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| | |  Sujet: Réflexion au calme, et trouble de cette dernière. (PV)  Ven 7 Aoû - 17:04:10 | |
| Au fur et à mesure que Severus avançait, les ténèbres devinrent plus épaisses et plus oppressantes sur les épaules du Directeur. Il réfléchissait au rythme de ses pas, ce qui signifiait que l'allure était plus que rapide. Plusieurs questions, existentielles, tournait autour de Severus. Il s'arrêta un moment, et observa les arbres alentours. Personne. Sa rélexion lui donnait sérieusement mal à la tête. Et Dumbledore occupait une majeure partie de cette dernière, ce qui n'était pas très bon.
Combien de fois il avait revu cette scène. Le regard d'Albus Dumbledore suppliant, et son bras se tendre pour lui lancer le sort impardonnable?
Il ne savait plus.
Son nez crochu trembla et il plissa du front lorsqu'il entendit un bruit sur sa droite. Toujours personne... Il avait pourtant cette horrible sensation d'être observé. Il poursuivit son chemin et ferma son esprit à l'extérieur...
Il repensa alors à Lily... Combien d'année s'étaient écoulées depuis qu'il avait un jour franchit la lisière de cette forêt avec elle ? Il ne saurait le dire... Ses pensées sur elle ne faisaient que le hanter. Ce James Potter... Qu'avait-il eu de plus que lui... Ses cheveux noirs, son air arrogant...
Mais ils étaient mort. Mort.
Lily n'avait pas survécu, et Severus gardait en lui des plaies que personne ne pouvait combler. Ni Lord Voldemort, ni Albus Dumbledore, ni Harry Potter.
Toute tristesse partit d'un seul coup quand Severus entendit un bruit non loin de lui. Il se retourna avec la légerté d'un serpent à l'affut et pointa sa baguette en direction du bruit.
Que ce soit ses yeux ou son visage, ils avaient repris l'expression froide et glaciale du marbre.
Masque auquel Severus s'était habitué.
Il observa les ténèbtres dansaient comme des serpents affolées, preuve que quelqu'un s'agittait non-loin. Son regard se perdit dans les ténèbres et chercha un moindre brin de mouvement réel.
Tout ne semblait qu'illusion, mais Severus Rogue n'était pas un sorcier se laissant berner par de simples sortilèges. Il y avait quelqu'un ici il en était sur.
- Qui va là ? déclara-t-il d'un ton impérieux.
Il attendit une réponse, l'oreille aux aguets et sa baguette dressée. Qui cela pouvait-il être à une heure pareille ? Un Mangemort envoyé par le Seigneur des Ténèbres ? Un Professeur ? Un élève terrorisé par la présence du Directeur dans un lieu si banal?
Severus attendait une réponse. Et il en exigeait une immédiate... |
| | | | | | Sujet: Re: Réflexion au calme, et trouble de cette dernière. (PV) Sam 8 Aoû - 12:52:25 | |
| Après une petite journée de cours, où les élèves avaient fait preuve de résistance quant au choix de Bachelard de se ranger du coté des Carrows et de la direction. Bachelard décida une petite cueillette dans la forêt interdite ne pouvait pas lui faire de mal. Il lui manquait d'ailleurs un peu d'adoxas pour ajouter à son thé nocturne qui l'aidait à avoir les idées claires, avant d'aller dormir. Il partit don en direction de la forêt où il repensa à la mission que lui avait donné l'Ordre, infiltrer la nouvelle direction de Poudlard. Bachelard en avait parlé l' après midi précédent, avec son fidèle ami le professeur Flitwick, tous les deux n'appréciant guère le professeur Rogue devenu à présent Directeur de Poudlard après la mort du brillant professeur Dumbledore. Bachelard n'avait pas l'intention de montrer sa haine pour le professeur Rogue et préférait faire profil bas afin de mieux atteindre le nouveau directeur de Poudlard. Bachelard passait pour un traître au niveau de ses élèves mais à vrai dire, il n’en avait pas grand chose à faire, puisque ceci était pour la bonne cause, ses petits chéris comprendraient certainement son revirement de situation soudain. Les Carrow qui étaient devenus deux professeurs de Poudlard étaient détestés des élèves et encore plus des professeurs, pour eux le seul moyen de calmer les désinvoltes était d’utiliser la souffrance physique, d’ailleurs Amycus et Alecto étaient très friands du sortilège Doloris. Cependant Bachelard n’avait eu aucunes informations concernant les retenues du professeur Rogue les élèves ne semblaient pas trop s’en plaindre, pas plus que d’habitude en tous cas. Bachelard revint à lui lorsqu’il aperçuT au pied d’un frêne un petit tapis de muscatellines, il décida donc d’en mettre quelques pousses dans son panier, cette plante n’était plus trop commune à cette saison et la seule chose qui était encore présent était ses feuilles. Continuant son chemin il arriva dans la partie la plus sombre de la forêt là où personne excepté Hagrid ne pénétrait, un lieu qui était réservé aux habitants de la forêt, des créatures que Bachelard ne connaissait que de nom, et donc il ne saurait réagir face à celles ci. Soudain il entendit quelque chose bouger dans les bois à quelques mètres de lui. Il décida par précaution de sortir sa baguette au cas où une créature qu’il ne connaissait pas déciderait de l’attaquer par surprise, et de lui piquer toute sa récolte. Il se dirigea dans un premier temps sans bruit vers l’endroit où se bruit provenait. Puis jetant un sortilège sur lui-même afin d’éviter de se faire repérer à cause de bruit émanent de son corps, il s’approcha. Lorsque soudain il s’aperçut que finalement ce n’est que le pauvre Severus Rogue qui traînait dans les environs, d’ailleurs celui ci ne semblait pas être en grande forme. Peut être dans ce moment, de faiblesse il déciderait de révéler quelques informations qui pour lui ne sembleraient pas de la plus haute importance, mais qui pour l’Ordre pourrait être une opportunité. D’un coup de baguette il fit volatiliser les sortilèges qui l’entouraient. ET bien entendu se révéla à Rogue, qui venait d’entendre son arrivée. Bachelard décida de ne pas rester plus longtemps dans l’ombre et de casser le silence qui pesait.
- Je suis le professeur Bachelard, Severus. Ne vous inquiétez pas.
Sigmund se trouvait à présente face à face avec Severus, il se débarrassa des brindilles qu’il avait sur lui. Et d’un nouveau coup de baguette envoya sa récolte pour les serres de botanique. Puis continua le début de conversation avec l’ex professeur de Potions :
- Severus, que faites-vous seul en pleine nuit dans notre si belle forêt ? Vous comptez-vous aussi ajouter quelques racines d’adoxa pour votre tisane du soir ? Vous le savez sûrement mais elles sont excellentes pour s’éclaircir les idées avant d’aller dormir un peu. Bien que le meilleur anti stress reste le Rhum sans doute ! ?
Le professeur Bachelard décida de commencer par prendre des nouvelles du pauvre vieux Severus, car depuis quelques temps il semblait avoir quelques soucis, chose normal avec tout ce que les élèves lui faisaient subir. Bachelard ne ressentant aucuns dangers décida de ranger sa baguette. |
| | | | | | Sujet: Re: Réflexion au calme, et trouble de cette dernière. (PV) Sam 8 Aoû - 14:08:28 | |
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Severus observa le nouveau venu. Il paraissait sage et âgé... Il ne s'agissait que du professeur de Botanique, Sigmund Bachelard. Il n'y avait pas de quoi s'inquiéter. Severus détestait être observé, et il savait que l'homme n'était pas dupe, et qu'il avait remarqué l'expression fatiguée de Severus. Il devait se justifier et rapidement... Il se vida l'esprit pour modifier ses pensées en cas de légimencie. C'était devenu pour lui une habitude... Severus se doutait que Sigmund devait faire parti de l'Ordre. Dumbledore lui en avait dit deux trois mots... Il devait donc jouer le jeu jusqu'au bout... Même si Dumbledore était mort maintenant, il devait accomplir son rôle avec détermination. Après tout, n'avait-il pas promis ?
L'image de Lily revint dans son esprit, ce qui le fortifia un peu et aussitôt il sembla qu'il reprit l' assurance et la froideur si propre à Severus Rogue.
- Je réfléchissais à une nouvelle façon d'administrer cette école. Une façon dont Albus Dumbledore n'avait pas pensé... J'en ai profité pour venir aussi chercher des racines d'asphodèle. Elles sont plus rares ces temps-ci, et je suis contrains de m'enfoncer dans la Forêt.
Bien évidemment, je n'ai jamais supporté les racines d'adoxa. Leurs utilités a révélé ses limites dans la composition des plus grandes potions...
Severus plissa des yeux, comme il le faisait d'habitude. Il savait que le vieil homme le regardait d'un air compatissant... La compassion était un des principal défauts de Bachelard. Mais il devait avoué qu'en matière de Botanique, le Professeur était très doué.
- Vous n'auriez peut être pas du vous aventurer si loin Professeur. Il y a des choses dans cette forêt qui sont hors de contrôle... Même du Directeur...
Severus pinça un peu des levres. Etre surpris en pleine réflexion et faiblesse ne lui avait pas du tout plue.
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| | | | | | Sujet: Re: Réflexion au calme, et trouble de cette dernière. (PV) Sam 8 Aoû - 19:34:37 | |
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Bachelard se demanda à présent ce que Rogue pouvait bien faire dans ses lieux sombres en cette heure si tardive de la journée. Peut être que Rogue avait décidé d’a nouveau faire venir les mangemorts dans l’enceinte de Poudlard, la dernier bataille qui avait eu lieu dans cette école avait conduit à la mort du brillant professeur Dumbledore, Bachelard resterait donc ici pour un petit moment afin de voir si les dires du professeur Rogue était juste ou si il essayait simplement d’éloigner le professeur Bachelard afin de mener à bien sa mission. Ou encore peut être que Rogue essayer de pactiser avec des êtres de la forêt ce qui lui permettrait d’agrandir l’armée de son maître. Ou peut être que simplement il venait faire un tour pour se changer les idées. Ceci semblait fort douteux aux yeux de Bachelard mais qui après mure réflexion décida de croire Severus quant à sa réflexion. Mais d’ailleurs il souhaitait encore changer la discipline à Poudlard, Bachelard en avait bien parlé avec Filius déjà que la discipline à Poudlard était fort compliqué et le moindre manquement à la règle entraînerait une sanction immédiate. C e qui se traduisait pour les élèves par de nombreuses et douloureuses souffrances physiques et même au pire un renvoi de l’école. Quant aux professeurs, les Carrow n’auraient aucuns maux à les licencier de leur place pour le donner à un de leur ami mangemort. Et dans tous ça, Rogue avait décidé de modifier l’administration de Poudlard, il voulait certainement voir le programme se durcir encore plus ou même obligé les professeurs à enseigner des sujets dégradant les moldus et gratifiants les sorciers, pour ce qui était de gratifier les sorciers Bachelard était d’accord, il trouvait important de faire une différence entre un simple moldu et un sorcier, mais ce n’était pas pour autant qu’il ne fallait pas montrer des bienfaits du aux moldus. Même si pour Bachelard trouvait des qualités à certains moldus était fort difficile. Le professeur Rogue expliqua à Bachelard qui cherchait des racines d’asphodèle, une plante que Bachelard connaissait assez bien, comme toutes celles qui l’enseigner. Quant aux racines d’adoxa le professeur Rogue justifia certainement avec vérité que celles ci avaient montré leur limite en matière de Potions. Bachelard poursuivit donc sur cette remarque que lui lança l’ancien professeur de Potions :
Je ne doute pas que la nouvelle administration que vous souhaitez appliquer à Poudlard sera la meilleure. D’ailleurs je tenais à vous faire part, que j’ai mis en retenue cinq de mes élèves, et que le jeune Caerwyn, m’aidera à appliquer d’ici peu. Bien entendu, j’espère que vous ne comptez pas sur moi, pour agir comme vos deux, morpions. La douleur physique ne me semble guère utile ici, nous sommes dans une école et dans aucuns cas dans une prison. Ainsi, ma punition portera sur l’étude de végétaux, à moins que ceci ne vous déplaise… Si je peux me permettre, les racines d’Asphodèle son de mauvaise qualité sous ses grands chênes je vous conseillerais d’aller voir sous les frênes un peu plus bas dans la forêt si vous le souhaitez je peux vous y conduire.
Bachelard rappela à présent son panier quelques racines d’asphodèle ne pouvait pas lui faire de mal après tout, et puis un peu de marche à pied avec le charmant professeur pourrait lui permettre améliorer ses relations avec ce dernier. Bachelard espérait que Rogue ne se souviendrait pas du dernier match de Quidditch qui opposait Serpentard à Serdaigle. Puisque Filius et Sigmund avait brillamment encouragé leur maison préférée à savoir Serdaigle, sans aucun doute possible. Et les deux compères n’avaient pas vraiment été tendre avec le professeur de Potions. Rogue se soucia soudain de la venue de Bachelard dans un tel endroit. Bachelard dans sa gentillesse légendaire, répondit avec un grand sourire au professeur Rogue :
Vous savez Severus, je suis venu dans cette forêt bien avant que vous ne mettiez les pieds à Poudlard, et en temps que professeur de Botanique vous savez excepté les créatures présentes dans celle ci je ne crains pas grand chose. La seule chose qui pourrait me faire vraiment peur c’est que vous autorisiez vos amis, à venir traîner dans cette forêt, mais comme je suis avec vous, il me semble que je n’ai rien à craindre. Bien à présent si vous le voulez bien je vous propose de descendre un peu plus bas. Il y a une petite clairière où l’asphodèle est en grand nombre même si depuis un moment les stocks diminue, mais vous savez certainement que l’asphodèle comme toutes les plantes de cette forêt sont plus ou moins liées et qu’un simple petit bouleversement de celle ci et les populations végétales diminuent. Mon bon cela le ministère de la magie s’en contrefiche mais à force de diminuer les territoires des êtres magiques, il va mener la forêt à sa perte. Le Conservatoire de Londres en a déjà fait part au ministère mais celui ci n’en n’a absolument rien à faire.
Bachelard se tut pour laisser le professeur Rogue parlait un peu de sa nouvelle réforme ou bien des projets du ministère quant à Poudlard, après tout le ministère était tombé dans les mains des mangemorts même si personne n’en avait la certitude tout le monde s’en douter. Bachelard et Rogue commencèrent à marcher un peu vers les profondeurs de la forêt.
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| | | | | | Sujet: Re: Réflexion au calme, et trouble de cette dernière. (PV) Dim 9 Aoû - 9:36:56 | |
| Severus observa le vieux Sigmund avec un intérêt plus particulier. Il se souvenait que le Professeur Dumbledore avait une grande estime de lui. Severus n'avait jamais contredit ce fait, et il est vrai qu'il avait toujours été impressionné des nombreux conseils que lui avait fourni ce vieil homme. Mais peu lui importait. Il avait une mission à accomplir, une mission que seul lui et le Professeur Albus Dumbledore connaissaient. Et il se devait de la respecter... Quand le Seigneur des Ténèbres lui avait annoncé la venue des Carrows à Poudlard, Severus en avait été plus que chagriné. Bien évidemment il ne l'avait montré à personne. Il avait promis. Promis à Albus Dumbledore qu'il minimiserait les dégâts infligés aux élèves par ces deux fous furieux. Mais il n'avait eu guère le choix dans un premier temps que de les approuver. Il ne devait pas révéler sa couverture au Seigneur des Ténèbres... Et Dumbledore était mort, tué de sa propre main certes, mais malheureusement contre son gré.
Aussi, il garda son expression froide et méprisante envers le vieil homme, pour ne pas se trahir d'un seul poil. S'était le point fort de Severus Rogue. Sa carte maître. Jamais personne n'avait réussi à le cerner, hormis Albus. Même le plus grand Mage Noir n'avait pas détecter çà. Il est vrai que l'occlumancie l'aidait en grande parti.. Mais Lord Voldemort ne connaissait rien à l'amour et il devait constamment jouer ce rôle pathétique du mauvais Severus Rogue. Il en était encore pâle...
Il est vrai que les Carrows ont une façon quelque peu misérable de considérer les élèves. Mais sachez professeur que je ne vais pas changer mes propres méthodes de punissions pour le plaisir de ces deux... compagnons. J'ai mes propres techniques. Elles n'ont jamais failli, et c'est pourquoi aujourd'hui je suis le remplaçant d'Albus Dumbledore. Je ne vais pas changer mes façons d'exercer, et je ne vais pas non plus critiquer mes propres enseignants. Amycus et Alecto Carrow sont des personnes respectables et respectés.
Ça, il détestait le dire. Rien ne se vit dans l'expression et l'apparence de Rogue, mais cela lui resté quand même en travers de la gorge. Défendre les Carrows... Il avait horreur de ces deux fous complètement incompétents qui passaient le reste de leur temps à chasser et torturer les élèves. Il avait failli se trahir l'autre jour, alors qu'Alecto soumettait un première année au Sortilège de Doloris. Il avait simulé une explosion au deuxième étage, et avait demandé l'aide expresse des Carrows. Malheureusement pour Londubat, ça lui était retombé sur les épaules. Mais peu importé, il avait réussi à libérer des griffes de cette vieille harpie le petit Serpentard. Le professeur continua de parler des racines. Les frênes? Il ne l'avait jamais su. Il avait toujours cherché ses racines aux pieds des chênes. Mais Severus s'en moquait, et un très bref éclair d'inquiétude passa dans ses yeux quand il pensa aux élèves au Château, sans sa protection et sous la coupe des Carrows.
A vrai dire mon cher Bachelard, je n'étais pas du tout au courant pour les frênes. Espérons que votre savoir soit mis au bon profit. Cependant j'ai cueilli assez de racines pour ma réserve personnelle. Qui a d'ailleurs failli brûler à cause de ce maudit Londubat. Et comme vous le savez, ces petites racines n'aiment pas resté à l'air libre trop longtemps. Il en va de soit que je dois rentrer au Château rapidement. Il faut dire que les Carrows peuvent gérer la situation.
Il posa sur Bachelard un regard à prendre une gifle. Un regard insolent, méprisant et plein de supériorité. Bien évidemment, le vrai Severus Roguie au fond de lui n'avait qu'une envie : Rentrer au Château pour s'assurer que les Carrows n'avaient commis aucun meurtre d'enfant. Rien que cette idée sembla raviver en lui des craintes. Et si quelqu'un avait été tué en son absence ? Déjà qu'il culpabilisait pour la mort de Dumbledore. Mais il avait fallu; ça faisait parti du plan...
J'aimerais même rentré au plus vite. Ce Londubat ne m'inspire plus rien qu'il aille. Il trahit son sang peu à peu. Il était déjà bien souillé... Mais il est vrai qu'il a quelques qualités pour la Botanique.. Vous devez surement être le mieux placé pour savoir Bachelard.
Il regarda le vieil en attendant de savoir si il allait le suivre, où resté là pour cueillir ses racines. |
| | | | | | Sujet: Re: Réflexion au calme, et trouble de cette dernière. (PV) Dim 9 Aoû - 12:22:58 | |
| Le vieux professeur Bachelard fixa quelques instants, le nouveau directeur de Poudlard, et il en était sur, le professeur Rogue manigançait forcément quelques choses. Ou peut être est il simplement bouleversé par un événement récent, la mort de Dumbledore l’avait peut être malgré tout toucher, même si Bachelard pensa que pour une fois il avait trop de compassion envers ce sorcier malfaisant qu’était Rogue. Après tout il ne fallait pas oublié que c’était bien lui qui avait piqué la place de Dumbledore et qui fit sombrer Poudlard dans une dictature sans précédent. Bachelard se souvenait de l’époque où Dolorès faisait sa thérapie de la fureur et était détestée par tous ses petits élèves. Bachelard se disait que Dolorès n’aurait jamais osé utilisé le sortilège Doloris sur des pauvres élèves de Poudlard. Dumbledore ou les professeurs n’auraient jamais permis cela, cependant cette année Les Carrow n’avaient aucunes limites, puisque aussi bien au niveau du Ministère, qui était corrompue qu’au niveau des professeurs qui ne pouvaient agir ayant une épée de Damoclès planant sur leur tête à tout moment. Puis Rogue dans son entière antipathie, commença à défendre les Carrow, autant dire défendre l’in défendable. En expliquant à Bachelard que les Carrow étaient respectables et encore pire respectés, Bachelard leva les yeux au ciel, comme Rogue qui avait si longtemps traîné avec Albus, pouvait trouver dans ses êtres méprisables un once de respect. Bachelard préféra ne rien dire à ce sujet et poursuivit sur l’intervention de Rogue sur ses méthodes personnelles quant à la punition qu’il infligé à ses élèves. Si Bachelard ne pouvait faire changer la façon des Carrow de faire respecter l’ordre, peut être pourrait il au moins faire comprendre à Rogue que la souffrance physique n’engendre que la souffrance et la révolte.
Severus, je comprends que Amycus et Alecto soient tout à fait respectable et … Respectées, cependant vous savez bien que leur méthode de punition ne font qu’engendrer encore plus de résistance, et finalement ce n’est qu’une chaîne sans fin. Quant à vos méthodes de punition, je vous les laisse volontiers. Chacun juge bon dans son cours, quelles sont les punitions à infliger. J’ai simplement abordé ce sujet, pour vous faire part des miennes et qu’ainsi les Carrow ne viennent pas mettre leur magnifique nez dans mes affaires.
Bachelard espérait en faisant cette remarque et cette discussion, qu’à présent si les Carrow venaient à critiquer Bachelard quant à ses méthodes de punition, il pourrait leur répondre que tout avait été vu avec le directeur et qu’ils retournent gardé leurs inferis. Bachelard faisait donc de sa conversation avec le professeur Rogue une pierre deux coups, à la fois il se renseignait sur les affaires de Rogue et il assurait ses arrières et celles de ses élèves. A présent Bachelard était plus serein et il avançait un peu dans la forêt jusqu’à ce que Rogue est fini sa récolte de racine d’asphodèle. Continuant leur conversation, leur sujet dériva vers un sujet que Bachelard connaissait parfaitement, la Botanique, ainsi il apprenait des choses que Rogue ignorait, rester dans ses salles de cours, ne réussissait pas vraiment à Rogue, sûrement son antipathie avait eu raison de ses connaissances botaniques, puisqu’il lui aurait suffit de demander à un de ses collègue où trouver la racine d’asphodèle et il aurait eu certainement une réponse qui l’aurait fort aidé.
Effectivement, j’ai eu vent des exploits de Londubat, pas très malin de sa part . Bien que pour ma part je n’ai pas à me plaindre de lui. C’est un excellent élève de Botanique, bien que depuis quelques temps sont niveau est légèrement baisser certainement à cause de nos compères les Carrow. Certainement que leurs matières a suscité chez lui un nouvel intérêt. Il vaut mieux que vous vous occupiez vous même de Monsieur Londubat, parce que vous seul connaissez comment le faire céder et le raisonner quant à son entêtement.
Bachelard et Rogue malgré la supériorité dont il faisait part à l’égard de Bachelard semblait quant même se soucier de la sécurité de Poudlard et donc par extension des sorciers qu’elle abritait. Rogue proposa à Bachelard de faire demi tour et de rentrer au château, après tout il commençait à se faire tard, et le château n’était pas vraiment à coté, vieux valait écouter le Professeur Rogue et rentrer au château.
Je suis d’accord avec vous, Professeur. Il vaut mieux rentrer il commence à se faire tard. Et je dois dire que nous avons encore un petit bout de chemin avant de rentrer au château. Je vous suit donc. [/size]
Le professeur Bachelard suivit donc Severus pour revenir vers le château, cependant il n’avait pas abandonner l’idée de questionner un peu le professeur pour savoir ce que les mois à venir annoncer :
Professeur Rogue, j’ai une question, qui m’inquiète depuis quelques temps. Les élèves comme Neville Londubat ont ils des soucis à se faire concernant leur place à Poudlard. Si oui, juste comme cela, j’aimerais savoir quelles seraient les limites à ne pas dépasser ?
Le professeur Bachelard voulait s’assurer que Neville ne craignait rien pour le moment. Cependant il semblait qu’il commençait à dépasser les limites de la nouvelle direction. Et Bachelard commençait à comprendre que son avenir à Poudlard commençait à être quelque peu compromit. |
| | | | | | Sujet: Re: Réflexion au calme, et trouble de cette dernière. (PV) Dim 9 Aoû - 13:20:37 | |
| Severus avançait dans la Forêt d'un pas rapide, ses yeux de serpent fixés avec détermination l'endroit où le collègé était. C'était une erreur, une stupidité de s'être éloigné comme cela du château. Il n'avait pas à faiblir comme ça. Il aurait du resté dans son bureau, comme à son habitude. Il ferma les yeux un instant en prenant soin d'arriver dans l'ombre pour que Sigmund ne voit pas ce moment de faiblesse. Sa cape volait derrière lui à la manière d'une tornade. Décidément, il était très faible et fatigué ce soir. Peut être était-ce dut à la nouvelle tâche qu'impose le fait d'être directeur. Voldemort lui donnait également beaucoup de travail. Mais ce dernier prenait soin d'un de ses plus fidèles serviteurs. En effet, Voldemort lui donnait assez de travail, mais ne le surmenait pas. S'en était pathétique...
Severus entendit Sigmund parler de Londubat... Neville Londubat, celui qui devait le plus avoi rpeur de lui dans ce château. Celui à qui le masque permanant de Severus Rogue avait le plus marqué. S'en était presque drôle. Il ne put s'empêcher de répliquer avec un rictus :
- Effectivement, je sais comment m'y prendre avec Londubat. Mais comme vous le disiez, le mal entraîne le mal... A part si il est pris à la tête. Dès que le Seigneur des Ténèbres aura mis la main sur Potter, il n'y aura plus aucune rebélion. Il aura mis un coup de maître à tout les partisans de la liberté et des Sang Impurs. Et si Londubat va trop loin, il risque l'expulsion. Et c'est fatal pour eux, car je ne tolère pas qu'il y est des meurtres à Poudlard, puisque cette école doit quand même garder une certaine dignité... Mais de toute évidence, ils risquent le renvoi de l'école. Et après le renvoi de l'école, il ne peut leur arriver que des malheurs.
Severus accélèra le pas. Si jamais un des frères Carrow avait tué un élève, Severus devrait faire un effort colossal pour montrer quelqu'un de complétement détaché de la situation... Ca commençait à l'écoeurer... Ce travail, cette mission... Mais il pensa alors Lily. Lily... Il avait promis à Dumbledore de venger sa mort en lui apportant une confiance et une aide sans limite. Et même dans la mort, il savait ce qu'Albus voulait. Il devait le faire. Pour Lily.
Soudain, il commença à se rendre compte qu'il devenait vraiment trop gentil avec ce pauvre Sigmund. Il était temps de reprendre le masque du mangemort et du ^plus grand traître du monde des Sorciers.
- Vos questions commencent à m'importuner Sigmund. Tachez de rester à votre de place. Vos questions vont beaucoup trop loin, surtout pour quelqu'un qui est sans avis dans cette guerre. Ceux qui ne savent pas se ranger d'un côté finiront toujours par se plier au Seigneur des Ténèbres ou mourrir. Ainsi vont les choses. Alors si vous voulez resté en temps que Professeur, pour défendre vos chers élèves et ne pas les laisser aux mains des Carrows, tachez de tenir votre langue. Car si vous partez, peut être que Greyback acceptera votre poste. Il n'est pas très doué en botanique, mais connait le minimum. Et puis il sait s'y faire avec les enfants il faut dire...
Severus eut un rictus d'énervement. Il n'avait pas eu le choix. Sigmund commençait à aller trop loin et il ne pouvait pas se permettre de se réveler ainsi à quelqu'un comme lui. Il devait garder la mission de Dumbledore, c'était son principal objectif. Et puis il se devait de rester ce même Severus Rogue aux yeux de tout le monde. Il passa un doigt sur son visage et la peur envahit son esprit.
Peut être qu'a force de porter ce masque de traître, il allait finir par lui coller à la peau?.. |
| | | | | | Sujet: Re: Réflexion au calme, et trouble de cette dernière. (PV) Dim 9 Aoû - 16:16:39 | |
| Le professeur Rogue avançait comme si il avait des feydemons au trousse, Bachelard quant à lui essaie de tenir un minimum l’allure. Tout en pesant que Poudlard ne devait plus être très loin à présent une vingtaine de minutes tout au plus. Rogue avait à son habitude, son teint stressé qui Bachelard le pensait aurait pu disparaître avec son haletante avancée dans la forêt. D’ailleurs Bachelard trouva bien étrange que le professeur Rogue connaisse la forêt aussi bien, contrairement à ce que pensait Dumbledore s’était certainement fait duper, Rogue avait du aider Voldemort quand il rodait dans la forêt interdite sous une forme maudite. Le professeur Rogue comme le pensait Bachelard ne savait pas vraiment quoi faire avec le jeune Londubat. Mais contrairement à ce que pensait Bachelard, Rogue était bien corrompue, Albus s’était donc tromper. Rogue souhaitait que Harry se fasse prendre au plus tôt, comme ça il n’aurait plus aucuns problèmes avec la résistance et ainsi il aurait Poudlard pour lui tout seul, sans aucuns besoin de faire la police dans son établissement. Rogue avait raison sur un point, Londubat ne devait pas continuer sur sa lancée sinon il finirait en dehors de Poudlard et il aurait à craindre pour sa vie et celle de sa grand mère. Bachelard continua donc à rattraper Rogue dans sa course sans frein vers Poudlard. Mais il décida de faire comprendre à Rogue que Neville était vraiment un élève excellent en botanique et qu’il devrait utilisait un autre stratagème que le renvoi pour faire arrêter Neville :
Vous savez professeur, Neville est je le répète un excellent élément pour ce qui est de la Botanique. Je pense qu’il serait fort judicieux de votre part de réfléchir à une solution le plus rapidement possible pour que Neville arrête enfin ses péripéties. Puisque vous avec l’air de me dire que s’il continue il ne reverra jamais Poudlard. Il en va de soit qu’il faut le faire cesser immédiatement. Je ne suis pas certain que votre maître soit agréable si il voit que les sangs sorciers sont maltraités à Poudlard.
Bachelard se tut à présent, il avait fait son possible pour Neville, la seule chose qu’il espérait c’était que Neville comprendrait qu’il en allait de sa survie et qu’il devrait arrêtait toutes ses actions au moins pendant quelques temps. Le temps nécessaire pour se faire oublier. Après il pourrait au moins agir dans l’ombre où faire quelques actions non officiels. Bachelard continua sa discussion avec le professeur Rogue, qui ne sembla pas du tout apprécier les questions posées par le professeur Bachelard. Sigmund était donc arrivé à bout de Rogue, il ne pourrait donc aller plus loin. Peut être serait il plus judicieux de poursuivre sur un autre sujet :
Vous savez Severus, les menaces ne m’ont jamais fait plier et j’espère pour vous que votre règne durera. Vous avez réussi à duper Dumbledore, j’espère au moins que vous en avez tiré du profit. Mais à présent, je tiendrais ma langue, puisque celle ci semble vous déranger. Pour ma part, je n’ai rien à cacher, ce qui ne semble pas être votre cas. Et puis vous le savez aussi bien que moi, vos vrais ennemis ne sont pas vos propres professeurs. Mais chacun son point de vue sur la situation. SI toutefois vous voulez qu’on parle de vos ennemis, je serais ravi de vous accueillir dans mes serres pour prendre une petite tasse de thé…
Bachelard n’insista pas plus, il savait à présent les limites du directeur et ne voulez en aucuns cas, se mettre en froid avec ce dernier. Sa mission était très clair, il devait infiltrer la nouvelle direction, même si pour lui celle ci ne lui semblait pas du tout à son goût. Il devait donc aller contre sa nature et s’abaisser face à Rogue et aux Carrow. Il poursuivit un peu la conversation, pour effacer ce froid entre lui et le directeur :
Vous savez Professeur, mon intention n’était pas d’être indiscret, mais disons que je n’aime guère les manière de la nouvelle direction. Je suis d’accord avec la nouvelle politique mais non avec ses applications. Notre rôle en tant que professeur est d’enseigner aux élèves la magie et non de les rendre fou à cause de divers sortilèges. Cependant, je m’entends plutôt bien avec vos compères les Carrow, mais nous avons quelques différents quant à la manière d’appliquer les directives du ministère. Comme part exemple faire couler du sang sorcier.
Bachelard baissa la tête et rattrapa Rogue qui avait fait une petite pause pour écouter le vieillard. Espérons qu’il comprenne Bachelard qui était officiellement de son coté, et ne voulait que défendre la population sorcière. |
| | | | | | Sujet: Re: Réflexion au calme, et trouble de cette dernière. (PV) Dim 9 Aoû - 16:58:05 | |
| Severus s'arrêta et reconsidéra l'page de Bachelard. Il est vrai que son pas régulier et rapide venait de trahir deux choses. Mais il l'avait fait exprès. Albus lui avait dit que Bachelard et McGonagall tenteraient certainement de les infiltrer. En laissant penser que Severus connaissait très bien la forêt, il avait ouvertement indiqué à Bachelard le fait qu'il s'y rendait souvent pour essayer de rallier les peuples de cette dernière à sa cause. Severus espérait que Bachelard avait compris cela.
Il écouta avec attention le vieux sorcier. De toute évidence, Severus voyait clair dans son jeu... Car lui même faisait cela depuis maintenant des années. 17 pour être exacte... Severus savait bien que Sigmund n'aimait pas du tout les Carrows. C'était un mensonge, pour réchauffer la tension qui régnait. Personne n'aimaient les Carrows, y compris chez les Mangemorts, alors Severus avait du mal à imaginer le Maître des Plantes approuver la façon de penser de ces derniers.
Néanmoins il avait raison sur un fait. Les Carrows allaient bien trop loin dans leur manière d'agir, Severus en était parfaitement conscient. Mais commet briser son masque ? Non, il ne devait pas. Il se devait d'être impassible. Il se devait d'être le meurtrier d'Albus Dumbledore aux yeux de tous. Le meurtrier, pas le confident...
Vous savez, je n'ai tiré aucun profit à devenir Directeur. J'exerce simplement des tâches que mon prédécesseur à oublier, ou essayer d'éviter à tous prix. Je suis également conscient de la valeur du sang de Sorcier. Il est vrai qu'il est précieux, mais qui trahi son sang, trahi le Seigneur des Ténèbres, qui est lui seul Prince des sangs purs. Il n'y a pas de tort à faire souffrir les élèves en guise de punition. Seulement j'en convient que parfois les Carrows vont un peu loin. Je les aient déjà averti là dessus... Vous avez raison sur ce point Sigmund, Lord Voldemort ne supporte pas que le sang de Sorcier soit inutilement versé pour amusement de ses fidèles. Il a des moldus et des sangs impurs pour ça et...
Severus marqua une pause et se figea. Il était sûr d'avoir vu quelque chose de velu passé non loin de lui. Il s'arrêta net, et son teint cireux devint soudain beaucoup plus anxieux et sérieux. Il tira d'un geste ample et simple sa baguette magique.. Cette dernière en bois noir et fin était étroitement serrée dans sa main. Il posa un genoux au sol et observa ce qui avait éveillé ses soupçons tout à l'heure.
14cm de profondeur, 7cm de diamètre. Il doit s'agir de l'emprunte d'un crochet de patte d'aranéide géante. Il y en a à cette endroit de la forêt, et depuis quelques temps, elles sortent aussi de leur territoire. J'avais pourtant signalé à Hagrid ce problème... Visiblement, il n'effectue pas correctement son travail.
Avec un regard de méprisant sur l'emprunte et envers Hagrid, Severus brandit sa baguette. Il avait vu bougé quelque chose. Encore velue également... Ses petits yeux noirs observèrent les environs... Encore une ombre velue. Et encore...
Elles étaient de plus en plus nombreuses, et formaient un cercle autour de Sigmund et lui même. Mais il garda sa baguette levée. Puis une voix, sombre et maléfique s'éleva de la droite de Severus. Ce dernier pivota aussitôt pour faire face à plusieurs yeux... C'est de la que venait la voix.
[ Araignée Géante ] Qui ose pénétrer dans notre sanctuaire...
Je suis Severus Rogue, actuel Directeur de Poudlard. Laissez nous partir.
[ Araignée Géante ] Directeur . Voyez vous ça... Mes respects Monsieur le Directeur...
Il y eu plusieurs claquements de pinces et des fourmillements puissants semblables à des ricanements.
Severus détestait ces créatures sans cervelle. Il n'y avait rien de plus traître et mauvais qu'elles. Rogue serra un peu sa baguette, réfléchissant à un sortilège assez puissant pour terrasser le chef devant lui. Il regarda en biais Sigmund. |
| | | | | | Sujet: Re: Réflexion au calme, et trouble de cette dernière. (PV) Lun 31 Aoû - 9:28:49 | |
| Lors de cette délicate balade dans la forêt interdite, le professeur Rogue ainsi que ses manières de diriger Poudlard n'étaient pas vraiment remontées dans l'estime du vieux professeur. Rogue ne semblait avoir aucuns contrôles sur les Carrow qui transformaient l'école jadis si brillante et joyeuse, en un camp de tyrannie où les élèves n'avaient plus qu'une idée en tête transgresser le réglement. Bachelard et Rogue avancèrent tout deux dans la forêt discutant des sujets qui inquiétaient le professeur Bachelard. Cependant cette discution n'était pas plus bénéfique pour Bachelard que si elle n'avait pas eu lieu, puisqu'elle l'inquiétait plus qu'autre chose. Severus malgré son effoyable trahison semblait comprendre le vieux Bachelard, il devait savoir que Bachelard pas plus que lui n'aimait les Carrow cependant il était obligé de se ranger dans leur camp, sans pour autant apprécier leur méthode et leur dictature, mais il se devait de proteger ses élèves contre leurs actions. Mais les professeurs dans les entrailles de Poudalrd étaient en train de preparer leur revanche. En effet, Bachelard et Filius très amis depuis fort longtemps, avaient fait appelle à Minerva et à Cuthbert afin de discuter des noveaux problèmes qu'ils rencontraient dans leurs matières. Tous les quatre étaient d'accord tous leurs problèmes venaient de la direction et ainsi Bahcelard sans les citer devrait en discuter avec le directeur lui même pour voir ce qu'il en pense. Et Bachelard fut surpris de voir ce cher directeur répondre à toutes les questions qui lui posait, même si celui ci pensait qu'elles étaient peut être banales Bachealrd en tirer beaucoup d'enseignement. Il lui expliqua que le seigneur des tênebres ne serait certainement pas heureux de voir du sang de Sorcier coulait dans Poudalrd par la faute de ses propres fidèles, Bachelard avait donc en main un argument de poids contre les Carrows, un argument qui en cas de bataille non physique pourrait lui servir. Soudain après un petit discours vantant les mérites du seigneur des tênebres, Rogue s'arrèta et commença à annalyser quelque chose. Bachelard s'approcha donc à sa suite pour observer la chose par dessus l'épaule de Rogue. Et Rogue commença à se plaindre du travail qu'effectuer Hagrid ceci en était trop pour Bachelard il se devait d'intervenir.
- Il me semble que Monsieur le Directeur, Hagrid éffectue d'admirablement son travail, qui n'est pas des plus faciles vous le reconnaitrez. Je dois dire que je n'ai jamais eu de problèmes avec ses cheres bestioles qui restent dans leur limite tant qu'on ne depasse pas les leurs.
Cependant le Directeur n'écoutait plus Bachelard depuis longtemps, il était à présent face à des buissons bougeant sous l'effet d'autre chose que le vent. Rogue et Bachelard sortirent leur baguette face à la chose, lorsque sortit une araignée géante de derrière les buissons et celle ci ne semblait pas de bonne accueil. Bachelard se retourna soudain et il était entouré de créatures autour d'eux. Rogue commença à discuter avec une de leur, qui semblait être la chef du clan. Bachelard esperait qu'elles les laisseraient passer. Cependant elle ne semblait pas encore decider. Rogue essaya d'abord la méthode douce, qui n'eut aucun succés. Puis il regarda Bachelard en biais et Bachealrd comprit donc que le seul moyen de s'echapper d'ici serait la force, mais avant de forcer dans le tas, il décida de tenter aussi sa chance:
- Je suis Sigmund Bachelard, Professeur de Botanique et ami de longue date de Rubeus Hagrid.
Comme pour Severus les créatures qui les entourait semblait ricanait à son intervention. Bachelard pointa droit sa baguette sur le chef du clan, et reprit la parole une dernière fois avant de reprendre par la force:
- Même si votre nombre est supérieur au notre, nous n'hésiterons pas à faire usage de la force.
Elles ricanèrent à nouveau et s'avancèrent sur les deux professeurs. Bachelard fit signe à Rogue de la tête, et pointa sa baguette droite, la souleva dans les airs, et à la manière d'un fouet il cria:
- DOMPT'FEU
Un fouet de flammes sortit de la baguette de Sigmund, utilisant sa baguette comme un fouet, il frappa le sol avec celui ci et un cercle de feu entoura les deux professeurs, les séparant des araignées. Bachelard tenant toujours sa baguette se tourna vers Rogue sous l'effet du sortilège un vent chaud soufflé sur eux, afin d'empecher pour le moment au feu de se propager. Bachelard fit un signe à Rogue esperant que celui ci lui dirait ce qu'il devait faire face à ses bestioles. |
| | | | | | Sujet: Re: Réflexion au calme, et trouble de cette dernière. (PV) | |
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