La curiosité est un vilain défault [Pv miss Rosier PAPMR]

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En effet, la curiosité était un vilain défault qu'il ne fallait pas assouvir sous peine d'y plier. Apparement, la chance et le dédin avait voulu que la journée se fasse tel qu'il l'avait prévu, remplit d'amertume et chargé de solicitude.
La rencontre était le meilleur moyen et le plus beau vice s'il trouvait en une autre personne le reflet de la connaissance de ses plus profonds désirs et de ses plus noirs secrets.
Le temps faisant, il prit l'envie à Dante de contourner le devant de l'école pour rejoindre les jardins de Poudlard.
Certes, il n'était jamais venu à l'idée du jeune homme de venir un jours dans un tel endroit, mais l'odeur enivrante des pins et des sapins qu'il l'entourait le rendait plus sensible âu sens même du bien être et de la beauté.
Accoudé à une statue de pierre brut représentant un fin guerrier, Dante observa l'étendu du parc. Il était magnifiquement entretenu mais ce fut, d'abord et avant tout, une rose rouge feu qui monopolisa l'attention du jeune homme au point de l'obséder.
La rose était d'une couleur intense et, teinté de sa couleur sang, dégageait un certain accomplissement. Cette rose était belle, et l'idée de perdre ne serrais-ce qu'un instant la fleur divine des yeux devenait impossible.

* La beauté n'est qu'éphémère, mais elle dévore l'homme comme l'amour du pouvoir et de l'or. *

Le visage tendu, le regard absorbé et vide, le serpentard se sentit défaillir et détacha ses pupilles noirs du spectacle.
Saisit et sous le choc, le deuxième année s'approcha de la rose, brisa le fil de sa vie et l'emporta avec lui. Une épine avait traversé sa chair mais il ne laissa rien paraître de son état. Il était destabilisé par l'emprise qu'avait pu prendre la beauté d'un être sur sa personne.
C'est donc le regard vide et la rose à la main que Dante partit en direction du cimitière pour prendre du recul.

[ Ce n'est pas très long, je le sais, mais le fil de la conversation me donnera plus de moyen. Enfin, je l'espère... ]

La Malédiction de la rose, cette rose damnée couleur passion aux épines empoisonnées. Cette fleur du malheur, qui lui apportait le plus grand bonheur...L'amour mais il aura un prix a payer... Cet amour fera couler le sang des gens qu'elle aimait le plus. Quand le voile noir se posera sur leurs corps, l'ange de la mort les apportera dans l'au delà. Tout commença, cette nuit ou elle rencontra Pour la première fois avant qu'il l’ai abandonné pour une promesse...De revoir Sa femme, celle qui ne cessera pas d'aimer mais qui l'a quittée par sa faute. L’homme qui lui donna la vie de son liquide de vie. Celui-ci n'avait pas changé, Il restait le père cruel, obéissant aux ordres de la prêtresse noire... Sa destinée était
De mourir pour accomplir sa mission celle de mordre l élu. En effet, pour protéger
Celui dont son cœur a choisit même si ils étaient forcer de s aimer, elle devait tuer
Son propre sang, mais pourquoi avait t elle toujours des regrets, des cauchemars qui l a hantait chaque secondes de son existence. Elle avait pourtant libérée son
Paternel d entre les griffes de celle qui l avait manipulé. Il pouvait enfin rejoindre celle qui aimait depuis toujours, la mère de sa demie sœur Orphée Parker.

Les jours du mois de novembre étaient ceux dont on honorait les décès des gens
Qui nous avaient quittes. Depuis un an, Belle comme on la surnommait venait
Au cimetière rendre hommage a celui dont elle n avait jamais pleurer la perte, car
Au fond d elle-même elle avait des souvenirs de son enfance. Drusiella savait
Que son père avait maltraitée sa mère Juliette Rosier. Il la battait, il en faisait
Son objet pour ses désirs et elle avait pas le choix d obéir car c était le chemin
Qu on lui avait tracée mais Juliette aimait son Roméo du mal car la rose avait
Décider de ses sentiments. La nuit était tombée dans cet endroit obscur. Sur
Le fond ébène, le croissant de la lune brillait. La douce lumière, éclairait
Une enfant. Elle ressemblait a un ange, mais était t elle un mirage. Sa longue
Chevelure blanche dansait dans le souffle glacial. Son teint blanc comme les
Flocons de la première neige du mois de décembre. Le satin de sa peau dont
On pouvait comparer a de la porcelaine, car c était une fillette délicate, fragile
Qui ressemblait a une poupée de porcelaine. Elle était assise dans les feuilles
De l automne qui ne c était pas envole suivant le chemin que le vent leur avait tracé. Il était très tard, le couvre feu était passé, mais Drusiella avait besoin
De se recueillir sur la tombe de Lazarus Parker., son père. Pourquoi…Pour trouver la paix en elle. Plus qu elle caressait du bout de ses ongles, les lettres de ce nom..
Plus qu elle regretterait d être venue car après tout il avait fait souffrir son amoureux…Ethan… A vrai dire elle ne trouvera que la paix intérieure en détruisant .Celle qui avait empoissonné les épines de cette rose qui déchirait la chair des paumes des mains du couple mélangent leur sang. Le sang de chacun avait
Pénétrer dans les blessures des éraflures de cette rose envoûtée par un sort de soumission. La belle destine a la bête… Ethan commencerait a s inquiéter car elle
Etait disparue depuis l aube laissant qu un baiser sur ses lèvres avant de quitter
Le château. Comment entrer sans se faire prendre…Par un vieux tunnel que
Les mangemorts utiliseraient bientôt pour attaquer Poudlard. Notre petite
Poupée le savait car son petit copain avait été choisit pour accomplir une mission
Pour eux lors de l attaque en échange les mages noirs les protégeant de tous les obstacles la nuit de cet événement.

Majestueusement, tel un cygne qui ouvrait ses grandes ailes de plumes blanches, Belle se relevait pour retourner au château. Elle était magnifiquement vêtue
D une tenue séduisante, une jupe de soie rouge qui arrivait en bas des genoux
Un haut très féminin, sans bretelles mais dont une petite ficelle s attachait dans le
Cou noue par un nœud. Une autre dans le milieu de son dos dénude. Des bottes aux
Talons aiguilles de cuir avec de la fourrure noire. De longs gants, rayes qui recouvraient ses avants bras. Dans ses doigts elle portait des bagues dont une
A la main gauche qui était la seule…Une alliance avec des rubis rouges dont
Elle fixait un instant avec un sourire chaleureux au coin des lèvres. Elle se
Penchait près de la tombe de son père ramassant sa cape de noire dont elle secoua
Pour enlever les feuilles mortes. Puis elle l enfila sur ses épaules, pour se camoufler
Du froid car son petit corps était gelée a présent. Elle camouflait ses mèches blanches qui jouaient dans le sifflement de l air de la nuit, en mettant son capuchon
Sur sa tête et avançait vers la porte de fer du cimetière.

Soudainement, elle s arrêtait de marcher reculant…Surprise que faisait t il la.. Comment savait t il qu elle était la…Elle voyait une silhouette se fondre dans
L ombre derrière un arbre près de l entré. Une longue chevelure sombre, qui
Caressait le visage du garçon. Son corps, était d une carrure robuste et séduisant.

Ethan que fais tu la…

Elle continuait.. De sa démarche noble telle sa mère lui avait apprit à marcher comme une dame de haute société. Elle glissait ses doigts fins et froids sur sa joue.
Puis elle levait la tête s apercevant qui ne s agissait pas de sa bête.
Elle t a envoyée..

Elle reculait… effrayée.. Puis ses prunelles bleutes couleur glace fixait la rose qui tenait entre les doigts. Elle murmurait…

Tu m aurais pas une deuxième fois

Elle semblait le reconnaître…Il lui disait quelque chose…mais elle ne se rappelait pas.. Dans le sifflement du vent se mit a chanter une chanson de sa voix douce et calme.

Dis moi qui es tu
Toi qui me plais déjà
Toi qui m es pas inconnu
Dis moi qui es tu
Toi qui me plais déjà
Mais que je ne reconnais pas
Qui es tu
Qui es tu
Qui es tu

Bel étranger étranger
Que viens tu chercher
Quelle espérance quelle pitié
Dis moi qui viens tu retrouver

Ombre du néant, pourquoi m’avais-tu prit comme victime de ton silence ? Pourquoi avais-tu prit mon âme en gage de tes mérites ? Je ne le savais pas, ou plutôt, je ne savais plus. Les vices que je défendais autrefois été désormais trop vague et monotone. J’étais naïf et il avait profité de moi. Aujourd’hui, je devais prouver ma bonne foi, je devais faire mes preuves devant eux. Et, réellement, je n’avais pas le choix. Mon cœur engourdit par le souffle glacial de la nuit, je me demandais si la fuite était vraiment la meilleure chose à faire, c’était mon éternel refuge, pour ne pas m’attacher aux autres, pour ne pas les confondre et pire, les aimer.
Je tenais cela de mes parents sans doute. Au fond, il n’avait jamais été mauvais avec moi, juste trop aimant pour prendre un autre chemin que celui qu’on leur avait imposés.

Il faisait noir et, le cœur meurtrit, je prit la route du cimetière, endroit silencieux et lugubre qui profitait à merveille à mon ego solitaire et désarmé. J’étais trop égoïste et perfide pour prendre la peine de faire partager mes regrets et mes attentes. Les femmes se languissaient vite de moi et de mon être si renfermé. Je voyais en chacune d’elle un prolongement de l’autre, une éternité de femme commune et insipide qui ne faisait pas de moi un homme comblé.

Ma chaîne pendait à mon coup et je ne sus trop quelle était la signification de cet objet quand il me fut remit. Cela faisait trop longtemps que j’avais touché à cette famille, dôme d’une enfance au service du vent, aussi libre et bienveillant que je voulus l’être jadis. La nuit encre prit de l’ampleur sur moi, je ne savais trop que dire. L’avenir avait voulu que je me soumette pour finalement me relever plus faible qu’autrefois.

Le rideau de cheveux noir corbeau mit un point d’interrogation sur mon visage aussi sobre que le fut mon père avant ma naissance. Des yeux encrés dans un visage plutôt fin, on ne pouvait percevoir son visage si adroitement travaillé. Portant un t-shirt noir et un jeans, ma tenue semblait inconvenante dans un tel lieu mais il fut dit que le respect n’était pas dans mes priorités sous un ciel annonciateur d’un jour sombre.

Le regard droit, Dante perçut dans l’environnement sombre une silhouette fugace que je qualifierais de fantomatique. Mais tandis que je n’y prêtai pas attention, elle s’approcha de moi. M’adressa ses quelques mots et me confondit avec un autre. La sensation qui m’eu envahit quand je sentit sa peau m’effleuré était inqualifiable mais je ne su achever un geste pour lui faire comprendre son erreur et sa méprise. Elle l’eu comprit de sa propre initiative.

« Je ne…Vous vous trompez. »

Dante attrapa la main de l’inconnu. Il l’avait piégé et il lui était impossible de se dégager. Le serpentard s’approcha doucement de la main de deuxième année et effleura de ses doigts la bague qui l’emprisonnait de ses liens. Le serpentard s’approcha encore un peu de la jeune fille et perçut l’odeur de sa peau, ses naseaux caressaient presque sa main et se posa sur l’étendu de celle-ci. Il contourna la demoiselle en prenant soin de ne pas la toucher ormit son bras qui caressa de bas en haut avec plaisir et délicatesse. Puis, il reprit une attitude paisible, fixant Drusiella sans aucune amertume. Il dégagea celle-ci de son emprise et lui rendit ce qui semblait pour lui, une liberté limitée.

Le vent se mit alors à raconter une histoire qui le troubla et qui lui rappelait vaguement quelques choses.

« Si le vent reflète ta pensée, c’est que tu es dignes d’avoir une réponse. Mais pas aujourd’hui, et pas maintenant. Si tu veut découvrir qui je suis ou qui j’étais, c’est mon cœur que tu devras défaire des liens qui s’acharne à m’emprisonner. »

Dante prit la main de Drusiella avec douceur et la posa sur son coeur.

« Cà fait longtemps qu’il ne bat plus pour personne d’autre que celle que j’attend. Je ne briserais le lien que pour elle. Et je ne cherche rien d’autre qu’un but à ma vie. Sinon, je l’a sacrifierais pour quelqu’un que j’aime. »

Le serpentard souria. Il n’avait jamais parlé ainsi. Du moins, il n’avait jamais parlé avec autant de sincérité.

« Je commencerais par les formalités. Je me nomme Dante Méryona et il me semble que je serais enchanté de te connaître, à la condition que tu ne me prennes plus pour un autre bien sûr. »

[ Ce n'est pas aussi long que ton poste mais j'ai fait de mon mieux pour être à la hauteur. ]

Doucement il posait sa main contre sa poitrine a l'emplacement du coeur. Du bout des doigts, elle caressait le tissus de son chandail. Elle fût envoutée par ses douces
paroles, mais est ce que c'était pour elle? Ou Parlait t-il d'une autre femme qui aurait
perdue dans le temps, qui recherchait.. Qui sait se qui se cache sous son masque
de garçon mystérieux. Peut être est-t-il l'incarnation de Viktor Rosier, celui qui
recherche sa Cassiopéia, cette femme qui vécue des années avant Drusiella mais dont cette dame..son arriere grand mère vivrait en elle..Chaques minutes de son
existence qui passait, elle ressemblait plus a cette sorcière déchue qui s'avait autrefois transformée en une Bannie ayant perdu l'amour. Se qui expliquerait
son attirance vers elle. Qui est-t-il? Puis il fesait prisonnier ses doigts fins dans sa main.La descendante des Rosiers sentait la force du garçon. Elle essayait de se défaire de son emprise mais elle y arriva pas...Prisonnière...Du bout de ses doigts,
il frottait l'alliance de Drusiella celle qu Ethan lui avait offerte pour lui dire qu'elle lui
appartenait a jamais. Que ressent-t-il a ce moment? De la jalousie..? De la trahison..? Si il était vraiment l'incarnation de Viktor se serait ses sentiments car jamais il n aurait laisser sa femme allée vers un autre homme. Il se batterait contre
son rival pour retrouver celle qui fait battre son coeur. Une autre hypothèse serait possible se qui signifie pourquoi il tenait la rose dans sa main. Il était peut -être
un serviteur de Druella Rosier, sa grande ennemie qui envoyait ce garçon pour pièger
notre petite sorcière et la séparer de sa bête Ethan. Au fond d'elle, elle resterait
méfiance, car il était un étranger a son coeur. Si il la désirait, il devrait gagner
sa confiance. Drusiella reculait effrayée a cette idée de se retrouver...devant un garçon qui se trouvait peut- être qu un esclave de la maîtresse de son père.
Son dos s'adossait contre un arbre, elle ne pouvait plus bouger. Qu'allait-t-il lui arriver? Il s'approchait lentement d'elle...Le coeur de la vipère battait très fort..
La peur l'envahit... Était-t-il un danger pour elle? Elle ne connaissait pas celui
qui était devant elle...même si elle avait l'impression d'un déja vu. Il n'était qu'a quelques centimètre d'elle. Son visage était prêt de sa gorge... Il semblait sentir
le parfum de l'inconnue qu'elle était pour lui. Son parfum...celui d'une rose fraîchement cueillit Elle sentait la main de l'étranger sur elle, sur son bras...
Il caressait son bras avec plaisir et délicatesse. Mal a l'aise, elle se laissait faire
car elle n'avait pas de moyens de défense, pas de baguette et de force il serait
beaucoup plus fort qu'elle, a voir sa carrure massif et puissante. Il l'avancait vers lui un peu en tournant autour d'elle pour l'observer de tous les cotés.
Quand il t'était derriere elle, Drusiella essayait de se retourner pour voir se qui fabriquait car sa mère Juliette Rosier lui avait enseigner ''Ne tourne jamais
le dos a un étranger car on ne sait pas se qui peut' faire''
Elle frisonnait, tremblait lègèrement...Elle avait froid...car cette nuit la, le vent n'était pas avec elle mais contre elle.
L'hiver était bientot aux portes de Poudlard.
Il ne manquait plus que les floçons de neige, les cadeaux, et le père Noel, c'était l'hiver et les vacances de Noel, dont elle passerait au Manoir Malefoy
cette année contrairement a l'année dernière au château.
Les mèches blanches de la jeune fille jouait dans le souffle du vent fouttant son doux visage.
Soudainement après l'avoir observer un petit moment, il s'arrêtait devant elle.
Il se présentait et lui demandant de se présenter a son tour.
Meryona ne lui disait rien..Pourtant il était de la maison de Serpentard.
Il devrait être de Sang Pur..Dont elle ne pouvait rien savoir sur cet inconnu..
Savoir si il serait ennemi ou un allié, mais une chose est certaine elle allait le découvrir bientot.

Quand il se détacha d'elle, Drusiella tendait la main vers l'étranger..Dante..Pour qui dépose un baiser sur la paume de sa main.
Du coin d'oeil, elle surveillait le poison qui tenait entre ses doigts...La rose..
Elle se penchait lègèrement pour faire une révérence a ce garçon car elle avait toujours été courtoise, bien élèver par sa mère pour qu'elle devienne
une aristocrate. Elle aimait bien se faire voir des gens qui l'entourait, dont elle possèdait le péché de la vanité en elle.

Drusiella Cassiopeia Rosier

Pour la première la jeune descendante de la Bannie...Dévoilait son prénom au complet.
Pour le dire elle s'avait discrètement approcher de cet étranger, glissait ses doigts autour de son poignet ou il tenait l'arme...La rose..
Elle était prudente, car elle ne voudrait pas encore une fois qu'une épine d'une rose empoisonne son sang comme il a un an.
Elle murmurait dans le creu de son oreille, son prénom puis elle lui disait autre chose.

Je vous conseillerais de lacher cette rose...Si vous désirez me connaître d'avantage...

Elle espèrait qu'il allait la laisser chuter vers le sol, et non lui offrir. Le seul homme qui lui offrait cette fleur serait l'élu de son coeur...
Celui qui lui avait offerte... Comme l avait predit Druella Rosier, celle qui condamna sa lignée a des bêtes, des hommes dominants et supérieur.
Ceux dont la femme était un objet de plaisir, de désir. Puis elle glissait sa main dans la sienne, enmelant ses doigts dans ceux de Dante.
Le tirait avec elle..vers ou? Une cachette...

J'ai froid allons dans une endroit plus confortable.. car je sens qui va pleuvoir.. et j'ai froid...

Elle lui disait sur un ton de voix douce, mais épuisée..Elle voulait se reposer,car sa vie n'était pas un cadeau elle devait toujours affronter le danger...
Seule avec son amour. Elle ne voulait pas avertir les enseignants, ni même le directeur car il croyait qu'elle serait une folle. C'était des affaires de famille!
Monsieur Dumbledore ne semblaient pas aimer beaucoup les Sang Pur comme les familles Malefoy, Black et Rosier car ils traitaient les familles
de moldus comme des vermines, mais il ne disait rien.. Une enfant de treize ans ne pourrait affronter encore ce mal...d une telle puissance..
De la magie noire de haut niveau..Elle n'était qu'une deuxieme année. Qui pourrait l'aider? Elle avait entendue parler d'une enseignante un peu cinglée..
Qui prédisait souvent le malheur et la mort..Était-t-elle vraiment tout droit sortie de Saint Mangouste? Non Drusiella ne croyait pas car elle avait prédit le retour de Lord Voldemort et notre petite vipère avait entendue l'été dernière de la bouche de son oncle que pendant la deuxième année les mangemorts dont lui organisait un évènement.
Elle irait surêment voir Sybille pour qu'elle l'aide a comprendre ses rêves, car cette professeur enseignait la divination.

Les gouttes de pluie commençaient a tombées. Elle se mettait a courrir vers un caveau tandis que la pluie se fesait plus forte.
Elle le tirait avec elle, l'obligant a la suivre.
L'averse avait réussit a les trempés quand Drusiella la main tremblante tournait la poignée de la porte.
Drusiella s'approchait une porte dont elle ouvrait la porte...
Un Caveau..
Une endroit on entreposait les cadavres des défunts avant de les enterrer en terre.
D'inviter la famille aux funérailles, mais pour notre petite fille de treize ans c'était sa cachette.
L'endroit était mal entretenue.. poussiereuse...du poil de loup dans quelques recoins de la piece.
Cette obscure endroit, servait aussi a Ethan lors de ses transformation en Loup Garou pour qui soit a l'abri de tous les regards et qui se repose
a l'aube.
Des cadavres, des os d'animaux..Des traces de griffres sur les murs.
Un coffre.. Des habits de femmes et d'homme sur la dalle froide proche d'une table ou les bols de bois étaient a terre.
Avec des fruits..qui était étalés sur le sol. L'Endroit était un mauvais état..

Bienvenue chez moi! Fait comme chez toi. Sent toi a l'aise si tu veux il a un lit la bas..

Elle pointait de son index des brins d'herbe dans un tas avec des couvertures de laines et de fourrures dessus.
Proche du coffre... et d'un long rideau noir... Donc Drusiella se dirigait pour se changée car elle allait pas rester mouillée pas attraper froid.
Drusiella disparaissait derrière un rideau, de velour qu'elle avait installée.
On entend des vêtements tombés sur le sol.
Que faisait-t-elle?
Quelques minutes plus tard, elle était magnifiquement vêtue d'une robe blanche très longue mais simple.
Sa tenue était d'un tissus très leger du voile dont on voyait un peu la transparence de la tenue on voyait ses sous-vêtements
de plumes de colombes. Sa chevelure blanche était ondulée avec des joyaux rouges inscrutées dans ses mèches.
Elle s'avancait majestueusement, la tête bien haute... Sa démarche était très noble.. Ses pieds nus glissaient
sur la dalle de pierre froide. A sa cheville on voyait un bracelet qui frottait sa peau blanche.
Dans le creu de son cou, on apperçevait un collier de diamant avec un rubis rouge qui pendait entre ses seins par une petite chaine.

Arrivée près du foin, Drusiella tendait encore a la main a Dante qui était lègèrement allongé dans les brins d herbes.
Elle voyait sa chevelure brune trempée sous la sueur, ses prunelles vertes qui la désirait avec envie, un sourire en coin.
Son percing au sourcil droit, et celui sous sa lèvre inférieur. Sa peau nu marbré, son torse musclé..Son nombril rond et profond..
une petite ligne de poil en bas de son nombril qui commencait a poussé. Une couverture camoufflait ses jambes dénudés.
Il était subblime et en sueur, des perles coulaient sur son corps.

Elle pensait a lui Ethan pourtant cette nuit elle était en compagnie d'un autre homme.
Drusiella avait fermée les paupières un instant mais un instant plus tard, celui qui était coucher était le jeune Dante.
Drusiella se reprenait sa main, s'accroupisait près du jeune homme pour s'allonger a son tour a ses cotés, recouvrait
son petit corps de la couverture de fourrure.
Elle fixait de ses prunelles glacées l'étranger a son coeur...

On entend le tonnerre a l'extérieur, la pluie tombée sur l'abri...
Elle était prisonnière dans cette endroit avec Dante.
Il était trop tard pour reculer...Elle devra affronter se qui va se passer...

Sous la lune camoufflée par les nuages, on entend le hurlement du loup..Celui qui appel sa bien aimée..
Dans le château, seul...inquièt.. Viendra t il la a sa recherche?

Ethan...

Murmura-t-elle sans que Dante l'entend. D'un pincement de doigt elle eteignit la derniere source de lumière, une chandelle dont on voyait
une fumée disparaisse. L'obscuriété...Le noir..et le mal..
Allait t-il se rapprocher d'elle vue qui était le noir? Allait t-il la touchée? Le mystère est la!

Prit de cours, Dante fut surpris de la réaction de Drusiella. Elle n’avait pas opposé de résistance à ses gestes. Il avait brutalement fait emploi de son corps et elle n’avait prétexté aucunes excuses pour se défiler, répliquer aucunes paroles pour se défaire de son emprise. Il était vrai qu’il ne lui avait pas laissé le choix et la liberté de le repousser. Mais elle ne semblait pas vraiment avoir souhaiter le contraire. Et cela l’avait blessé et en même temps, il était prisonnier de ce sentiment.

Ce cœur, qui n’avait jamais eu de fausseté ni d’amour à rendre, cognait dans sa poitrine. Cette âme, qui le dévorait de mille supplices, lui disait de reculer avant qu’il ne soit trop tard. Il en était convaincu, elle le testerait, comme d’autres en avait fait autant avec elle, et comme on en avait fait de lui. Et ce fut pour le serpentard comme une épreuve, un tournent de sa vie qu’il devrait affronter sans une larme, sans un cri, sans une faiblesse. Elle le laisserait meurtrit, il le savait déjà. Mais le destin l’amenait irrémédiablement vers elle. Comme si son visage mènerait le deuxième année plus loin qu’il n’aurait pu le soutier.

Lui, petite marionnette qu’on avait emprisonner derrière des barreaux dorées, qu’on avait lâchement détesté pour ne pas l’aimer plus qu’il n’aurait fallu, pour qu’il ne s’attache à personne, et surtout pas à un mirage, à un sourire, à son cœur. Chose qu’aujourd’hui il voulait plus que tout. L’amour était un souffle de vie, le maître mot de l’univers, son origine.

Elle, petite poupée blême et fragile, déjà prise, encore amoureuse. Elle l’utilisait, mais lui, aveuglé par sa beauté, n’en finissait plus de l’observer comme un fantôme, de caresser de ses pupilles noir les moindres traits de sa peau comme si, d’un instant à l’autre, elle disparaîtrait.

La nuit le faisait frissonner. Mais n’était-ce pas elle qui l’éloignait de ce qu’il connaissait pour lui faire perdre pied ? Il en doutait. Elle était belle et charmeuse certes. Mais bien des légendes racontaient que l’histoire de ses femmes, indomptables, insoumises, assoiffés de vengeance et ivre de pouvoir. Celles qui de loin paraissait si radieuse, et de près inquiétait le plus brave des hommes. En faisait-elle partit ou ses sentiments si apparent chez elle n’était que le fruit de ses désirs pour un autre, un sorte de méprise de l’homme qu’il était, un passage qu’elle voulait prendre pour exemple auprès de sa famille.

La jeune demoiselle prit un étroit chemin qui menait vers un caveau ancien mais encore dans un état acceptable. Elle lui demanda une faveur, mais aurait-il le droit dans demander une à son tour. Il n’avait qu’un seul désir. Il l’avait déjà exprimé auparavant mais elle semblait l’avoir prit autre mesure alors qu’il comptait tant à ses yeux.

Dante effleura du bout de ses lèvres la rose. Les pétales touchèrent sa bouche comme un sacrilège, il l’a savait attentive à ce détail. Car il possédait son point faible entre ses doigts, la plus divine des fleurs se résumaient à celle qu’il tenait entre ses mains. Il savait aussi que la perdre était un sacrilège. Alors, il l’a garda dans la poche de son manteau. Il savait qu’elle se fanerait avec le temps mais que pour lui, sa valeur resterait inestimable. Avant qu’il ne l’entraîne, il lui murmura à l’oreille :

« J’entend ton cœur fatigué. Oublie ce que tu crois être bien. Car l’amour t’a aveuglé et depuis longtemps tu ne te fit qu’à ce qu’on t’a apprit sans jamais voir plus loin. Tu es morte avant d’avoir vaincu Drusiella. Renaît de tes cendres ou meurt dans mon cœur. »

Il avait admit une condition, et pourtant, le serpentard n’avait guère l’impression que la jeune fille s’évertuait à la remplir. Derrière le rideau de soie bordeau, Drusiella s’évertuait à le tenter, tel le démon.

Dante observa les lieux. L’endroit où elle l’installa ressemblait à une tanière et des poils sévissaient sur le sol signe d’un autre passage que celui de la deuxième année. Elle ne lui disait rien d’elle et déjà elle se découvrait auprès de lui. Il était méfiant. Elle s’offrait à lui. Pourquoi ? Il devait y avoir une raison à tout cela. La nuit se fit plus sombre et inquiétante. Il était seul avec elle. Le torse nu, elle habillée d’une robe blanche, cette scène ressemblait étrangement à un rêve. Et il lui fut plus vraisemblable que l’écart entre le rêve et la réalité avant perdu de son intensité.

Allongé près d’elle, il empoigna son bras et lui murmura au creux de l’oreille.

Masque blâfard
Tu meurs ce soir
Masque empourpré
De sang séché
D'où vient ta peur du néant
Tes pleurs d'enfant
Qui sont les larmes
De tes tourments ?

La lueur de la chandelle se mit à faiblir. L’obscurité complète fit que Dante se sentit perdu. Il chercha de ses mains le visage de Drusiella, caressa du bout des doigts ses lèvres et se rapprochant d’elle, emprisonna ses lèvres entre les siennes. Il l’a détacha de son emprise.

« C’est donc cela que tu cherches miss Rosier ? La chaleur de mes lèvres ou l’ombre d’un autre ? Tu m’as déjà confondu avec lui. Mais le désires-tu au point de le voir en moi ? »