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 Tard dans la nuit... [ Privé Dante]
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  • Kate Black
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    Kate Black
MessageSujet: Tard dans la nuit... [ Privé Dante]   Tard dans la nuit... [ Privé Dante] EmptyMar 21 Nov - 19:19:56

L’amour, le vrai est t-il possible qu’il est existé ? En tout cas avant de le connaître, elle ne connaissait qu’en quelques lettres ce que le mot amour voilait dire, mais dés quelle l’u rencontrer, rien n’était plus pareil se sentir aimer était tout nouveaux, mais aussi délaisser, s’inquiétant, s’énervant de tout et de rien.
Certes la jeune Black était impulsive et bon nombre de personnes qui l’avait rencontré pouvaient aisément le confirmer.
En début de soirée, Kate se trouvait dans son dortoir seule pour le moment, les autres étaient déjà parties déjeuné mais elle n’avait pas très faim, s’occupant a finir un de ses devoirs, car la jeune fille n’était pas pour le moins brillant en cours mais elle ne s’y rendait que très rarement, a par en potion la matière enseigné par le dit Professeur Rogue, directeur des Serpentards.
Arkan son petit chat était encore une fois entrain d’essayer de distraire sa maîtresse de ses occupations après avoir essayé de nombreuses bêtises, n’y faisant rien, il abandonna dans un miaulement boudeur, qui ne fit même pas bougé Kate mais qui fut par contre accompagné par les bavardages des filles qui rentré dans le dortoir.
S’allongeant sur son lit , ses longs cheveux noirs éparpillés autour d’elle , elle fixait le plafond comme si celui-ci allait lui tomber dessus , jouant avec la bague , sa seule bague quelle portait d’ailleurs , cette bague offert par Léo . Soufflant en ce remémorant ces souvenirs, trop douloureux encore, car ses derniers temps la jeune fille s’était rendu compte de quelques choses, trop dur a annoncer, trop dur a en parler….
Les filles se mirent rapidement au lit, l’enchanteur des rêves n’allait sûrement pas tarder à passer, mais Kate ne parvint pas a s’endormir, trop de choses , trop de pensées lui venait a l’esprit , elle abandonna en vint son lit.
Sortant sans un bruit, les demoiselles Serpents dormaient déjà, se dirigeant dans le dortoir des garçons, bien sur elle savait quelle n’avait pas le droit d’y aller mais bon , sa elle n’en prit pas compte une seule seconde.
Se dirigeant vers le lit de son amant, il dormait paisiblement, d’ailleurs dans le dortoir aussi tout le monde dormaient. Elle déposa juste sa bague, sa bague de fiançailles sur sa table de chevet, en l’enlevant le prénom de Léo gravé dans l’or rougeoyait mais elle ne prit pas garde et sortit sans un bruit, ne pouvant retourner se recoucher, elle décida d’aller faire un tour. Ou ses pensées l’emmènerait, sortant du château.
Ses pensées lui dictèrent finalement un lieu bien appropriés a son humeur : La foret interdite.
Elle s’y enfonça sas calculer ce quelle faisait, elle avait trop de choses en tête qui l’a préoccupaient.
Elle était vêtu sombrement excepté sûrement le corset rouge bordeaux quelle abordait, une jupe qui lui arrivait un peu au dessus du genoux. Et ses longs cheveux noirs qui comme a son habitudes lisses et soyeux était portés par la légère brise qui soufflée en ce début de nuit.
Une ambiance apaisant dont n’importe quel mortel se satisferait, mais la non. Elle avait une envie de détruite, même si elle d’habitude « calme » la elle n’en pouvait plus c’était trop, trop de ce qu’on lui demandait d’être, trop de sentiments que cette fois elle ne pouvait camouflé comme a son habitude, être neutre la elle ne le pouvait pas.
Marchant toujours, ces sentiments quelle ressentaient en ce moment de la colère, de la haine, de la tristesse donné un mélange assez explosif sur la jeune Black.
S’énervant sur tout ce quelle trouver, finalement avoir un peu marché, elle ne pu réprimé une larme qui tomba le long de sa joue pale.
On dit souvent que l’amour tue un homme, mais avait déjà aussi abîmé la jeune fille, si naïve et pourtant l’amour est un sentiment si merveilleux quand il est réciproque, mais la il ne l’était plus.
Puis tout d’un coup, elle se mit à frapper d’un poing rageur sur l’arbre qui se trouvait en face d’elle comme si celui-ci était une poupée de chiffon, mais il était dur comme du roc, de la douleur oui ? Mais pas celle qui se trouvait dans ces poings celle de son cœur. Elle tapait comme si c’était un robot qui n ressentait rien mais c’était tout le contraire, cela lui faisait malgré tout amèrement du bien ,malgré que du sang s’écoulait un peu de ses petites mains , mais elle n’y prenait guère garde , se calmant comme elle le pouvait.
S’asseyant contre le tronc d’arbre, sa grande cape noir l’entourait on l’aurait dit presque irréelle, fredonnant quelques phrases a voix basse de sa voie qui se disait glaciale :



Dans le Silence..
La souffrance se cache

Dans la Vie..
La douleur fait rage...
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MessageSujet: Re: Tard dans la nuit... [ Privé Dante]   Tard dans la nuit... [ Privé Dante] EmptyMer 22 Nov - 14:54:26

Décidément, la nuit ne me laissait pas un répit, moi, jeune et vil garçon de serpentard pour profiter d'une journée paisible et ensoleillé dont Poudlard semblait connaître le secret. En effet, aujourd'hui, le vent était prépondérant aux autres journées que j'avais passé ici et les nuits se faisaient moins furtives qu'aux l'habituelles soirées d'été. Mais je n'en fut pas étonné, aux contraire. L'hiver arrivait à grand pas sans me laisser ne serais-ce qu'un temps infime pour profiter des nuits fraîches mais chaudes de novembre.

L'automne ouvrait passablement ses portes au grand froid de l'hiver. Le jeune homme ne pouvait cacher sa déception. Contrairement aux autres serpentards, il préférait la saison des feuilles mortes et du renouveau plutôt que celle du grand froid et de la monotonie où la virginité du blanc pâle et sobre représentait une grande partie des couleurs offertes au monde.

Aussi loin que le garçon s'en souvienne, il avait toujours préféré l'aventure et le voyage plutôt qu'une paisible situation à l'ombre d'un vice et d'un crime pardonné. Les saisons représentaient en quelques sortes un choix de vie, même si jamais personne n'avait eu le soin d'y consacrer une once de leur temps. Et c'était toujours le cas aujourd'hui!

Etrangement, le serpentard se remémorait ces moments qui le faisaient tant souffrir avec si peu de peine qu'il était difficile de se rendre compte qu'il avait eu ou possédait encore un coeur à prendre. Et qui disait qu'il était encore à prendre? En effet, son coeur battait, mais pour qui? Il ne l'avait jamais rencontré quand rêve. Ce même rêve qui le hantait depuis fort longtemps. Ce rêve qui devenait cauchemar quand il commençait seulement pour se finir.
Mais toutes ses pensées ne tournaient à rien d'autre qu'à cette impression étouffante de folie, de désir et d'angoisse.

Le deuxième année ferma les yeux, en pleine forêt interdite, c'était présage d'une mort certaine, brutale, sans aucun supplice mais irréfutable. Mais Dante avait passé ce cap de la peur qu’atteignaient ceux qui approchaient de la mort qui nous attende tous à un moment précis de notre existence. Mais l'adolescent aurait du mourir des milliers de fois, à des milles et des milles d'ici, alors pourquoi maintenant? Dieu lui devait encore une réponse, une raison de vivre qui l'attacherait à la vie d'une façon si provisoire et en même temps si irréel. Le vent caressait sa peau avec la douceur des mains d'un enfant, avec l'infini certitude de ne jamais le blesser, c'était çà qui l'avait attiré dans le souffle de ce brin de vie qui naissait d'une légende et qui aujourd'hui, lui procurait infiniment de bonheur.

Le carnet qu'il tenait où bout de ses doigts déclina en faveur du sol. La nuit tombait mais l'infini bonheur que respirait Dante lui inspira une confiance infantile, maternelle mais cependant mortelle. Ce moment qui ne reflétait rien d'autre que du bien être suscitait toute l'admiration que le monde pouvait avoir en l'homme qu'il était.

Le vent l'enveloppa, emmêlant ses cheveux noir ténébreux et sa figure d'ange au profit d'un sourire plutôt rêveur, d'un éternel chant qui venait du lointain, des paroles désespérés qui le ressemblait tant, un murmure de désespoir qui était de plus en plus proche et qui s'arrêta soudain.


* Qui es-tu, toi, voix d'ange qui me berce en ce lieu? Et qui préférent, comme allégeance, la clé des ténèbres à celle des cieux. *

Ses paroles éveillaient chez le garçon de la mélancolie, de la tendresse et de la compassion. Le rêve était un vice, un péché qu'il avait rayé de sa vie à jamais. Et elle, voix si angélique et lointaine qui parlait avec tant de sincérité et d'abattement, savait-elle qu'un jour, elle gagnerait le fruit de son attente, de ses soupirs. Qu'un jour, elle trouverait le bonheur qu'elle avait semé et si souvent pleurée. Il priait pour celà, pour que le bonheur acquis soit pour elle le plus beau des cadeaux. Mais sa voix déjà le quittait.


Dernière édition par le Sam 2 Déc - 20:07:48, édité 2 fois
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  • Kate Black
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    Kate Black
MessageSujet: Re: Tard dans la nuit... [ Privé Dante]   Tard dans la nuit... [ Privé Dante] EmptySam 25 Nov - 18:08:06

Seule en cet instant, la brise l’embrasse, un vent glacial mais léger l’enlace, les temps s’assombrissent…
Sur ce fait qui est maintenant accompli, elle se glisse sous les nuages, le silence, voila quelle brûle sa dernière chance. Le calme se fait comme elle le pense et se tait dans les moindres ambiances.
Seulement seule et momentanément sans repère, dans le noir quelle a si souvent cherché et côtoyé, peut être qu’un jour elle ré atteindra cette lumière ?
En tout cas a présent , le mot « rêvé » était maintenant banni de ses pensées .Restant seul dans ce silence , fixant un point a l’horizon dont elle ne percevais même pas la fin , ses yeux , sont regard se perdait au loin….

Quand non loin d’elle, un bruissement se fit entendre levant directement son regard vers l’endroit où il lui avait semblé distingué quelque chose.
Se levant doucement , retrouvant ses pensées , quelqu’un était la , essuyant rapidement de ses mains abîmées les quelques larmes qui avait osées couler sur son visage , marchant lentement vers l’endroit dit , reprenant ses paroles qui lui venait a l’esprit d’une petite voix:



Parfois une larme coule
On l’a cache souvent mais pas tout le temps
Mais il n’y a personne qui m’écoute et me comprend
Il suffit d’une larme …
Une simple larme …
Pour que tout chance…


Sa voix s’éteignit quand elle vit une ombre, quelqu’un était la, l’aurait t-il entendu prononcer les phrases quelle avait dites, la colère quelle avait piqué, car sa vie est un orage, faite de nuages et de tonnerre, cet orage vis en elle. Car il représente sa colère.La foudre tombe ,éclairant la nuit ,frappant son côté sombre,qui sommeille sans un bruit..., elle ne pensait pas , mais bon on ne sait jamais ce qu’on a pu distingué dans des moments aussi sombre que cela.
Dans la nuit, lorsque la pénombre est totale, un autre monde se dévoile, monde de rêves et plénitudes mais aussi pour beaucoup tristesse et solitude, rappelant pour certains tendres moments ou terribles blessures.


Même si la nuit est magique, peut être esprit féerique et poétique, entraînant rêves et désirs, mais la cette nuit est si terrifiante, synonyme de peur et nombreux tourments, éveillant instants de méfiance chez la jeune fille, voyant quelqu’un ici, un carnet a terre, elle se baissa doucement pour le ramasser de ses frêles mains quelle ne préférerais pas montrer.A en juger par la taille et la carrure de l’individu même dans cette ambiance sombre, peut être un jeune homme ?
Tendant le carnet a l’inconnu en face d’elle, elle ne le voyait pas, son regard essayant malgré d’aller plus loin.
Celui-ci s’avança de peu toujours tendant le carnet elle lui dit :


Qui est tu, toi étranger, qui vient en ces lieux si sombre par cette nuit ?
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MessageSujet: Re: Tard dans la nuit... [ Privé Dante]   Tard dans la nuit... [ Privé Dante] EmptySam 2 Déc - 20:18:28

Le soleil avait disparu de la vue de chacun depuis un moment déjà pour rejoindre le tréfonds de l'abîme et les nuages s’écartaient pour faire place à un sublime croissant de lune. La forêt demeurait sombre et mystérieuse. Elle paraissait étrangement close. Il était préférable pour le serpentard de ne pas risquer la mort mais ses pas ne l’avaient jamais vraiment guidé vers le pire, ni vers le meilleur d’ailleurs. Il s’était fié à son intuition, comme toujours. Cependant, si sa mort était annoncée, le déshonneur de sa famille aurait été à son apogée. Et malgré ce qu’on avait pu en croire, le garçon n’avait jamais souhaité la perte de cette famille qui portait son noble nom. Aujourd’hui, son nom était salit de tout côté. Avec autant de vigueur dans ce monde obscur où il n’avait plus le droit de remettre les pieds sans la preuve de l’accomplissement de sa mission et où il ne jouait le rôle que d’un misérable pion, que dans celui où il se sentait si désemparé.

La forêt comblait, peu à peu, le vide intérieur de Dante mais ce manque qui sévissait en lui ne s’était jamais éteint et ne semblait pas prendre part à un autre âme. Il avait toujours manqué quelqu’un ou quelques choses pour qu’il se sente enfin d’une nature relativement humaine. Dès son plus jeune âge, on lui avait bien fait sentir que les animaux avaient parfois plus de capacité et de force que lui. Le diminuer au point de demander à ce qu’on l’achève, c’était l’une des taches que remplissant, jadis, son père avec tant d’application qu’on ne pouvait plus douter de son attirance pour le mal. Malgré ce que lui avait prédit son paternel, il avait rattrapé cet inconvénient avec le temps mais sa carrure ne suffisait pas pour dominer, il n’en doutait plus. Il lui fallait aussi l’esprit du dominant, d’une bête affamé à l’idée de guetter sa proie, d’un mangemort.

Le bois semblait se refermer sur le jeune homme comme un piège, un piège où il était tombé comme un débutant. L’obscurité enveloppait le vert et argent de sa fraîcheur et de sa sérénité. Couché sous un tas de feuilles, le serpentard semblait percevoir un horizon plus clair qui le troublait mais qui, pour la première fois, le laissait effleurer ses rêves et réchauffait son coeur.
La main de Dante glissa sur le sol et entra violemment en contact avec la terre, dure, froide. Son visage s’inclina légèrement vers la droite, il était en plein songe. Personne ne pouvait savoir ce dont il rêvait mais on en soupçonnait déjà les traits. Ce même rêve depuis si longtemps. Etais-ce un présage ou un mensonge ? Il ne savait plus.

Dante… jeune serpentard qui n’avait jamais demandé à quiconque et qui, comme punition, avait du subir la vie sans jamais se douter que celle-ci finirait de la pire des manières. Lui qui n’avait jamais pu dire non sans se punir de son arrogance. Cependant, il avait brisé ce lien qui le pliait à s’abaisser aux autres. Mais étais-ce vraiment ce qu’il voulait ? Etre comme les autres. Il n’y avait jamais réfléchit et était certain que ce ne pouvait se faire, qu’il était condamné à être lui et rien d’autre. A être éternellement mauvais et sordide, tout comme cet endroit.
Pourtant, le garçon n’avait pas demandé ce sort maudit mais c’est tombé sur lui ce jour là et il ne s’en était jamais plaint ouvertement malgré que son âme en ait été meurtrit. Dans le murmure de la forêt, l’adolescent qui somnolait ouvrit faiblement les yeux.

La nuit qui s’était invité à leurs rencontres enveloppa la forêt d’un épais rideau noire. La faible clarté qui arrivait avec peine à traverser la végétation touffue se perdait dans le fin voile de brume. Ainsi, on ne pouvait presque pas percevoir Dante.

Dans la pénombre, il perçut un visage. Un sourire rêveur apparut sur ses lèvres et il caressa la joue de l’inconnu tendrement.


« Vous êtes venu me chercher ? »

Sur les pages de son cahier, Dante avait écrit quelques mots avant que la lumière laisse place aux ténèbres. Ses mots accompagnés du dessin d’un archange, ressemblaient au poème d’un philosophe noir. Ce qu’il devait être sans s’en douter.

Très chère fille du méandre,
J’ai trouvé en toi repos,
Car la vie m’invite à vous prendre,
Mais j’en sais déjà de trop.
Pour toi, je ne suis qu’étranger,
Pourtant vous ais-je déjà troublée,
Et je le sens vos mains tremblent,
Vous me l’avez avoué.
Je ne cherche pas la misère,
Seulement un confident,
Pour livrer tout ses mystères,
Qui me hantent depuis un temps.
La lumière verra le jours,
Quand je l’aurais décidé,
Quand naîtra le véritable amour,
Que je ne pourrais renier.
Ce jour-là, je pourrais rendre, à la terre ce qui lui revient
Devenir à vos yeux l’ange
Dont les ailes furent scellés
Et qui, sans s’en rendre compte,
S’est lui-même délaissé.


Dante commença à s’habituer à l’obscurité aveuglante et perçut plus clairement la silhouette qui était face à lui. Son sourire disparut. Il parlait à un inconnu. Ce moment de pure absence lui fit réaliser qu’il n’avait pas pleine conscience de ses capacités. Il était en sueur et passant sa main sur son visage, il ferma les yeux pour retrouver ses esprits. Que lui était-il arrivé ?

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  • Kate Black
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    Kate Black
MessageSujet: Re: Tard dans la nuit... [ Privé Dante]   Tard dans la nuit... [ Privé Dante] EmptyDim 10 Déc - 17:27:44

Chaque nuit,elle mséveille,et se lève sans bruit ,car elle n'a plus sommeil.
Elle a peur,peur de se recoucher,de garder ses yeux fermés,peur de revoir ces choses...
Elle est hantée,par se passé...cette insomnie, qui la tue petite a petit ,chimères qui la hantent,
Depuis son enfance,elle voudrais se reposer,
Mais jamais elle ne pourrai reelement y échapper..Et au fond du gouffre
Une seule sortie de secours,pour revoir la lumière du jour
Et puis elle pense,a celui qui m'appelle "mon ange"
Ne dit-on pas que les anges ne pleurent pas?Alors elle essaye de se ressaisir
Mais elle ne peux pas, c'est plus fort qu'elle,car elle n'est pas si forte que ça..
Et puis elle s'écroule, trop de peine,mais aussi trop de tourments, de chagrin et de haine
Mais la nuit porte conseil c'est pour sa que la nuit le sommeil refuse son accés , l'accés aux reves les plus paisible soit ils.
Cette nuit est la souffrance qui s'estompe,de son cœur glacé par peur qu'on la trompe
Il restera toujours sur cette défense impure ,mais plus jamais en face de sa lueur quelle recherche tant.
Elle le regard vide et l'âme lessivée,elle ne pense plus...
C'est comme un rêve de lune voilée,sur le fil, c'est elle la noctambule
Elle a le regard vide et la machoire lâche,abrutie par la lourde gravitée
Autour, des arbres que la nuit cache,sans parfum, elle est concentrée.
Peut-être une fée, plus qu'une bulle,au mélange des deux...
Il fait sans doute frais elle ne sais pas,sur le fil, elle ne sent pas le froid.
Elle est peut etre un ange aux ailes chiffonnées par le temps,il est vrai quelle est contre le vent
Ce vent de printemps quelle aimes tant,mais un fil rouge relit son sang
Elle est un ange aux désirs de démon,il est vrai qu'elle est loin d'être parfaite
Avec tout ses regards qui en disent long sur elle,alors que son aura est si rayonnante
Elle est un ange qui ne volera plus,il est vrai qu'elle a été très naïve
D'avoir de l'espoir dans des choses déjà perdues ,où l'héroïne de cette étoile était un fauve
Elle est un ange qui n'en ai pas un,car depuis qu'elleest parti,elle cherche un coeur
Qui a été égaré depuis trop longtemps sa vie
Lorsque l'inconnu en face d'elle approcha sa main vers son visage , elle recula tout d'abord celui ci touchant quand meme son visage.Elle est la reine
Du silence et de la haine,
Elle est la reine,qui l'encercle tous les soirs avec ses chaînes,
Elle est celle..Qui apparaît dans tout ses cauchemars
Elle est celle..qui fait perdre tout espoir
Elle est le noir,plus somble que les brouillards
Elle est le noir ,qui finira bientôt par l'avoir!


Je..vous vous trompez..


Elle ne pouvait voir que trés peu le jeune homme , l'obscurité y était trop présente dans cet endroit , elle percut tout de meme un sourire légérement reveur sur les lévres de l'inconnu , Kate ne souriait pas loin de la , elle n'avait pas peur mais detestait ne pas savoir qui était ce jeune homme , qui avait l'air aussi désemparé qu'elle .
L'ombre d'un doute l'a traversé ,quand ces mots qu'il a prononcé.
Ces paroles qu'elle ne redoutais,de ses lèvres se sont échappées.
Il les avait posées là,comme des notes sur un piano.
Et de ce geste elle effaças sa trace , poussant sa main , le jeune homme la mit sur son visage, il n'avai plus l'air pareil enfin comme Kate l'avait vu , il ya quelques secondes a peine , le fixant elle lui dit d'une voix pour une fois mal assurée , elle en savait pas trop " réconforter" les gens :


Est ce que sa va ?
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MessageSujet: Re: Tard dans la nuit... [ Privé Dante]   Tard dans la nuit... [ Privé Dante] EmptyVen 15 Déc - 15:57:33

[ Ce n'est pas un texte à la hauteur de notre petit Malefoy mais je compte m'attaquer un jours à ce registre de posteur. ]


La divine attention d’un ange, une musique si belle qu’on oublie même les paroles, car elles ne sont pas essentielles, car la vie aurait un sens malgré les mots qu’on pourrait se dire. Car l’existence aurait tant de sens qu’on ne se plierait plus au langage humain. Que de mot pour se dire qu’on se hait et qu’on se perd. Trop de mot alors que ceux-ci sont inutiles, brisent des moments trop beaux et trop précieux pour qu’on les gâche de notre parole sale et insignifiante. Seul trois mots étaient essentiels à la vie. Ses mots, il n’osait les prononcés. Trop fragiles pour qu’on puisse les dire sans un réel sentiment d’amour, sans vraiment aimer et être aimer en retour.

Cette musique… Cette musique qui le pénétrait était aussi vitale que le fussent hier le besoin des autres. Cette mélodie, que sa mère jouait divinement à chaque réveillon de Noël. Cette mélodie qui lui faisait tant de bien, et tant de peine en même temps. Elle était source de souvenir douloureux, le souvenir de sa mère, blessée, meurtrit, à peine vivante et déjà morte.

Dante versa une larme qui coula lentement le long de sa joue, comme pour frôler sa peine et la supprimer. Il avait songé tellement de fois à ce qu’aurait été sa vie si sa mère était encore là, à ses côtés et non dans cet hôpital. En sachant pertinemment que cela ne servait à rien de rêver à une vie qui n’était pas la nôtre et qui ne le serait jamais, le jeune garçon trembla de tout son corps, parcouru d’effroi. Mais il était inutile qu’il s’apitoie sur son sort, il en était ainsi et non autrement. Il ne pouvait rien changé à cela. Et la décision de la mort de sa mère ne lui revenait pas, il était trop lâche et trop égoïste pour cela. Il avait laissé courir le temps en espérant qu’elle quitterait le monde sans mal, sans son aide, car il l’aimait trop et pas assez pour réaliser un tel acte. Mais un jour, il le savait, il le ferait. Il serait assez fort pour tout lui dire et pour mettre un terme à ses douleurs.

Dante déclina la tête. Il ne voulait pas qu’on voie ses larmes mais était bien malheureux que l’obscurité voile son visage, voile ses peines et son destin. Le garçon se leva. Il ne voulait plus être ici ni ailleurs. Son existence n’avait jamais été qu’un échec et ses faiblesses, gagent d’un passé médiocre. Son corps et ses épaules se languissaient du sol dur et froid. Ses membres engourdis le faisaient souffrir et ses yeux humides le laissaient perplexe sur ses vrais états d’âmes. Malgré tout, le serpentard reprit ses esprits. Le passé, il devait le laisser partir et continuer son chemin.

Le vert et argent s’approcha de Kate et l’a prit dans ses bras. L’a serrant d’une affection paternelle. Il ne pouvait en être autrement. Il était doux avec les femmes, se méfiant de la fausse humilité des hommes. Caressant ses cheveux d’un amour affectif, il se déroba, l’a tenant par les épaules et observa la serpentard, lui caressant la joue comme il le faisait souvent et sourit.


« Ca va mieux depuis que vous êtes là. Mais vous ? »

Son expression attentif et attentionné en aurait étonné plus d’un, mais pas lui. Un serpent n’était pas mauvais naturellement, il devenait agressif à la vue du danger. Le danger ne s’incarnait pas en Kate. Elle était si perdue, belle et délicieuse. De plus, son envie de l’aider, sa pitié, son attention si maladroite l’avait touché. Et son cœur battant à ton rompre, il savait qu’elle l’avait prit en court de route, qu’elle l’avait choqué et ému.

« Mon nom est Dante. Puis-je savoir le vôtre? »

Il n’y croyait plus, au grand amour, n’en rêvait plus. Et pourtant, sur le piano de sa mère, il en avait joué les premières notes. Les premières notes d’un amour qui semblait éternel et qui ne finirait que dans un profond soupir, quand leurs deux âmes finiront par se lasser de leurs corps, quand leurs chemins se termineront dans un commun accord. La musique comme tout à toujours une fin. Fermant les yeux sur ce qui pouvait bien l’attendre, l’adolescent respira une bouffée d’air frais. En communion avec la nature, il se disait qu’il mieux valut qu’il en fasse intimement partit.

En attendant, sentant le froid le gagner, il ramassa précipitamment sa cape et la rehaussa sur ses épaules. Son carnet en main, la lanière de son sac réajusté, il convia Kate à rejoindre la lisière de la fôret en sa compagnie. Les bois devenaient trop sombres et trop dangereux pour deux serpentard, même bien armé. Du bout des doigts, Dante tenait sa baguette fermement tout en prenant soin d’observer les alentours. On était jamais trop prudent…
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