Olivier était d'une humeur exécrable. Le retard qu'il avait accumulé dans ses devoirs et le manque d'informations qu'il avait besoin pour les accomplir l'avaient poussé, furieux, à aller à la bibliothèque afin de réaliser cette tâche fort désagréable et persistait à penser qu'il s'agissait d'une pure et simple perte de temps, ce qui ne faisait qu'accroître son agacement. Ne serait t-il pas mieux dans la salle commune, qui, pour une des rares fois était presque vide, dans un des antiques mais confortable fauteuil, avec pour seule chose à faire que de regarder les flammes orangées danser dans l'âtre de la cheminée ?
Oubliant ses airs sympathiques et ses sourires bienveillants, ce fut la mine maussade et le regard noir lancant des éclairs qu'il arpentait les couloirs de Poudlard en direction de la maudite bibliothèque, lieu de souffrance et de torture du cerveau.
Arrivé à destination, il tentait d'ouvrir la très ancienne porte délabrée, chose qui était d'une difficulté exceptionnelle lorsqu'on avait les bras chargés de livres, de parchemins, de plumes et de bouteilles d'encre. Il essayait de libérer quelques doigts de son étreinte pour tenter d'actionner la poignée quand...

PATATRA !!!

Un petit mouvement de trop provoqua la chute de toutes ses affaires encombrantes qui s'éparpillèrent sur le sol, provoquant des dégâts ; Les flacons d'encre se brisèrent, bien, que, par chance, il n'y en ai pas eu sur les livres ni sur les parchemins, ces deux-çi, par contre, s'étalèrent un peu partout sur le sol... Olivier poussa un juron qu'il n'est pas préférable de vous répéter, puis, vraiment très en colère à présent, sortit sa baguette et marmonna :

- Réparo !

Les débris de bouteilles d'encre se recollèrent instantanément mais il était impossible d'y remettre l'encre. Heuresement pour lui, une d'entre elle avait survécu au triste sort des deux autres. Il ramassa ses affaires qu'il posa sur un seul bras d'un geste négligé, mais mis quand même sa bouteille d'encre dans son autre main par précaution. Avec celle-çi, il ouvrit la porte qui lui offrit le spectacle d'une pièce sinistre et silencieuse qui ne lui apportait aucun réconfort ni d'enthousiasme. D'une voix qu'il aurait voulu moins froide, il dit à l'intention de la femme d'un age mûr aux cheveux gris fer :

- Bonjour, Madame Pince.

Puis il alla s'asseoir tout seul à une table circulaire, il occupait trois places à lui tout seul( non, ce n'est pas parce qu'il est gros ), car il étala ses livres et ses parchemins aux deux places les plus proches de lui et entreprit de travailler.

* Bon, il va falloir commencer par ca devoir là qui est le plus long et le plus pénible, pff, en plus, je vais devoir aller fouiner dans les poussièreuses étagères de la vieille bibliothécaire qui va m'enguirlander si je touche d'un peu trop près ses précieux volumes *

Il se leva alors, et partit en traînant les pieds dans la direction des livres et, dès qu'il eut trouver le rayon qui concernait ses recherches, commença à chercher en se guidant de son doigt qu'il faisait délicatement glisser sur les reliures. Il ne trouvait pas et l'impatience commençait à monter en lui aussi rapidement que le rouge à ses joues lorsqu'on l'embarassait.

Ginny était dh'umeur maussade aujourd'hui , elle avait envie de tuait tout ce qui la regardait vous savez pourquoi parce que Rogue le professeur crasseux de potions lui avait demandait rien qu'à elle de faire un devoir de 10 pages parce qu'elle avait fait une grimace derriére son dos , avec un sujet vraiment vague : Expliquer une potions . La jeune Gryffondor ouvrit la porte d'un coup de pieds ce qui fit sursautait tout le monde puis elle rentra d'un pas rapide . Ginny ne remarqua pas Mme Pince qui la regardait d'un air sévére . Elle s'avança vers le rayon des potions , elle prit un livre au hasard puis elle vit une table au seulement les affaires d'une personne s'y trouvait , elle posa le livre quand même délicatement , les livres étaient pour elle quelques choses de précieux mais qu'est ce que je dis ? Je suis devenue Hermione Weasley ! Ginny ouvrit le livre , elle aurait tout donné pour être dans son lit à ce moment même .

La jeune Gryffondor jetta des regards glacial à tout le monde et elle aurait voulu criait pour se défoulait . Ginny sortit ses affaires quand elle remarqua que sa pluem avait taché son sac , elle serra les dents pour ne pas hurlait et faire fuir tout le monde . La jeune Weasley sortitsa baguette d'un geste vif puis elle dit entre ses dents :

Recurvite !

Les tâches d'encre disparurent puis elle essaya de se détendre pour ne pas bâcler son travail . La jeune Gryffondor vit alors MmePince qui la regardait avec un air bizarre . Ginny tourna la tête puis elle se mit en position de yoga en position pour trvaillait calmement . Ginny remarqua alors qu'elle s'était trompait de livre . Ginny se leva d'un bond faisant tomber sa chaise au passage puis elle alla cherchait l'encyclopédie des potions . Elle retourna à sa place d'un pas rapide puis elle se mit à feuilleter le livre , elle ne lisait pas vraiment , elle jettait des regards furtifs à tous les éléves ui la regardait .

Le jeune Serpentard s'attendait bien evidemment a une telle réaction de la part de cet élève. Mais Joyce ne comptait pas en rester la, ce n'est pas un Gryffondor qui alait lui dicter ce qu'il devait faire malgré son age fortement avancé par rapport au sien

** Tsss....tous aussi prévisibles les uns que les autres... **

Joyce avait déja vécu une situation simillaire a celle-ci, mais il n'avait pas réagi de la même manière, cette fois-ci il était bien plus serein, Le gryffondor ne l'impressionait aucunement malgré son âge. Joyce n'avait écouté qu'a moitié le discours d'énérvement de son protagoniste car il l'avait déja entendu plusieurs fois ; "nos deux maison ne sont pas vraiment célèbres pour leur amitié légendaire..." Pourquoi donc au fait ??
Joyce ne s'était pas jamais vraiment posé la question. Mais des lors qu'il se la posa il eut tout de suite les réponses qu'il lui fallût, mais ce Gryffondor ? connaissait-il la raison de la rivalité grandissante entre les Serpentards ainsi que les Gryffondors ?
Il allait bien evidemment lui posé la question malgré que celui -ci était fortement occupé, mais maintenant qu'il n'avait plus de quoi écrire, il accepterait sans doute de lui répondre...


Je ne compte en aucun cas t'ignorer, bien au contraire même, je ne désirerais pas me lamenter a lire un stupide bouquin, bien qu'il soit tout de même attrayant

Le jeune Serpentard mis un terme a sa lecture et il mis son bouqin de coté pour se consacrer entiérement a ce "Gryffondor" qui semblait dans tout ses états...

Donc pour commencer, si tu pourrais bien déposer cette plume qui ne te sert plus rien et m'écouter attentivement car je vais te poser une question très intéressante...

Malgré le fait qu'il pensait que le sang et or n'allait guère lui répondre, Joyce décida tout de même de lui poser la fameuse question, Après tout, on dit que les Gryff's sont généralement généreux et Sympathiques, il serait donc stupide qu'il ne lui réponde pas malgré que ce soit un Serpentard. Joyce avait l'intention de tirer des choses au clair et de pouvoir confirmer son avis sur les gryffondors

Bon. Nos deux maisons ne s'apprécient en aucun cas et ça n'est pas une découverte, mais toi pourquoi nous méprise tu nous Serpentard ?? Sache que je ne cherche aucunement a liée une quelconque amitié ou entente, je tiens juste a tirer des choses au clair...

Bien...

Le jeune Serpentard ne fut en aucun cas dérangé ni vexée par les propos tenus par ce sorcier. Joyce en a entendu beaucoup des méprises sur les Serpentards mais celle ci fut la plus emotionelle, le Gryffondor le pensait vraiment. Ce sorcier qui était énérvé il y a quelques instants sembait avoir calmé ses ardeurs, et il était beaucoup plus sociable a présent. en analysant les propos du jeune sang et or, Joyce put en venir a une conclusion fortement logique, les Gryffondors sont les gentilles et les serpentards les méchants...Bien sur cela n'est pas une découverte mais ce Gryffondor a fait ressortir cette impression de l'esprit de Joyce.
Mais malgré cela, ses idéaux et ses pensées vis-a-vis des Gryffondors restèrent intactes...

- Voila un bien beau discours de ta part....Pour ce qui est du Quidditch, je ne pratique pas ce sport au sein de Poudlard, donc je m'en contre fiche, qu'importe si nous avons rcours a des coups bas, du moment que la victoire est notre.
Pour ce qui est de notre méchanceté vis a vis des enfants de moldus, nous n'avons pas le choix, on nous a enseigner des valeurs tout au long de notre enfance et les renier serait manquer impudément de respect a nos parents.
Le destin choisis les sangs purs, les vrais sorciers, les sang impurs n'ont rien a faire dans notre monde, si nous somme si durs avec eux, c'est pour faire de la place a ceux qui le mérites...
Et si nous persistons a vous embêter, c'est que l'envie nous a soudainement pris, ou bien que nous n'avions d'autres projets en cours.
" Lorsque nous désirons quelque chose, nous l'obtenons toujours "
Souviens toi de cette phrase...Et sache que l'on ne changera jamais suite a vos stupides réfléctions sur nos actes...

** Tsss...il ne comprennes vraiment rien a rien ceux, comment est ce que des ignorants d'un telle niveau peuvent ils venir enseigner a Poudlard....Dumbledore n'as plus le niveau, c'est certain **

Suite a ses dires, Joyce resta neutre, il n'afficha aucune reaction positive/négative...Le fait de converser en compagnie d'un Gryffondor n'as fait qu'encourager son mépris pour les sangs impurs ainsi que les Gryffondors. A présent il n'attendait plus que de voir la réaction de son protagoniste.

Ecoute, nous ne demandons aucune estime de la part d'un quelconque Gryffondor. Le destin a décidé que nous serions rivaux jusqu'a la fin des temps, eh bien qu'il en soit ainsi.

Le jeune sorcier n'était pas enervé, bien au contraire, la reaction du Gryffondor l'amusait plus qu'autre chose. L'avis de joyce était que les sangs impurs n'avait leurs place dans le monde des sorciers et cet avis ne changera pour rien au monde, on lui a inqulcqué des valeurs lors de son anfance et a force que ses parents lui sermonnait chaque des méprises au sujets des sangs impurs, Joyce finit par se laisser aller et penser comme eux.
Au vu de la réaction de ce rouge et or, Joyce pouvait se demander si il n'était pas un sang impur lui même au vu de son intense colère a l'egard de Joyce...
Cela semblait lui tenir a coeur de protéger et défendre ces sangs impurs, mais qu'importe, Joyce pensait déja a reprendre son bouquin afin de poursuivre sa lecture...

Tu sais il serait bien mieux pour toi que tu laisse libre cours a tes sentiments et que tu me tappe dessus...Mais bon je pense sincérement que si tu le faisais, Mme Pince te sanctionnerais Lui dit il d'un ton amusé.


C'est donc a toi de voir a présent, soit tu laisse un Serpentard salir la réputation des sangs impurs, soit tu fais ce que tu as tant envie de faire.[/i]