, qui, à ces heures où l’aurore pointait, lui paraissait plus attirante qu’en n’importe quel endroit.
Et, approchant sa main de ce qui ressemblait à un petit œuf doré, elle appliqua sa paume dessus, tournant avec précaution, comme de peur de casser une précieuse coquille. Mais, ce qui l’attendait de l’autre côté, jamais elle n’aurait pu sans douter. C’était trop étrange, bien trop fantaisiste et imaginaire à son goût, mais… tellement merveilleux ^^
Et oui, quel esprit féminin, pourtant si combatif, aurait pu résister à la tentation d’une penderie de deux kilomètres de long ! Ô robes, bijoux, chaussures, sacs à mains… Délices de couleurs et de matières ^^ Euh… Je m’égare… Tout ça pour dire que l’endroit en était remplit. Et, s’approchant d’un placard, elle caressa l’effluve d’un tissu, puis d’un second et d’un troisième. Et, retirant d’un cintre une robe, elle se mit à l’admirer.
Elle était de satin jaune, en bustier, collant parfaitement aux formes du corps, laissant dégager une impression de sensualité envoûtante. Elle finissait au ras du sol en quelques délicates ondulations raffinées et prévues comme telles. Sur la partie haut, on pouvait voir des décorations finement tissées représentant du lierre grimpant en couture dorée et nacrée. Cela lui donnait une carrure particulière. Il était prévu de l’accompagner d’un simple collier orné de 3 citrines d’un jaune poussin étincelant, proférant un effet assez sobre en rapport à la toilette.
La seconde était en lin. D’une couleur rouge vive, cela lui convenait parfaitement. Elle était moins serrée et se coupait au niveau de la mi-cuisse pour laisser entrevoir ses jambes. Une fine ceinture séparait le haut du corps du bas et mettait en valeur les riches décorations de son bustier. Elles représentaient des fleurs blanches partant toutes d’un point de la bandelette pour terminer, telle une pluie d’étoile, au niveau de la poitrine de la jeune fille. Elle s’approcha d’une glace, plaçant la robe devant elle et se distrayant à tournoyer avec. Un collier de perles sauvages blanches tout droit provenu de la mer voisine était pendu au vêtement. Elles étaient superbes et émettaient un reflet irisé envoûtant.
Elle décida d’essayer la troisième. Celle-ci était de satin pur et riche. Elle caressa longuement la texture, frissonnant au contact de la soie encore froide sur sa peau. La matière était douce et lisse, sans aucun défaut. Elle était d’une belle couleur rouge sanguinaire, nuance sombre, couleur noble. La robe ne finissait pas au sol, laissant dévoiler ses pieds. Le tissu du justaucorps était froissé dans la diagonale. Il se terminait en un joli nœud papillon qui engendrait quelques délicats plis au niveau du bas de la tenue. Des paillettes parsemaient tout le haut de son accoutrement, ainsi que sur le nœud, de couleurs argentées comme si une pluie d’étoiles avait parsemé un ciel rouge du sang des dieux. Un voile posé sur ses fins avant-bras détaillait le tout, donnant une dimension plus élégante et plus raffinée à la jeune fille. Elle accompagna le tout d’un magnifique collier serti de rubis et de quelques diamants enfilés avec soin et préméditation. Ce collier était sans doute un des plus beaux qu’elle avait jamais vu.
Quand, tout à coup, elle entendit un bruit… Mais qui pouvait bien donc être là et troubler sa séance d’habillage. Se retournant et sortant la baguette de sa poche, elle la garda en main, prête à la pointer sur quiconque approcherait.
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