Sommes nous si different que cela? (Privé Cissa et Penombre)

La vieille horloge de la tour d'astronomie, indiquait de ses grandes aiguilles de bronze, minuit. Les torches du chateau etait eteintent. Le nouveau couvre feu installé les eleves sont dans leurs salles communes dans le pays des reves. Seul Rusard et Miss teigne rodait encore dans les couloirs du chateau a la recherche d'eleves rebelles. Le Maitre de potion qui faisait sa petite tournée dans les cachots comme un vampire dans son antre.
Une silouette masculine sortait du chateau, vetue d'une grande cape noire. Son capuchon profond qui cachait sa chevelure brune et la moitié de son visage. On ne pouvait qu'appercevoir des pupilles grises. Une branche craquait sous son pied, nerveux il croyait que quelqu'un l'avait suivit. Il sautait dans un buisson proche, coucher dans les feuillages. Il sentit une pression lourde contre sa tete. Pas rassurer du tout c'était la premiere fois qui sortait apres le couvre feu car Cedric Diggory etait plutot le garcon qui suivait les regles. Il tournait legerement sa tete pour regarder si il ne courait pas un danger. De longues pattes elancés noires, devant lui. Un souffle chaud contre sa capuche sortant des narines de la creature. Son regard chaleureux levait plus haut, devant ses yeux se trouvait un sombral. C'était la premiere fois qui en voyait un. Il essayait de se souvenir si dans les cours on avait parler de cette creature, grand cheval sombre, au regard rouge comme le sang. Creusant au plus profond de sa memoire, il se souvenait que c'était des creatures craintives.

Coucou Moi c'est Cedric toi tu as un nom le sombral?

Dit--t-il dans un murmure pas l'effrayer.

Je suis desolé c'est pas que j'aime ta compagnie mais je dois aller rejoindre quelqu'un on se reverra surement...

Il se relevait rapidement, dans une course plus rapide, car elle etait surement deja arrivée. Il arrivait rapidement sur le pont, le bois était trempé car il y a quelques heures il avait pluit. Un vent froid souffle dans l'eau agiter du lac. Cette eau noire donc on ne peut pas les profondeurs. D'un coup violent le courant enlevait la capuche de sur sa tete. Le vent dansait dans ses cheveux dans sa cape qui volait derriere lui. Elle était pas encore la la personne donc il attendait. Il s'assesoit par terre, s'adossait contre une grande poutre de bois.

Pénombre était une fois encore dehors alors que la nuit envellopait paisiblement le lac et ses environs. Pour seules compagnes sa baguette magique et une dague noire, la jeune fille s'avançait en direction de la foret interdite dans le fol espoir d'apercevoir des créatures nocturnes rares et belles qui préféraient la lune au soleil.. Son regard fut attiré par un mouvement furtif prés du lac. Inquiète, Pénombre resairr son etreinte sur l'ebene de sa baguette. Puis, plissant les yeux pour mieux voir, elle s'aperçut de la familiarité de cette silhouette...Un vent glacial se leva soudain et rejetta en arrière la capuche de l'inconnu...
Des cheveux chatain et un visage bien masculin... Pas de doutes, c'était Lui. Son coeur manqua un battement...Elle regarda rapidement autour d'elle...Personne...Aprés plusieurs longues minutes d'hésitaion, la jeune fille s'avança vers le jeune homme presque à contre coeur en silence, d'un pas félin et prudent... Elle n'était plus désormais qu'à portée de bras, soit 1 mètres , 1.50mètres... Elle soupira mentalement puis avança jusqu'à sa hauteur, revelant sa présence :

" Que fait tu ici ? "

Surprit par sa voix familiere, Cette magnifique silouette feminine, une chevelure noire dans le vent, un regard sombre avec une telle chaleur se qui est rare chez un serpentard ses etres si cruels. Il reculait vers le lac sans s'en rendre contre. Un pied dans le vide, l'autre sur le bois. Il pendit l'equilibre, tombant dans l'eau glacée du lac. Il laissait echapper un petit cri de surprise. Tu était assez proche du bord que tu t'etait fait eclaboussier par sa chute., il s'assomait sur le bord du pont en bois. Il tombait dans les vappes.L'eau du lac noir était de la temperature tiede. Il coulait dans le fond du lac, sans se reveiller, insconcient.
La lueur de la lune eclairait l'encre sur l'eau.
Apres quelques minutes Penombre devait s'inquieter de ne pas le voir remonter.
L'eau penetrait dans ses poumons lui coupait l'oxygene. Il mourrait a petit feu.

Elle le vit sursauter et perdre son équilibre sous la surprise. Instinctivement, Pénombre tendit la main et attrapa sa veste dans le but de le garder sur la berge mais le poids et l'élan, donnèrent une fois de plus raison à la gravité. Cédric chuta dans les flots sombres du lac en éclaboussant sauvagement la jeune fille... Elle s'appreta à raler en anticipant la morsure de l'eau froide mais fut étonnée de constater sa tiédeur...
Dans un délire complétement inconscient, Pénombre se dévetit de sa veste et son pantalon d'uniforme pour se retrouver en débardeur et boxer. Elle garda cependant sa baguette dans l'élastique de son bas et plongea à la manière des nageurs dans le lac, rejoindre Cédric dans un sourire...
Elle nagea jusqu'à lui et passa sa main dans ses cheveux trempés pour dégager son regard, son autre main posée sur son épaule dans un geste stabilisateur :

" Tout va bien ? Tu ne t'es pas blessé ? "

Mais il semblait inerte, un frison la parcourut, elle sortit rapidement sa baguette et lanca :

"Locomotor corpus !"

Le corps du jeune homme se leva dans les airs, guidée par la baguette de la jeune fille et se posa sur la berge, l'eau alourdissant ses vetements , rendant le corps plus lourd et donc difficile à manoeuvrer. Une fois qu'il fut quasiment hors de danger, d'un geste assuré, Pénombre prit appui sur ses deux bras, et posa un genou sur le ponton de bois. Elle regarda Cédric, qui n'avait toujours pas repris conscience, elle constata rapidement qu'il ne respirait plus. La jeune fille posa ses mains sur les pans de sa veste et l'arracha brutalement, découvrant son torse ambré, elle posa ses deux mains sur son thorax au niveau du sternum et elle commença à lui faire un massage cardiaque....
Un, deux, trois....quinze.
Aussi incroyable que cela puisse paraitre, Pénombre n'avait pas pensé une seule fois à lui lancer un Revigor, cette technique de massage cardiaque moldue lui était trés familière et était redoutablement plus efficace pour faire repartir le coeur...
Elle s'approcha de son visage, basculant sa tête en arrière pour permettre le passage de l'air et lui boucha le nez, la jeune fille posa ses lèvres brulantes contre les siennes et commença à lui souffler son propre air.... Il ne bougeait toujours pas, elle souffla de nouveau de l'air dans ses poumons puis elle se remit à le masser. Completement paniquée par l'idée de le perdre, des larmes commençaient à couler sur ses joues, se mélant à l'eau tiède du lac qui goutait de ses mèches sombres :

" Ne pars pas , je t'en prie... Ne me laisses pas..."

Ses gestes gardaient de leur détermination à le ramener à la vie mais son coeur défaillait devant ce spectacle morbide...Il ne pouvait pas s'en aller, pas de cette façon.. Pas maintenant...

Son coeur avait cesser de battre, le souffle de sa vie s'en allait peu a peu. Sa chevelure brune trempée posé sur le bois froid et humide du lac. Lentement son coeur pompait de nouveau son sang.
Tout a coup, il crachait l'eau qui lui avait entrer dans les poumons, toussant. dans une tout profonde. Il avait relever legerement la tete puis la reposait sur le bois. Dans un mouvement de stress il attrapait ton poignet le serrant de toute ses forces. Cedric voulait sentir ta présence, au pres de lui. Sa respiration etait lente, sa pointrine bougait sous la respiration. Une fumée blanche sortant de entre ses levres. Sa peau avait perdue sa chaleur. Des ruisseaux de gouttes de pluies coulait sur le satin de son corps. Il avait rester trop longtemps dans le lac, l'averse de pluie etait froide, le courant du vent glaciale. Le teint de sa peau était aussi blanche de celle des vampires. Ses paupieres était toujours fermées.

Penombre j'ai froid... rechauffe moi...

Dit-t-il d'une voix affaiblie. Il tremblait legerement, car des frissons lui parcourait le corps.

Penombre que tu me manques, je voudrais tellement qu'on revienne ensemble ..

Pénombre fut soulagée de l'entendre tousser. Au moins il était en vie mais pâle, si pâle.... Lorsqu'il se releva , Pénombre avait posé sa main dans son dos, et donnait des acoups pour l'aider à expirer l'eau de ses poumons. Lorsqu'il parla, une nouvelle douleur lui etreignit le coeur. C'était sa faute si cela se passait de la sorte, elle était responsable de sa chute, la jeune fille ramassa sa cape au sol, encore sèche, puis la passa autour des epaules de Cédric, elle le prit ensuite dans ses bras et le frictionna activement pour le rechaufer... Un air anxieux et inquiet se peignait sur son visage, mélangé à sa culpabilité intérieur....

" Ne t'en fais pas... Je suis là...Je suis là..."

Elle le serrait dans ses bras de toutes ses forces, elle ne voulait pas le perdre, tout cela lui semblait tellement distant, comme si elle n'habitait plus son corps, une sorte de défense contre le surplus d'émotion qui lui nouait la gorge.... Elle passait sa main dans ses cheveux pour en retirer l'eau. Pénombre dégaina sa baguette etjeta un sort pour secher ses vetements trempés, il était frigorifié. Desepérée, elle opta pour la dernière solution qui s'offrait à elle. Pénombre descendit ses lèvres sur les siennes et rencontra celles froides de Cédric, elle y posa un baiser chaud et doux, puis elle introduit sa langue dans sa bouche et chercha la sienne, l'enlaçant dans un ballet passionné, glissant ses bras autour de son cou, lui communiquant la chaleur de son propre corps... Il fallait à tout prix le rechauffer sinon il perdrait bientôt connaissance...

Son torse était nu, les gouttes de pluie dégoulaient le long de ses muscles. Sa peau était blanche comme les premiers flocons de l'hiver, la saison morte. Le doux tissus de velour noir de la cape de Penombre venant se poser sur les epaules d'athletes du garcon. Elle voulait le rechauffer, de cet evenement glacial. Il glissait ses mains froides sur la peau de Penombre pour y voler sa chaleur. Un frison lui parcourait la colonne vertebrale quand elle passait sa main dans les meches de cheveux de Cedric pour secher sa chevelure, mais les meches brunes était toujours couler au satin marbré, sa peau. Il sortit une baguette dans sa chevelure chataine, mais il avait confiance en la serpentard qu'elle ne lui ferait pas de mal. La formule avait mal tourner que le garcon se retrouvait les meches de sa chevelure dans les airs comme si il avait foudroyer par une eclair. Il eclata de rire,amusé par ce petit evenement.
Ne t'en fais pas je t'en veux pas
Une fumée blanche sortait de sa bouche, pour y dire qu'il était toujours aussi glacé. Elle descendait ses levres vers celle du jeune homme. Son baiser etait si chaud si doux. Il gouttait a ses levres au gout de l'amour. Elle introduit sa langue entre ses levres bleutés de Cedric. Il mordillait le bout de la langue de penombre avec ses dents. Il jouait avec celle-ci l'emelant a la sienne. Sa salive se melait avec celle de Penombre. Il mordait sa levre inferieur doucement fesant couler un filet de sang sur ses levres. Il recommencait a l'embrasser buvant le sang qui coulait sur sa langue. Il enlevait les bras de la jeune fille de autour son cou. Il s'allongait sur le bois du pont mouiller, tirait Penombre sur lui.
Penombre tu me manques, je voudrais qu'on revienne semble, je sais que tu as un autre cavalier au bal j'en est entendu parler, mais je ferais tout pour te ravoir
Sa cape etait sous leurs corps, l'eau s'imprimait dans le tissus. La lueur de la lune éclairait leurs corps sous la belle etoile.