Nom Echeberry
Prénoms Edwin Alan
Age en HJ 16
Age du personnage 15 ans (Cousin de Clarisse, qui en a désormais 13...)
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Son premier pas à Poudlard. A cette époque-là déjà, et du haut de ses 11 ans, Edwin s'était laissé pousser deux mèches pour encadrer son visage, et bien qu'elles étaient courtes à l'époque, elles lui conférait un petit air "rebelle", ce côté qu'il aimait tant et qui lui rappelait les photos de jeunesse de son père. Laissez-moi revenir en arrière ...


Voyageant entre l'Irlande - leur pays natal - et l'Ecosse - à chaque fin d'année pour voir la famille -, Edwin Alan et ses deux soeurs jumelles connurent une enfance très mouvementée, dès l'âge de six ans, avec pour seul parent un père très stréssé et en constante recherche de soi. Carliste avait en effet été très longtemps quelqu'un de froid et distant, et le changement qui s'opérait en lui se faisait par les voyages. Bon, soit. Ayant hériter de la joie de vivre et du sourire rayonnant de sa mère Indienne, Edwin ne fut pas le genre de marmot à se plaindre à tort et à travers.

Il connaissait peu ses cousins et sa grand-mère, en raison du court moment qu'il passait en Ecosse, mais celà n'empèche qu'il profitait à fond de sa famille, allant même parfois jusqu'à devenir insupportable pour Clarisse. Car Edwin était un jeune garçon joueur, blagueur, joyeux et sa cousine était petite, peu récéptive à ses jeux et voulant à tout prix qu'il lui foute la paix. Mais au fond, il la trouvait si mimi... comme ses petites soeurs Bella et Dora qu'il chérissait plus que tout. Et si l'amour qu'il donnait aux filles de sa vie se révéla moins démonstratif au fil des années, il ne disparut jamais. Aujourd'hui encore, il est présent en lui.

Le sang Indien qui coulait dans ses veines et le souvenir de sa mère éveillait en lui des traditions instinctives, disait son père à sa grand mère. Pourtant la présence de Karen - la nouvelle femme de son père - opéra un changement plutot radical en lui : habitué à vivre avec son père et le souvenir de sa mère, Edwin ne s'était jamais réellement attendu à ce que Karen prenne une telle place dans sa vie et il ne fut pas trop en "paix" avec elle, intérieurement, malgré le fait qu'il appreciât sa joie de vivre. Et au fur et à mesure des années il changea, devenant plus sombre et plus distant.

Ce n'est qu'en traînant dans les maisons de quartier, en voyant la situation de chacun, qu'il apprit à relativiser et surtout à devenir bien plus indépendant. Il découvrit par la même occasion la musique grâce à un des animateurs et les années suivantes ne tournèrent qu'autour de la découverte de divers instruments. Il se prit aussi de passion pour le football, un sport moldu assez tendance, et chaque fois qu'il rentre chez lui en Irlande, il ne manque pas un match de l'équipe locale. La vie de tous les jours lui forgea une culture assez impressionnante, un sens critique et un certain sens de l'ironie. En fait, Edwin était vif et insoumis, et surprenait son entourage par son imprévisibilité et son imagination débordante.

Plus sûr de soi ? Peut-être... car la bonne humeur ne le quitta jamais vraiment, surtout devant ses soeurs. Il les éduquait à sa manière, son père et Karen étant souvent occupés, et se permit même un jour d'aller rendre visite à Clarisse et Lilian en compagnie d'un de ses oncles qui passait par là. Cette époque marqua aussi l'apparition de son potientiel magique, qui allait se révéler utile pour ses années d'étude à Poudlard. Un peu voyou sur les bords quand même, son bon fond et le code moral qui lui a été inculqué par son père lui permirent de ne pas dépasser certaines limites. Ce qui n'a pas toujours été le cas de ses camarades, ni même de certains de ses amis. Ambitieux et déterminé, à 10 ans deja il connaissait les sorts de premier cycle sur le bout des doigts (sans pour autant les maitriser).

Lorsqu'il reçut la lettre et qu'il partit, il eut un petit pincement au coeur. La dure séparation avec ses soeurs. Mais la certitude de les retrouver quelques années plus tard. Sur le quai de la gare, il embrassa son père et Karen, leur promit de leur écrire et d'envoyer une lettre à sa tante Océane, puis partit finalement. Comme il était habitué à faire, après tout. Voyager.


Le chateau était éclairé de mille lueurs. Les cheveux sombres et mi longs de l'Ecossais entouraient son visage mat et son regard sombre. Un petit sourire quittait rarement ses lèvres surtout lorsque la calèche était victime de secousses. Une fois à l'intérieur, ses yeux parcoururent l'ensemble des tapisseries avec un air hébété, vite remplacé par une mine sérieuse et attentive. L'épreuve du choipeau arriva... il ne convoitait pas de maison en particulier.

Huumm...



Je dirais...




GRYFFONDOR !!!


( Je te mets en cinquième année! Bon jeu! )