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 Quand sorcier toucher du bois, hiver rigoureux [PV Bubulle]
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MessageSujet: Quand sorcier toucher du bois, hiver rigoureux [PV Bubulle]   Quand sorcier toucher du bois, hiver rigoureux [PV Bubulle] EmptyDim 5 Déc - 23:00:28

-Elza..
-Protego.
-J'ai besoin d'mon bouquin. Maintenant. Et ta baguette est par terre.

Les ongles diversement rongés enlacèrent, possessifs, la reliure de cuir -inconsciemment il va de soi. Inconnue au bataillon fronça le sourcil puis changea d'angle d'attaque.

-Pendant qu'j'y pense, t'aurais pas un frère ou un cousin ?

Mystérieusement, l'interrogation suscita une réaction -ô combien élaborée.

-Un poisson rouge. Violet. Enfin trois quarts.
-C'est bien Midnell ton nom de famille ? T'as pas un lien avec le septième année, t'sais, Eliad. Un préfet.
-Un quoi ?
-C'est un nom un peu moins répandu que Smith, quoi. Mais il te ressemble pas trop. Enfin j'le connais pas, mais physiquement.
-Le pauvre, compatit sincèrement l'enfant en refermant le manuel, mettant un terme à lecture et monologue.

Il est des procédés particulièrement frêles et douteux à éviter lorsque l'on commence un rp. Clamer son schizophrénique égotisme en plaçant, en frontispice, le pseudonyme de son personnage -par exemple. Disserter sur le thème admirablement éculé des origines. Surcharger ses phrases syntaxiquement parlant. Pour ma part, je classerai ces erreurs typiques au débutant dans la catégorie des péchés véniels: tout un chacun peut s'amender. Ciselant la rugosité des phonèmes, nous rédimerons l'univers. La jeune commère cligna des cils sous ses paupières fardées, son visage impassible trahissant quelque déception -à moins qu'il ne s'agît d'agacement. Elle s'accordait admirablement aux tentures (ou voilà-pourquoi-son-identité-m'échappe, c'est qu'on appelle faire tapisserie) ainsi qu'au mobilier. Lorsque Salazar avait, de ses petits doigts musclés, tracé les plans de cette salle, cette figure y était d'ores et déjà prévue, comme un détail. La poussière bancale se mariait à la chevelure, la plume s'enchâssait dans l'écrin des fauteuils, l'âtre ronflait comme cette chaussette beige, si beige. Les traits murés dans l'ombre s'accrochaient au hasard comme un écran fatal au mouvement des pierres. Marina ? Nan, ça c'était l'autre. La troisième blonde en entrant.

-Mon livre !
-Remercie-moi, il n'est pas très instructif. Tout le monde la connaît la thèse moisie de Harvey Gorgonos sur les méduses en Nouvelle-Zélande.

La quatrième année crut capter une lueur d'incompréhension dans le regard du feu alors que la salle entière répercutait ce qu'Anonyme ne s'abaissait pas à exprimer, coléreuse du sourcil: les quoi ? Les quoi ? Fière de ce savoir supérieur, moldu et de ses talents d'improvisatrice, caressant la vision d'un cerveau torturé à la poursuite du Gorgonos fantôme dans une boîte à sortilèges, elle lâcha dédaigneusement le bouquin et franchit la sortie, insensible aux reproches qui elle le savait ne manqueraient pas de la poursuivre le soir venu. Qu'importaient ces mortels ! Rien n'égalait sa vision d'esthète.

*
Les Fabula sont annonciatrices de neige. De sa boule de cristal renversée, même Trelawney aurait pu appréhender ce lien causal. D'où déduction d'une loi générale: "soit un aiglon alpha sortant d'une tour bêta, si et seulement si cette virée s'effectue à l'air libre, alors l'eau gèlera dans les nuées". Nous pouvons cependant rencontrer une aporie majeure: certains serdaigles batifolent régulièrement loin de Bibliothèque (et/ou du nid), étant plus adolescents qu'acharnés. Une telle observation suffira-t'elle à infirmer tout un raisonnement ? Non, pour peu que l'on remplace "un aiglon" par "une aiglonne brune, rationnelle, sérieuse et impavide, entre autres" -définition restrictive s'il en est. CQFD. A moins que ce ne soit la neige qui, par une mystérieuse polarisation, attire l'animal ? Rien ne permet de trancher et à ce jour la question reste ouverte. D'ailleurs, il ne neigeait pas.

Elza avait donc quatorze ans approximativement. Elle était devenue en peu de temps une jeune femme, sérieuse et rationnelle, le genre de fille qui n'éclate pas de rire en trébuchant sur un chat mort. Elle mesurait maintenant plus d'un mètre quarante, se faisait boucler les cheveux avec la même potion que feu Rogue, entretenait un petit ami, une vie sociale et sa manucure. Ses épicentres d'intérêt s'étaient déplacés vers la protection des elfes de maison et des dragées surprises. Il ne lui serait pas venu à l'esprit d'aller prendre l'air, la peur d'attraper des gerçures primant celle de l'inertie. Et les mangemorts étaient tombés, et le monde était heureux. Parfois, un souvenir aigu s'immisçait dans sa jeune mémoire: le plus marquant de l'année passée. Il se déclinait vivement à l'arrière-plan de son cerveau, éburnéen, chatoyant. Elle écoutait l'élasticité matutinale sur l'asphalte sans prendre garde au son insinuant se perpétrant aux limites de sa perception.. La lumière lui avait projeté les yeux dans le nerf optique: plissés plus qu'à l'ordinaire, ils balbutiaient comme ces noctuelles qu'elle aimait à brûler. Le crissement impossible échouant face aux lois de la physique; un choc aux alentours de sa hanche droite. Elle avait volé, dans ses yeux le tourbillon noir, la chevelure sur une musique au ralenti. Il y avait eu la douceur du goudron, enfin, le sang rêche et l'innocuité d'un sommeil brouillant. (C'était un flash-back). De peur d'étrangler dans l'oeuf cette séquence douloureuse, je tairai la pensée qui l'occupa alors que ses bras étonnés battaient l'air.
Se faire renverser par une voiture est une mésaventure plutôt stupide pour un sorcier. Se faire renverser par une voiture parce qu'on a oublié jusqu'à leur existence est une mésaventure plutôt stupide pour un sang-mêlé. Se faire renverser par une voiture en novembre est une mésaventure plutôt stupide lorsqu'on suit un cursus à Poudlard avec un grand P.
Boiter de la jambre droite s'était révélé une expérience intéressante, mais c'était à la gauche que revenait ce privilège.


*
Les bouquins provenant pour la plupart de la bibliothèque furent étalés dans l'herbe un rien boueuse -Mme Pince allait hurler. L'asiatique choisit pour chacun une page, qui devait rester la même malgré la brise et colonisa l'endroit par un jeu de possessions: la plume, une ceinture, une carte de cantine héritée de l'école primaire, un caillou visiblement passé au chaudron. Assise en tailleur, ayant tracé dans la terre quelques symboles cabalistiques, elle fronça le nez: herbe humide, temps maussade, ruisselet imperceptible. Truc sans adjectif. Elle n'était pas loin du bosquet le moins proche de la Forêt Interdite mais pas si près du lac. C'était quoi ? Allons, la science n'attendait pas. Les sortilèges de protection et alii nefonctionnaientquemoyennementdansl'enceintedePoudlard mais le corbeau-guetteur ne manquerait pas de l'alerter en cas d'intromission dans son périmètre carré -aux limites non plus corporelles, elle était devenue trop mature pour ces gamineries mais métaphysiques. Là. Ca faisait de la poussière, ce machin. Voire de la lumière. Mince. Elle cessa de faire tourner sa baguette et de surveiller simultanément "truc" et "pages"; malgré son génie, il lui aurait fallu le troisième oeil dans un cas à ce point délicate. Qui était cette ombre profilée de profil, à quelques mètres, marchant vers ou loin du château ?

-Fabula, conclut fort rigoureusement notre esprit critique.

Peut-être un peu trop fort: la messagère des neiges avait, semblait-il, tourné la tête. Elza se releva lentement et effectua un sautillement dans sa direction, mûe par une certaine curiosité. Une camarade qu'on n'a plus vu sauver de téléscope depuis presque un an a-t'elle acquis des rides ? Stoppant par hasard à 1,313 mètres de l'errante, la fillette la détailla des pieds aux cheveux sans pudeur, un peu déçue de ne rien constater qu'un accroissement vers le haut vertical. Puis de désigner vaguement ses propres attributs capillaires, attachés.

-T'as vu, c'est un vrai boyau de chaton. Je l'ai nettoyé et lié avec un sort.

Regard nerveux vers les pages de ses livres tressautantes. Regard critique vers les chaussures de la serdaigle.

-Attends, j'vais surveiller mes grimoires. Tu risques de perturber mon expérience, remarqua-t'elle en faisant demi-tour. Ayant atteint son cercle de culture, elle tourna de nouveau la tête et désigna un point entre les arbres.

-Tu vois cette chose qui brille ? Je crois qu'elle fait de la poussière ou du bruit mais j'arrive pas à déterminer. Si t'arrives à me renseigner là-dessus, euh.. Tu mérites une considération relative.

Il était prévisible que deux-trois flocons initient la distillation d'une ambiance plus hiémale.
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  • Fabula Aegis
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MessageSujet: Re: Quand sorcier toucher du bois, hiver rigoureux [PV Bubulle]   Quand sorcier toucher du bois, hiver rigoureux [PV Bubulle] EmptyLun 13 Juin - 22:09:06

[HJ]Donc si tu me cherches, je suis retournée me cacher loin du forum… Yeux [/HJ]

Depuis quelques semaines, de courts articles portant toujours sur le même sujet avaient fait leur apparition dans la Gazette.* Ils revenaient de temps en temps, ramenés pour la plupart sur quelques colonnes, signés le plus souvent par de simples initiales. Si leur présentation n’attirait pas l’attention, ce qu’ils relataient ne donnait pas non plus envie au lecteur de s’y attarder. Trop de mauvais souvenirs. Le monde des sorciers était passé à autre chose. Une ère nouvelle. Une ère qui n’était pas sans rappeler cependant celle que le Ministère se félicitait d’avoir quitté. C’étaient de meurtres, à peine mentionnés, jamais élucidés, dont parlaient ces articles. Mais qui s’en souciait, puisqu’il s’agissait de meurtres de Mangemorts ? Ils avaient ce qu’ils méritaient, voilà tout. Assassinés dans le coin d’une ruelle sombre, comme ils avaient pu le faire avec tant d’autres sorciers encore quelques mois auparavant. Autres temps, autres mœurs.

Fabula replia le journal d’un geste vif et le fourra dans son sac, abandonnant sa lecture en même temps que les restes de son repas. C’était là tout ce qu’avait à lui proposer le nouveau monde dans lequel les sorciers étaient entrés ? Elle n’en voulait pas. Elle voulait la justice. Celle qui condamnerait les Mangemorts à la lumière d’un tribunal et aux yeux de tous, à une longue agonie entre les murs d’Azkaban, ou pire. Celle qui leur ferait subir les mêmes tourments qu’ils avaient fait subir. La mort n’était pas une punition juste pour eux. Jonathan n’était pas mort, et chaque jour il vivait avec les souvenirs douloureux, ancrés dans son esprit et dans sa chair, de ce qu’il avait vécu. Mais le Ministère était lâche. Les Aurors étaient lâches. Quelqu’un faisait leur boulot à leur place, de manière plus radicale, et cela semblait leur épargner bien des tracas. Qui pouvait même assurer que ce n’était pas leur œuvre ? Après tout ce type de châtiment leur évitait de trop remuer un passé, au mieux douloureux pour certains et au pire compromettant pour d’autres. Fabula ne faisait pas davantage confiance à leur nouveau Ministre qu’à ses prédécesseurs. Les mensonges continuaient, d’une autre manière, sous une nouvelle politique.

Le hall d’entrée était parcouru de courants d’air et Fabula ne pût réprimer un frissonnement dès qu’elle eût passé les portes de la Grande Salle, où régnait une chaleur plus confortable. Son esprit se projetait déjà dans la salle commune des Serdaigle, au fond d’un fauteuil placé en face d’un feu ronflant. Au dernier moment pourtant, elle bifurqua en direction des portes principales donnant sur le parc. Son corps n’avait de toute évidence pas envie de se lover entre des coussins moelleux et d’avoir un livre, aussi passionnant soit-il, comme seul espace à parcourir pendant toute l’après-midi. Son corps, que son esprit indigné avait rendu nerveux, voulait pour se défouler parcourir les environs gelés du château. Son corps était bien stupide et son esprit espérait qu’il s’en apercevait maintenant qu’il était secoué de violents frissons. Dehors, l’atmosphère glaciale semblait avoir figé dans un linceul de givre le paysage. Sans réfléchir à une destination précise, Fabula déambula pendant un moment dans le parc, au hasard des chemins officieux et éphémères tracés par les hordes d’élèves se rendant ou revenant d’un cours donné à l’extérieur. Ce fût sur l’un d’entre eux que le Destin, la Fatalité, le Hasard ou Merlin l’appela :


- Fabula.

Et ce n’était pas une question. Ce n’était pas le reste non plus d’ailleurs, puisque Fabula ne tarda pas à apercevoir Elza se relever du sol où elle avait visiblement établi ses quartiers et se diriger vers elle. Cela faisait plusieurs éternités, au moins, qu’elles ne s’étaient plus croisées. En tout cas pas depuis l’année dernière et les sombres évènements qui l’avaient rythmée. Comme un signe envoyé à Fabula, la réapparition d’Elza dans son monde semblait vouloir lui confirmer le discours tenu par le Ministère et la Gazette : tout était vraiment en train de redevenir comme avant, de redevenir normal. Un seul détail clochait dans cette démonstration orchestrée par la Destinée : Elza n’était pas ce qu’on pouvait appeler un modèle de normalité. Si les deux jeunes filles avaient été ce genre de personnes, leurs retrouvailles auraient pu être émouvantes. Mais elles ne l’étaient pas – et à peine fût-ce des retrouvailles. Seule l’inspection minutieuse à laquelle procéda Elza rappela le temps qui avait pu s’écouler depuis la dernière fois qu’elles s’étaient adressées la parole. La conversation qui s’en suivit n’en portait déjà plus aucune trace.

- T'as vu, c'est un vrai boyau de chaton. Je l'ai nettoyé et lié avec un sort.
Les morts, les ministres, les professeurs de DCFM et les prédictions de Trelawney se succédaient, mais certaines choses semblaient ne pas devoir changer. Fabula esquissa un sourire sincère, comme un remerciement, en réponse à la remarque d’Elza. Elle était heureuse de retrouver cette fille, de qui elle n’avait pourtant jamais été particulièrement proche mais qu’elle appréciait. Peu lui importait que la Serpentard lui dise ou non la vérité à cet instant. Cette dernière lui rappelait juste qu’à défaut de revenir en arrière, tout pouvait encore redevenir normalement anormal.

- Il ne faudrait pas dire ça d’entrée de jeu, tu risques de mettre les gens mal à l’aise... Mais c’est un très beau boyau, rajouta Fabula, de peur de la vexer.
Elza se retourna alors avant de rajouter :

- Attends, j'vais surveiller mes grimoires. Tu risques de perturber mon expérience.
- Si j’avais été Page je me serais excusée, je crois, constata Fabula. Et c’est toi qui as perturbé ma sortie.
C’était important de replacer les choses avec Elza. Même si cette tâche n’était pas sans rappeler celle de Sisyphe et de son rocher.
- Tu vois cette chose qui brille ? Je crois qu'elle fait de la poussière ou du bruit mais j'arrive pas à déterminer. Si t'arrives à me renseigner là-dessus, euh.. Tu mérites une considération relative.

Fabula se rapprocha de la Serpentard et chercha du regard ce qui pouvait tellement la captiver. Plus loin, les arbres de la Forêt Interdite s’agitaient faiblement au rythme de la bise glaciale. Le ciel, uniformément gris, tamisait la lumière et aurait dû permettre d’apercevoir la moindre lueur. Pourtant Fabula ne voyait que l’herbe qui grisonnait et l’air qui givroyait. Jetant un coup d’œil suspicieux vers Elza, elle lui demanda simplement :
- Tu es sûre de toi ? Je ne vois rien…
Le froid se faisait ressentir plus vivement depuis qu’elle s’était arrêtée, et pourtant Fabula n’avait pas envie de repartir immédiatement. D’abord parce qu’il aurait été très impoli d’abandonner de la sorte une camarade en détresse, et la main secourable de la Serdaigle était bien connue de tous – ou pas ; ensuite et surtout parce qu’elle était curieuse de savoir quelle idée avait bien pu germer dans cet esprit elzien – et qui savait, peut-être y avait-il vraiment quelque chose de brillant, bruyant, poussiérant et intriguant que Fabula n’avait pas remarqué.
- Le mieux, ce serait de demander directement.

Fabula plongea la main dans son sac et fouilla quelque instant dans ce qui semblait n’avoir ni dessus ni dessous, avant de finalement en retirer l’exemplaire de la Gazette du Sorcier. Elle en arracha une page sans état d’âme, puis pointa sa baguette dessus en marmonnant un sort appris en cours de Métamorphose l’année précédente. Aussitôt, la page du journal sembla prendre vie et commença à se plier dans tous les sens, perdant en taille ce qu’elle gagnait en volume. Au final, une espèce encore inconnue d’oiseau apparue devant Elza et Fabula. La technique n’était pas sans rappeler celle moldue de l’origami, mais la finesse des détails et le semblant de vie qui habitait le volatile en papier n’en permettaient pas la comparaison. Sur un côté de son bec on pouvait lire le titre d’un article : « Sinistre plaisanterie ou menace réelle ? », tandis que la photo du Mangemort Avery s’agitait sur l’une de ses ailes.**

- McGonagall nous avait dit qu’on pouvait les faire chanter aussi, mais je ne me suis pas vraiment attardée sur l’exercice. Tu t’imagines comme je le regrette maintenant… Wingardium Leviosa.
Aussitôt l’oiseau s’envola, agitant inutilement ses ailes de papier. A la vitesse moyenne d’un élève se rendant en cours d’Histoire de la Magie, il se dirigea vers l’endroit désigné par Elza.

- Alors, que va-t-il arriver à notre envoyé, à ton avis ? Petit un, il se fait dévorer par un animal inconnu. Petit deux, il se met à brûler sous l’effet d’une manifestation magique inconnue. Petit trois, rien, il disparaît tranquillement entre les arbres et apporte des nouvelles de la communauté sorcière aux centaures. Petit quatre, rien, il se met à neiger trop fort et tombe à terre avant d’avoir pu atteindre son but, nous obligeant à trouver une autre solution pour percer le mystère. Les paris sont ouverts, les baguettes autorisées, rajouta Fabula dans un demi-sourire.

* parce que ça commence à faire loin… : cf La Gazette du Sorcier de novembre 1998
** cf La Gazette du Sorcier de décembre 1998, le topic se déroulant évidement avant la parution de l’article annonçant l’arrestation du meurtrier présumé.
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