|  Sujet: Théorie de la défense magique-Aide aux duels  Sam 30 Aoû - 13:34:06 | |
| Chers élèves, Ceci est quelques extraits du manuel de la "Théorie de la défense magique", du célèbre théoricien Wilbert Eskivdur. Ces extraits pourront vous aider à répondre à mes questions au cours de duel. Bonne lecture!
« Théorie des Stratégies de Défense Magique » par Wilbert Eskivdur
« Tant d’affrontements injustifiés basés sur des quiproquos seraient évités si l’on prenait le temps de parler »
"Il est des cas où la défense magique est à proscrire absolument, car elle ne fait que renforcer un sentiment d'agression et ne vient répondre à aucune menace réelle..."
«Il est ainsi déconseillé de pratiquer le duel. Les créatures et animaux utilisent aussi des techniques dissuasives qui sont l’intimidation par le grognement(les Nundu par exemple). D’autres animaux tel que les moldus utilisent eux parfois des menaces verbales telles que " on vous lance une bombe atomique si vous ne faites pas ce qu’on veut ".
Il faut aussi souligner le fait que le terme même de contre-maléfice est impropre et que les gens donnent le nom de "contre-maléfice" à leurs propres maléfices pour les rendre plus acceptables. En effet le seul objectif des maléfices est leur prétendu effet pour dissuader l’adversaire par la force psychologique, et non leur réalisation pure et simple. »
"D’autres animaux tel que le chat domestique utilisent un changement de leur aspect pour effrayer l'ennemi (gonflement, poils hérissés).
Il est à noter que humains, les sorciers comme les moldus utilisent eux parfois des menaces verbales telles que " on vous lance une bombe atomique si vous ne faites pas ce qu’on veut ".
"Les Sortilèges de Défense ainsi que leur Théories. Dans le Monde des Sorciers, avant de passer à la pratique des Sortilèges qui nous serviront de Défense Contre les Forces du Mal, il vaut mieux tout connaître de leur Théorie ; Quel est le geste à faire, qui les a créées, leurs caractéristiques etc. Il ne faut pas oublier que ça ne sert à rien de les utiliser ; Le monde de la Magie est entre de bonnes Mains; Celle du Ministère et de Cornelius Fudge ; L'actuel Ministre de la Magie ... L'un des plus connus reste toutefois le Sortilège de Désarmement; Expelliarmus ; Ainsi que le Charme du Bouclier ; Protego ... Des Sortilèges que l'on utilise même à l'âge adulte, et utilisés même par de grands Sorciers ..."
"Le Sortilège de Désarmement: Qu'est-ce que c'est ? C'est un sortilège bien connu par bien des sorciers, utilisé très souvent durant les duels de Sorciers, ce sortilège permet de désarmer - et selon la puissance à le projeter aussi - l'adversaire ... Comment l'effectuer, me demanderez-vous ? Et bien c'est très simple ! Il faut tout d'abord viser l'adversaire, puis faire un petit tourniquet avec la baguette, suivi d'une croix et prononcer la formule Expelliarmus, ce qui provoquera un éclair de lumière rouge qui lorsqu'il atteindra l'adversaire, éjectera et désarmera celui-ci !"
Le Charme du bouclier est un sort de défense qui sert à se protéger des personnes très mal intentionnées. Ce sortilège crée une sorte de barrière magique qui dévie les maléfices envoyés à son auteur. Ce sortilège est indispensable face aux sorts mineurs, par contre, face aux sortilèges d’attaque de niveau élevé il n’est pas très pratique. Ce sortilège peut aussi vous servir lors d’une attaque physique. La formule de ce sortilège est « Protego », ce qui explique plutôt bien le sens du sort. Lorsque que l’on vous envoie un sort d’attaque il suffit juste d’avoir la détermination et penser à vouloir s’envelopper d’une protection et ensuite prononcer la formule. Si tout se passe bien, vous serez protégez…
"Chapitre 15, que nomme-t-on contre-maléfice?
Si l'on veut parler de maléfice en tant que tel il serait plus prudent de parler de sort, ou encore d'enchantement tout dépend de l'effet obtenu. Un maléfice a plus une connotation de magie noire. On pourrait alors parler de contre-maléfice lorsque celui-ci a un effet direct sur un maléfice ou qu'il peut en modifier les effets. Certains contres-maléfices fonctionnent seulement dans certains cas. Le terme de contre-maléfice est impropre et que les gens donnent le nom de "contre-maléfice" à leurs propres maléfices pour les rendre plus acceptables. On pourrait comparer un contre-maléfice à l'anti-virus moldu qui est souvent créé par le créateur du virus lui-même (réf. "Témoins moldus" de Blenheim Stalk). Il est également arrivé chez les moldus que certains savants fou créent une maladie (appelé également virus) et le vaccin contre cette maladie pour pouvoir ainsi le vendre. Evidemment chez les sorciers, les sortilèges ne sont pas à vendre mais il est toujours plus pratique lorsqu'on a créé un maléfice, de savoir l'annuler."
Ici, Eskivdur donne quelques précisions de vocabulaire importantes... car la confusion du langage rend difficile la compréhension de choses très simples. Eskivdur tente de situer la frontière entre maléfice et contre-maléfice, mais elle est difficile à repérer à cause de la confusion de vocabulaire, justement. Si nous suivons le raisonnement d'Eskivdur, ce que nous nommons "maléfices" ne méritent que le nom de sorts ; on comprend dans ce cas que nos "contre-maléfices" doivent porter le même nom. Pour Eskivdur, le terme de "maléfice" est à réserver aux sorts de magie noire ; dans ce domaine, la distinction entre maléfice et contre-maléfice prend tout son sens...
« Mais nous ne sommes pas sans rappeler la définition du maléfice. Le maléfice n’est pas forcement négatif. Il peut même être très positif. Il y a des maléfices d’amour, de guérison et de succès. Il est vrai cependant que le but de l'ensorcellement est souvent malveillant. On peut comptait six sortes de maléfices, tel que susciter une passion coupable, inspirer la haine ou l’envie, donner des maladies, faire mourir les gens, rendre fou et nuire aux biens d’autrui. Bien sûr, chacun de ces six principales catégories peuvent être contrés par des contre sorts tel que le bouclier, ou même un sortilège de puissance équivalente. Pourtant, on relèvera un contre sort efficace contre ce que nous pourrions appelés le mal incarné, les détraqueurs. Le seul sort efficace et connu de tous et le Spero Patronam, mais nous ne sommes pas sans savoir que cette création spirituel n'est autre qu'un égrégore, un être véritable mais dénué de corps physique (une entité astrale), engendré par la volonté commune. Toute personne peut dégager en effet un esprit de corps nourri de la propre énergie de n'importe quel sorcier qui l'invoque et finit par avoir une personnalité véritable. On explique ainsi la forme variée des Patronus. Mais ne nous étayons pas sur un tel sujet qui correspond à un chapitre antérieur à ce livre. »
Cette définition fondamentale étant posée, reste à examiner les conditions juridiques de la défense magique. Contrairement à ce que semblent penser certaines personnes, la défense magique n'est pas une pratique sans lois, sans règlementations ; elle repose au contraire sur diverses règles édictées au cours des siècles par des autorités soucieuses du bien commun, qu'il n'est pas inutile de rappeler ici :
-Les Accords Internationaux d'interdiction du duel : promulgués en 1775, ils interdisent les duels, étant entendu qu'un duel est « toute confrontation entre deux sorciers, pour un motif futile, alors que la négociation reste possible ». La légitime défense est autorisée, mais encadrée par un arsenal législatif strict permettant de la différencier des cas de duel. Rappelons que la légitime défense est licite lorsque « la vie du sorcier ou d'autres personnes ou leur intégrité physique ou la jouissance paisible de leurs biens est menacée », et dans ce cas seulement. Une lacune ayant été révélée dans le traité de 1775 au sujet des vols, et il fut finalement décidé d'inclure dans la notion de légitime défense la protection magique contre les vols, en 1811.
-Le Code international du secret magique prohibe toute action magique devant des Moldus, restreignant la notion de légitime défense à la protection contre « une mort ou mutilation immédiate » (Titre IV : De la Légitime Défense, paragraphe 1, alinéa 7). Dans ce cas seulement, la magie pourra être employée face à des Moldus, mais il est obligatoire d'en aviser le Ministère dans les meilleurs délais, pour que les sortilèges d'Amnésie ou autres appropriés puissent être réalisés.
-La Restriction de l'usage de la magie chez les sorciers de premier cycle interdit à tout sorcier mineur (âgé de moins de dix-sept ans) l'usage de magie hors des écoles prévues à cet usage ; la seule exception est, là aussi, la protection contre « une mort ou mutilation immédiate » (Titre VII : Exceptions, paragraphe 1, alinéa 2).
Tels sont les principaux textes régissant l'usage de la magie à des fins offensives et défensives. La partie défensive étant la seule qui retienne notre attention, certains éléments peuvent d'ores et déjà être mis en relief :
-Seule est considérée comme « légitime défense » la protection contre la mort, les blessures ou le vol, que le sorcier se protège lui-même ou protège d'autres personnes.
Répondre à une injure ou régler un différend non immédiat par l'usage de magie est donc prohibé.
-En présence de Moldus ou lorsque le sorcier est mineur, la « légitime défense » est restreinte : la protection contre le vol n'est plus considérée comme en relevant : en application du Code International du secret magique, seules les menaces « vitales et immédiates » peuvent être réglées de cette façon. Le danger écarté, il convient de se conformer aux lois en usage et de ne pas faire obstacle au travail des autorités ; l'autorisation d'user de magie dans des circonstances exceptionnelles est une dérogation, et n'exonère pas le sorcier de ses devoirs vis-à-vis de la loi.
« Les créatures maléfiques diffèrent des autres animaux de manières importantes et diverses :
-Elles sont magiques par nature
-Souvent, elles n'ont pas un cycle de vie complet comme d'authentiques animaux mais n'existent que comme une extension physique d'une mauvaise intention
-Elles cherchent activement à blesser, souvent pour aucune autre raison que celle de faire le mal (c'est-à-dire pas pour se nourrir et se maintenir en vie)
Les créatures maléfiques ne sont pas des animaux. Elles sont en fait une autre forme d'êtres magiques. Les Animaux Fantastiques se réfère à beaucoup d'entre elles comme à des "démons", pas au sens religieux du terme, mais parce que ce terme décrit un aspect essentiel de toutes ces créatures : elles n'existent que pour faire du mal et causer des dommages. Ce mal est différent de celui causé par, disons, une Manticore car la Manticore n'attaquerait quelqu'un que pour le manger. En d'autres mots, c'est un prédateur et c'est ce que font les prédateurs pour survivre.
Les créatures maléfiques, de leur côté, ne sont pas des animaux. Elles n'ont pas de cycle de vie comme les animaux normaux en ont. Elles attaquent pour le plaisir de blesser quelqu'un, et pas seulement pour manger. Les Chaporouges en sont un bon exemple. Ils battent à coups de gourdin les voyageurs qui ne se méfient pas de sorte qu'ils puissent utiliser leur sang pour teinter de rouge le tissu de leur chapeau. Cela ne les nourrit pas, ne leur permet pas de se reproduire, ils le font par pure malice. Une manière de voir les choses à leur sujet est de dire que les créatures maléfiques sont l'incarnation d'une intention mauvaise, vouée à faire le mal. Et si on réfléchit à l'essence de l'intention de l'être magique, les créatures maléfiques sont l'incarnation de la magie noire.
La ligne de démarcation n'est sûrement pas très claire. Mais même les loups-garous cadrent avec cette description. La plupart du temps ils ne sont pas des créatures maléfiques, mais quand ils le sont, ils attaquent les gens avec l'intention de leur passer leur mal (les transformer en loup-garou à leur tour) ou de les tuer. » |
|
Accueil 