Le lac écoulait calmement ses eaux sombres sous la bise glacée de février. On devait être samedi, un samedi matin très tôt, au vu du nombre restreint d'élèves arpentant le parc. En fait, seul un groupe de serdaigles étaient apparus un peu plus tôt pour se rendre sur le terrain de quidditch. Personne, quoi. Du vent. Quelques corbaux. De l'herbe.
Oh, en fait, il y avait peut-être d'autres humains présents dans ce paysage de silence; mais pas dans un diamètre de cinq mètres autour d'Elza. Et comme c'est mon perso, je ne vais pas trop m'éloigner dans le seul but d'aller scruter comme une imbécile un parc de Poudlard totalement invisible à mes yeux. Mais passons.

Une fillette se trouvait accroupie sur l'herbe à la lisière d'un bosquet d'arbres. Pieds nus, jean flottant et chemise large, elle semblait oublier de ressentir le froid comme elle oubliait de repousser ses cheveux chaque fois qu'un souffle les amenait devant son visage. Les yeux fixes, concentrés, elle observait un moineau sautiller non loin. Il n'y avait personne dans le parc de son point de vue. Quand je sous-entendais que c'était subjectif..Oui, oui, je continue. Comment ça, ça ne vous intéresse pas ? Et bien allez voir ailleurs. Peuh.
Que faisait-elle ?
Elle discutait avec l'oiseau, bien sûr. Retranscrit à l'écrit, ça donnerait à peu près ceci:

-Piii..
-Tututututu (sifflement)
-Piii..ouh ?
-Fiufiufiu, fiuuuu.
-Piiiiiou, piiiiiou.
-Siu, siu.
-Pilouit, pilouit.
-Hiou fiu fiu hzou. Fifufiufiu, fiufiufiu ?
-Giou.

Ndt : Pour une meilleure compréhension de la conversation et en faveur d'un public potentiel saisissant mal toutes les subtilités du langage zoiseau, voici la version traduite.

-Humain, humain..
-Je ne suis pas une humaine.
-Humain, humain..mais alors quoi ?
-C'est pas important, je mange pas les choses à plumes.
-Ah bon, si tu le dis.
-Et oui, je le dis.
-Tu le dis, tu le dis.
-Oui bon, on va pas répéter ça trois heures. Que penses-tu de la possible réincarnation intemporelle des scroutts grâce à leur incroyable aéro-dynamisme dans un référentiel terrestre en fonction des horaires du Poudlard Express ?
-J'en ai rien à péter.

Elza se chargea en un clin d'oeil de cette petite contrariété: mais non, il venait de dire «je suis totalement passionné ». Quoi de plus normal. Tout le monde savait que les moineaux étaient des maîtres incontestés dans l'art subtil des débats à ascendance étrange. Mais celui-là avait mal compris la question, puisque que cela le passionne ou pas, il n'y avait rien répondu. Ou peut-être était-ce ironique ? La fillette fronça légèrement les sourcils: était-ce possible, vraiment ? De toute sa courte vie, jamais elle n'avait rencontré un oiseau qui ne nourrisse pas un intérêt sincère pour tout ce qui était questions théologiques. Une nouvelle espèce ! C'était une nouvelle espèce de moineau..incroyable. Et dire que c'était elle qui venait de la découvrir. On donne bien des noms à ses découvertes, non ? Hmmm..un nom latin fait tout de suite scientifique. The problème was: qui connaît le mot latin pour ce genre de choses..Moinicus Ironicus. Pas mal. Pas mal du tout, même.
Mais au moment ou la petite vert-argent, très fière, s'apprêtait à questionner habilement (et oui..une espèce si longtemps inconnue..ses représentants avaient sans doute voulu garder l'anonymat) sa découverte sur son mode de vie, son habitat et sa marque préférée de chaudrons, l'oiseau s'envola.

¤

L'oiseau s'envole. Un instant d'inconscience, un grain de silence et le temps s'étire, il dure pour quelques minutes éternellement. Il s'envole et le soleil inexistant plaque des reflets chamarrés sur son plumage. Il s'envole et c'est tout l'univers qui le suit du regard, toute l'atmosphère qui se trouble pour lui laisser passage. L'air tourbillonne et devient opaque pour que l'on puisse l'observer se froisser, se tordre, se déchirer. L'oiseau s'envole et c'est la forêt qui hurle, c'est l'herbe qui jaunit. C'est comme s'ils voulaient s'exprimer mais ils n'ont rien à dire, ils n'ont pas plus que ces mots la possibilité d'exister. Et comme le temps s'allonge encore, comme un battement de coeur résonne à l'infini et qu'une goutte de sang se noie, l'oiseau s'envole. Et c'est tout.

¤

Hell eut un regard désappointé pour le moineau qui disparaissait. Stupide piaf. Tu viens de gâcher ta seule chance d'être célèbre. D'être célèbre grâce à moi, en plus. A croire que tu ne mesures pas l'honneur qui t'es fait. Pfiou. Pour la peine, elle se mit à piailler tout haut dans la langue des volatiles (avec toutefois un léger accent):

-Cuiiiiii ! Cuiiiiiii-cuiiiii ! Cuiiicuiicuiii-cuiii !

Ndt : En raison du caractère injurieux et pornographique de ce passage, nous ne traduirons pas. Vous êtes trop jeunes pour entendre de telles horreurs.

Sa magnifique réplique s'interrompit aussi brutalement qu'elle avait commencé lorsqu'il lui vint à l'esprit que l'oiseau avait peut-être été effrayé par l'approche d'une autre personne. Si c'était le cas, la personne en question devait actuellement se trouver, euh..derrière elle.
Elza se raidit, chercha une introduction aussi brillante que précédemment et, n'en trouvant pas, se retourna vivement en lançant la première phrase qui l'inspira:

-Qui te rends si hardi(e) de troubler mon bavardage ?

Autant dire que pour sortir des idioties pareilles elle aurait aussi bien pu se taire.

Ah mais zut, c'était déjà pris, ça. Par..Jean de quelque chose, là..Jean de la rivière ou un nom alambiqué du même genre. Dire qu'elle était fière d'avoir trouvé une aussi belle phrase. Quel imbécile aussi, ce m'sieur Cascade, il aurait pu trouver autre chose. Et puis mince à la fin. De toutes façons, à l'époque, ils avaient même pas inventé le copyright. Bien fait pour leurs sales tronches.

La fillette se rappela que l'effrayeur-d'oiseaux se trouvait en ce moment même à quelques mètres d'elle. C'était en fait une effrayeuse-d'oiseaux et son visage ne lui était pas inconnu. Hmm..où avait-elle déjà vu ces yeux bleus si clairs ? Le Poudlard Express ? Le chemin de Traverse ? Le commissariat de la banlieue est de Londres ? Ca y est, elle y était. En cours de métamorphose, si toutefois on eut pu qualifier de cours cette réunion d'originaux qui s'était déroulée dans une salle du deuxième étage. Mais ouii, c'était la poufsouffle qui prenait le prof pour un vase ou un autre objet non identifié et qui avait peur des mangemorts..Hell s'octroya immédiatemment les droits d'auteurs de la fable de Jean de la Source, celle qui parlait d'un loup et d'un agneau et rectifia mentalement le titre pour qu'il devienne « la vipère et la pouffy ».

Elle prit une grande inspiration et s'avança, menaçante, vers celle qui venait de faire fuir sa découverte, la toisant du haut de son 1, 40 m ou sans doute moins. Mouhahaha. Sûr que ça l'impressionnait. Seulement voilà, après cette belle entrée en matière, Elza ne savait pas trop par quoi continuer. L'abreuver d'injures ? Faire le point sur les dernières rumeurs à propos des mangemorts évadés ? Cynisme, ironie, colère, mépris ? Elle hésita puis commença finalement par gronder:

-Sais-tu ce que tu viens de faire fuir ?

Et oui, « sais-tu » et pas « tu sais ». Parce que ça fait quand même beaucoup plus classe et terrifiant. Bon, d'accord, beaucoup plus ridicule aussi mais si vous passez votre temps à m'interrompre, on va pas s'en sortir. Comment ça « sais-tu » c'est la déclinaison normale à la forme interrogative ? Oui ? Et ben pas à l'oral. Certes, nous sommes à l'écrit. Mais Elza parle à l'oral puisque je la vois mal écrire ses répliques pour les brandir ensuite sur un petit bout de papier. Essayez de dire « sais-tu » à l'oral, vous verrez comme ça fait crétin. Mais vous faites ce que vous voulez. Je disais ça juste pour..c'est bon, c'est bon, je me tais.

La vert-argent se trouvait à nouveau en panne d'imagination. Elle n'allait quand même pas continuer en déclamant « le seul spéciment connu à ce jour de moinicus ironicus », ça faisait un peu moins tragique. D'autant plus qu'elle ne se sentait pas d'humeur à terroriser sa camarade. Et oui, elle n'était pas si méchante qu'on pourrait le croire :sifle: . Enfin..si mais pas aujourd'hui. Elle abandonna donc palier par palier sa voix théâtrale pour annoncer, magnanime:

-Mais qu'importe. Je passe l'éponge pour cette fois. Ou bien plutôt je lance le sortilège récurvite pour cette fois.

Les expressions devaient varier de moldus à sorcier; elle espérait simplement que c'était bien comme ça que l'on disait..personellement, j'ai de sérieux doutes.
La vipère pensa un instant sortir sa baguette dans le seul but de faire sursauter Hélione; elle décida finalement de la tester. Avec la technique infaillible de la question absurde (enfin..infaillible, c'est vite dit). Cela risquait fort de se finir en argumentation sans queue ni tête. Même du point de vue d'Elza..qui ne risque rien n'a rien, surtout que le risque était ici minime.

- Hmm..étudier sous un arbre ? Et qui te dis que l'arbre supporteras ta présence ? Je suis sûre que tu n'y a pas pensé.

Helione attendait sa réaction en se posant 3 questions ;

1) Quelle serait la réaction de la vipère ?

2) Si elle sortait sa baguette ? ( Helii pourrait courir mais son endurance laissait à désirer, ou alors si elle tentait un sort de protection ?? une fois elle avait vu quelqu'un l'utiliser dans un couloir ... mais elle était tellement douée que ça lui exploserait surement à la figure, en plus elle ne se rappelait plus vraiment de la formule ni du geste ... Protegus ?? Un truc dans le genre)

3)Si la vipère lui sautait dessus qu'allait-elle faire ??

-Sais-tu ce que tu viens de faire fuir ?

Heli retint son souffle, décidément, le courage n'était pas vraiment dans son caractère ...

-Mais qu'importe. Je passe l'éponge pour cette fois. Ou bien plutôt je lance le sortilège récurvite pour cette fois.

Elle releva la tête et sourit à la fois par reconnaissance et à la fois par amusement; cette fille parlait vraiment bizarre ...
*Ça doit être une vieille expression datant de la nuit des temps et passé de générations en générations ... *

- Hmm..étudier sous un arbre ? Et qui te dis que l'arbre supporteras ta présence ? Je suis sûre que tu n'y a pas pensé.

Euh rectification; cette fille était vraiment bizarre...

-Euh ben non j'y ai pas pensé ... pourquoi y devrait pas me supporter ?? Jveux dire c'est un arbre ... Et en plus jvais toujours étudier sous lui et il a jamais euuuh 'fin l'arbre jpense pas que ça le dérange, jvois pas pourquoi .

Elza lui jeta un sourire moqueur … Helione se renfrogna et baissa la tête, décidément la serpentard ne comptait pas lui faciliter la tâche …
-C'est un arbre ? Bien observé. C'en est effectivement un. Et alors ? Parce qu'il ne parle pas, tu t'imagines peut-être qu'il n'a pas d'âme et conscience ? Tu t'imagines que toi, petite humaine aveuglée par sa propre importance, est forcément supérieure et peu donc en toute légalité asseoir ton précieux postérieur sur les racines de cette plante qui paraît si stupide ? Mais est-ce que tu te rends compte de ce qui peut arriver ? Tout le monde sait qu'un arbre stressé pousse mal, dépérit et peut même tomber malade. Et alors..il perdra ses feuilles, ne produira plus jamais de graines..tous les autres êtres de son espèce plantés à moins de trois mètres le sentiront agonir, prendront peur et dépériront à leur tour. Et ainsi de suite. Tu comprends ? Non ? Tu es en train de causer la disparition des arbres ! Et, au cas où tu ne te sentirais pas concernée, qui dit plus arbres dit plus d'oxygène..donc..voilà jusqu'où peuvent mener les idioties d'une ignorante.

Helione devenait de plus en plus mal à l’aise … Elza lui donnait mal à la tête avec ses idées saugrenues qu’elle défendait bec et ongle … Et elle semblait toujours tellement sincère, comment ne pas la croire ?? Helione réfléchit un instant en imaginant ce qui se passerait si la Serpy disait vrai, puis grimaça … * Plus d’arbre ?? Ça veut dire plus de chaise, de lit, de table, PLUS DE POUDLAARD ??? … Mais c’est pas possible avec tout les gens qui étudient sous eux ils stresseraient forcément et il n’y aurait déjà plus d’arbre depuis longtemps … Si ça tombe sa vient de ça les feux de forêt … Peut-être que quand les arbres périssent ils prennent feux comme les phénix. Ou alors ils … *

Heureusement la vert et argent coupa les réflexions idiotes de Hélione par une affirmation plus ou moins rassurante :
- Tu as néammoins des circonstances atténuantes: tu ne pouvais pas deviner. L'ignorance est vraiment le pire des fléaux…
Helione lui fit un sourire timide puis se demanda pourquoi elle se sentait rassurée…
Elle ne répondit toujours pas de peur des réactions toujours imprévisibles de la serpy …
Mais aussi bizarre que cela puisse paraître la remarque suivante d’Elza étonna Helione encore plus que quand elle lui parlait avec ses étranges idées …
-Euh..sinon, tu allais réviser quoi ?

-Moi ?? demanda Helione comme si le fantôme d’une autre étudiante rodait autour d’elles ... Ben je sais pas, enfaite j’allais survoler mes cours tu vois parce qu’à tous les cours où je vais j’ai vraiment l’impression de ne rien connaitre … Et toi qu’est-ce que tu fait ici ?
*Aïe mauvaise idée ça … ne pas lui rappeler l’histoire du zozio … *

Pourquoi avait-elle l’intuition que la serpentard n’écoutait absolulent rien de ce qu’elle disait ou cherchait dans ses paroles encore un moyen de lui jeter une accusation ridicule ??

… Et revirement de situation … Une question pourtant tellement innocente à la base et Helione vit dans les yeux de la vert et argent toute une histoire qui s’écrivait. Ses yeux qui s’intensifiaient à l’entente de la question, et puis sa bouche qui se crispait en un genre de grimace et enfin comme un rictus se forma sur son visage, comme un reflet d’une idée peut-être inconnue mais pas pour autant attendue. Helione fit un pas en arrière et Elza se ravança. Un peu trop près au gout d’Helione, cette Hell n’avait-elle pas parlé d’une distance à ne pas franchir ? Helii ne se donna pas la peine de reculer, la machine était de toute façon lancée, se qui fut confirmé quand Elza déballa ses nouvelles paroles…

- Bon. C'est simple. On va faire comme dans la fable, je ne me rappelle plus de son titre: tu es l'agneau, je suis le loup. Tu as fait fuir mon oiseau alors que j'avais mis longtemps à le repérer, tu as sans doute empêché la découverte de ma vie, alors maintenant, ou tu réponds correctement à mes questions, ou je te mange. Au sens propre du terme. Ou au sens sale, ça dépend des points de vue.

Helii la regarda avec cet air qu’on ne lui voyait que tous les lustres. Un air de défi, qu’elle transforma directement quand elle se rappela devant qu’elle folie furieuse elle était… Cet air là ça marchait avec les grands-frères dont sa mère la sauvait, pas devant cette serpantarde prête a tout … Elza sortit sa baguette et croisa les bras…Helione savait très bien qu’il ne servait en rien à l’imiter… Elle était tellement maladroite, qu’elle ne s’y risquerait pas, Dieu seule sait qu’elle catastrophe elle pourrait créer avec une simple baguette. Elza donna une tape dans un papillon, Helione sursauta. La conscience tranquille ? Elle ne répondit pas a Elza et attendis qu’elle pose ses fameuses question…

- Premièrement: quelle est la véritable raison qui t'as poussée à venir soi-disant réviser près du seul arbre du parc déjà pris à cette heure ?

Helione écarquilla les yeux en se demandant se qu’elle voulait dire par la … Elle lui avait bien dit qu’elle était venue étudier mais sa ne lui convenait pas donc est-ce que la pouffy allait chercher une autre excuse pour satisfaire la serpy ? A quoi cela servirait-il ?

-Je suis simplement venu relire mes cours, je …

Que dire de plus ??

-Deuxièmement: quel est ton nom, ton grade ton matricule ?

Le papillon revint vers Elza qui le renvoya directement vers Helione qui lui donna aussi une petite tape. Helii le suivait des yeux et le vis passer devant Elza qui avait un air furieux…

- Euh ben Helione, répondit la noir et or avant de rajouter en baissant les yeux, et le reste jsais pas c’est quoi…

- Troisièmement: est-ce que tu parles aux lézards ? Aux scroutts, aux fourmis ? Aux moldus ?

Helione recula d’un pas, elle se surprit encore à regarder Elza comme elle savait le faire, mais elle semblait tellement étrange à Helione… Mais cette question, comme si les moldus était comparable aux fourmis au scroutt et aux lézards… Il était vrai qu’Helione parlait parfois souvent aux animaux, il lui était déjà arrivé de s’excuser à un mille-pattes de l’avoir écrasé, mais on s’éloigne du sujet. Helione avait envie lui demander le rapprochement entre un moldu et un lézard. Mais le petit poison allait-il encore exploser ?? Helione se mordit la lèvre et répondit enfin :
-Mais tu dis n’importe quoi pas vrai ? Les moldu c’est pas comme des lézards ! T’a déjà vu une fourmi qui t’apporte des cadeaux de noël ??

Réponse tellement pathétique … Mais la marraine d’Helione était une moldue, on ne pouvait lui en vouloir…

-Quatrièmement: cite-moi un sort qui ne peut en aucun cas faire de mal à qui que ce soit.

Helii réfléchis, sans penser un seul instant que rien ne l’y obligeait, mais la façon dont Hell posait ses questions étaient assez intimidante et Helione ne se sentait plus d’attaque à lui lancer des répliques idiotes qui marquaient chez cette noir et or plus que du courage. Donc elle essaya de se rappeler un sort qu’elle aurait déjà entendu auparavant et le premier sort qui lui vint dans la tête était un sort qui faisait apparaître des petits oiseaux. Son frère en avait fait jaïr devant elle lorsque vint sa majorité, pour lui montrer ses pouvoirs. Helii sourit et puis ravala son sourire de peur qu’Elza le prenne comme un quelquonque affront. Mais cela semblait tellement être le sort idéale …Si Elza le créait devant elle, cette multitude de petit oiseaux allait surement lui faire oublier son moineau.
-AVIS , lui dit-elle simplement, sans rien ajouter de plus.
- Et dernièrement: pourquoi restes-tu ici alors que rien ne t'empêche d'aller assassiner un autre arbre ? Ne me dis pas que tu apprécies ma compagnie ?
Que répondre a sa ?? Helione n’avait pas vraiment fait attention a sa …
-Eh ben je …je voulais juste m’excuser d’avoir fait fuir ton oiseau, dit-elle, ses joues s’empourprant …