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Année en cours : 1998

Lien vers la fiche de répartition :

Dossier d'infiltration de l'UMA
Comment en est elle arrivée là ?


Le ( très ) petit monde de Jez :


Amis proches :

Zéro, nada et le néant. Les "meilleurs amis" et tout le toutim ne sont que les gallons dont s’harnachent les tapeurs de thune et quémandeurs de service en tout genre.

Relations/connaissances :

Lucius Morden, lointain cousin sorti d'Azkaban qui lui fut d’une certaine aide lorsqu’elle se débattait dans la misère échue de son ancien nom si paradoxalement et cruellement éclatant…Un outil manquant d'envergure, mais qui a l'avantage d'être sacrifiable.
Sven Molovitch : Girouette et coupe princesse. Rien à en tirer.

Ennemis :

Rod Jugson, persécuteur et amant détesté.

Amants :

Rod Jugson, qui éveilla en elle un appétit vorace et aliénant avant d’être totalement abhorré. Presque.
Et accessoirement, Mr Wilford, officier de transaction au Ministère. [PNJ]


Choses utiles et superflues :

Baguette : Rigide, en bois d’acacia lustré, lisse et veiné d'entrelacs naturels au dessin occulte, renfermant un aiguillon de Manticore.
29, 2 centimètres d’offensive, aussi bonne pour attaquer que pour se défendre.

Balai : Ouaip. Un Valkyrja. Parfait pour les cascades et acrobaties aériennes.

Animal de compagnie : Un croisé de kneazle hargneux et borgne, le Colonel Pinch. Les deux font la paire guerrière.

L'attirail qu'elle ne quitte jamais : Mariée depuis le mois de mai 1996. Elle porte toujours son alliance à l'annulaire gauche, un bel anneau d'or jaune délicatement ciselé d'or rose.


Les cours :

Cours aimés ( profs validés ) : Nabil Hastet. Ce gars est puissant.

…Et Détestés ( profs à tuer ) : Vega Wyrd était dans la sauteuse. Trop alambiqué et bâtonifié du rectum. Elle lui a dit bo-bye bien avant son départ.

Options: Métamorphose avancée.
Points gagnés : 16, c’tune bosseuse…
Points perdus : 0


Les petits détails à prendre en compte :

Née le dimanche 24 octobre 1976 à 00h01, top départ d’envoi des cadeaux. A vos hiboux, emballez, postez !
Sang Pur
Mariée à Geoffrey Wilford, Sang Pur lui aussi, suffisament riche et suffisament altruiste/emmerdeur pour en gêner plus d'un parmi ceux pour qui le pedigree compte. Un traître à son sang, oui.

La Jez type :

1m69 des orteils jusqu’au sommet du crâne, mais facilement 1m72 avec les cheveux lorsqu’un orage bien électrique s’amène dans le ciel.
Droitière. C'est à dire qu'elle cogne un peu moins fort de la main gauche.
Bretonne d'origine. Elle n'a pas ou peu d'accent, mais découpe chaque mot distinctement dans une phrase, qui peuvent être bizarrement tournées (pas qu'en anglais d'ailleurs...), et ses intonations diffèrent. Sa voix, sans être grave, possède un timbre profond qui dénote une authentique force de caractère.
Grain de beauté caractéristique à droite au dessus de sa bouche, un autre ornant son sein gauche.
Ses cheveux se déploient en bouclettes et larges boucles lustrées jusqu’à ses omoplates et encadrent son visage en une crinière domptée au châtain chaleureux avivé de reflets dorés. Si ruissellement de sérum capillaire hors de prix il y a eu, sinon la luxuriance vire à la meule frisée, crêpée, sèche et moutonnée.
Une mâchoire forte et des yeux félins caractérisent son visage aux traits fins. Ses prunelles bordées de longs cils noirs s’embrasent et se ternissent au gré de ses pensées, le vert clair et lumineux de l’iris se faisant acide et velouté suivant les fluctuations des sentiments. Un front moyen qu’elle ceindrait volontiers d’un diadème, des sourcils à l’arc retouché, un petit nez à la retrousse presque enfantine, courbe douce des joues et lèvres ourlées achèvent le portrait de la donzelle. Il est à noter qu’elle porte cette tête de façon noble et qu’on aurait aucun mal à imaginer les encyclopédies empilées en équilibre sur le crâne de la petite débutante pour lui faire rentrer le maintien dans la caboche. Elle bouge et se tient donc élégamment. Quand elle le veut bien.
Jezabel est faite de rondeurs voluptueuses des épaules à la croupe. Hanches soulignées et cuisses qui ne ressemblent pas à des bras s’associent à sa manucure pour lui conférer une allure bouffie d’arrogance royale, féroce sauvage sous le vernis de la sophistication.