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 Il aura fallut trois lunes... (Canaan et Harry)
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MessageSujet: Il aura fallut trois lunes... (Canaan et Harry)   Il aura fallut trois lunes... (Canaan et Harry) EmptySam 7 Juin - 14:22:07

Dans trois lunes, sous le chênes cogneurs à l'orée de la forêt...soyez y tout les deux....

Le destin peut prendre de drôles de formes, des aspects étranges et imprévisibles, clairs ou énigmatiques dans leurs méandres nébuleuses et lourdes de mystère, choisissant l’apparence d’un sentiments interdit qui nous tient a cœur, de paroles murmurées a l’oreille inattentive d’une élève silencieuse, poids sans lendemain qui tiraille le cœur. L’aspect lisse et poli d’un songe, la surface rugueuse d’un qualificatif abstrait aux yeux de beaucoup. Certains y croient avec l’énergie du désespoir, d’autres par principe inculqué, par idéaux, pour combler le vide abyssale d’une existence commune et banale tandis que d’autre l’ignore, et se croient maître d’une vie qui ne leur appartient peut être pas. On tire les ficelles, agite les pantins, déplace des pièces sur un échiquier de guerre et de réconciliations, d’épreuves et de récompenses, de bonheur et de malheur. Et quelques élus ne supportent pas cet état des choses, refusent de se voir comme les objets d’une main habile, jouet d’une plaisanterie ironique et cruelle. Certains choisissent maladroitement le rêve, et d’autres se rabattent sur le cycle monotone de l’existence. Les adultes perçoivent pour certains le monde de cette façon. Les enfants profitent le plus souvent, et n’anticipent pas, suivant les vertus bienfaisantes du carpe diem. Ceux qui s’inquiètent du lendemain son malheureux. Alors selon les conseils et les idées, il faut cueillir le jour et ses rayons. Rire, pleurer, douleur… Ces sentiments ont une échelle qui différent d’une personne a l’autre. La cadette des Dedraks ne croyait pas au destin et à ses fatalités, pas plus qu’elle ne croyait en une religion discontinue, pas plus qu’elle ne croyait à la prémonition des rêves et au mystère des feuilles de thé, ou un troisième œil inexistant. Qu’avait elle attendue en s’arrêtant dans les couloirs sombres où cette rencontre singulière l’amènerait le soir même a frôler des pieds le sol détrempée d’un parc éteint, violant sous les ordres d’un professeur de nombreux règlements ? Elle l’ignorait, et restait hésitante sur la position à tenir. Fallait-il seulement être présente ? Ou juger le ton de l’oubliator comme d’un simple malentendu, fate de compréhension ou blague de mauvais goût, plaisanterie douteuse destinée a semé l’inquiétude dans les cœurs et les esprits.

Elle était curieuse de nature. Pourtant, la perspective de ce rendez vous nocturne lui faisait peur pour une raison qu’elle n’aurait pu expliquer. Le pressentiment hérissant, intriguant et mystérieux de quelque chose qu’elle ne pourrait pas contrôler. Ses peurs étaient aussi rares qu’occasionnelles : l’inquiétude légère de perdre, tiraillant doucement sa poitrine, souffle perfide et moqueur a l’intérieur de son esprit, ineffaçable et profondément ancrée. Le banal de toute adolescente normale mais la perspective de cette nuit était loin de faire parte de cette catégorie ordinaire et pesante. Elle le sentait, et ne parvenait pas a reposer ses dires sur des preuves concrètes qui auraient pu l’amener a expliquer clairement le sentiment complexe et oppressant qui la tiraillait. Et ce n’était pas les protagonistes, participants ou organisateur de ce rendez vous nocturne qui l’inquiétait mais quelque chose de moins crédible et figuratif, plus instable et mouvant. Ridicule. Et pourtant là. Les théories d’Eskivdur qu’elle avaient sous les yeux ne parvenait la distraire de ceux qui obnubilait ses pensées, elle qui d’ordinaire se serait réveillé a l’aube du point de rencontre ou l’aurait tôt simplement oubliée maladroitement, ou de façon délibérée et volontaire. Mais non. Présentement, la rencontre était plus étrange et incertaine que des paroles tout a fait banales, jetées en l’air sous l’effet d’une fausse mystification savante. Elle n’en avait parlé a personne et ne regrettait en rien cette décision. Pas mêmea Précieuse, se contentant d’écarter les quelques questions de sa camarade par réponses courtes et inquiétantes par leur brièveté, hochant péniblement son visage pâle lorsqu’elle était fugitivement interrogée pour une raison ou pour une autre, ne protestant même pas devant l’imposant sujet a rendre de défense contre les forces du mal, se contentant d’une vague grimace montrant son indignation.

Lorsque le professeur Ombrage haussa le ton de sa voix mielleuse en marmonnant quelques indications sur les vampire et les classifications ministérielles a prendre en compte, la jolie brune se contenta de balayait la classe de son regard sombre et de mimer la copie de notes sur son cahier a l’encre noire. Cette écriture caractéristique, étroite et liée. Beaucoup lui disait qu’elle écrivait comme un « mec » et que son application était loin d’être reconnue.
« Nous nous retrouvons donc la semaine prochaine mes chers petits… ». La verte et argent siffla amèrement, détaillant les couleurs roses chatoyantes d’une robe trop étroite qui entourait, soulignant fortement, l’embonpoint du professeur Ombrage, quittant la pièce avec une aigreur a peine contenue dans son regard vert, tirant sur le bleu a l’iris incertaine. Trois lunes… Pendant ces trois jours où elle ne s’était soucié du jour dit J, elle avait écarté sans mégardes cette perspective et s’était concentré sur les sujets qui rédigeaient et complétées la vie d’une fillette normale, sorcière étudiant un minimum, naviguant dangereusement entre l’effort exceptionnel et le piètre, rigolant en compagnie d’une petite bande étroite de verts et argents, complimentant le sortilège d’un ami, souriant en écoutant les éloges que quelques filles faisaient, entre deux gloussements, sur un garçon de quatrième année particulièrement séduisant et écartant d’un geste la possibilité d’une sortie a pré-au-lard le lendemain matin. Seulement, les heures étaient passées vite. Elle n’appréhendait pas réellement cette soirée et s’y rendrait pour plusieurs raisons dont un naturel a chercher les ennuis commun a beaucoup d’élèves. Une perspective de braver sous le nez l’autorisation du professeur Raven pour violer outrageusement un règlement était réjouissante et pourtant, ses paroles n’ayant été que des murmures, elle avait garder l’identité de ce rendez vous pour elle seule. Et inconsciemment, elle avait presque en certitude qu’Harry avait fait de même.

« J’monte me coucher… » Annonça finalement la demoiselle aux alentours de dix heures. Elle était encore hésitante, sachant avec cette pertinence nerveuse qu’il était encore temps de reculer. Et en même temps non. C’était dangereux, important et elle voulait savoir. Les examens et les buses approchants a grands pas, ne laissant aux élèves présents que quelques jours pour réviser dépeuplerait la salle commune certainement temps et les rares étudiants encore présent seraient sûrement trop concentrés dans une étude fébriles pour noter son esquive furtive, la verte et argent cherchant au milieu des affaires condensées de sa valise un cape a porter sous un temps clément mais imprévisible. A genoux sur le sol de pierres froide des cachots, les mains plongées entre une pile de vêtements, de livres et d’objets diverses et variées répandues sur le parquet, flanc ouvert et béant d’une valise abîmée qui déversait paresseusement son contenue, elle sortit finalement une veste plus chaude qu’elle enfila rapidement, ayant hôter sa robe de sorcière pour une tenue plus commode, a savoir un pantalon noir et large et une chemise, sa cravate de serpentarde encore au cou. Tournant donc les talons, elle descendit les escaliers durs, jeta un rapide coup d’œil a la salle et se faufila allègrement, sa taille menue et frêle le lui permettant sans mal, en dehors de l’ouverture masquée par la menaçante gargouille, cherchant péniblement sa route en milieu des ombres vacillantes, jeu de lumières et d’ombre projetée par les torches enflammées éclairant les cachots. Une personne autre qu’une verte et argent habituée se serait probablement perdue mais l’habitude et l’obscurité des lieux avait habitué la demoiselle qui n’hésita que part moment.

« On devrait les attachés la tête en bas… Hein miss teigne qu’on devrait les pendre ces morveux ?! ». La petite brune se figea, se plaquant contre le mur nu le plus proche, retenant péniblement une respiration qu’elle ne savait que trop saccadée. Rusard et sa tournée habituelle, ses petits yeux billant set avides guettant un élève inattentif a prendre dans ses filets, sa démarche boitillant et claudicante repérable dans le silence feutré de la nuit et refusait pourtant catégoriquement de trahir sa présence. Elle sentit les pas du concierge s’approchant du couloir, crût saisir son souffle rauque sur son visage et ses lèvres pâles, les mouvements amples et félins de la chatte a ses pieds.

Les pas s‘éloignèrent, elle sentit sa respiration reprendre une sonorité plus régulière et se sentit accélérer dès qu’elle eut la conviction que le danger se trouvait désormais hors de portée. Elle courrait, silencieuse, se permettant quelques poses pour reprendre son souffle et vérifier le manque de vigilance ou la présence d’un esprit frappeur loquace et rôdeur. Elle courrait vite, les heures de sport, un père adulte professeur de vol et les longues heures d’entraînements l’ayant plus ou moins habituée a la course et indirectement a une fuite forcée. La grande porte, le parc. Le vent s’engouffrant dans ses cheveux détachés, la température ambiante beaucoup plus froide maintenant que la lune avait fait son apparition, claire, entière et étincelante, nimbant l’espace d’une lueur argentée, apaisante et inquiétante selon son point de vue, frissonnant un peu devant le changement brusque d’espace. « Lumos » clama t-elle, sa baguette en bois de cerisier pointée devant-elle tandis qu’elle continuait sa progression, s’approchant des arbres hauts et menaçants de l’orée de la forêt, saisissant quelques craquement sinistres et hululement rauques de chouettes hulottes nettement perceptibles maintenant que la nuit était tombée et le silence omniprésent. L’odeur des arbres, des chênes et de plante chargé de l’humidité qu’une pluie discontinue avait provoquée durant les derniers jours. C’était une atmosphère étrange, silencieuse mais chargée de bruits et d’odeurs inhabituelles

Personne. Elle ignorait l’heure exacte, ne sachant combien de temps son ascension jusqu’au lieu dit lui avait pris mais cette soudaine solitude en devenait inquiétante. Harry ou Canaan, que l’un des deux participants arrivent, qu’importe, cette soudaine obscurité lui faisait presque peur. « Harry ? » tenta la jolie brune en portant sa baguette à son visage, guettant des yeux les alentours. Elle préférait murmurer son nom plutôt que celui de l’organisateur, pour une raison peut être plus personnelle et inexplicable - sans doute dûe au fait que Canaan était loin d'être la personne a laquelle on pensait dans l'espoir d'une ombre un peu rassurante -


Dernière édition par Shaar-Lun Dedrak le Sam 7 Juin - 17:48:50, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Il aura fallut trois lunes... (Canaan et Harry)   Il aura fallut trois lunes... (Canaan et Harry) EmptySam 7 Juin - 16:49:17

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Les cours avaient été, semblent-ils, plus long qu'à l'accoutumée. Même celui de vol dont Harry raffolait pourtant. Le soir venu l'adolescent soupira d'aise. Enfin la journée était terminée. Le cours avec Madame Bibine lui avait donné une idée. Aussi le Gryffondor avait jeté un "reducto" sur son Eclair de Feu, Ce dernier étant désormais de la taille d'un porte-clé était facilement transportable. Le sorcier n'avait pas forcément confiance en Canaan et tant qu'à être prudent. Glissant son mini balai dans sa poche le sorcier hésita aussi à prendre sa cape d'invisibilité. Mais Harry ne voulait ni la perdre ni la montrer aux deux autres. Le Brun préférait garder ce secret pour lui, quitte à prendre des risques. En parlant de ça; pourquoi Canaan si attaché au ministère leur demandait-il de violer le règlement ? Ces chères lois établies par Ombrage qu'il admirait tant ? Le Survivant n'en avait aucune idée mais ne voulait pas oublier ce détail; le rangeant dans un coin de sa tête au cas où. Se vêtissant d'un tee-shirt et d'un jean tout simple afin d'éviter d'être gêné si jamais ils entraient dans la forêt l'adolescent prit soin de laisser sa robe de sorcier. Si Rusard le surprenait il ne pourrait pas crier de loin "50 points en moins pour Gryffondor" en voyant le rouge bordant le vêtement. Et puis sa robe le dérangerait plus qu'autre chose; risquant de s'accrocher aux buissons.

Canaan avait bien dit à l'orée de la forêt et non à l'intérieur; mais avec un tel énergumène on ne savait jamais. Le Survivant était un peu contrarié d'aller à ce rendez-vous. En effet la dernière fois Monsieur Raven l'avait minutieusement examiné, entrant même dans sa tête; ce qui n'était pas pour plaire au Rouge et Or. La raison de sa venue à ce rendez-vous tordu était son insatiable curiosité et rien d'autre. Le sorcier quitta le dortoir, tandis que tout le monde remontait pour y dormir. Prétextant une grande fatigue le Gryffondor y était venu bien plus tôt pour avoir le temps de se préparer. Cachant soigneusement sa cape d'invisibilité dans sa valise sous son lit le jeune garçon attrapa la carte des Maraudeurs par la même occasion. Elle non plus, il n'avait pas l'intention de la révéler au grand jour mais cette dernière lui servirait pour l'aller à défaut de la cape de James.

Ainsi le Survivant put assez aisément éviter Rusard, Miss Teigne et Peeves, sa baguette prudemment en main; on ne savait jamais après tout. Un léger sourire flotta sur ses lèvres en voyant Shaar-Lun dans le hall...Il ne serait pas seul avec Canaan au moins. Le sorcier descendit les escaliers de son dortoir et traversa ces couloirs maintes et maintes fois parcourues par des nuits plus ou moins claires, plus ou moins étoilées...Plus ou mins mémorables. Harry n'oublierait jamais leur première année lorsqu'ils étaient partis tous trois: Hermione, Ron et lui empêcher le vol de la pierre philosophale. Vaillants et un peu inconscients du haut de leurs 11 ans. Une vague lueur de nostalgie passa dans ses yeux en repensant à des ballades nocturnes plus joyeuses où les fraudeurs avaient juste en tête de s'amuser. Oh oui, tant de temps, tant d'années de passées dans les couloirs de Poudlard; de nuit comme de jour d'ailleurs.

La cape d'invisibilité manquait au Gryffondor qui ne sentait pas sur lui, le réconfort que procurait le tissu si doux; aussi léger que les ruisseaux cavalant sur les roches. Cette sensation d'eau limpide s'écoulant sur ses épaules lui manquaient. Harry finit par hausser les épaules; en atteignant le hall sans trop de mal il remit sa carte dans sa poche après avoir soigneusement prononcé "Méfait accompli" afin que le parchemin redevienne vierge. Tandis que ses doigts roulaient le papier dans sa poche; il sentit son Eclair de Feu miniaturisé et sourit encore une fois à cette idée. Il devrait penser à accrocher un énorme anneau sur le manche pour en faire un porte-clé quand il diminuait tiens. Ce serait joli sur un trousseau...Encore faudrait-il qu'il ait des clés! Sûrement pas celles de chez lui toujours. Sa maison n'était plus que ruines. Quant à la demeure des Dursley on lui offrirait les clés qu'il y mettrait le feu plutôt que d'y rentrer à nouveau de son plein gré...Bref! Ce n'était pas le moment de penser à cela. S'assurant que son mini balai ne tomberait pas; ni lui ni sa précieuse carte le Gryffondor poussa les lourdes portes du château qui ne grinçaient pas, heureusement d'ailleurs.

L'herbe était humide; cela se sentait dans l'air, Harry inspira un bon coup. Comme toujours il était heureux d'être dehors. Le Survivant était quelqu'un aimant l'action et la liberté. Etre enfermé dans un bureau ? Très peu pour lui! Il avait été assez prisonnier dans sa vie pour aimer les espaces clos. Certes Poudlard était très grand et le plafond magique aux couleurs du ciel adoucissaient l'idée de prison. Les milles découvertes que l'on pouvait faire chaque jour diminuaient l'impression d'être enfermé. Mais il manquait ce vent frais et vivant courant dans les cheveux, il manquait l'herbe douce sous les pieds nus...Et l'odeur des feuilles d'automnes imbibées de rosée matinale. Il manquait cette lumière que le soleil offrait sans murs pour le bloquer. Là où les rayons n'étaient pas tributaires d'une fenêtre et les étoiles sans horizon et non coincées dans un plafond rectangulaire, aussi immense soit-il.

Harry rejoignit le lieu de rendez-vous en marchant vivement; d'un pas souple. Sans bruit, la terre compacte aidant à la discrétion le Survivant s'approcha doucement. Ses yeux luisaient un peu plus que d'habitude grâce au rayon lunaire qui se refletait sur ses lunettes rondes à monture fine. Le Brun rangea sa baguette magique mais sa main droite suite à ce geste restait dans sa poche, ses doigts entouraient toujours la baguette; pas prêt de la lâcher...On ne savait jamais tant qu'il n'avait pas retrouvé Shaar-Lun et peut-être Canaan. Curieusement Harry aimerait que le professeur ne soit pas encore là. La carte des Maraudeurs n'avait rien indiqué à ce sujet mais c'était aussi peut-être le Gryffondor qui n'avait pas bien regardé dans tous les recoins. Où alors le prof était dehors depuis un bon bout de temps à les attendre.

-Harry ?

Le sorcier eut un frisson; après tout il ne s'y attendait pas. Mais ce dernier avait été imperceptible. Le sorcier fronça doucement les sourcils; plissant les yeux pour déterminer à qui appartenait la silhouette présente bien que la voix le renseigne déjà...Mais mieux valait être sûr. Harry n'illumina pas sa baguette d'un Lumos, la délaissant finalement dans sa poche mais demeurant attentif et sur le qui-vive au cas où. Le Gryffondor ayant reconnu Shaar-Lun hocha la tête et se glissa comme une ombre prêt d'elle. A défaut d'avoir une force physique importante comme certains garçons de son âge, le sorcier était très souple et agile. Rendu vif grâce aux entraînements de Quidditch et aux nombreuses heures où il volait seul, par pur plaisir.

-Shaar-Lun

Répondit le Survivant d'une voix douce et amicale. Il l'aimait bien au fond cette Serpentarde...Elle ne lui avait jamais cherché de noises et ils avaient bien rit dans ces fameux toilettes pour dames !
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