| Sujet: Qare Blyn (Serdaigle) Lun 21 Avr - 15:05:21 | |
| - Nom : Blyn - Prénom: Qare - Age en HJ : 16 ans (et demi) ) - Age du personnage: 11 ans - Comment avez vous connu le forum? grâce à un top site!^^ Avant de vous compter l'arrivée de ce petit jeune homme dans la plus grande école de sorcellerie, il serait intéressant de connaitre ce jeune garçon nommé Qare.
Qare, est avant tout un garçon calme, intelligent, réfléchi qui n’aime pas se faire marcher dessus même s’il ne rend pas les coups reçus. En général, Qare est inflexible, très renfermé sur lui même mais en contre partie, il fait souffrir tout en souffrant lui aussi (faire pleurer, dire des choses désagréables, etc…) Il est un peu plus petit que la taille habituelle des enfants de son âge. Son corps svelte est néanmoins fragile. Son visage est allongé, creusant ainsi ses joues et rendant ses yeux fins, qui sont quand à eux, parsemés d’une pupille bleue. Sa plus grande fierté reste sans doute ses cheveux bleus marins, qui se reflètent noirs au contact des rayons solaires et lunaires. Enfin tout son corps et d’un blanc pâle, comme si il était constamment malade, ce qui n’est pas le cas. La seul particularité qui saute au yeux, Qare garde toujours avec lui un ours en peluche au quel il manque la tête.
En ce qui concerne le reste, Qare est très susceptible, même si il ne le montre pas, il fera en sorte de se venger. De même qu'il est parfois trop direct, et sa franchise peu lui causer des mal entendus. Son défaut principal est surement sa curiosité. Il épie les moindres faits et gestes de ce qui l'entour, et aime s'immiscer dans les discutions tenues secrètes à la vue de tous. son calme dépasse toute entente car rien de l'énerve ou presque. On peut très bien l'embêter, le martyriser etc, jamais il ne se plaindra, mais si certains sujets sont évoqués, son autre défaut apparait: son émotivité: il se laisse facilement émouvoir lorsqu'on le méprise ou qu'on l'ignore.
sa passion principale est la lecture. Il peut parfois se perdre des journées entières dans les livres en tout genre, se documentant, ou tout simplement en s'évadant. mais il est vrai que les duels de sorciers le passionne énormément. L'une des seules choses que déteste Qare, est le bruit, ainsi que une trop longue exposition à la lumière.-Histoire personnelle : Il y a 15 ans de cela, par un soir de nouvelle lune, un cri strident et nouveau se fit entendre au loin. Dans une contré reculée, une petite chaumière isolée du reste du monde, s’illuminait seul dans cette nuit froide. Une jeune femme, âgée d’une trentaine d’année tout au plus, venez de mettre au monde, un petit garçon, le plus doux et le plus calme de tous. Il avait les cheveux presque noires, pas comme ceux de sa mère qui étaient dorés, ses yeux, grands ouverts étaient d’un bleu glacée, et son visage était creusée, avec des petites joues rosées. Le père, assis au côté de son épouse, semblait mué, et aucun son ne pouvait sortir de sa bouche, tellement le bonheur l’envahissait peu à peu. On ne pouvait voir, que quelques larmes inonder ses joues gonflés, recouverts de poils gris. Le petit couple poursuivait son chemin de la vie en compagnie de leur jeune enfant Qare. Plus le temps passé, et plus le petit bambin grandissait comme une fleur au soleil. Sa mère lui faisait l’école à la maison, tandis que son père lui apprenait l’art de la magie et les ficelles du combat de sorcier.
Et lasse, il vint un jour funeste. Un jour de décembre, un jour noir. Qare s’était rendu en forêt, pour récupérer du bois pour ainsi alimenter le feu de cheminée. Plus le jeune homme progressait dans sa quête, plus le vent se rafraichissait, jusqu'à ce que de gros flocons de neige, tel des marrons gelés, dévalés le ciel lentement jusqu'à venir s’écroulé sur le sol, ou dans les haut sapins.
Soudain, à travers l’épaisse forêt de spins, 2 cris se firent entendre au plus profond de la campagne. Qare, qui jusque là ne faisait pas vraiment attention au décor, se crispa, ne bougeant plus, une sueur froide s’étreignant. Il ne savait que faire n’y ou aller, car il savait très bien que ce cri provenait de sa maison. Mais, dans un sentiment de souffrance, il traversa d’une traite toute la forêt, et se retrouva à la porte de sa maison, à peine 10 minutes plus tard. Mais ces 10 minutes avaient étaient de trop. Lorsque le jeune homme franchit le pas de sa maison, il était devenu orphelin. L’intérieur était sans dessus dessous, et le plus effroyable, ce fut lorsque en s’aventurant dans les méandres de la chaumière, Qare vit les corps de ses parents, gisants à terre, baignant dans une marre de sang. Le plus étrange pourtant était encore à venir. Le petit garçon à peine âgé de 9 ans, ne versa même pas une larme. Il resta statique devant cette scène se gravant dans sa tête tel un mur incassable.
Le fait qu’il ne pleura pas était très facilement compréhensible. Plus tôt, avant l’excursion solitaire dans la forêt, Qare avait surprit une conversation entre son père et sa mère. Son père voulait donner Qare à l’armée, qui avait été choisi pour tuer tous les paysans ne se soumettant pas aux lois du gouverneur, comme les parents de Qare. Son père pensait qu’en offrant le petit garçon, ils seraient acquittés. Bien sur, come tous parents, sa mère refusa de livrer sa progéniture, e s’opposa à son mari. C’est alors, que l’homme eut un geste délibéré. Il gifla sa femme. Un claque violente, pleine de rage transformant la petite joue saine de la jeune femme, en un morceau de peau difforme et violâtre. Ayant assisté à toute la scène, Qare s’enfuit dans la forêt, comme si de rien n’était.
Livré à lui-même, se débrouillant avec le peu qu’il savait, il finit par être adopté par une famille riche de la Grande-Bretagne, alors que le jeune garçon avait voyagé jusqu’au Royaume Uni pour tenter de trouver du travail. Sa capacité à tenir le coup, même dans les pires instants, avait attiré l’œil d’une famille noble, se déplaçant en voiture dans une rue de Londres, une famille très spéciale, une famille de sorcier.-Votre arrivée à Poudlard: Cette année là, le mois de septembre était étrangement froid, et une brume épaisse et froide s’était posé sur la gare comme sur le majestueux château. L’énorme train rouge flamboyant et noir venait à peine de repartir, qu’un groupement d’élève remuait et s’agitait dans tout les sens. Il était au moins une cinquantaine, voir plus, des filles aux longs cheveux blonds, des garçons menus, mais parmi tout cela, un seul resté dans son coin, tenant sa valise de ses mains, au centre où se trouvé la poigné. On ne distingué pas très bien son visage du fait que ses longues mèches bleutés aux reflets noires tombés devant ses yeux pour finir au milieu de ses joues creusées. On ne pouvait voir que son regard vide, dénué de sentiments, d’expression, comme si une coquille se trouvait là, immobile.
Alors, un homme dont on avait du mal à estimer l’âge s’avança vers la troupe d’adolescents en furie, et leur demanda de se mettre par deux, pour le chemin qui allait débuter incessamment sous peu. Les jeunes filles se mettaient ensemble tout en poursuivant leur discutions concernant des choses sans importance, tandis qu’un garçon immense aussi bien en hauteur qu’en largeur bouscula brutalement le jeune garçon muet. Le garçon de corpulence exagéré se retourna, un sourire de contentement aux lèvres, tout en continuant sa course, laissant le jeune homme là, un regard froid dévisageant celui-ci.
Ainsi, très vite des groupes de 2 se formèrent ici et là, jusqu’à ce qu’il ne reste que 2 personnes : le jeune homme inconnu, et une jeune fille très bavarde depuis le départ du transport. L’adulte fit signe qu’ils devaient se mettre ensemble, et sans broncher, les 2 futurs élèves se placèrent ensemble, pour suivre le flux d’élèves se dirigeant vers l’école. Dés le début de la marche, la jeune fille débuta la conversation :
« Hem…Salut, moi Veronica, et toi ?...Hem…cela n’a pas d’importance !....D’ou viens tu ? Hem…Cela n’a pas d’importance… »
Elle s’arrêta un instant, et repris de plus belle :
« Hem…Moi je viens de Canterbury, une magnifique ville…Hem logique j’y vie… »
Semblant ne pas s’intéresser à ses propos, la jeune fille agrippa le bas se son camarade, le secouant quelques peu, et lui lança :
« Tu pourrais au moins me répondre !?! »
Alors, sans se hâter, le jeune homme rétorqua avec froideur :
« Je me nome Qare, je viens de Londres… »
Il termina sa phrase, et avant que la demoiselle décida de rouvrit la bouche il trancha :
« Et sache que tu n’as pas besoin de parler autant…tout le monde sais que tu es là, et ce n’est pas en attirant l’attention sur toi, que tu te ferras de réel amis… Tu parles pour ne rien dire et ainsi camoufler ta peur qui se lis facilement dans tes yeux… »
Ses mèches se balançant de nouveau, Qare se retourna marchant toujours à la même allure, tandis que son compère accéléra le pas, l’air vexé.
La marche se poursuivit durant une bonne demi-heure, jusqu'à ce que le fil d’élèves se stoppe, et que tous formèrent un arc de cercle autour de 2 grandes portes de bois. Celles-ci s’ouvrirent d’elles même pour laisser entrer toute la horde d’élèves surexcités. L’homme désigna du doigt le petit escalier à emprunter pour se rendre à la grande salle, ou son réparti tout les nouveaux arrivants.
C’est alors, que tous se précipitèrent vers les marches, pour arriver les premiers, et enfin, un par un, ils entrèrent dans la grande salle, qui aurait du être baptisée immense salle, par sa taille, dont Qare clôtura l’assemblé. Qare savait très bien ce qui allait ce passer, et cette peur qu’il gardait au plus profond de lui même se lisait tout simplement sur la grosse goutte de sueur qui coulait le long de son front, même si aucune grimace ne se formait sur son visage rigide.
Après une dizaine d'allés, il fut appelé. Tout d’un coup, les bruits pénibles de la salle créée par les élèves déjà présents s’estompèrent, et les jeunes élèves se rabattirent sur les côtés pour laisser passer le jeune homme, laissant ses mains trembler. Il s’approcha doucement du petit tabouret vieilli par le temps, et se posa doucement, comme si le siège allait le dévorer. Le chapeau fut précipitamment posé sur sa tête, pour l’incité à remuer dans tous les sens, apaisant quelques peu l’inquiétude de Qare. Enfin, le chapeau s’écria…
Dernière édition par Qare Blyn le Ven 15 Aoû - 12:48:57, édité 1 fois |
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