*Nom: Davies
*Prénom: Roger
*Age de votre personnage : 15 ans
*Age du posteur (au moins 14 ans) : 16
*Comment avez vous connu le site? Euh…. J'en ai aucune idée…ça fait un bail ! Top site je croix.
« Hey ! Roger ! Stand Up ! »
Nié ? Qu’est ce que ! Aaaah ! Non ! Pas la lumière ! Et puis c’était quoi cette voix qui hurlait ?
Instinctivement, Roger Davies jeta un oreiller à l’endroit d’où provenait la voix tonitruante et se cacha sous ses draps. Quelques secondes plus tard, le même oreiller lui arriva en pleine tête. Le jeune homme émergea alors de sous son oreiller pour ouvrir légèrement les yeux. Devant lui, une petite fille blonde, rayonnante aux grands yeux bleus sautaient d’un pied sur l’autre en chantant «Roger lève toi ! » D’une voie aiguë mais, au grand étonnement de Roger, sans fausses notes.
« Anna, stop ! Tu me casse les oreilles. »
Soudain, la mère des deux enfants entra dans la chambre de Roger.
« Anna, je t’ai demandé d’aller réveiller ton frère, pas de le rendre sourd. »
La petite fille fit un grand sourire à sa mère et à son grand frère et sortie de la chambre en sautillant. Lorsque sa voie se fut éloignée et que Roger pus enfin reprendre ses esprits, il regarda sa mère qui ouvrait la fenêtre.
« Quelle heure il est ? On doit aller quelques part ? »
« Sur le chemin de Traverse ! Ta liste pour Poudlard est arrivée. »
Enfin ! Depuis deux semaines, le jeune homme âgé maintenant de 15ans, attendait avec impatience la rentrée qui arrivait à grand pas. Alors que sa mère sortait de la chambre, lui sautait de son lit pour aller se préparer. Lorsqu’il passa devant le miroir, il fixa son image un moment. Il y voyait un grand jeune homme musclé, les yeux tendres et charmeurs, des cheveux blonds en bataille. Il avait énormément changé depuis son entrée en première année. Ce n’était plus le petit gamin de Serdaigle mais le futur 5eme année, plein de charme.
Le jeune homme s’habilla à la vitesse grand V et descendit dans la cuisine. Sa petite sœur était déjà à table ainsi que son père.
« B’jours p’pa…. Anna tu aurais pus dormir encore un peut, il n’y a que maman et moi qui allons sur le Chemin de Traverse. »
« Erreur mon grand frère d’amour ! Demain j’aurais dix ans alors maman m’a dit que je pourrais venir avec vous si je promettais de me tenir tranquille ! »
« Quoi ? C’est une blague ! Elle ne tiendra jamais en place. »
« Voyons Roger, ne parle pas ainsi de ta petite sœur. Sa sera aussi l’occasion de lui trouver un cadeau d’anniversaire. »
« Moi, je veux un balai. »
« Certainement pas ! Je n’ai eut le mien qu’a 13ans ! »
Anna tira la langue à son grand frère qui lui ébouriffa les cheveux amicalement. La maison serait drôlement plus vivante avec cette petite diablesse.
Une fois sur le chemin de Travers, Roger alla chercher seul ses ingrédients de potions alors que sa mère et sa petite sœur se dirigèrent vers Fleury et Bott’. Sur le chemin, il lut par-dessus l’épaule d'un vieux sorcier, un article qui parlait d’Askaban, la prison des sorciers. Eh ! Il voulait lire ! Trop tard, l’homme du journal était parti. Malgré le départ du viel homme, Roger n’eut pas le temps de se plaindre car déjà, un bon nombre de sorciers avaient la Gazette du Sorcier dans les mains.
A peine Roger avait-il commençait sa lecture que sa mère arriva tenant Anna par la main et le pressait pour qu’ils se dépêchent de finir leurs courses. En allant chercher ses robes de sorciers, Roger croisa un bon nombre d’élèves de Poudlar qui le saluaient d’un sourire. Il s’arrêta pour parler avec deux jeunes filles de Serdaigle, un garçon de Poufssoufle, une fille de Gryffondor et il croisa quelques Serpentards. Une fois la liste complète, les Davies rentrèrent.
Trois jours après, Roger était dans le train en compagnie d’élèves de Serdaigle. Le jeune homme avait un livre dans les mains mais participait activement à la conversation déjà très animée sur le quidditch. Bientôt, il serait au château.
Lorsqu’il s’assit dans la grande salle, il ressentit cette envie d’apprendre qui le tiraillait tout les ans. Le brouhaha de la salle lui semblait être une douce mélodie.
Les grandes portes de chêne s’ouvrirent pour laisser entrer le professeur McGonagall et les premières années.