Nom : Beni-Tidjan ( je me suis trompé en m'inscrivant, est ce que vous pourriez modifier s'il vous plait ? ... Par contre, si ça rentre pas en entier, mettez B.Tidjan, c'est pas important. Merci d'avance )
Prénom: Norhael
Age du joueur:
Age du perso: 11ans
Comment avez vous connu le site ? Top site HP.

C'est l'histoire d'un jeune Algérien très maigre, au teint blafard, de taille moyenne pour onze ans, autrement dit d'un mètre trente trois, habitant le Neuf Square Grimmaurd : Norhael Beni-Tidjan. Sa famille n'avait rien d'exceptionnelle : ses deux parents travaillaient à Ste Mangouste, le père, Maximillian Meriks était dans le service des urgences, tandis que la mère, Meriem Messaouda, avait été employé comme Guérisseuse à mi temps, il y a plusieurs années de ça. Dans le quartier, ils étaient réputés pour être des gens agréables, certes, mais sans plus.. Le cercle familiale n'avait rien de plus tranquille, pas de bousculade, pas de mission à n'importe quelles heures de la journée, on pourrait la considérer comme stable.
Tout semblait parfait, soit, mais comme vous l'avez peut être remarqué, quelque chose n'allait pas... Norhael ne portait aucun nom de famille de ses parents, c'était pas Norhael Meriks, ni Messaouda, on pourrait dire, " mais où est le problème ? " . Le problème, c'est que cette histoire de nom stupide à fait chavirer un navire...

ça remonte à plus de onze ans maintenant, il faisait beau, de plus, étant donné que nous étions dimanche, beaucoup de moldus se trouvaient au Square à ce moment là. Des jeunes enfants jouaient dans le sable, d'autres à la guerre, etc, les parents eux, discutaient avec animation, lisaient, ou ne faisaient que simplement surveiller leurs gosses. Un peu à l'écart, se trouvaient un jeune homme au teint blafard, tenant la main d'une métisse, l'air soucieux. Il semblait préoccupé tandis que la femme, ne remarquant rien, souriait, heureuse. Les heures passaient, les deux tourtereaux parlaient vaguement, s'embrassant de temps à autre, jusqu'à que le crépuscule pointe le bout de son nez. Le Square commença alors à se vider, puis vers huit-neuf heures du soir, il devint complètement désert excepté les deux amants. Le père de Norhael commençait à évoquer le besoin de rentrer, quant à la fille, le suppliait pour rester encore un peu .. Elle se sentait si bien ...
C'est ainsi que les minutes passèrent, Meriem, allongée dans les bras de son homme, ferma les yeux lentement, un sourire éternel sur son visage ... Le jeune adulte, lui, observait les alentours, le regard de plus en plus terrifié ... Son cerveau bouillonnait, il s'en voulait de ne pas pouvoir partager son plus grand secret, il s'en voulait d'avoir violé sa promesse, il s'en voulait ... Quelque secondes plus tard, décidant que son amour devait être plus forte que quoique ce soit, le garçon caressa le visage de sa femme, à présent endormie, lui posa un baisé sur la joue, tel un prince charmant voulant réveiller sa princesse d'un long sommeil troublant, hésita un long moment, une infime tristesse sur le visage ... Puis se leva, sans un regard de plus, de peur de revenir sur sa décision, et sans attendre, l'homme s'éloigna, le pas trainant, son coeur brisé en mille, en se promettant de rayé cette fille de son histoire ...
Quand la jeune Messaouda se réveilla, un peu plus tard, elle eut la surprise de retrouver un bout de papier accroché sur une rose dans sa main, où était inscrit ces mots : " Oublie moi, il le faut, je suis désolé, je n'aurais jamais du ... Je t'aime, comprends moi si tu le souhaites, mais quoi qu'il en soit ... Raye moi, oublie moi, je t'en supplie ... " ... Imaginez le choc de la jeune fille, elle qui croyait avoir trouver son prince, elle qui croyait que la vie était belle ... Un désespoir s'empara d'elle, ses mains lâchèrent la rose, ses yeux se remplirent de larmes...
Pourquoi était il partit si vite ? Pourquoi lui cachait cela ? Pourquoi ? Pourquoi ?
"..."
Quand on ne croit pas au bonheur absolu ...

Meriem mit plusieurs mois à effacer ce grand amour, s'affaiblissant chaque jour d'avantage par le manque de nourriture, ses traits devenaient de plus en plus tirés, son teint plus pâle, ces évènements devenant de plus en plus préoccupant, finirent par inquiéter son frère, qui donc se mit à lui rendre visite de plus en plus souvent, se forçant à la persuader de manger, lui rappelant qu'un petit dans son corps était attendu pour bientôt. Bien entendu, la jeune femme ne fit rien, tombée dans une profonde dépression, elle ne savait plus rien faire, l'envie de vivre avait complètement disparu. Ses proches commençaient à perdre espoir à son sujet, certains commençaient même à se demander où allait atterrir le futur Norhael, jusqu'au jour, deux semaines avant le 23 janvier, où ... Maximillian, le sauveu... Euh, non pardon ... Un "collègue" de de Ste Mangouste en quelque sorte, lui déclara son amour. Le moment ne devait pas être bien choisi, car Mériem le laissa dans l'incertitude au delà de la naissance de son fils, c'est seulement des mois plus tard, qu'elle se força à se mettre avec lui, dans l'espoir d'oublier ...
Les rumeurs disent que la jeune Messaouda a attendu la naissance de son fils pour se mettre avec Meriks, de façon à ce qu'il ne puisse pas s'interposer sur le choix du nom de famille du petit (la jeune femme avait lourdement insisté sur le nom de famille que devait porter Norhael ... Peut être voulait elle rendre hommage à son "prince" ... Personne ne sait ..), en faisant jurer à Maximillian, qu'il n'évoquerait dans aucun cas le passé, c'était lui le père de l'enfant, lui et lui seul ...
Et il en fut comme sa mère l'avait voulu : Norhael ne sut jamais, et ne sait toujours pas qui est son véritable père, ou plutôt que Meriks n'était pas son père. Il est clair, qu'une personne aurait donnerait n'importe quoi pour être connu de son propre fils, mais cela était indifférent ... Pour Meriem tout était fini, tout était oublié ...
Ou du moins, c'est ce que Meriem s'était promis de croire, parce que, je crois qu'elle considérait, et considère encore aujourd'hui, Norhael comme l'homme qu'elle avait tant aimé auparavant, pour la simple et bonne raison que son gosse tenait ses grands yeux bruns, son regard mi déterminé, mi blasé, etc, de son propre père. Des Algérien blonds au teint pâle, il n'y en avait pas trente six dans le monde, seulement deux : les Beni-Tidjan ... Alors, surement inconsciemment, la mère voyait en lui, son ancien amant ... Comprenez qu'un enfant dans ces cas là, devient très vite enfant roi, car sa mère étant autant susceptible que son fils, avait peur de se faire juger trop vite, donc, se sentait obligé de se plier aux désirs de celui ci sans rechigner ... Maximillian, quant à lui, se rendait bien compte que la méthode d'éducation de sa femme ne valait rien, que le petit devint très vite un orgueilleux fini, mais il n'osa pas s'interposer, de peur de perdre sa bien aimée.

Les années passèrent, au pav' du Square, Norhael, même s'il fut quelqu'un de gringalet, très maigre, pas terriblement beau, était vite devenu celui qu'on admirait le plus dans le quartier, pour la simple et bonne raison qu'il savait prendre à la perfection, le bon bout des sentiments. Certaines femmes allaient même jusqu'à jalouser Meriem d'avoir un tel fils, car il est vrai, que malgré sa fâcheuse tendance à rabaisser les gens, le petit avait un côté très sociable, aimable, et quelque fois cool .. Mais attention, Norhael n'était que tout simplement, un gamin d'extrêmement malin, et manipulateur, quand le besoin d'un peu plus d'affection se faisait ressentir (au fond de lui, ce n'était que pour un unique désir, avoir le monde à ses pieds, tout comme ça mère ...)
Mais maintenant, le jeune Beni-Tidjan devait faire preuve de stabilité dans un univers qu'il ne connaissait qu'à travers des mots évoqués auparavant : Poudlard.
En effet, vous l'avez tous devinez, nous étions à présent le 1er septembre 2006, Norhael avait passé ses onze ans depuis bientôt huit mois, l'âge de raison allait enfin se confirmer, sous ce vieux chapeau rabougrit posé sur un tabouret au milieu de l'estrade. Maximillian lui avait longuement parlé de cette épreuve, à trois mois de ça quand le jeune garçon l'avait questionné, il savait donc que les dortoirs marchaient par "maison" appelées : Gryffondor, Serdaigle, Serpentard, et Poufsouffle, qu'elles étaient représentées dans la Grande Salle, par quatre longues tables, où les nouveaux élèves répartis allaient s'assoir pour la première fois, en bref, sans avoir ouvert un de ces bouquins sur l'histoire de la magie, le petit sorcier savait presque tout du château, puis bien que ce ne soit pas grand chose, Norhael s'était senti envahi par un sentiment de supériorité en sachant tout cela avant les autres ..
Enfin bon, peu importe, retournons à notre cérémonie.
Le groupe de premières années venait d'arriver dans la Grande Salle, dans silence de plomb, plusieurs centaines d'yeux se fixèrent sur les nouveaux, tantôt avec attention, tantôt avec mépris ... . Notre jeune garçon se tenait près de l'estrade, s'efforçant à paraitre détendu, en observant tout les gestes de la directrice adjointe, tout en priant de toutes ses forces pour qu'elle se dépêche de mettre un terme au châtiment, car notre brave bonhomme, ne trouvait rien qui ne soit plus désagréable que de rester planté là à rien faire, attendant qu'on annonce son prénom à haute voix ...
La minute qui passa ensuite, semblait durer une éternité, car plus le temps s'écoulait, plus l'estomac et la gorge du jeune sorcier se nouaient. Devenu de plus en plus dur de cacher ses sentiments, le petit garçon, poussa presque un long soupir de soulagement quand il vit la sorcière en vert s'avancer vers le choixpeau, une liste de noms dans la main. Le silence se fit aussitôt, les élèves semblaient attendre la suite avec une certaine impatience. Mcgonagall jeta un coup d'oeil à l'assistance, puis, prononça le nom de d'une petit fille aux yeux émeraudes, qui, en tremblant de tout ses membres, eut terriblement de mal à se détacher du groupe sans s'emmêler les pieds ... Ensuite, arrivée à destination, saine et sauf, la vielle femme posa le vieux chapeau sur sa tête, et presque instantanément, celui ci dit d'une voix forte, de façon à ce que tout le monde entende son choix : " SERDAIGLE "
Un tonnerre d'applaudissement vint alors troubler le silence pesant de la salle. Norhael quant à lui, au lieu de la féliciter comme le trois quart des autres, leva un sourcil, étonné : leur procédure de répartition lui semblait finalement bizarre, voir même trop modeste pour une école aussi luxueuse ... Enfin bon, il en était ainsi, il n'allait pas contester ...
Et c'est ainsi que les élèves s'assirent chacun leur tour sur le tabouret au milieu de l'estrade, tantôt stressé, tantôt tranquille ... A chaque fois, le jeune garçon ne manquait pas de les observaient, essayant de déterminer les critères des répartitions.. Un élève, deux, trois, quatre, passèrent, le petit avait presque oublié que son tour allait passer ... Un cinquième vint s'assoir au centre de l'estrade, puis un :

" BENI-TIDJAN NORHAEL "

Retentit dans la Grande Salle .
... Le Norhael en question sursauta, son coeur se mit à battre plus vite, il ne s'attendait vraiment pas à ce que son nom arrive si vite ... Mais peu importe, fallait y aller. Alors, se forçant à cacher sa trouille, les tripes en quatre, le jeune garçon respira un bon coup, puis se détacha lentement du groupe. Ainsi, les élèves purent apercevoir un garçon frêle, habillé d'une grande cape noir, s'assoir en tremblant le moins possible, sur le tabouret.
En attendant que Mcgo lui pose le choixpeau sur la tête, Norhael se passa ses mains moites sur les jambes, affichant une expression d'horreur sur le visage ... Les secondes s'écoulaient trop lentement à son gout ...

* Répartition de malheur .. Allez ! Bouge toi qu'on en finisse ... *

Hummm...




Je dirais...




SERPENTARD !!!!


(Je te change ton nom donc attention à ta prochaine connexion de bien prendre le bon )