Le Deal du moment : -45%
Four encastrable Hisense BI64213EPB à ...
Voir le deal
299.99 €

Partagez
 
 A.S.P.I.C. Histoire de la Magie
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
  • Le Staff
    • Nombre de messages : 962
    • Date d'inscription : 17/04/2006
    Le Staff
  • Compte commun du Staff
MessageSujet: A.S.P.I.C. Histoire de la Magie   A.S.P.I.C. Histoire de la Magie EmptyVen 1 Mai - 15:40:26

HISTOIRE DE LA MAGIE
Accumulation de Sorcellerie Particulièrement Intensive et Contraignante




Consignes :
* Cet examen s'adresse uniquement aux élèves de 7ème année.
* Si vous avez choisi de passer cet examen, envoyez la "Partie I - Questions" par MP à Minerva McGonagall. La "Partie II - Dissertation" doit en revanche être postée sur le forum à la suite de ce message.
* Les notes seront affichées dans le topic "Résultats".
* Vous avez jusqu'au 30 Mai à minuit (IRL) pour répondre à cet examen.



Partie I - Questions (/6)

1) En quelle année fut fondée Poudlard, par qui et pourquoi ?
2) Quand a eu lieu la révolte des Gobelins ?
3) Qui sont : François Landevois et Vladislav Radimov (voir cours Binns sur le forum) ?

Partie II - Dissertation (/14)

1692, rupture ou renouveau du Monde Magique ? (20 lignes minimum)

FIN DU SUJET
Revenir en haut Aller en bas
  • Pénombre Craft
    • Nombre de messages : 2197
    • Age : 39
    • Date d'inscription : 02/04/2006

    • Pensine
      Statut sanguin: Pur
      Baguette magique:
    Pénombre Craft
  • Mage Noir Mage Noir
MessageSujet: Re: A.S.P.I.C. Histoire de la Magie   A.S.P.I.C. Histoire de la Magie EmptyMer 13 Mai - 23:25:41

[J’informe l’aimable correcteur/trice que je n’ai pas disserté depuis près de 6 ans maintenant, j’en appelle donc à toute sa grande compréhension et à son immense indulgence Yeux. Partie question Mpée.]



Partie II - Dissertation (/14)

1692, rupture ou renouveau du Monde Magique ?




L’année 1692 a été témoin de la création du Code International du Secret Magique qui a plongé le Monde Magique dans un secret dérobant son existence aux yeux moldus. Le Code est probablement la loi en vigueur la plus importante à ce jour dans la société sorcière et la Confédération qui l’a crée existe toujours aujourd'hui, veillant à l’application du Code par tous les pays du monde. Cette révolution ne s’est pourtant pas faite sans heurts et au regard des nombreux évènements importants ayant parsemée l’année 1692, il est intéressant de se demander s’il s’est agi d’une rupture ou d’un renouveau pour le Monde Magique.

Quels aspects de cette année là soulignent le concept de rupture ? Et quels sont les évènements responsables de cette fission entre le Monde Moldu et le Monde Magique ? Comment notre gouvernement a-t-il ensuite réagi à cela ? Comment la population sorcière a-t-elle vécu les décisions officielles ? Etait-ce les bonnes ? Car qu’est ce que les évènements de 1692 apportèrent finalement au Monde Magique dans sa quête de paix et de prospérité ? Enfin, quelles sont les conséquences bénéfiques actuelles des actions datant de 1692, qui permettraient de qualifier de renouveau, cette période ?

Nous devrons nous donc demander dans un premier temps pourquoi et comment la grande alliance forgée depuis des décennies entre les deux mondes n’a pas pu résister à l’antagonisme des modèles d’évolutions des sociétés Magique et Moldue. Aborder ces éléments qui facilitèrent l’évolution du contexte historique. Puis dans une seconde partie, nous soulignerons de quelle façon le gouvernement du Monde magique a tout de même pu éviter un conflit physique en prenant des mesures radicales qui symboliseront la rupture, nous développerons ces mesures en particulier. Ensuite dans une troisième partie, nous aborderons les réactions de la population sorcière à ces mesures en y étudiant l’aspect du sujet. Enfin, nous parlerons finalement de l’épanouissement du Monde magique après l’année 1692 et conclurons sur son renouveau.



I – La fin de la grande alliance forgée depuis des décennies entre les deux mondes.


A) De l’amitié à la rupture


1) Avant les années 1600.

Ces temps anciens content l'histoire de deux communautés vivant harmonieusement, côte à côte au travers de nombreux siècles.

Dans l'Egypte ancienne par exemple, les sorciers étaient des membres respectés, reconnus et estimés de la société et la magie était parfaitement intégrée dans celle-ci.

Mais le pouvoir faisant des envieux et la religion prenant peu à peu son essor, les deux communautés commencèrent lentement à s'éloigner l'une de l'autre et la confiance que témoignaient les moldus aux sorciers se mit dangereusement à s'étioler. Ils en vinrent même à maltraiter leurs frères et sœurs magiques, effrayés de ce qu’ils ne pouvaient logiquement comprendre. L'inimitié grandissante, quatre des sorciers les plus puissants du monde décidèrent alors de créer une école où ils pourraient instruire et entraîner les jeunes gens de leur sorte, loin du parasitage et des persécutions menées par les Moldus. Ainsi, Poudlard fut fondée aux alentours de la fin du premier millénaire.


2) Les Années 1600

Dans les années 1600, il y eût de très importantes révoltes de gobelins en Grande-Bretagne et leurs aléas ravagèrent aussi longtemps que sévèrement le pays tandis que ces décennies virent également la recrudescence des persécutions infligées aux sorciers par des fanatiques de l’Eglise atteindre son plus implacable sommet en matière de cruauté et d’agressivité. A l’image du chaos régnant entre les races humaine et gobeline, la lutte entre les deux communautés moldue et sorcière se marqua plus violemment, s'aggravant au fil des années, et c’est à partir des 17ème et 18ème siècles que les sorciers commencèrent à se retirer complètement de la société moldue. Ces années scellèrent alors la fin de leur amitié mutuelle au profit d’une complète séparation de leurs mondes.

Le contexte historique était d’ailleurs très tourmenté à cette période et ce, partout en Europe. Les classes dirigeantes sorcières devaient faire face aux nombreuses réclamations de leur peuple et les guerres qui parcouraient les continents n'arrangeaient rien à la tension ambiante. Les Moldus, quant à eux, étaient dans une phase un peu particulière : en France, c'était leur Roi qui prenait une importance phénoménale, littéralement hissé au même niveau que les Dieux. Il est d'ailleurs possible que Louis XIV ait profité des directives et compétences d'avisés conseillers sorciers pour réussir à illuminer de la sorte son pays. En parallèle, en Angleterre, les Stuart abandonnaient leurs tentatives de prise de pouvoir absolutistes et les moldus s'émancipaient grâce à l'habeas corpus.

De tous côtés, et de manières différentes, les Moldus affirmaient donc leur identité propre et individuelle, sans l'aide des sorciers, ou en l'occultant. Le Roi Soleil taisait le rôle de ses conseillers magiciens et en conservait toute la gloire tandis que les citoyens britanniques prenaient leur propre destin en main, limitant les pouvoirs de la noblesse et acquérant leur indépendance vis à vis de tout pouvoir, qu'il soit politique ou magique.

Ici, la rupture est déjà sous-jacente. La communauté sorcière commençait d’ores et déjà à passer dans l'ombre et à perdre tout pouvoir sur sa sœur moldue, toute identité vis-à-vis d’elle.

La persécution des sorciers par l’Eglise, que nous avons déjà évoquée, devint également un facteur féroce et elle força les plus récalcitrants à accepter le changement. La décision de couper définitivement les ponts entre le Monde Moldu et le Monde Magique fut prise. On parle alors clairement de rupture.



II) La réaction de la société sorcière.


Ce fut ainsi une période des plus sombres pour la Communauté Magique et c’est à cette éprouvante occasion que, pour la première fois depuis des siècles, tous les gouvernements du Monde Magique se rencontrèrent dans l'officiel objectif de trouver des solutions concrètes et efficaces à la terrible crise qu’ils traversaient.

La Confédération internationale des sorciers, chargée de surveiller les nombreux conseils et ministères nationaux, se réunit durant des semaines vers la fin du 17e siècle et ils finirent par concevoir ensemble, le très célèbre Code International du Secret Magique le 9 mars 1692. Les deux cultures furent définitivement séparées en deux mondes distincts, l’un généreusement pourvu de Magie tandis que l’autre s’adonnait lentement à une science méthodique et cartésienne.

Les problèmes pratiques que cela impliqua furent très nombreux.

Mais les gouvernements magiques prirent tout de même la responsabilité de maintenir leur communauté dans le secret et de veiller à également camoufler les manifestations très visibles de la magie comme le jeu du Quidditch par exemple, obligeant chaque ministère de la Magie de chaque nation à se maintenir au secret des moldus. Au cours des années suivantes, la magie devint pour les non sorciers ce qu'on peut désormais trouver dans leurs contes de fées et autres légendes. La séparation devint très nette.

Une telle révolution eut d’énormes conséquences lointaines et profondes ainsi que des répercussions directes voire même des réactions quasi immédiates car la communauté magique entière était présente autour de la table pour les négociations. La scission intérieure était problématique.

Après la ratification du Code International du Secret Magique, bon nombre de sorciers et plus particulièrement ceux qui vivaient en proche contact avec le monde Moldu ont vu leurs habitudes de vie largement se compliquer, il a fallu s’armer de prudence, bannir toutes manifestations explicites de magie et avoir recours à des sortilèges de dissimulation puissants afin d’éviter d’enfreindre les nouvelles lois entrées en vigueur. Dès lors, il n’était plus envisageable de survoler une ville moldue sur son balai magique ou à dos d’hippogriffe, de laisser les réserves naturelles de faune et de flore magique à portée des agglomérations non magiques ou d’en laisser l’accès totalement libre à ses habitants, comme cela avait été le cas avant que la sorcellerie ne devienne une source d’énergie litigieuse.

Un autre point fondamental fut le problème des créatures magiques comme brièvement évoqué précédemment. Non seulement les sorciers mais aussi ceux qui venaient d'être acceptés dans la catégorie des Êtres comme les centaures, gobelins et Êtres de l'eau participèrent aux débats à ce sujet. Ce qui compliqua les choses. Il fallait définir quelles espèces devaient passer sous le sceau du secret... Il fallut sept longues semaines pour tomber d'accord sur une liste de vingt sept espèces qui furent désormais cachées à la vue des Moldus.

Il est tout aussi bon de préciser que les tensions furent aussi plus qu'électriques entre sorciers et qu’il s'en est fallu de peu pour ne pas tomber dans une guerre thaumaturgique.

La Révolution dans le Monde Magique a enfin eu lieu et ce fut avec la fin des échanges moldus-sorciers mais également la fin de la supériorité sorcière sur les moldus que s’agença le cœur battant de la rupture.

Car les changements de structures et d'organisations qu'imposèrent le secret n'enchantèrent pas tout le monde et on observa un vif déchirement dans la communauté sorcière à ce sujet. Nous désignerons ce mécontentement, cette rigidité légitime au changement car fortement ancrée dans la nature humaine, sous l'intitulé d'Obstacles au Secret. Nous étudierons sa nature dans un premier temps puis les solutions qui lui furent apportée et enfin sa contribution aux aspects de rupture de l’année 1692. Commençons dès lors par les tensions, terme que nous attribuerons davantage aux sorciers, et les revendications qui furent l'acabit des Êtres magiques invités à établir le Code.



III- La résistance.



Un petit retour en arrière s’impose pour bien comprendre les vagues que fit la création du Code.

Au fil des siècles les membres de la communauté sorcière occupèrent différentes places dans la société moldue et tirèrent souvent avantage de leurs capacités, que ce soit en termes de richesse ou de prestige. Ces sorciers formaient une classe dominante et la grande majorité de ces puissants se pensaient supérieurs.

1692 est une date de rupture, comme nous venons de le voir, qui sous-entend une véritable révolution et qui dit révolution, dit forcément changements. Et les grands perdants de l'institution du code furent tous des membres de cette classe dominante, traditionaliste et puissante formée par les familles de Sang-Pur car de telles mesures n'allaient guère dans le même sens que leurs intérêts personnels. Elles contrariaient directement l'estime qu'ils accordaient aux moldus. Et si le constat et les tensions furent les mêmes à travers tout les pays du monde, l'Histoire retint cependant quelques noms dont l'un de nos ancêtres en la personne du Baron Rupert Isidor D'Aribow. La Russie mais aussi la France furent en proie à de terribles tensions et abritèrent les deux autres leaders des récalcitrants au changement.

Landevois, D'Aribow et Radimov, tels étaient les noms de ceux qui composaient ce bien sinistre trio. Tout trois étaient, je le répète, issus de puissantes familles de Sang-Pur, familles aux prestiges et aux richesses importantes et étroitement en lien avec le monde moldu. Ils fondèrent une organisation connue sous le nom de "Fiers Partisans de la Vérité". D'Aribow prononça son célèbre discours le 14 Mars 1692 en réponse immédiate à l'affront que constituait le Code pour ces hommes et c’est ainsi que naquit réellement le mouvement de protestations. La cassure d’opinions divisa plus férocement la population du Monde Magique.

Les Fiers Partisans de la Vérité axaient donc leurs discours sur une réalité, une vérité, leur existence. Existence qui, à en croire d'Aribow, n'avait de sens que si elle était visible de tous et donc des moldus qui représentaient à l'époque l'essentielle de la population. A Radimov de s'exclamer dans un célèbre discours en son pays : "Vivre ce n'est pas s'excuser !" On comprend donc que pour sa part, s'il existe et il existe, Radimov n'a pas à se cacher, à s'excuser. On s'excuse lorsque l'on a fauté, commis une erreur, on ne s'excuse pas d'exister. La soit disant légitime supériorité sorcière en prit un coup !

Les Fiers Partisans ne renonçaient devant rien et étendaient leurs discours à de nombreux domaines, cherchant à éveiller l'étincelle de l'injustice, de l'indignation, chez chaque membre de la communauté, quelques soient leurs origines sociales ou leurs nationalités. Mais pourquoi alors ont-ils échoué à propager leurs idéologies ?



IV – L’apaisement des tensions. L’épanouissement du Monde magique.



A) La fin de la résistance


La liberté d'expression à l'époque n'était pas identique à celle que nous connaissons de nos jours et le pouvoir en place n'avait pas souvent à s'embarrasser de simagrées, le trio fut prit en grippe. Rapidement on évalua le danger qu’ils représentaient pour la paix et ces hommes furent étroitement surveillés par leur gouvernement, leurs discours prohibés le 19 Mars de la même année par décret de la Confédération. Chacune de leurs manifestations fut alors clandestine ou, dans le cas contraire, se passa rarement sans incidents. A une époque où la population sorcière était dispersée de manière très sporadique au sein même de chacun des pays, le pari de toucher les masses, de s'adresser à l'ensemble de la population s'avéra audacieux. La diffusion des idées et la circulation des informations étaient toutes deux très lentes. De plus aucune presse clandestine n’eût le temps de se mettre en place à l’époque, car les réseaux étaient bien trop surveillés.

Le 20 Mars, Radimov, Langevois et D'Aribow furent accusés de crime contre le Secret Magique alors même que le traité ayant pour but d'instituer le Code d'un point de vue législatif en était encore à son stade embryonnaire. Aucuns décrets, aucunes lois n'interdisaient pourtant leurs actions et leurs discours. On assista à l'époque à un véritable état d'urgence ! La Confédération, par le biais de ces nombreux représentants nationaux se substitua à plus d'un gouvernement à travers le monde. Cette décision politique eut pour effet d'acculer les Partisans qui, piqués à vif, radicalisèrent leur mouvement.

Le 20 mars au soir se produisit une terrible manifestation de folie, de barbarie de la part des Partisans. Nul ne sait exactement ce qui s'est exactement passé ce soir là, mais une chose est certaine, aucun moldu ne put témoigner.


Dernière édition par Pénombre Craft le Mer 13 Mai - 23:33:02, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
  • Pénombre Craft
    • Nombre de messages : 2197
    • Age : 39
    • Date d'inscription : 02/04/2006

    • Pensine
      Statut sanguin: Pur
      Baguette magique:
    Pénombre Craft
  • Mage Noir Mage Noir
MessageSujet: Re: A.S.P.I.C. Histoire de la Magie   A.S.P.I.C. Histoire de la Magie EmptyMer 13 Mai - 23:27:17

B) Vers une coexistence pacifique (1692 à nos jours)

Avec la fin des opposants au Code, le climat s’apaisa enfin. Et si la question du Secret divisait encore politiquement de très nombreux sorciers, souvent voisins des moldus et donc premières victimes des troubles et des violences, de la frénésie du Clergé, ces derniers préféraient suivre de loin les débats ou du moins ne se prononçaient guère contre une décision qui était toutefois pour eux, synonyme de salut.

Mais pourquoi ? Pourquoi tous n'ont-ils pas opté pour le combat ? L'emploi de la force ? Avaient-ils peur de cette rupture trop franche avec un environnement habituel et coutumier contre laquelle le trio s’était battu ? Peur d’une guerre ouverte contre les non sorciers ?


C) L’épanouissement du Monde Magique


Pas exactement car il s'agissait à l'époque d'une réelle prise de conscience, la coexistence était non seulement inévitable mais aussi nécessaire car que pouvaient-ils espérer d’une cohabitation chaotique ? Quand bien même les sorciers auraient eu l'avantage sur les moldus, quel avenir auraient-ils proposé aux générations futures ? Celui de la guerre ? De la peur ? De la haine ? Non, cela aurait été pure folie. Nous retrouvons donc bien des principes moraux, de justice et d'égalité parmi les motivations du Code du Secret. Ce qui en sensibilisa plus d’un à sa cause.

Beaucoup de sorciers avaient également compris qu'ils ne pourraient pas supprimer les Moldus, et la plupart n'envisageaient pas de faire d’eux une sorte de peuple inférieur dominé par les sorciers. Ils avaient compris que la coexistence des deux groupes était inévitable, et donc qu'il faudrait observer des aménagements. Pour certains, le Secret était une bonne chose car il permettait à chacun de suivre son propre chemin vers ce progrès dont nous avons déjà évoqué l’importance. Les Moldus ont dès lors cessé de se reposer sur les sorciers, ce qui leur a permis d’accomplir d’importants progrès dans leur société tandis que les sorciers ont pu se consacrer à leurs travaux sur la magie.

Dans le monde et en Europe d'une manière plus importante et remarquable peut-être, nous assistons aux prémisses de ce que l'on a coutume d'appeler aujourd'hui "Siècle Éclairé" ou encore "Siècle des Lumières". Nous constaterons d'ailleurs que le Code du Secret n'est pas déconnecté de cette mouvance intellectuelle. Ce rapprochement historique est lui aussi lié à l'idée de progrès que nous allons décrire, ses implications sont évidentes.


D) Un renouveau dans la société sorcière


D'une manière plus générale il s'agissait d'un droit commun à jouir de la vie et, selon nos ancêtres, cette jouissance ne savait être optimale pour les moldus comme les sorciers qu'à travers la nécessaire existence du Secret. Le pacifisme était donc de rigueur, nous en revenons à l'idée d'une coexistence raisonnée, souhaitable aussi bien pour les uns que pour les autres. La plupart des sorciers voulaient vivre en paix et le Secret était la condition de cette paix.

Il s'agissait aussi d'un moyen pour se faire oublier de l'Eglise, bien que le siècle des lumières fit naître chez nos voisins privés de pouvoir, quelques réticences quant à une foi aveugle en un quelconque dieu. C’est la fin des persécutions de l’Eglise qui voit l’essor d’une société magique en paix. Le monde sorcier évolue : sa politique peut désormais canaliser son énergie dans le développement, sa culture se diversifie et se ramifie, sa démographie se stabilise dans l’équilibre. Une société mais aussi une population avec ses valeurs et son mode de vie à la magie omniprésente en paix, en prospérité.



V- Conclusion.


L’année 1692 est bel et bien une année de rupture. Mais une rupture qui permit un salvateur renouveau du Monde Magique en offrant la paix et la prospérité aux deux mondes. Chaque société s’épanouit et s’enrichit grâce au Code.

Le Code est probablement la loi la plus importante en vigueur dans le Monde Magique et la Confédération existe toujours aujourd'hui et s’évertue à faire appliquer le Code du secret aux pays enclins aux écarts.

La Communauté Magique est enfin sauve, même si la vigilance doit toujours de rigueur au fil des siècles, l'histoire l'a déjà prouvé.







Sources : http://pagesperso-orange.fr/david.colon/scpo/dissertation.pdf, http://www.encyclopedie-hp.org/timelines/main/timeline_pre1900.php, http://www.encyclopedie-hp.org/timelines/history_of_magic.php, http://www.encyclopedie-hp.org/essays/essay-ministry-history.php, http://www.encyclopedie-hp.org/timelines/timeline_quidditch.php, http://www.cyberprofs.com/Savoir-faire-une-dissertation-en-Histoire.html?artsuite=1,
Revenir en haut Aller en bas
  • Contenu sponsorisé
MessageSujet: Re: A.S.P.I.C. Histoire de la Magie   A.S.P.I.C. Histoire de la Magie Empty

Revenir en haut Aller en bas
 Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Le Miroir du Riséd :: Hors-Jeu :: Archives :: Années passées-