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 Nous sommes les bienvenus,c'est écrit sur la porte [Fab']
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MessageSujet: Nous sommes les bienvenus,c'est écrit sur la porte [Fab']   Nous sommes les bienvenus,c'est écrit sur la porte [Fab'] EmptyLun 24 Nov - 12:41:49

Le Chemin de Traverse sous la neige, étrange. Comment pouvait-il y avoir un ciel ou quelque chose qui s'en approchât dans cet ailleurs magiquement artificiel ? A vrai dire, cette question était loin de préoccuper la plupart des sorcières et sorciers se hâtant, traînant sous les flocons, concentrés sur leurs achats de Noël, leurs congés ou plus souvent leurs pieds -s'étaler avec ses fioles nouvellements acquises au milieu d'un attroupement de collégiens n'est pas l'aspiration la plus répandue, même dans le monde ignoré des moldus. En fait ce n'est le désir de personne; non, il ne faut pas généraliser. Disons que ce n'est le désir de personne que je connaisse ou dont j'aie entendu parler. Maintenant, s'il se trouve dans votre entourage quelqu'un dont c'est le cas, je vous prie d'excuser ma suffisance et lui souhaite un prompt revers de fortune, après tout c'est Noël, comme précisé plus haut. Certains passant passaient, -waah, admirez l'élégance stylistique *.*- rêveurs, comparant sans doute cette vision du chemin dérobé à l'estivale qu'ils en avaient gardés, d'autres plus pragmatiques maudissaient cette foutue neige qui avait l'outrecuidance de les tremper jusqu'au cerveau, d'autres encore, pragmatiques et sensés, utilisaient un bête sort de remplissez-vous-même-ici-personnellement-j'en-connais-pas pour s'éviter ce désagrément. Et puis après tout, les attitudes et niveaux de stupidité de ces honorables bipèdes nous intéressent à peu près autant que la potentielle ascendance hyppogriffe de Shakespeare.

Adossée au mur d'une boutique miteuse dont on n'eut pu dire avec certitude s'il s'agissait d'un salon de coiffure version sorcier ou d'une animalerie, Elza s'adonnait à l'activité récurrente de ses ennuis: ridiculiser ou braquer le plus d'êtres vivants possible dans un rayon d'un kilomètre ou moins. Mais pour une fois, cela l'ennuyait vraiment; témoins ses mains rosies par le souffle hiémal qui trituraient vaguement sa poche avant de jean. Premier lundi après-midi des vacances, elle s'était rendue au Chaudron Baveur avec le simple désir de sortir, de demeurer au contact du monde magique qui offrait tant de possibles et pouvoir en plus. Sa baguette ici élément du décor indissociable de chacun lui avait déjà servi à libérer une bestiole bizarre pleine de dents et d'écailles, à emprunter un flacon de poudre non identifié chez Slug et Jiggers et à provoquer la chute malheureuse d'une espèce de châtainasse dont la tête était sans conteste celle d'une camarade d'enchantements. Tout ça à l'insu du plein gré de sa propriétaire, bien sûr. La fillette s'était également fait un devoir d'aborder tous ceux dont les lèvres bleuies de froid laissaient par intermittence apercevoir des dents bleuies de froid frissonnantes afin de leur demander poliment la localisation du glacier Fortarôme. Vite lassée de ce genre de petit jeu, elle s'était installée sur son sac et, les yeux fixés au niveau des toits d'un air d'intense concentration, comptait toutes les trente secondes le nombre de pigeons -humanoïdes, bien sûr- s'arrêtant un instant pour regarder à leur tour, intrigués. Et maintenant elle s'ennuyait; cessant de massacrer par l'érodation sa poche gauche, la verte et argent se leva brusquement pour se diriger vers le hasard -oh que c'est beau Cool - ici représenté par "sens contraire pris par la majorité des mortels" juste pour, machinalement, en gêner au moins quelques-uns, chose peu aisée au vu de la corpulence moineauesque de la fillette.

Ce fut donc guidée par la foule, mais dans l'autre sens qu'Elza atteignit la vitrine coruscante d'un magasin quelconque. Une rapide analyse et la connexion de deux neurones récalcitrants refusant de se défaire de l'option sordide & cie lui apprirent qu'elle se trouvait face à la devanture d'une boutique de chocolats. En levant la tête, la zone occipitale du cerveau enclencha la lecture, et la boutique susnommée devint Mrs Sin's Chocolates. Voyez tout ce qu'on peut apprendre en moins de neuf secondes. La brunette contempla donc la marchandise joliment exposée, détaillant sans grand intérêt les tablettes et sculptures comestibles, s'arrêtant un peu plus longtemps sur les innombrables emballages scintillant de nuances diverses mais toujours assorties. Finalement et sous la supplication muette de ses orteils transis, elle fit lentement demi-tour et poussa la porte.

Ah, question chaleur c'est tout de suite mieux, effectivement. Bon, maintenant il s'agissait de s'intéresser à la marchandise pour ne pas avoir trop l'air d'être entrée dans le seul but de passer l'hiver. Oh, ce qu'ils sont beaux ces chocolats. Et là, comme ils sont mignons ces.. euh.. mannes divines. Comme elles sont mignonnes, du coup. Si Elza avait su que la tenancière se trouvait être une véritable mangemort et non pas juste une potentielle bonne fréquentation, pour une fois, nulle doute que la visite l'aurait sans doute beaucoup intéressée et que chaque grain de cacao se serait chargé de poison. Comme elle ne pouvait même pas le soupçonner plus que d'habitude, elle s'en trouvait réduite à imaginer une potentielle collusion chocolat noir-blanc au préjudice du chocolat au lait; les premiers paraissaient avoir totalement éradiqué la deuxième espèce. Etrange. Inquiétant. Complètement barbant. Mais il restait les papiers brillants et froissables.
Alors que la kleptomanie menaçait de reprendre ses droits et que l'asiatique se penchait discrètement sur un bocal contenant des espèces de pralines aux couleurs particulièrement moirées, son coude heurta des côtes, relativement violemment ou en tout cas assez pour que la fautive en ressente une légère douleur.


- Oh, euh.. excusez-moi, j'ai le bras congelé. Les tympans aussi, pas besoin de me parler j'entendrais pas.

Elza ne s'embarassait jamais de crédibilité, alors quand il s'agissait d'avoir la paix.. Seulement, ce visage-là lui évoquait bien quelque chose; de longs cheveux bruns, une ou deux têtes de plus qu'elle, cette expression neutre, là.. une camarade de classe, non ? Fuyons. Ou pas, l'occasion rêvée de répandre des rumeurs macabres à une âme crédule, rumeurs que personne ne pourrait contredire avant janvier. Puis soudain, ce fut l'illumination.

- Ah tiens, c'est toi Fabula. Tu t'es perdue ?
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MessageSujet: Re: Nous sommes les bienvenus,c'est écrit sur la porte [Fab']   Nous sommes les bienvenus,c'est écrit sur la porte [Fab'] EmptyLun 29 Déc - 22:13:54

La neige avait commencé à tomber depuis quelques heures, mais aucun des flocons tourbillonnant depuis le ciel ne parvenaient jusqu’au sol du Chemin de Traverse, bondé en ce début de vacances. Les amas de cristaux étoilés, s’ils ne fondaient pas au contact de la foule dense qui grouillait au milieu des allées, n’achevaient leur chute que pour se transformer en une espèce de boue sale et vaseuse, dans laquelle les chaussures pataugeaient, glissaient, et se décollaient avec un léger bruit de succion. Premier lundi des congés de Noël, et toute la Grande-Bretagne magique semblait s’être donnée rendez-vous au même endroit au même moment pour faire ses sacramentaux achats de fêtes. Un flot de sorciers s’agglutinait devant les vitrines, envahissait l’intérieur des boutiques, emplissait l’allée principale sur toute sa largeur ; formant ainsi une vaste vague humaine rythmée par un continuel mouvement de flux et reflux sous un ciel chargé et bas. L’ambiance qui régnait lors de cet après-midi était paradoxalement aussi étouffante que l’air était glacial, et c’était bien évidement cette période à fuir comme la variole du dragon que les Peterson avaient choisie pour réaliser eux aussi leurs emplettes, accompagnés de Fabula et Tobias. Depuis que les deux enfants étaient entrés à Poudlard, leurs tuteurs rechignaient moins à les tenir éloigner du monde magique, et leur éducation moldue avait de toute évidence pris un terme. Fabula ne voulait pas y aller ; Tobias voulait y aller ; Fabula avait refusé ; Tobias avait insisté ; Fabula y était allée.

Passé le mur de briques qui séparait la cour du Chaudron Baveur de l’entrée du Chemin de Traverse, Fabula s’élança au travers de la foule en entraînant son frère par la main, juste après s’être entendue crier
« Rendez-vous ici dans trois heures ! » par un Jonathan Peterson résigné. L’instant d’après, ils avaient disparus, happés par les capes virevoltantes et le grouillement incessant des sacs pleins à ras-bord. S’ils croyaient qu’ils allaient les accompagner dans leur magasin de chaudrons ou boutique de brocante, ils se mettaient la baguette dans l’œil ; que chacun fasse ce qu’il avait à faire de son côté et les hyppogriffes seraient bien gardés. Fabula et Tobias passèrent d’abord devant le magasin d’accessoires de Quidditch, où ils ne manquèrent pas de s’émerveiller face au dernier modèle de balai, mis en vente à l’occasion de la période de Noël, le Nimbus 2010. Tobias tenait absolument à rentrer dans la boutique pour y essayer une nouvelle tenue qui vantait ses qualités aérodynamiques, mais le monde qui y régnait alors n’aurait même pas permis au professeur Flitwick de se faufiler à plus de deux mètres de la porte d’entrée. Un peu plus loin, ils dépassèrent le glacier de Florian Fortarôme, dont la seule décoration de Noël résidait cette année en une pancarte qui entravait la porte et sur laquelle était peint en grosses lettres rouges un sobre « Closed ». Visiblement, le ministère n’avait toujours pas retrouvé la trace du gérant disparu depuis l’été dernier.

- Allez, ne fais pas la tête Toby,dit l’aiglonne dans un sourire malicieux à son frère, doublement frustré de n’avoir eu ni tenue ni glace, qu’est-ce que tu dirais de faire un tour à l’Allée des Embrumes ?

Le visage du Poufsouffle s’illumina. Tous les deux avaient appris l’existence de cette allée peu fréquentable par le biais de conversations qui couraient dans leurs salles communes respectives, qui avaient immanquablement piqué leur curiosité à vif. Après avoir juré la veille à Mrs Peterson de ne jamais y mettre les pieds, le frère et la sœur s’étaient jeté un coup d’œil furtif qui voulait tout dire et par lequel il s’était immédiatement mis d’accord. Seulement, les choses se passant rarement comme on l’avait prévu initialement (dans la vie comme dans les histoires…), il en fut tout autrement ce jour-là : quelques instants seulement après que Fabula ait prononcé ces paroles, une dénommée Eleonora, prétendante du genre insistante, et reconduite par Tobias lors du Bal de Noël, fit son apparition au détour d’une allée. Le garçon, n’écoutant que son instinct, fila à l’anglaise, et Fabula se retrouva seule à jouer des coudes au milieu de la foule avant de comprendre ce qu’il venait de se passer. Ses projets furent alors quelque peu revus à la baisse : l’Allée des Embrumes, seule, lui paraissait soudain nettement moins attrayante. Elle continua d’avancer à l’aveuglette pendant encore un bon quart d’heure en espérant retrouver miraculeusement son frère au milieu de tout ce monde, avant d’enfin se perdre définitivement. La fillette avait beau être brillante en cours, le sens de l’orientation était un don qui lui faisait définitivement défaut ; et perdre Tobias revenait pour elle à perdre une précieuse - et unique - boussole. Il fallut aviser et improviser. Peut-être était-il allé se réfugier chez Pirouette et Badin ; ou bien à la nouvelle boutique que les désormais réputés frères Weasley venaient d’ouvrir ? Si l’idée lui parut judicieuse, elle fut cependant bien vite renvoyée à son point de départ : comment pouvait-elle chercher Tobias sans Tobias ?

Fabula se prit à déambuler au gré du hasard et des allées. Au fur et à mesure des boutiques qu’elle dépassait, son vague espoir de croiser un lieu ou un visage familier diminuait. La lumière grise et morne qui filtrait difficilement au travers des épais nuages, le froid mordant qui s’insinuait jusque sous ses vêtements finirent de l’achever. Elle allait mourir de froid ou de faim, abandonnée par son frère, seule au milieu de tous ces gens. Jamais ses mains délicates n’entreraient en contact avec le bois lisse et travaillé d’un Eclair de Feu, sa vengance sur Nathan resterait pour toujours inachevée, et aucune potion de son invention ne porterait son nom. Oh, des chocolats… Perdues dans ses pensées, son désespoir décuplé par le froid, la Serdaigle venait de dépasser une vitrine alléchante où étincelaient de mille feux des confiseries chatoyantes dont la teinte variait de l’ébène à l’ivoire, cernées par l’éclat de papiers multicolores qui papillonnaient autour de ces bonbons, tablettes ou figurines que l’œil trouvait à profusion. Fabula revint sur ses pas, leva la tête avec réticence pour lire l’enseigne de la chocolaterie, offrant par la même occasion une parcelle de son cou alors emmitouflé par l’écharpe aux couleurs de sa maison à la bise hivernale : «
Mrs Sin’s Chocolates ». Le tintement léger des clochettes de la porte d’entrée retentit dans le magasin.

L’odeur qui régnait à l’intérieur était tout aussi enchanteresse que le spectacle qui était donné à admirer de l’extérieur. Fabula desserra un peu l’écharpe qui la recouvrait presque jusqu’au nez, et étira ses doigts engourdis par le froid. La chaleur réconfortante qui régnait lui fit vite oublier la douleur qu’elle y ressentait, causée par le brusque changement de température. Bien que la boutique fût plutôt excentrée, la gérante devait faire face à une foule importante de clients affamés ou à court d’idées de cadeaux. Fabula se glissa jusqu’aux étalages qui offraient à portée d’yeux (et de mains…) des chocolats dont la diversité semblait infinie. Elle aperçut dans un coin des vastes paniers d’osiers travaillés qui regorgeaient de petites boules ovales et luisantes, de tailles et de couleurs multiples, qui ressemblaient ainsi à des perles précieuses ramenées d’un pays lointain. La Serdaigle s’en approcha encore un peu plus…


- Aïe !
- Oh, euh.. excusez-moi, j'ai le bras congelé. Les tympans aussi, pas besoin de me parler j'entendrais pas.

La voix lui était vaguement familière. Mais surtout, il ne pouvait y avoir qu’une seule personne pour dire une telle chose. Les yeux noirs d’Elza la fixèrent un moment, encore méfiants et accusateurs, avant de reprendre leur plus accoutumé air sibyllin en la reconnaissant.

- Ah tiens, c’est toi Fabula. Tu t’es perdue ?
- Non, c’est mon frère qui s’est perdu. Je le cherche…

« … dans une chocolaterie » fut la syntagme finale qui lui traversa l’esprit, mais qu’elle s’empêcha d’ajouter. Sentant revenir sur elle un regard suspect et moqueur, elle anticipa :

- Enfin, je suppose qu’il doit me chercher aussi. Donc plutôt que de se chercher bêtement tous les deux, je vais attendre qu’il me retrouve.

Comment échapper au ridicule, leçon 1 : ne jamais rien dire de trop. Ainsi, elle paraissait avoir l’esprit pratique des sorcières pragmatiques, en digne élève de Serdaigle ; et s’évitait d’exposer une fois de plus au grand jour son sens de l’orientation pitoyable. Bien que la réputation de celui-ci soit certainement parvenue jusqu’aux oreilles d’Elza, Fabula s’obstinait à nier l’évidence ; et l’orgueil l’emportait une fois de plus sur le bon sens. Ainsi se déroulèrent les retrouvailles chaleureuses et émouvantes des deux camarades de classe, résumées en quelques bribes de ce qui ressemblait vaguement à une conversation normale, mais incomplète. Car si les deux fillettes semblaient s’opposer en de nombreux points, leurs mondes respectifs s’accordaient au moins sur une chose : l’absurdité de certaines convenances sociales. L’une les respectait de manière fallacieusement obséquieuse, l’autre n’en avait cure, mais elles s’étaient implicitement entendues sur ce fait. C’était en cela que Fabula appréciait les moments qu’elle était amenée à passer avec Elza ; elle se sentait plus à l’aise avec cette fille étrange et décalée qu’avec tous les autres élèves qu’elle fréquentait chaque jour, et ce malgré le fait qu’elle ait encore bien du mal à la suivre dans tous ses raisonnements et agissements.

- Mais je t’ai interrompue je crois, reprit-elle en ayant compris l’intention première du geste qui les avait douloureusement rassemblées, je t’en pris, ne te gêne pas pour moi… Par contre il faudra acheter mon silence.

La fillette conclut dans un sourire fin mais joyeux. Elle était désormais complètement réchauffée et l’odeur enivrante de l’échoppe rassasiait psychologiquement en partie son estomac affamé. La patronne, une jeune femme brune plutôt séduisante, virevoltait à travers la salle, accaparée à chaque seconde qui passait par un nouveau client. Elle semblait à mille lieux d’avoir du temps à leur consacrer pour les « faire voyager à travers des centaines de saveurs et de subtilités », comme le mentionnait le parchemin affiché à l’entrée de la boutique, ou même de les surveiller pour qu’elles ne le fassent pas par elles-mêmes. Fabula la dévisagea un instant, puis reporta son attention sur Elza et les chocolats. Dans les magasins moldus, Tobias et elle étaient passés maîtres dans l’art de ce qu’on pourrait appeler le « 100% de rabais ». Mais elle s’était vite rendu compte que dans le monde magique, il fallait jouer plus finement que jamais pour tout ce qui ramenait au domaine de l’illégalité. La simple discrétion ne suffisant plus, elle rechigna à mettre en œuvre des trésors d’ingéniosité et abandonna rapidement ce qu’elle avait de toute façon toujours considéré comme un simple jeu sans conséquence.

- Fais attention quand même. Ils peuvent être ensorcelés, non ? Comme sécurité…

C’est qu’elle ne tenait pas à être accusée de complicité de vol juste avant Noël, grossière erreur tactique qui n’aurait pas manqué de réduire son capital cadeaux à peau de chagrin.


[HRP]Je sais que la principale intéressée n’est plus de notre monde ; mais comme mon post était déjà bien entamé je l’ai terminé...[/HRP]
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