Bureau du Professeur Flitwick

Le bureau du Professeur Flitwick est une petite pièce située derrière la salle de Sortilèges et Enchantements. On y accède par une petite porte située près du grand tableau noir. L'entrée est protégée par un Sortilège de Jambencoton qui touche toute personne qui cherche à y pénétrer sans autorisation.
La pièce mesure environ quatre mètres sur trois. Le bureau est posé en plein milieu, tous les murs étant couverts d'étagères pleines de livres, la collection personnelle du professeur, et de placards sans fond contenant un amas d'objets hétéroclites. Seule une fenètre, percée assez haut dans le mure, apporte de la lumière, ce qui explique surement la myopie du petit homme, ainsi que les quinze bougies qui y brûlent en permanence.
Deux fauteuils confortables sont installés en face du bureau, afin de permettre à tout visiteur d'être bien assis. Le bureau est recouvert de tas de papiers qui s'accumulent depuis une trentaine d'années. Seule une pile de copies est parfaitement ordonnée.

Il est fortement conseillé de frapper et d'attendre l'autorisation du professeur avant d'entrer.

Jonathan était dans le dortoir des garçons, et quelque chose de dingue le préoccupait. Il avait une question qu'il avait besoin de poser au professeur qui enseignait les Sortilèges et Enchantements : Filius Flitwick. C'était un homme de très petite taille, à la voix futée, avec un beau visage et des cheveux blancs. Bref. Un brave homme ! Jonathan se décida donc finalement, en cette heure assez matinale ( 6 : 30 ) à aller lui parler. Il alla vite fait, bien fait aux douches de Poufsouffles, et arriva très bientôt dans les couloirs. Il avait nefilé un pull sur lequel ñetait brodé un logo jaune et noir. Celui des Pouffys si vous aviez pas remarqué ! Un jean normal, avec des déchirures aux niveau de pieds, ainsi qu'un collier en pur argent. Il arriva après 5 minutes de marche très rapide devant le bureau de son professeur. Mais alors qu'il voulait rentrer dans la Salle de Cours, il préféra toquer. Mais personne ne répondit. Il ouvrit quand même la porte.. Si personne ne l'avait encouragé à entrer, c'était parce que le bureau du professeur était situé dans une ptite pièce derrière la porte noire qu'il avait vu à son précédent cours. Il s'avança rapidement, évitant par-ci par-là une table ou une chaise, et toqua à la pore. Il attendit le signal avant de rentrer.

Flitwick avait très mal dormi cette nuit là. Il avait étudié très tard les raisons pour lesquelles un sortilège d'attraction ou d'expulsion pouvait provoquer une expulsion mais n'avait pour l'instant rien observé de satisfaisant. Il s'était ensuite couché dans son petit lit situé dans une pièce presque secrète derrière son bureau. En fait elle n'était pas secrète du tout mais personne d'autre que lui n'y était jamais entré depuis plus de trente cinq ans, aussi tous avaient oublié son existence. Probablement même ce cher Dumbledore. Malheureusement le sommeil n'avait pas été au rendez vous. Oh il avait bien du s'assoupir quelques minutes par-ci par-là mais il avait très vite renoncé. Vers quatre heures du matin, il passa une robe de chambre pourpre et ses pantoufles et se traîna jusqu'à son bureau afin de se choisir un livre pour s'occuper. Il décida de relire les 1001 Sorts ménagers indispensables à la bonne sorcière, une oeuvre datant de 1853 mais qui restait la référence absolue dans le domaine. Il retourna à son lit et feuilleta le gros manuel, à la recherche d'un sort qu'il aurait pu oublier.

Le temps passa et, absorbé par sa lecture, le petit homme n'entendit pas les gonds de la porte de la salle de classe grincer. Il n'entendit pas non plus le petit bruit de pas qui suivit et qui s'approchait de ses appartements. Trois coups furent frappés à la porte ce qui fit sursauter le professeur. Il jeta un coup d'oeil au grand cadran de l'horloge et se demanda qui pouvait lui rendre visite à une heure pareille. Il referma sa robe de chambre autour de lui puis alla faire chauffer de l'eau dans une petite casserole avant de s'installer dans son grand fauteuil confortable. Une fois assuré qu'il était présentable, il s'éclaircit la voix et répondit:

Entrez!

Ayant reçu l'autorisation de M. Flitwick pour rentrer, il mit ses doigts sur la poignée de la porte. Il réfléchit, et se résigna à s'en aller, et ouvrit la porte. Là, il voyait un lit minuscule pouvant contenir à peine un elfe de mason vers le fond de la pièce, une casserole en train d'être chauffée contenant très certainement de l'eau ( sont très zarb les vieux ^^ ), et là, assis en robe de chambre, la personne à qui il voulait parler. Son professeur de Sortilèges et Enchantements. Il toussota un peu, et s'approcha, d'un pas très hésitant vers le Professeur. Il ne s'apprcohait pas trop non plus, il ne voulait pas penser que il était amoureux ! xD ! Il avait donc toussoté, et d'une voix faible, son coeur battant à tout rompre, déclara :

" - Bonjour professeur Flitwick...euh...j'aurai....j'avais simplement une question ... opui, une question qui m'est venue, comme ça, è l'esprit ce matin lorsque je me suis réveillé ![/b]

Il fit un bref sourire à Filius, epsérant qu'il lui rendrait, et déclara, ensuite, sa quetsion :

" - L'année dernière...je ne sais pas si vous vous en rappeler, mais vous nous avez appris le sortilège de l'Agumamenti. Mais vous ne nous avez pas dit comment aug,enter ou rétrécir la portée et la puissance du sortilège ! Dnc, je voualis savoir, si...vous pouviez vous donner la peine.... de me le dire !!

Il baissa les yeux, attendant la réponse du prof' !

Le petit homme attendit, enfoncé dans son grand fauteuil, que la porte s'ouvre. Ce qu'elle fit, au bout de quelques minutes, dévoilant la silhouette d'un jeune homme de deuxième année qui était à Poufsouffle. Filius reconnut immédiatement Jonathan Franco, un garçon très doué en Sortilèges. Il lui sourit et écouta attentivement sa question. Lorsqu'il eut fini, il l'invita à s'asseoir.

Venez... prenez place dans ce fauteuil, s'il vous plait. Souhaitez vous une tasse de thé?

Ce disant, il se leva lui même et s'approcha du petit réchaud, remplissant deux tasses mauves qui contenaient déjà un petit sachet brun. Il rapporta les deux tasses à son bureau, en poussant une vers Jonathan sans attendre sa réponse. Il se rassit et avala une petite gorgée du liquide bouillant. Une légère grimace indiqua qu'il s'était peut être un peu brulé. Flitwick ferma ensuite les yeux un instant afin de réfléchir à la question qui lui était posée. Lorsqu'il les rouvrit, ceux-ci pétillaient de malice. Il se redressa un peu sur son bureau et avança son petit corps vers le jeune homme, par dessus le bureau. Il murmura.

Avez vous apporté votre baguette Mr. Franco?