Vraiment, était-ce bien raisonnable ce qu’il était en train de faire ? Il était un adulte responsable malgré les apparences et ne pouvait se permettre de faire certains dérapages. Il n’arrivait cependant pas à savoir si s’en était réellement un ou pas. Lorsqu’il était étudiant il s’en fichait de savoir si son comportement pouvait être répréhensible étant donné que ça n’influençait en rien sa carrière. Maintenant qu’il était Professeur c’était un peu différent, il fallait sans cesse réévaluer les situations et sortir avec une étudiante pouvait ne pas être très bien vu. Etait-ce réellement le moment de se poser ce genre de questions ? Déjà il n’avait pas envie de faire marche arrière et il doutait qu’Ella soit vraiment d’accord là-dessus. Question de principe, il n’allait pas planter une potentielle partenaire au pied de son lit pour des raisons d’éthiques. Et apparemment Valère Araley était lui aussi répréhensible sur ce point.

Arsène lui sourit lorsqu’elle avoua ne l’avoir encore jamais fait. Ça c’était vraiment intéressant. Ça ne changeait finalement pas grand-chose mais c’était un peu innovant finalement et ça voulait dire que tous les professeurs de l’UMA ne s’adonnaient pas à ce genre de pratique. C’était bon à savoir, ne serait-ce que pour l’image de l’école. Il ne se retint pas de rire en entendant le triste sort réservé aux affaires de ce pauvre imbécile d’Aiken. Vraiment, il n’avait apparemment aucun tact ce gamin. Non seulement il se permettait de courber la moitié des cours et se prendre pour Monsieur-je-suis-un-tombeur. Il n’y avait plus de jeunesse vraiment.

La main d’Ella était douce et fine, tout à fait ce qu’il appréciait. En même temps il était quand même rare de voir des femmes avec des mains de camionneurs, n’empêche qu’on pouvait s’extasier pour des petits détails agréables même s’ils sont communs à beaucoup de femme. Et chacune à une douceur différente et la sienne semblait assez sûr d’elle, ce qui le renforçait encore plus dans son idée qu’il ne faisait absolument aucun geste répréhensible ce soir. Et puis bon fallait avouer qu’Arsène était tout de même assez sévère au niveau des critères physiques de la plupart de ses conquêtes. Ma fois quand on pouvait se permettre de ne prendre que le meilleur il ne fallait pas non plus se priver. Lui encore moins que les autres.

Visiblement les effets de l’alcool se faisaient très largement sentir chez la demoiselle qu’il tenait fermement par la main. A peine arrivée sur le trottoir, elle s’affala dans ses bras sans qu’il ait le temps de comprendre ce qu’il venait de se passer. Il sourit en entendant de l’allemand sortir de la bouche gracieuse de son étudiante. Rien d’étonnant quand on connaissait son nom de famille issus de la langue germanique. Mais il ne l’avait encore jamais entendu s’exprimer dans cette langue qu’il n’avait pas la chance de comprendre. C’était tout à fait charmant et un sourire en coin apparut sur son visage alors qu’il secouait la tête devant le pauvre sort que subit ce pauvre talon.

Mais le talon en question il s’en fichait, elle n’en avait de toute façon pas besoin c’était une évidence et un simple réparo fera l’affaire. Non en fait il était plutôt occupé à observer le visage de la belle rousse arrivé si proche du sien par inadvertance. Il passa une main dans ses longs cheveux sombre et un léger parfum s’en échappa, une odeur enivrante qui lui donnait envie de l’embrasser, chose qu’il fit sans attendre d’avantage, fermant les yeux pour humer ce doux parfum inconnu et neuf. Sa main glissa sous son menton pour le soulever pendant que l’autre lui caressa la joue tendrement.

Je pense qu’on s’occupera de ton talon un peu plus tard…

Il avait murmuré ces mots si doucement qu’ils ne furent qu’un souffle sur le visage d’Ella qu’il tenait entre ses mains. Son visage s’approcha d’avantage de celui de la rousse et il déposa sensuellement ses lèvres sur les siennes, les embrassant doucement et lentement, découvrant la jeune femme qu’il tenait entre ses bras. Sa main droite descendit le long de son corps pour la tenir fermement contre lui par la hanche alors que son autre main inclina sa tête pour lui dévoiler un cou tout à fait ravissant et alléchant sur lequel il déposa un long baiser. La jeune fille sentait vraiment bon et il n’avait qu’une envie en tête, lui arracher ses vêtements pour découvrir son jardin secret. Mais peut être pas au milieu de la rue non ?

Le médicomage se sentait partir dans une ivresse sexuelle annonciatrice d’une nuit de folie et de sauvagerie s’il traduisait, comme il savait si bien le faire, les gestes de son étudiante qui l’attirait fermement contre elle pour lui rendre son baiser. Elle avait cette jeunesse fougueuse qui se perdait parfois chez ses maitresses plus âgées. Une certaine naïveté sensuelle qui lui donnait une envie torride. Il avait toujours aimé les femmes plus jeunes. Ce n’était pas vrai lorsqu’on disait que c’était plus jouissif de faire l’amour avec une femme qui avait de la bouteille. En tout cas pas pour lui. Il préférait de loin faire découvrir à certaines de ses conquêtes des pratiques tout à fait nouvelles qui les rendaient bien plus excitantes. Il était un excellent professeur dans quelque domaine que ce soit ce qui le mettait en général d’excellente humeur. Mais plus que tout, il aimait la jeunesse de ces filles tout juste sorties de l’adolescence qui ne demandaient que ça, encore bien trop dirigées par leurs hormones.

Il pouvait sentir le souffle chaud d’Ella contre son visage et son cou, et sa respiration saccadée dévoilait le désir partagé de la rousse qui glissa ses mains sous sa chemise pour le toucher sensuellement. Les baisers de la fille lui brulaient la peau d’un désir qu’il était sur le point de ne plus contrôler. Ses pensées vagabondaient entre l’odeur de la belle qu’il tenait entre ses mains et les petits gestes qu’elle faisait pour le caresser. C’était complètement indécent, surtout qu’ils étaient au milieu de la rue piétonne sous le regard des centaines de passants qui circulaient autour d’eux. Mais tout le monde s’en fichait, d’autres couples s’embrassaient et à cette heure-ci il n’y avait que des fêtards qui se rendaient à la discothèque quelques rues plus bas ou qui avaient probablement des idées aussi intimes que les siennes.

Les lèvres d’Ella avaient rejoint les siennes quelques instants avant de se séparer de lui injustement, comme on retire un jouet neuf à un enfant capricieux. Il la tenait toujours étroitement serré contre lui, ne voulant pas la voir se séparer de son étreinte. Les mots qu’elle lui glissa à l’oreille le firent rire joyeusement. Il sépara son visage du sien pour la regarder et lui sourire. Il avait envie de la toucher et d’embrasser chaque parcelle de son corps, mais il se contenta de la dévorer d’un regard avide et indécent.

Le médicomage détacha ses yeux du visage d’Ella et passa un bras autour de sa taille pour l’entrainer avec lui. Il l’embrassa dans le cou tout en marchant et il coupa par une ruelle adjacente qui menait par la porte arrière de la maison où il avait son appartement. Il n’aimait pas passer par la porte de devant, c’était toujours un peu gênant de montrer à tous les voisins que vous ramenez chez vous une fille différente pratiquement à chaque fois. Il n’avait pas honte bien sûr que non, mais il avait tout de même une certaine réputation à garder, surtout vis-à-vis de son père qui vivait dans la même maison quelques étages au dessus. Celui-ci connaissait parfaitement bien le tempérament de son fils et avait lui-même maintes fois trompé la mère d’Arsène, bien trop attiré lui aussi par la jeunesse des femmes qui l’entouraient. Mais son amour profond pour sa femme l’avait un peu calmé et cela faisait bien longtemps que le couple vivait en parfaite harmonie à l’écart de tout écart de conduite de la part du père Vawdrey, du moins jusqu’au meurtre de la mère d’Arsène. Son fils avait de qui tenir et il ne désespérait pas de le voir prendre un jour le chemin de la raison même si le temps avançait rapidement et creusait quelques rides autour des yeux de son chérubin.

Les deux sorciers titubaient légèrement sur la route pavée et sombre de la ruelle déserte. Le corps d’Ella était toujours collé au sien lorsqu’il l’appuya contre le mur à coté de la porte d’entrée pour l’embrasser avidement une nouvelle fois, ne supportant plus la proximité de la fille ni la nécessité de se tenir en parfait gentleman. Il n’en avait jamais été un malgré son comportement tout à fait adéquat, même s’il faisait des efforts monstrueux pour ne pas passer pour un pervers sexuel. N’empêche qu’il y avait certains moments où il se demandait si ce n’était pas de la pure provocation que de lui mettre sous les yeux un tel choix de beautés et de corps gardés parfait grâce à leur jeunesse. Au début, il ne soupçonnait pas que sa nomination en tant que professeur de Soins à l’UMA pourrait lui donner de telles opportunités. Bien sûr il y avait un pas énorme entre se rincer l’œil sur des étudiantes parfois encore intouchées et les entrainer dans son lit. Encore qu’Ella avait loin d’avoir l’air novice et naïf quant à la tournure que prenait leur rencontre. Mais c’était bien égale, elle l’excitait atrocement, à la limite de l’interdit et l’embrasser lui donner encore plus envie de lui faire l’amour sur place. Encore trois étages à monter et ça serait l’extase totale. La découverte d’une nouvelle fille le rendait démentiellement intenable, rongé par une curiosité sexuelle totalement maladive.

Aussi silencieusement que possible, le médicomage avait entrainé la rousse dans les escaliers de son immeuble, échangeant quelques baisers sur les divers paliers des voisins, avant de la faire entrer dans son appartement sous l’œil indiscret de sa voisine d’en face qui passait ses journées à épier le couloir pourpre en quête d’un événement hors du commun et susceptible de lui arracher une once d’intérêt. Le talon avait été réparé et il avait rangé ses ardeurs de coté le temps de se conduire en homme civilisé et respectueux de son voisinage. Bien sûr la tâche était difficile lorsqu’on avait un gros verre de vodka dans le nez et une demoiselle aussi déchainée que lui dans les bras. Elle pouvait bien lui glisser à l’oreille qu’il ne devait pas être impatient, il n’empêche qu’elle n’avait surement pas l’intention d’attendre cinq heures le lendemain matin pour lui déboutonner sa chemise. Sinon il risquerait fort d’être étonné, voir déçu.

Le tapis vermeil du long couloir qui menait à son appartement couvrait le bruit des talons haut d’Ella et leur permirent d’arriver jusqu’à la porte d’entrer plus ou moins discrètement. Surtout moins en fait.

L’appartement était plongé dans le noir et il hésita un cours instant avant d’allumer la veilleuse de l’entrée, créant ainsi une source lumineuse peu agressive qui leur permettrait de voir un minimum où ils allaient. Il tenait Ella par la main et la laissa entrer dans le hall avant de refermer la porte. La baie vitrée du salon laissait entrer une légère lumière venant de la ville et qui éclairait les marches de l’escalier en colimaçon qui menait jusqu’à l’étage supérieur ; sa chambre à coucher. La perspective de faire monter son étudiante à l’étage le fit sourire narquoisement car vu son état, les escaliers risquaient d’être mortellement durs à gravir. Mais avant cela, il l’entraina jusqu’au canapé en cuir noir qui faisait face à un écran TV haute définition entourée de bibliothèques pleines de dvd et de cds. Les origines moldus d’Arsène n’avaient pas grand-chose à voir dans ce choix étant donné que c’était Amandine elle-même qui avait suggéré de l’initier au cinéma lors d’une soirée déprimante en tête à tête. Il avait fini par accepter un soir de rupture sentimentale qui s’était passée un peu plus mal qu’il ne l’avait pensé lorsque les mots maudits étaient sortis de sa bouche et avait rendu la fille de l’époque folle de rage.

L’appartement du professeur de Soins magiques étaient remplis à égales part d’art purement moldu et d’art issu du monde de la sorcellerie. L’avantage comme il disait, d’avoir eu la chance de connaître les deux mondes ; un manque à son sens concernant ces fameux sangs purs qui n’étaient à ses yeux que des ignorants.

L’homme avait reprit ses moyens en gravissant les escaliers de la maison, préoccupé alors à éviter de réveiller la maisonnée. Maintenant qu’ils avaient pénétré dans son luxueux appartement, le bruit n’avait plus d’importance vu l’insonorisation magique dont il bénéficiait, le rendant très apprécié de ses proches voisins qui le croyaient très silencieux. Bien sûr ils auraient réagis bien différemment en découvrant le capharnaüm qui pouvait parfois y régner lors de soirées bien arrosées et bien entourées.

Ella installée sur le canapé, il s’approcha du bar pour y sortir une bouteille de champagne, qu’il avait en très grand stock vu la consommation abusive de certaines de ses conquêtes, ainsi que deux coupes qu’il déposa sur la table en verre. Ses yeux noisettes suivaient chacun des mouvements de la rousse et il se délectait du spectacle qu’elle lui offrait et qu’il allait bientôt pouvoir découvrir pleinement de plus prêt. Le petit encas lui avait donné des envies ambiguës qu’il avait bien l’intention de mettre en pratique une fois qu’elle se serait installée à l’aise dans le salon.

Les coupes se remplirent d’elles mêmes alors qu’il allumait la chaine stéréo de fabrication magique qui diffusa un fond musical apaisant et parfaitement adapté à la situation qui se préparait.

Enfin il s’assit à coté de la mangemorte et lui tendit une coupe de champagne, toujours sans qu’un seul mot ne s’échappe de ses lèvres, un sourire étendu sur celles-ci.

Le champagne n’allait pas vraiment arranger l’ébriété dans laquelle ils se trouvaient, mais Arsène ne se voyait pas inviter une conquête chez lui et rater ce passage si sensuel de la coupe de champagne assis sur le canapé ; passage rituel. Toute chose se doit de débuter ou de continuer selon un certain ordre d’idées et il ne lui serait absolument pas venu à l’esprit d’emmener sa jeune étudiante à la case lit d’une manière aussi brutale même si l’envie ne manquait pas. Ça aurait été tout sauf gentleman et le pire c’est qu’avec un peu de mal chance la demoiselle en question se rétractait et lui en flanquait une. Bien sûr ça faisait trèèès longtemps que ça n’était pas arrivé et ses longues études sur le comportement féminin lui avait permit d’établir certaines règles à respecter et à n’enfreindre sous aucun prétexte, à moins que la femme en face de vous se prénommait Mercedes Brady ; exception qui confirme la règle magistralement. Le médicomage avait un minimum d’éducation mais surtout il savait pertinemment qu’il ne servait à rien de presser les événements car quoi qu’il arrivait et de quelque manière que ça se passait, il en arrivait toujours à la même finalité, à savoir son but réel ; une sympathique partie de jambes en l’air. Case finale de la splendide soirée qu’ils étaient en train de vivre.

Il leva son verre à la suite d’Ella tout en la dévorant des yeux comme elle le faisait à l’instant. Ça réveillait définitivement ses instincts animaux lorsqu’il voyait ses conquêtes aussi déterminées que la rousse l’était en cet instant. Jusqu’à présent la soirée c’était particulièrement bien passée et Arsène se doutait qu’elle allait poursuivre cette lancé surtout s’il tenait compte des commentaires d’Andrzej à propos de leur maitresse commune.

Son verre n’eut le temps que d’effleurer ses lèvres avant que celles-ci ne soient usurpées par celle de son étudiante qui venait de leur faire passer le cap et embrayer sur le point le plus intéressant de la soirée. Par instinct de conservation de son splendide canapé en cuir de dragon, qui bien sûr ne risquait pas grand-chose mais quand même, il réussi à déposer son verre sur la table basse alors que l’étudiante l’entrainait sur elle dans un mouvement assoiffé. Sans demander son reste, il l’attrapa par la taille tout en prolongeant ce baiser plein de sauvagerie, et s’installa à califourchon sur Ella, de manière à avoir accès à toutes les parties anatomiques de Mlle Schwarz. Fait pratique si on voulait éviter de trainer trop longtemps sur des préliminaires et refroidir la bête.

Ses mains attrapèrent celles d’Ella, toujours en possession de son verre à champagne, pour l’immobiliser et ainsi l’embrasser à sa guise dans le cou avec panache avant de descendre sur sa poitrine qu’un décolleté fort plongeant lui donnait un accès quasi immédiat. Au diable les femmes en col roulé qu’il faut déshabiller avant même de poser les mains sur elles.

La femme se sembla pas se formaliser de ses gestes et Arsène décida qu’il était tend d’enlever une couche. Lâchant la main d’Ella qui tenait le verre, il défit lentement la robe en embrassant chaque partie de peau qu’il voyait apparaître.

La soirée ne s'était pas présentée aux yeux du médicomage comme si prometteuse. S'il avait biensûr imaginé mettre un jour ou l'autre son étudiante si sexy dans son lit, il n'avait pas pensé pouvoir réaliser son fantasme le soir-même alors qu'il n'avait pour projet de ne rien tenter dans l'immédiat. Ella avait su se montrer passablement indéchiffrable et si énigmatique qu'il avait laissé pas mal de temps passer depuis le Carnaval, n'oubliant pas l'affront qu'elle lui avait fait. Pourtant ce soir tout semblait oublié, du moins le temps de leur complicité probablement. Arsène ne voulait pas faire de projet, imaginer ce qui allait se passer le lendemain, ce qui passerait dans la tête de l'étudiante si mystérieuse qu'il serrait contre lui.

La soirée était comme figée dans le temps, permettant aux deux êtres qu'ils étaient de faire une pause dans les querelles qui pouvaient les partager, à moins que ce ne fut qu'un simple jeu inconscient de leur part pour mieux s'aimer l'espace de quelques heures, sauvagement.

La peau de la rousse était atrocement douce et il sentait ses frémissements sous ses doigts qui se baladaient lentement et sensuellement sur son corps nus. Il la tenait entre ses mains expertes et pouvait accéder à un certain nombres d’endroits anatomique et excitants qui lui donnaient l’occasion de profiter de chaque bouffée d’air et de chaque caresse qu’il prodiguait sur ce corps parfait.

Le nez plongé dans le cou de Mlle Schwarz, il sentit ses doigts fin lui attraper la chemise pour la déboutonner sauvagement avant de l’envoyer rejoindre la robe qui gisait déjà sur la moquette noire de son salon. Ses ongles le griffaient légèrement le long du torse, dévoilant au médicomage le caractère sexuel de son étudiante et ses intentions en le poussant sur le coté pour prendre le dessus de la situation.

Un sourire se forma sur ses lèvres entre ouvertes, mi-étonné par tant de confiance en soi, mi-satisfait de ne point s’être mépris sur son jugement de maitre au sujet de la jeune femme. Ils avaient à peine roulés sur le canapé que déjà la rousse s’attaquait à son pantalon qu’elle ouvrit aisément de ses longs doigts arachnéens. Ses mains à lui l’attrapèrent avec force pour la rapprocher de lui et permettre à ses lèvres de dévorer celles si attirantes de son étudiante bien trop concentrée sur son pantalon pour lui résister. Alors que sa main gauche la tenait par la nuque pour l’empêcher de s’échapper à son emprise, sa droite défit habilement son soutien-gorge qui glissa le long des bras de la rousse pour ensuite rejoindre le tas déjà formé par terre.

Adroitement et soutenant la femme, il la fit glisser sur la moquette, geste qui lui permit de retirer son pantalon, déjà partiellement enlevé par la rousse qui n’avait pas perdu son temps. Attrapant sa baguette, il éteint la lumière du salon, les plongeant ainsi dans le noir, rendant la scène un peu plus sensuel, le fond sonore emplissant l’espace alors que les deux corps s’enlaçaient sur la moquette noire du salon.