Nom : Keating
Prénom : John
Poste souhaité : Auror au ministère
Age de votre personnage : 25 ans
Age du posteur (en HJ) : 21 ans
Comment avez vous connu le forum? : Double Compte (communiquer par mp aux admins)
Grmbl!
Mais qui pouvait donc hurler ainsi dans son oreille. Qui pouvait être assez lève-tôt pour vouloir le réveiller ainsi. Qui d'autre que son deuxième réveille matin. Celui qui lui hurlait de se lever quand il n'avait pas encore bouger un doigt hors de son lit.
«Hey John! C'est l'heure»
Nom d'une mornille, John avait oublié de mettre son réveil à sonner. Résultat, il risquait d'arriver en retard pour son premier jour de travail. Lui, Auror au ministère de la magie. C'est que cette journée était une journée importante. Ah lala ... quel grand paresseux que ce John Keating. Toujours coiffé 'à l'arrache', et un éternel sourire sur le coin des lèvres, le jeune homme devait de nouveau se dépêcher pour ne pas arriver en retard pour prendre un dernier café dans son café bar habituel. Rapidement habillé, sommairement mais efficacement lavé, le jeune homme avait désormais une allure plus présentable, c'est à dire autre chose que son pijama avec des personnages de Toons sur le torse. Il revêtait désormais une tenue plus «normale», sans paraitre ringarde ou déplacée pour son nouveau travail
«Toujours aussi mal coiffé à ce que je vois» se dit-il à lui même, se voyant dans son miroir
Il faut dire que depuis sa naissance, voilà plus de 25 longues années désormais, John avait toujours eu les cheveux rebelles. Coiffeurs, gels, et autres produits de beautés, moldus comme sorciers, n'y avaient rien changé. D'aucuns disaient, hors d'atteintes des oreilles du jeune homme, que ses cheveux étaient habités par quelque chose, sans savoir précisément ce qu'était ce quelque chose. Quand à John, et bien il s'en moquait royalement, considérant qu'il y avait des choses plus importantes dans la vie qu'une coupe de cheveux, les résultats professionnels par exemple.Ou les convictions qui l'habitaient depuis toujours. Depuis que sa mère était morte, tuée dans un accident non loin d'un duel entres Aurors et Mangemorts.
A bien y penser, l'enfance de John avait été bien tranquille, sur qu'il intègrerait bientôt Poudlard. Alors bien sur il y'avait eu cette lettre, et cette liste de fournitures. Puis ses achats, la baguette du jeune homme. Bois de Rose, et crin de licorne. Femelle, la licorne. La répartition ... Sa nouvelle vie parmi ses camarades. Les souvenirs de John était tous parfaitement précis, criant de réalisme et de ses souvenirs qu'il garderait toujours dans son cœur. Car le jeune homme avait une mémoire eidétique. Il se souviendrait toute sa vie de chaque instant marquant dans sa vie.
Il repensait à sa mère. Quelle fierté pour cette médicomage, travaillant à Ste Mangouste, que de pouvoir affirmer à ses collègues que son fils prenait la digne voie de son père ou de sa mère après des résultats plus que bon à ses Examens. Et pour cause, puisque John avait toujours aimé l'art des potions, les sorts, la métamorphose. Mais avait décidé de prendre pour option les Runes, qu'il étudiait avec attention, et les soins aux créatures magiques, qu'il chérissait comme des trésors. Toute mère aurait été fière d'un enfant pensant aux autres, prenant soin des gens et des créatures, s'instruisant sans délaissé pour autant ses amis et sa famille. Même si John se laissait un peu vivre, comptant sur ses facilités pour ne pas avoir à trop travailler. Peut-être était-ce pour ces raisons qu'il s'était retrouvé dans la maison Jaune et Noire. Celle des Poufsouffles ...
«Ding Dang Dong! Il est l'heure de partir» annonça la pendule familiale. Relique d'un passé dont il ne savait pas tout, pas encore.
Donnant une dernière caresse au chat l'ayant adopté, puisque ce dernier était venu s'installer sous son toit l'année précédente, il se demanda s'il n'avait pas oublié quelque chose. Trop tard il réalisa ... il avait oublié son porte bonheur. Son grigri. Son faiseur de chance personnel et incessible. Sa peluche, vieille, en forme de blaireau, qui devait encore trainer dans son lit. Vous l'aurez peut-être compris, John avait un attrait irrésistible pour cet animal toujours gentil, souvent attachant, et ne lésinant pas sur sa peine qu'était le Blaireau.
Enfin, il était arrivée devant les portes du ministère. Il avait désiré entré par cette voie là, celle nécessitant l'utilisation de la cabine moldue. Pourquoi? ET bien aller savoir pourquoi? Les voies de John sont impénétrables. Et lui même n'y avait pas beaucoup réfléchit. Il était du genre instinctif, confiant à son instinct le choix de ses amis, des personnes à qui il pouvait faire confiances. Et du chemin qui le menait, présentement, à son travail.
«Bonjour» lança t'il à ses nouveaux collègues.
Il ne savait pas trop quoi ajouter, alors se présenta t-il sommairement, laissant au temps l'occasion de faire plus ample connaissance avec tout le monde.