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 Rossana Farazzi (Serpentard)
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MessageSujet: Rossana Farazzi (Serpentard)   Rossana Farazzi (Serpentard) EmptyMer 1 Nov - 20:49:38

Formulaire de répartition


Nom: Farazzi
Prénom: Rossana

Age de vôtre personnage : 11 ans
Age du posteur : 21 ans
Comment avez vous connu le site? muahahahaha... j'y joue déjà quelqu'un ^^ (et un grand merci pour l'autorisation du double compte ^^)



Présentation rp:


Enfin, après un long voyage en train, dans la fameux "Poudlard Express", elle avait mis pied à terre, et avait dû rejoindre un homme, le plus imposant qu'elle n'eut jamais vu, sans l'ombre d'un doute. C'était le soir, il faisait froid, et cela se ressentait, songea Rossana en frissonant, serrant un peu plus sa cape sur sa poitrine, esperant sans doute se rechauffer.

Physiquement, elle n'était pas bien grande, ni trop épaisse, trop laide ou trop belle: elle était dans les normes, à vrai dire. Elle possèdait un paire de yeux bleus, qui ne cessait de scruter les environs, à l'heure actuelle, tandis que la légère brise du soir soufflait legerement dans ses courts cheveux chatains, dont les meches de devant étaient retenues par de fines barrettes argentés. Cependant, elle avait encore un visage arrondi, voir un peu poupon: après tout, elle n'avait encore que onze ans, et des années pour continuer de grandir. De toute facon, cela lui était bien égal. Elle attirait le regard, même avec son visage poupon, et même si elle était vêtue de la manière la plus simple qui soit: une simple jupe plissée, pour un pull, avec sa robe de sorcière par-dessus. Sans doute était-ce à cause de démarche aisée, puisqu'elle était passionnée de théâtre depuis toute petite, ce qui lui avait appris une certaine aisance, comme si elle se déplacait justement sur une scène. Et, de toute facon, aurait-elle osé mettre quelque chose d'un peu plus "découvert", que cela aurait non seulement déplu à sa mère, mais également, et surtout, à son père.

Car en vérité, elle avait une forte estime, et un respect total pour son père, Alessandro. Ce dernier avait toujours été de bons conseils pour elle, après tout, même si parfois, ce dernier était beaucoup trop subtil dans sa façon de parler; ce à quoi il disait à sa fille qu'il fallait souvent peser avec soin chaque mot qu'on prononcait. Et ce à quoi elle se demandait intérieurement, à chaque fois, s'il ne voulait pas qu'elle prête un balance.

Quand à sa mère.... Elle frissona un peu à cette pensée. Sa mère et elle avait toujours entrenue une relation plus que particulière. Il faut dire que Livia, sa mère, tenait sa fille pour responsable de la honte ressentie à la naissance de cette dernière. Après tout, si Alessandro était un simple moldu, fils d'une famille de souffleur de verre depuis des générations, Livia, elle, était ce qu'il convenait de nommer une sorcière de pure souche, qui avait grandi dans une famille si aisée qu'elle en était rapidement devenu gatée et extremement capricieuse. Voilà pourquoi, quand elle eut le choix entre un sorcier lui aussi de pur souche, Pietro, qui avait un fort caractère, et un moldu tel qu'Alessandro, qui était d'une patience angélique lui permettant de supporter une personne comme Livia, qui pourtant n'aimait pas beaucoup les moldus (elle aime rien de toute facon) , elle choisit alors celui qui pû lui permettre de continuer ses caprices, plutôt que de perpetuer ce qui faisait une de ses plus grandes fiertés. Ainsi, elle resta à Venise, son époux travaillant dans la même boutique que ses parents, à Murano.

Malheureusement, le jour où elle avait désirée aller à Burano acheter de la dentelle, accompagnée de sa soeur Giacoma, elle fit prise des fameuses contractions, sur le bateau bus! Et voilà comment, Rossana vit le jour sur le quai de Burano, sa mère folle de rage de s'etre "donnée en spectacle à des moldus" pour cette "chose". Cependant, cela restait sa fille n'est-ce pas? Alors elle l'avait gardé, près d'elle, comme un objet de grande valeur. N'est-ce pas elle, après tout, qui dit un jour à sa fille, étonnée qu'on ne fete pas son anniversaire: "si l'on devait celebrer l'anniversaire de chaque objet dans cette maison, nous n'en finirions plus!"? De toute facon, elle s'en fichait. Elle avait grandie dans les rues de Venise, elle avait joué avec des enfants de son âge dans les petites ruelles cachés de son île. Elle avait appris des astuces de spectacles auprès des très nombreux artistes de rues. Malheureusement, tout ca à changé le jour où Milena, sa petite soeur est née. Sa mère, soudainement devenue maternelle, a imposé à Alessandro un caprice sans précedent: vivre en angleterre, à Londres. Ce dernier s'y imposa un premier temps: Livia n'avait jamais travaillée de sa vie. S'il ne trouvait pas d'emploi, comment donc pourrait-il nourrir sa chère famille? Mais cette dernière fit alors appel à son frère Orazio, qui leur permit un fond suffisant pour ouvrir leur propre boutique. Se résignant donc, le père Farazzi céda une fois de plus, et dès que Milena fêta ses un an, ils démanagèrent tous ensemble.

Aujourd'hui encore, Rossana se souvenait de son arrivée ici. Elle avait été perdue. Complètement perdue. Où étaient les bateaux? Les artistes de rues? Les petites ruelles dans lesquelles elle courait jouer avec ses amis? Et... l'eau, tout simplement? Il n'y avait que de la terre, ici, de la terre et de la poussière. Et les gens étaient si... étranges. Ils semblaient parler, mais elle ne comprenait rien. Elle ne connaissait encore que l'italien, après tout, à environ six ans, c'est déjà pas mal de connaître un minimum sa langue maternelle, n'est-ce pas? Hélas, de part cette "différence", à laquelle s'ajoutait le fait que sa mère, désireuse à présent que sa fille grandisse et devienne quelque chose dont elle pourrait être fière, elle eut un mal certain à se faire des amis, des connaissances. Et puis, il y eut l'école. Comment se faire accepter, quand on n'a pas tout à fait les mêmes manières, la même logique, et pas la même langue, par d'autres écoliers purement british? Elle dû compter sur elle-même, apprenant à se débrouiller et se défendre seule, et à utiliser ses différences pour se faire une place. Mais elle ne pouvait s'empêcher de jalouser Milena, que sa mère couvait sans cesse, l'appelant son petit "trésor". Au moins, sa soeur n'apprendrait que l'anglais, et les coutumes et us d'ici. Elle n'aurait pas de difficulté d'adaptation, ni de mal du pays. Fort heureusement, Rossana étant jeune au moment de son arrivée, elle n'eut pas très longtemps le mal du pays, et parvint à oublier sa mélancolie dans les livres de théâtres. Elle qui aimait déjà cela, elle avait l'impression de retrouver une part d'elle-même en apprenant à jouer la comédie. Rapidement, cela lui donna au moins une part de charisme. Imaginez: vous avez devant vous une petite fille, qui s'exprime avec un léger accent italien, aux airs très flous d'aristocrate, qui sait parfaitement évoluer et s'exprimer avec autant d'aisance qu'une comédienne. Avouez tout de même que cela attire le regard et l'attention, ce dont Rossana s'en réjouit parfaitement intérieurement. Elle préfère encore être sur les devants, au milieu des projecteurs, plutôt qu'à la place d'un bibelot, comme semble le considérer sa mère.

Bien entendu, cette dernière montra néanmoins un peu plus d'intérêt lorsque son "précieux objet" reçut sa lettre pour Poudlard: au moins, sa lignée serait encore une lignée de sorciers. Elle aurait eu trop peur que sa fille soit une cracmol. Imaginez un peu: une sorcière de pure souche, dont la fille n'en avait pas réellement hérité les dons magiques? Livia en aurait été morte de honte! Alessandro, lui, qui était un soutien précieux et d'un grand réconfort pour sa fille, eut un vague sourire, lui disant que tant qu'elle faisait ce qu'elle aimait, c'était ce qui comptait. Et l'intéressée, dans tout cela? Et bien, comme le disait son père, elle n'avait aucune raison de s'en faire: le théâtre, qu'on soit sorcier ou moldu, ca restait faisable sans le moindre soucis. Et d'autre part... Même si elle n'approuvait pas beaucoup sa mère, elle restait une petite fille: désireuse d'obtenir un peu de fierté et d'affection, même superficiel, de la part de sa mère. Au moins, son père lui, l'aimait. Ne lui avait-il pas même acheté un hiboux, qu'elle avait nommé Basileo, pour qu'elle puisse continuer à communiquer avec lui?

Mais à présent, maintenant qu'elle était là, devant ce lac, où les élèves prennaient peu à peu place dans des barques, elle se demandait si un parcelle d'affection de sa mère en valait réellement la peine. Elle monta à son tour dans la barque, et rama alors également, pour atteindre avec les autres l'entrée du château. Avec un air las, elle se retrouva dans un couloir, à atteindre avec d'autres élèves. Eleves qu'elle examina.

Rossana était le genre de personne qui paraissait distante au premier abord. Ce qui est exactement le cas: elle ne parlait qu'à ceux qu'elle veut bien. Qu'importe qu'ils sont beaux ou non, propre ou non, soigné ou non. Elle n'aimait que les gens polis et doux, comme son cher père. C'était d'ailleurs bien simple: plus la personne était polie, plus elle avait envie de l'avoir comme ami. Et en revanche, plus la personne était le genre à être trop familière, plus elle lui ferait sentir à quel point elle serait indésirable aux yeux de Rossana. Cela avait toujours été comme cela pour elle. Car après tout, les gens polis sont beaucoup plus agréable, beaucoup plus reposant à fréquenter. Elle-même s'exprimer généralement de manière plutôt courtoise et poli, influence dû à ses deux parents, d'ailleurs. Car même si Livia avait toujours été connue pour ses caprices, elle était de "bonne origine", comme elle se plaisait à dire, et par consequent, avait recu un minimun d'éducation, contrairement à ce que l'on pourrait croire.

Par ailleurs, Rossana était tout à fait capable de faire preuve d'attitude hautaine et méprisable, notamment avec sa mère. A force de trop lui lancer de piques, on s'attire ses foudres, comme pas mal de personnes, après tout. Cependant, le fait qu'elle ne l'aime pas veut dire pour elle qu'elle lui ment, qu'elle ne lui parle qu'avec de lourds sous-entendus, et qu'elle n'éprouve aucun respect envers sa génitrice. Pourtant, Rossana n'est pas qu'une demoiselle qui vous jugera sur votre façon de vous comporter ou non. Elle apprécie d'être entourée, d'amis ou de connaissances, capable de la supporter. Car pour cela, il ne faut pas être n'importe qui! La plupart ne voient en elle qu'une petite peste, particulièrement mauvaise et méchante. Pourtant, de son point de vue à elle, ce n'est qu'une manière de prendre soin et de montrer son affection aux personnes qu'elle aime. Si ce n'était pas le cas, à quoi se prendre se prendre la tête, dira-t-elle. D'ailleurs, lorsqu'elle s'attache à vous... Vous n'avez plus vraiment d'autres choix que de la supporter, car, têtue comme elle, elle ne renoncera pas. Et que vous l'aimiez ou non est le cadet de ses soucis. Elle n'en fait qu'à sa tête, et si cela ne convient pas, tant pis! Car, à ses yeux, il y a des choses qu'elle seul peut faire, elle et seulement elle. Après tout, il y a bien des actes ou des paroles que les autres ne peuvent faire pour vous, n'est-ce pas?

Ajoutons également qu'elle est égoïste, détestant partager ce qui lui appartient, que ce soit des biens ou des personnes proches. Osez vous approcher trop près de l'un d'eux, elle montrera la plus grande méfiance à votre égard. Faites leur du mal, vous deviendrez un personne profondément détestable à ses yeux. Malheureusement, dans son immense égoïsme et sa (plutôt) haute estime d'elle-même, elle a une certaine tendance à parler de ses amis comme des objets, justement. Après tout, sa propre mère ne la considère-t-elle pas comme tel? Par ailleurs, Rossana est une personne adorant la lecture. Qui dirait non à un bon roman? D'autant qu'elle aime au plus haut point le théâtre, en ayant en plus fait deux années dans son enfance. Cependant, c'est une personne vraiment très paresseuse, qui n'hésitera jamais à remettre au lendemain, voir à mentir et à se chercher des excuses pour ne pas faire un devoir, et ce, sans le moindre remord. Les devoirs, elle déteste bien trop cela voyons, s'exclama-t-elle intérieurement tandis qu'un fantome de gros moine exprimait le désir d'avoir des eleves studieux dans sa maison.

Et de toute facon, une femme - un professeur, sans l'ombre d'un doute- au visage severe, et au chignon si serré que Rossana songea qu'elle devait surement avoir mal à la tête en permanence, avait déroulé un long, long parchemin, et entamé d'un voix monocorde, mais forte, claire, et audible, à réciter des noms d'élèves qui s'avancèrent un par un jusqu'à un tabouret, où elle posait alors sur la tête des élèves une chose que Rossana prit en premier lieu pour une sorte de chiffon. Avant de se rendre compte de son erreur: ce n'était qu'un choixpeau parlant.






Signification des prénoms: ceci est juste pour le fun, vous en faites pas xD

Rossana >> lumineuse
Livia >> pale
Giacoma >> disciple de Dieu
Alessandro >> protecteur
Pietro >> roc
Orazio >> clairvoyant
Basileo >> souverain
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MessageSujet: Re: Rossana Farazzi (Serpentard)   Rossana Farazzi (Serpentard) EmptyJeu 2 Nov - 10:24:24

Hummm...



Je dirais...



SERPENTARD !!!!
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