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 Quand tout va mal [La belle Pépé]
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  • Megan Swann
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MessageSujet: Quand tout va mal [La belle Pépé]   Quand tout va mal [La belle Pépé] EmptyMar 15 Déc - 20:40:32

La silhouette enfantine de la jeune Megan avançait lentement, laissant trace de son passage par de toutes petites empreintes de pas dans la neige. Quelques flocons ne tardèrent pas à venir finir leur course sur la crinière sombre de la vipère, puis un, préfèra s'écraser sur le bout de son nez, lui décrochant un léger frisson. Elle éternua au contact de cette matière si froide. Elle remit en place son écharpe, et se mit en route vers la volière, elle n'y était plus allé depuis plusieurs jours, et elle était persuadée qu'une masse de lettre devait avoir encombré sa "boite". Les multiples lettres de maman, les cadeaux de grand-mère, et les lettres de personnes qu'elle ne conaissait même pas, mais qui la flattaient sans cesse pour s'attirer les bonnes grâces de Xenophius.

La gosse arriva enfin, et comme elle l'avait espéré, personne n'était là. Tous étaient sans doute au buffet, d'ailleurs il était rare que la brune le rate, et elle ne pouvait camoufler les gargouillements réguliers que pronnonçaient son estomac. Midi. L'horloge de Poudlard sonnait, et le bruit s'étendait sur tout le domaine Poudlarien. Efficace. Quoique peut être agaçant. Disons que lorsqu'on est dans les doutes, perdu dans l'inconscience des songes, enfermé dans un monde qui n'appartient qu'à nous seul, il est évident qu'il est agaçant qu'une vieille pendule nous en sorte aussi facilement.
Megan poussa la porte qui s'exprima elle aussi en un grincement sonnore, qui arracha un rictus méprisant à Meg. Encore quelques années et le chateau tombait en miettes. C'était révoltant de laisser des élèves dormir sous ce vieux abris... Non. Megan Swann n'avait pas perdu l'esprit, elle était juste, énnervée. Ou perdue, en fait, elle ignorait ce qui lui arrivait. Elle était le model parfait du sorcier que recherchait ce nouveau régime mis en place, elle n'avait donc pas à se plaindre, elle savait bien qu'elle n'était pas repoussante non plus, elle se savait riche et de sang on ne peut plus pur. Qu'est-ce qui pouvait donc tracasser la jeune fille ?

Sans se soucier de ce qui pouvait se trouver derrière la lourde porte, elle la poussa avec la légèreté d'un troll des montagnes. La porte heurta quelque chose ou plutôt quelqu'un, d'ailleurs, de façon plutôt violente. La pauvre victime poussa un cri de douleur. Megan ne prit même pas la peine de voir si cette personne allait bien ou pas, à ce moment précis, elle s'en fichait. Tout ce qui se déroulait autour d'elle, était en dehors de sa bulle à elle. Le jeune garçon qu'elle avait blessé s'approcha d'un pas rapide d'elle, il était plus agé, il devait avoir 16 ou 17 ans. Oh oui, même beaucoup plus agé en fait.
La vipère fit deux yeux ronds comme des souafles, puis dévisagea du regard le jeune homme, furieux, dont la marque de la porte était restée encrée sur son front. Megan l'observa d'un regard lent, inanimé, ailleurs. Elle écoutait ses dires, sans vraiment écouter. Elle n'entendait que de drôles d'insultes auquelles elle n'était pas d'humeur à répondre. Et, qui conaissait bien la jeune fille, savait très bien que quelque chose n'allait pas. Il était tellement rare de voir la gosse se laisser sermoner par un autre.
Alors la deuxième année hocha la tête une ultime fois, dans l'espoir que le Gryffondor s'en aille, et la laisse enfin seule avec ses pensées, elles au moins ne faisaient pas de bruit, ou du moins pas beaucoup. Et, comme si Merlin l'avait entendu, le septième année quitta la volière, dans un dernier grognement. Enfin, la jeune fille s'autorisa un soupirement de soulagement, elle n'avait cru ne jamais s'en débarrasser.

Megan pivota alors sur ses talons, et grimpa les marches étroites, ses yeux bleus rivaient sur les dalles de pierres, hors de question de tomber dans les esclaliers. Elle avait assez de soucis comme ça. Mais, comme elle n'avait toujours pas de troisième oeil, ni de sixième sens, enfin du moins pas de connu, elle ne poivait pas réellement voir ce qui arrivait devant. Et ce ne fut que lorsqu'elle apperçut le bout des talons noir d'une jeune femme, qu'elle sorti de ses songes, ravivant ses esprits vite fait. Elle releva la tête, mais... pof !! Trop tard, elle heurta de plein fouet la sorcière qui semblait descendre. Cette fois, agaçée, la gosse fronça les sourcils, et pointa un doigt accusateur vers l'élève qu'elle avait bousculé.


- Tu peux pas regarder où tu marches espèce de myope à la carcasse trop souillée par son sang impur pour pouvoir se diriger correctement ??!

La brune releva les yeux vers la jeune femme qui se tenait devant elle, et qui l'a dépassait d'au moins quatre têtes, ou même plus... Soudain, Megan faillit s'étouffer avec sa salive, elle reconnut immédiatement son ex-capitaine de quiddicth, la très celèbre Pénombre Craft. La vipère porta une main glaçée à sa bouche, prennant un air stupéfait.

- Oups... Désolée, j'ignorais que cétait toi. Je ne t'ai pas fais mal au moins ? s'inquiéta aussitôt la gosse

L'héritière des McGregor prit un regard désolé. Elle n'attendit toutefois pas la réponse de son ainée, en fait, bien que cela puisse paraitre impoli ou mauvais, elle s'en fichait de savoir si oui ou non elle lui avait fait mal. Elle était vraiment désolée, ça c'était une évidence, mais après.. Elle avait d'autres préoccupations. Elle se plaça dos au mur, et se laissa glisser lentement, puis prit son visage entre ses petites mains. Elle ne savait plus quoi faire. Alix ou sa famille ? C'était ça, la véritable question. Devait-elle trahir sa famille et ainsi aider son ami ? Ou bien abandonner son ami et préserver ses petits privilèges ? C'était dur. Non pas que d'aider Alix ne soit pas sa priorité, mais si elle faisait ça, c'était Xenophius qu'elle devrait affronter. Et franchement, pour la jeune Megan, la colère de son grand-père égalait les foudres de tous les Dieux.
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MessageSujet: Re: Quand tout va mal [La belle Pépé]   Quand tout va mal [La belle Pépé] EmptyLun 25 Jan - 15:37:51

Redoublante de son état mais d’un très bon niveau cependant, Pénombre Craft ne se donnait guère la peine de suivre chacun des cours prescrits par le pesant emploi du temps des septièmes années. Elle avait en effet réussi l’année dernière, à obtenir pas moins de 11 Optimal sur 13 matières proposées, dont 5 options qu’elle avait assidument suivies durant des mois et sa plus mauvaise note s’était tout de même maintenue sur un Effort Exceptionnel, la hissant directement majore de sa promotion, l’une des meilleurs élèves à s’être présentée aux A.S.P.I.C.S. cette année là. L’héritière des Craft avait littéralement écrasée sa rivale rousse de Serdaigle, Niallàn Cadell sur tous les fronts, à une seule terrible exception près. La Ténébreuse n’avait pas remporté l’optimal tant désiré en matière de Sortilèges et Enchantements, condition sine qua none à toute admission officielle dans les rangs prestigieux de la filière Elite Magique de l’Université de Magie Avancée, à Londres. L’Anglaise s’était laissée distraire un très bref instant durant l’épreuve pratique, n’avait maitrisé la force de son incantation et sa démonstration avait manqué de cette précision fine et contrôlée qui ne manifestait habituellement nul défaut aussi grossier au cours de ses entrainements réguliers. Deux points avaient cruellement pénalisé l’inattention de la candidate, la tenant à distance de la meilleure appréciation si convoitée, deux points qui l’avaient incitée à plaider avec ferveur, pour son propre redoublement à qui de droit. Nul de su réellement si le dossier scolaire impeccable de la Belle couplé à sa langue déliée et au passif douloureux de la Serpentarde, qui avait dû affronter seule le récent décès tragique de son géniteur, finirent par convaincre le jury rassemblé d’accéder à son invraisemblable requête. Ou si l’étouffante pression exercée par le réseau relationnel de la puissante famille de Sang Pur de Pénombre avait corrodé leurs réticences les plus affirmées. Mais quoi qu’il en fut, le secret des fondements réels de leur verdict favorable aux désirs de la Ténébreuse demeurait intact, seul comptait désormais les conséquences. Aussi, désireuse de mettre son temps libre au service de son ambition insatiable, l’héritière des Craft s’était intensément investie dans les affaires de l’école. La brune aux yeux clairs avait ainsi conservé ses fonctions de rédactrice en chef dans la Gazette de l’école, avait même été promue Préfète en Chef de Poudlard et venait récemment de recevoir l’immense honneur de guider et de diriger la nouvelle organisation officielle de la Citadelle, directement sous le commandement de Severus Rogue et des Carrow : la Milice Pourpre. Désormais, plusieurs badges de fonctions rutilants paraient avec orgueil sa sombre veste d’uniforme, comme autant de manifestations nobles d’un pouvoir respectablement gagné. Nul ne pouvait ignorer son nom, nul ne savait se défier de son autorité sans en payer le lourd tribut et Pénombre s’enivrait avec arrogance de ce que ses hauts rangs lui conféraient de supériorité évidente sur la masse populaire de l’école.

Son temps libre lui permettait également d’entretenir une intéressante correspondance régulière avec son ancienne rivale de Serdaigle, Niallàn, la cousine d’un de ses plus discrets camarades de maison, de qui elle recevait la plupart des cours de première année universitaire dans la filière Elite magique, dont elle ne tarderait bientôt plus à rejoindre les rangs. Et ce matin là, au quatrième étage du bâtiment principal de Poudlard, dans le silence du bureau de la rédaction de la Gazette, seule et concentrée, Pénombre tentait vainement de rédiger à la main, une missive particulière. Car voilà déjà plusieurs fois qu’elle recommençait son travail, insatisfaite et contrariée de ne savoir déterminer de quelle manière avait évolué leur rapport depuis l’année passée. Déjà un mois que l’Animagus aurait convenablement dû lui faire parvenir par hibou, ses meilleurs vœux pour le nouvel an ou peut-être quelques mots à l’occasion de Noel ? Les deux sorcières s’étaient rapprochées, c’était indéniable et les délimitations strictes que la concurrence avait dessinées entre elles s’étaient progressivement estompées avec le temps. Les évidences s’imposaient sans défiance à son esprit mais ne savaient lui révéler leur véritable identité si bien que la Vipère ne parvenait à définir correctement leurs rapports. Elle se souvint avec quelle facilité, il lui avait été naturel de la flatter afin d’obtenir quelques conseils avisés sur le choix d’une tenue de soirée galloise, avec quelle aisance elle avait su lui taire le nom de son cavalier pour le bal de Noel, un choix d’ailleurs plus que controversé qui avait jeté le pauvre garçon en pâture aux beaux héritiers que Pénombre avait congédié pour lui. La rousse, se serait-elle montrée aussi coopérative, aussi prévenante si elle avait su que son jeune cousin, Mervin Caerwin, avait accepté d’accompagner celle que l’on avait longtemps surnommée Succube ? La Septième année en doutait.

Lasse, elle froissa distraitement un énième parchemin inachevé qu’elle lança en direction d’une corbeille déjà saturée de ses multiples essais, à quelques mètres de son bureau. La boule peu uniforme rebondit, souple, sur l’arc de bois en un murmure brisé. Pénombre soupira. Elle resta quelques minutes ainsi, son regard limpide perdu par delà les hautes fenêtres de la pièce octogonale. Puis, résignée, elle se tira de sa rêverie et s’empara de la poignée joliment ouvragée de l’un de ses tiroirs pour en sortir la carte ultime de la collection Chocogrenouilles, le St Graal de tout aficionado : la carte de Merlin. Il n’en existait qu’une misérable poignée dans tout le monde magique et leur prix sur le marché noir pouvait atteindre des sommets faramineux. La longueur diaphane de ses doigts arachnéens épousa un instant ses contours parfaits, le carton lisse et satiné de sa surface s’offrant au toucher, dans un état de conservation admirable. Voilà un an exactement que Pénombre l’avait trouvée, stupéfaite de sa propre chance, dans un paquet de Chocogrenouilles acheté par hasard, au détour d’une boutique isolée à pré-au-Lard. Un instant encore, elle la contempla en silence comme la merveille qu’elle était puis décidée, la glissa dans une enveloppe sur laquelle l’écriture fine et penchée de l’ancienne Capitaine de Quidditch avait tracé le nom de sa destinataire. Cette fois, elle se saisit d’une carte en lieu et place d’un parchemin et y inscrivit quelques vœux épurés de tous ornements littéraires, simples mais efficaces. Elle signa d’un geste nerveux de sa plume, glissa le carton au côté du précieux Graal et scella le tout. Un bref coup d’œil à l’horloge de la pièce l’invita à se hâter, témoin et juge muet du temps dilapidé.

Le froid mordant de l’extérieur s’était infiltré jusque l’intérieur de la volière et Pénombre jugea d’un œil critique l’état de santé de son hibou. Par prudence, elle lui lança un sort de protection contre les intempéries, ainsi qu’un autre de maintien thermique avant de l’autoriser à s’envoler en le lâchant. La prunelle obscure de ses yeux le suivirent un instant par la lucarne avant que la neige n’enveloppe sa silhouette pâle d’un manteau blanc. Midi. Il était temps de rentrer.

Sans hâte, l’ancienne Championne du Tournoi des 4 maisons s’engagea sur le chemin du retour en se projetant mentalement dans ses affaires à venir. Mais brutalement, quelque chose de consistant la heurta sans ménagement, fracas physique et sonore à la fois, dans un joyeux chaos indémêlables. Sous le choc, Pénombre recula d’un pas, sa position en amont lui permit de caler rapidement son talon sur le creux d’une marche en arrière. Elle maintint de justesse son équilibre.

La sentence démesurée au bout des lèvres pour qui osait l’injurier avec toute l’audace des suicidaires inconscients, la Préfète en Chef s’interrompit, perplexe, en jaugeant un visage familier, qu’elle n’avait pourtant jamais contemplé si torturé. Quelque chose de préoccupant occupait ses pensées, quelque chose qui la dévorait de l’intérieur. A n’en pas douter. Et elle l’observa un instant couler contre la pierre, en proie à d’invisibles démons que son Ainée n’était en mesure de percevoir. Enfin, la botte sombre de la Sang pur se plia souplement à sa volonté lorsque Pénombre posa genou à terre, et que la main sombrement gantée de la belle glissa dans la généreuse chevelure de Mégan :

« J’espère qu’aucun garçon n’est responsable de cet état, jeune fille. Nul d’entre eux ne mérite tant d’attentions, ma chère. Allons, allons. »


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  • Megan Swann
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MessageSujet: Re: Quand tout va mal [La belle Pépé]   Quand tout va mal [La belle Pépé] EmptyDim 4 Avr - 8:31:09

[HJ: Navrée pour cet honteux retard, et pour la médiocrité du post, j'essaie de reprendre le RP petit à petit, comme je peux ^^]


Lorsque la main de son ainée s'engouffra dans sa sombe crinière, Megan fut agréablement surprise de cette douceur appaisante que la légendaire Pénombre Craft était capable de fournir. Elle, qui selon les nombreux dires était une véritable tigresse, une femme impitoyable et sadique. Et bien c'était là une nouvelle preuve qu'il ne fallait se fier qu'aux faits, et non pas aux imbécilités rapportées par de sombres idiots. Pourtant c'était bien là, l'image de la préfète-en-chef, et ce, dans tout Poudlard, et soutenue de tous les élèves. Tous seraient-ils limités intellectuellement ? Ou bien, comme Megan, naifs, et le bouche à oreilles avait porté ses fruits.. Non. L'héritière du clan Craft était belle et bien ce à a quoi les rumeurs l'associait. Sauvage et froide. Alors, pourquoi un tel acte de charité avec la jeune Megan ? Solidarité entre Serpentard ? Ou bien entre sang pur ? Ou bien entre nobles familles ? Ou les trois peut être ? Xenophius avait dans le temps, connu Sven Craft, et l'avait toujours porté dans son estime, au même étage que son vieil ami Peter Kirkby, c'était dire.. D'ailleurs, le patriarche McGregor avait été révolté lorsque la mémoire du noble sorcier avait été souillée, au tel point, que sa propre famille avait été victime de ces nombreux ragots. Xenophius avait même pensé pouvoir adopter Pénombre, mais cette idée s'envola aussitôt lorsqu'il apprit que le frère de Sven s'unirait à Destiné Craft. Cette nouvelle l'avait répugné, mais il ne pouvait rien dire. C'est ainsi que Megan entendit parler de cette jeune femme.. Sinon, elle l'avait déjà rencontré durant le quidditch, mais ne lui avait jamais réellement adressé la parôle.

Levant ses yeux de saphirs, innondés de brillantes petites larmes, qui lui brûlaient les orbites vers la septième année, la petite sorcière semblait vouloir implorer Pénombre, la supplier pour obtenir d'elle une quelconque aide, une échappatoire. Elle détestait cette position, être déchirée entre deux camps, sans savoir quel était le bon. C'était le bien ou le mal.. Mais restait une question.. Comment discerner le bien du mal ? On avait toujours élever Megan dans les bons principes des anciennes familles de pro-sang pur. On lui avait toujours apprit à vénérer Lord Voldemort, l'adorer le soutenir dans sa cause d'éliminer la vermine. Pourtant, lorsque la jeune fille voyait avec quelle barbarie les enfants étaient traités, cela lui retournait l'estomac, et elle avait cette pointe au milieu de l'estomac, cette impression de lâcheté. Etait-elle un monstre ? Peut être, quel genre de personne pouvait laisser des gosses de 11 ans se faire torturer sans rien faire ? Les adorateurs du Lord certainement. Mais Meg, l'aimait-elle vraiment ce puissant mage noir ?

Poussant un long soupir, elle continua de fixer le visage parfait de Pénombre, cherchant en son regar, la réponse à son malheur, mais rien n'y fit. Cette femme était comme les rumeurs le disaient aussi, impénétrable.

- Non.. Malgrès cette faiblesse sentimentale qui me constitue, je ne suis pas de celles qui pleurent pour des êtres aussi peu importants que sont les hommes.

Les relations amoureuses n'étaient qu'absurdité. Du moins, pour l'instant. Megan n'était pas en âge d'ouvrir son coeur à un garçon.

- Je me demande juste si.. s'il est normal que j'éprouve de la pitié et une soudaine envie de venir en aide aux enfants des moldus.
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