*Nom : Etiolona

*Prénom: Palicio

*Age de vôtre personnage : 11 ans

*Age du posteur (au moins 14 ans) : 15 ans

*Comment avez vous connu le site? Par une amie.

* RP de répartition :

Etiolona était assise sur le grand lit de sa chambre, attendant d’enfin recevoir sa lettre pour son inscription à l’école de Poudlard. On était mi août et elle n’avait toujours pas reçu de nouvelles de celle-ci. Ses petites jambes étaient croisées et dessus un livre était installé, lui permettant une lecture agréable de son livre ‘Les mœurs chez les Sang-de-Bourbe’. Etant l’enfant de deux sorciers au sang pur qui lui répétait inlassablement de ne pas se mélanger à cette vermine qu’étaient les enfants nés de parents moldus, elle avait commencé à vouloir savoir de quoi il s’agissait. Rien d’intéressant pour elle en tous les cas.

** Cette lecture ne me mène à rien, si ce n’est à perdre du temps pour des incapables. **

Pensa-t-elle en rangeant son livre. Elle prit ensuite le chemin des escaliers pour se rendre au rez-de-chaussée, voir si ses parents n’avaient toujours pas reçu le courrier. Arriver dans le grand salon de la maison, la jeune fille laissa ses grands yeux bruns presque prunes détailler la scène qui se jouait devant elle. Sa mère était occupé de crier sur son époux, lui reprochant d’être trop souvent absent. Et sous l’effet de la colère, son père gifla sa femme, devant la petite Etiolona. Le regard innocent de la petite fille se troubla de larme et un sanglot déchira sa gorge, faisant stopper net la dispute de ses parents. Sa mère, alarmée de voir sa petite chérie pleurer, se précipita sur elle et la prit dans ses bras, lui murmurant des paroles réconfortantes au creux de l’oreille pour l’apaiser.

- Là, c’est tout ma puce. Papa et Maman se sont un peu énerver mais c’est fini.

Répétait-elle inlassablement, demandant de temps à autre pardon à sa fille. Etiolona, elle, continuait de laisser les larmes coulées sur ses joues pâles mais ses yeux ne reflétaient plus la détresse d’il y a à peine quelques secondes, juste une joie malsaine, celle d’avoir encore eut ce qu’elle voulait. Sa mère s’écarta d’elle un petit peu, la tenant toujours et lui dit d’une voix douce qu’une fois sa lettre reçue elle pourrait avoir ce qu’elle voudrait sur le chemin de traverse. Cela fit tiquer la jeune fille. D’un côté elle était très tentée d’accepter, après tout elle avait toujours voulu d’un nouveau balai. Mais de l’autre, cela n’embellirait-il pas son côté gentille petite fille que de dire qu’elle n’avait pas besoin de cela pour pardonner et aimer ses parents ? Et cela ne permettrait-il pas une encore plus grande confiance de la par de ses parents envers elle ?

- Vous savez, Mère, j’apprécie votre geste qui me prouve encore une fois combien je compte pour vous, mais je vous aime suffisamment sans avoir besoin de cadeaux supplémentaires.

Dit-elle, se décidant finalement en se rappelant que les balais étaient interdits pour les élèves de première année. Ses lèvres pâles s’étirèrent en un magnifique sourire et elle enlaça sa mère tendrement, réfléchissant déjà à l’impact que cela créait dans l’esprit de celle-ci qui rigolait en même tant qu’elle laissait échapper quelques larmes. C’était presque trop facile.

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Etiolona était assise dans sa chambre, cajolant tendrement son chien. Un grand Labrador femelle qui répondait au célèbre nom de Laïka. C’était une brave bête, bien plus fidèle que n’aurait pu l’être n’importe lequel de ses amis. Elle représentait à elle toute seule la véritable part d’amour et d’honnêteté que la petite fille offrait. La pomme empoisonnée à laquelle elle s’identifiait parfois était alors remplacée par un être vrai et affectueux. Si elle avait eu de vrais amis, elle aurait sans doute été ainsi avec eux aussi. Vraie, affectueuse, loyale … Mais qui pouvait bien le voir ? Tout le monde la croyait ainsi constamment et ne pouvait donc pas se douter de l’esprit manipulateur qu’elle avait en cachette dérobé à son père.

Flattant les oreilles de l’animal de ses petites mains et laissant sa tête reposée sur son ventre, ses cheveux châtains, qui deviendraient sûrement d’un beau bruns plus tard, se confondant dans le pelage de la même couleur. Une chouette entra alors dans la chambre de la petite fille qui se redressa précipitamment. Elle se leva et se dirigea vers l’oiseau, lui prenant doucement la lettre de sa patte.

Pour Miss Etiolona Palicio
Chambre du deuxième Etage
Manoir Palicio.

Ca y était ! Elle avait enfin sa lettre ! Elle en était sûre et certaine, cette écriture émeraude dont elle avait entendu parler, cette précision dans l’adresse, ça ne pouvait être que sa lettre d’admission à Poudlard, tout du moins elle l’espérait. Ses petites mains, tremblantes sur le moment, ouvrirent fébrilement l’enveloppe, faisant accidentellement tomber une liste de fourniture que la jeune Etiolona se dépêcha de ramasser, un sourire sincère sur les lèvres avant de s’attaquer avidement à la lettre.

Directeur: Albus Dumbledore
Commandeur du Grand Ordre de Merlin
Docteur ès Sorcellerie, Enchanteur en chef, Manitou suprême de la Confédération internationale des Mages et Sorciers.
Chère Melle Etiolona Palicio,
Nous avons le plaisir de vous informer que vous bénéficiez d’ores et déjà d’une inscription au collège Poudlard.
Vous trouverez ci-joint la liste des ouvrages et équipements nécessaires au bon déroulement de votre scolarité.
La Rentrée étant fixée au 1er septembre, nous attendons votre hibou le 31 juillet au plus tard.
Veuillez croire, cher Melle Palicio, en l’expression de nos sentiments distingués


Minerva McGonagall
Directrice adjointe.

Une fois sa lecture finie, Etiolona serra bien fort dans sa main le morceau de parchemin et ouvrit en grand la porte de sa chambre avant de s’engager dans le couloir et finalement dévaler les escaliers à toute allure suivie de son chien. Il ne leur restait pas longtemps pour faire les courses et il serait donc préférable de le faire le plus tôt possible. Aujourd’hui.

** Père à une réunion importante à son travail, il ne va sans doute pas vouloir. Il va falloir que je le convainque. **

Une fois arrivée devant la table elle fit son plus joli sourire à son père et lui tendit tous les parchemins. Celui-ci lu dans le silence lesdits parchemins et, une fois sa lecture finie, les reposa sur la table pour plonger ses yeux dans ceux de sa fille. Celle-ci eut le réflexe de détourner le regard mais ne le fit pas. Elle se sentait toujours mal à l’aise quand son père la fixait de ses yeux gris, un peu comme si il savait qu’elle mentait et jouait une comédie de tous les jours. Comme si il était au courant que son caractère attachant n’était que fabulation au près d’eux. Elle fit un petit sourire timide et baissa légèrement les yeux pour essayer d’amadouer son père. Celui-ci eut un ricanement et déclara qu’ils iraient le jour même sur le chemin de traverse. Etiolona ne pouvait pas s’empêcher de se dire qu’il savait.

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Etiolona arriva sur le Chemin de Traverse avec ses parents. Son père, grand et impressionnant comme à son habitude dit à chacune des ‘femmes de sa vie’ ce qu’il fallait faire pour que tout cela soit finit au plus vite. Ainsi la mère d’Etiolona partit rapidement chercher les fournitures de sa fille tandis que son père et elle allait chercher sa baguette et ses robes pour l’école.

En chemin, Mister Palicio ré expliqua à sa fille que si aller à cette école lui faisait perdre ses bonnes relations, il lui faudrait malheureusement stopper de fréquenter cette école. La petite Etiolona acquiesçait de la tête alors qu’elle poussait la porte pour entrer chez Ollivender’s. Etiolona eut le goût de quitter la boutique lorsqu’elle avisa une jeune sorcière de son âge qui voulait absolument devenir son amie. Etiolona était d’une nature méfiante et n’acceptait pas que les gens squattent son entourage constamment et veuille entrer dans son cœur comme le faisait cette jeune fille. C’était elle qui décidait qui était digne de rentrer dans le cercle très fermé de ses amis –pour cause elle n’en avait pas- et non le contraire.

Elle finit par trouver la bonne baguette après c’être débarrasser de la petite fille à coups de grands sourires et de ‘Invite moi bientôt !’ … Même si elle n’accepterait jamais. Sa baguette mesurait 23 centimètres et demi et était faite en bois de baobab avec un crin de licorne à l’intérieure. Souple. Une bonne baguette en soi. Ils finirent finalement leurs achats rapidement et rentrèrent au manoir familial. La jeune fille avait hâte d’entrer à Poudlard et s’endormit rapidement ce soir là.

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Etiolona monta dans une des barques comme l’avait indiqué le demi géant. Deux autres jeunes filles s’installèrent à ses côtés et Etiolona leur fit de grands sourires. Une de ses grandes phrases était ‘Chaque personne peut un jour t’apporter quelque chose, alors fait semblant de la respecter.’, grand proverbe … enfin grand proverbe d’après elle, pour elle, par elle. Elle discuta donc avec elles de tennis jusqu’à ce qu’elles descendent, même si elle ne savait absolument pas ce que c’était.

** Quelque chose de Moldu à n’en point douter. Rien qui ne mérite mon attention. **

Une fois arriver à terre, on les fit monter dans un grand hall où ils durent tous attendre qu’on les appelle pour être répartit. Tout le monde parlait ensemble et les connaissances faisaient déjà bon train. Etiolona se força à offrir ses plus beaux sourires à tout le monde, mais attendait en elle-même de vite rejoindre sa maison. Lorsque la dame avec le signo serré, McGonagall, leur permit d’entrer la jeune fille contempla le faux ciel de la salle de réception, admirant les étoiles qui y brillaient. Les noms étaient appelés les uns après les autres et les élèves tremblants passaient chacun à leur tour. La jeune fille ne se posait pas trop de question, espérant juste ne pas aller à Poufsouffle, son père en ferait une maladie … et c’est elle qui prendrait.

- Palicio Etiolona

Son nom fut finalement appelé et la jeune fille aux origines ispaniques alla s’asseoir sur le petit tabouret, attendant qu’on dépose le choixpeau sur les yeux et qu’il prononce son verdict.

Hummm.....





Je dirais.....





SERPENTARD!