Le marché était scellé. Par le simple fait d'écrire ces quelques mots sur ce parchemin vierge, le jeune Serdaigle s'était engagé à jouer avec ... qui d'ailleurs ? Le parchemin ou une sorte d'esprit ?

« Lutter », tel était le verbe qu'il avait utilisé. Entre jouer et lutter, il y a une belle différence mais parfois les deux mots sont plus proches qu'on ne le croit.

Qu'advint-il alors lorsque le jeune homme écrivit sur la feuille ?

Elle disparut et sa plume aussi.

Ce n'était en fait ni un jeu de devinettes, ni quelque dialogue que ce soit avec le souvenir de quelqu'un.

Tout semblait pareil autour des deux jeunes gens. La grande salle, les gens, les tables. Mais quelque chose était pourtant différent.

Deux élèves de Serdaigle arrivèrent à ce moment là à la table des Serdaigles et l'un d'entre eux alla s'asseoir où se trouvait William. Pas à coté, pas à en face, mais bien exactement où il était. Il le traversa même.

Les deux Serdaigles étaient devenus complètement transparents à la vue et au touché de tous les autres... Personne ne les voyait, ne les entendait ou ne pouvait les sentir (touché et odorat^^).

Bien entendu tout cela était dans leur tête, lorsqu'ils auraient trouvé comme sortir de cette autre réalité ils se réveilleraient à la table des Serdaigle et personne n'aura remarqué ce qui leur était arrivé. Pour tout le monde, ce qui va arriver pour les deux Serdaigles ne durera qu'une fraction de secondes.

Leur esprit avait en fait été enchanté pour ce petit jeu qui n'était en fait drôle que pour celui qui l'avait déclenché.

Quoiqu'il en soit nos deux amis devaient trouver un moyen de se sortir de cette autre réalité où ils n'existaient pas.

Le parchemin réapparut alors pour leur laisser un petit indice. En effet, dessus il n'y avait qu'une seule phrase:

Citation :

Toute porte a une clef.

MOUHAHAHAHAAAA !!

[HJ: lol,j'ai l'impression que je vais me retrouver à poster tout seul...]


Dj:
Ou avait il bien pu arriver, tout semblait pareil qu'il y a quelques à l'execption qu'il n'existait plus. Etait ce ainsi quand l'on mourrait? Combien de temps se passait entre la mort et la reprise à l'autre vie? Tous l'avaient déjà oublié apparement. Il se sentait seul, très seul. Il y avait bien cette autre jeune fille, mais elle semblait tétaniser et ne plus pouvoir bouger.

**Bon Willy, que pourrais tu bien faire maintenant que tu es mort. Personne ne te voit. ** Il décida tout d'abord d'aller faire un petit tour chez Rusard, il révai de surprendre cette vieille chouette à toturer les élèves et monter des plans de plus en plus machiavèlique pour les élèves. A peine traverser deux murs il arriva dans son pseudo-bureau,c'est t'alors qu'il entendit un drole de bruit derrière un pan du mur. Il le traversa et entrevut Rusard en train de torturer un pauvre Pouffy. Pas étonnant qu'ils aient l'air si malheureux après. Il s'enfuit alors en courrant volant,le plus vite possible. **Comment pouvait ils continuer ses agissements sous le nez du sage Dumbledore?**

Sa question inrépondu,il se rendit compte que par mégarde,il était arrivé chez la professeur de Divination. [/b]

"Humm, encore un cour réussi à merveille, mais ce jeune Hugo,il faudrait que je songe à le faire partir. Si il continue,il ne tardera pas à découvrir, ce que tous pense déjà: Que je n'ai aucun talent"

Encore une révélation frappante. Son réveil dans l'autre vie lui apportait décidemment bien des révèlations. Il songea alors que c'était peut être le parcourt normal avant de quitter la Terre. **Autant que j'en profite alors.**
Une dernière chose le tracassait, et il voulait en etre sure. Ce professeur qui semblait si gentil, Flitwitch devait cacher bien des mystères.
Ainsi William le chercha durant des heures et des heures, qui ne semblaient pas s'écouler. Lorsque s'approchant de la forêt,il entendit cette douce voix pouffé un rire sournois. S'approchant sans ayant peur le moins du Monde, quand on est mort on est mort, il découvrit le professeur de sortilège en train de torturer un centaure. Ce dernier gémissait.

"Je préfèrerais mourir que servir le Seigneur des Ténèbres"

-"Tampis"

Un jai émeraude jailli de la baguette du petite homme. L'hybride n'était plus. William avait toujours su ces sombres desseins, mais il avait refusé d'y penser. Désormais il le redoutait. Les larmes lui montaient aux yeux devant tant d'effroi qui se réalisaient et qui pourtant il aurait pu empêcher. Il savait tout. Tout ces méfaits, tout ces décors, tout çà il le connaissait à la perfection. Si bien qu'il aurait pu les retranscrire à l'exactitude de tête.

Soudain ces derniers mots se répètèrent.


[b]"Oui, c'est çà. Ces lieux n'existent pas, ou plutot n'existent que dans ma tête."

Il pensa au saule cogneur,y jeta un coup d'oeil et comme par enchantement l'image qu'il associait toujours à cet arbre, se réalisait devant lui: Deux jeunes gens s'y s'était réfugiés et maintenant essayaient de se sauver.

**NON!!!**

Il était prisonnier de ses propres pensées, mais comment cela avait il pu bien se produire.

Soudain alors qu'il reprenait sa place dans la grande salle,pour la dixième fois,il lut quelques lettres sur une feuille de papier qu'il avait oublié. Il semblait s'être passé des siècles et pourtant seulement quelques heures.

**Toute porte à une clé mais que cela peut il bien signifier**