*Titre de ta nouvelle : Les liaisons dangereuses de Poudlard…
*Présentation de l'histoire : De l’amour, de la haine, des trahisons, du plaisir, de la sensualité… Mais si tout ça n’était qu’un jeu? Un jeu malsain, un jeu mortel…
*Protagonistes : Ah ben ça tu le découvriras toi-même! ^^
*Catégorie : 6ème année de Harry Potter et des autres
*Genre : Amour/Action
* Nombre de chapitres : Aucune idée
*Complet : heu.. Ben là non, pas encore!

Cette fanfic’ peut heurter les âmes sensibles, je pense qu’il serait préférable au moins de quinze ans de s’abstenir… je vous préviens tout de suite que j’occulterai le côté J.K Rowling, vous le connaissez bien entendu, l’histoire est déjà écrite dans les livres! Cette histoire sera portée sur la vie d’adolescent des élèves et non sur voldy et ses mange morts Bonne lecture!
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Câlin rapide, corps humides et histoire de hibou.

Ses douces mains tièdes parcouraient la peau de son partenaire avec passion, ses lèvres caressaient chaque partie de son corps mouate et collant… Hermione, la respiration haletante se lovait depuis presque une heure dans les bras d’un garçon, ou plutôt d’un homme, qui depuis peu était son amant. Tout les séparait, mais la Gryffondor aimait le danger et le pêché de la chaire et personne d’autre que lui ne lui apportait tant de satisfaction, tant de plaisir… Elle descendait vers la zone la plus sensible lorsque un oiseau (maudit soit-il) pénétra par la cheminée dans la pièce.

L’adolescente, âgée de 16 ans, se leva précipitamment, effrayée par l’intrusion du rapace. Celui qui partageait sa couchette put alors détailler les moindres parcelles de son corps, ses formes étaient bien rondes, ses fesses étaient fermes et rebondie, ses seins bien ronds et tout aussi fermes que son fessier, son ventre était plat et ses jambes élancées. Granger s’était métamorphosée en une véritable arme de séduction. Elle se tourna vers l’homme toujours allongé et lui dit en se tortillant une mèche de cheveux:

- Il faudrait condamner ce passage, on ne peut même plus « discuter » tranquillement! Et arrête de me regarder comme ça!

Pour toute réponse, la capricieuse reçut une étreinte passionnée de son compagnon qui s’était levé calmement pendant qu’elle se lamentait. Les caresses reprirent, plus fougueuses, plus sensuelles et plus félines que jamais. De douces lèvres mouillèrent l’oreille de la jeune femme qui sous les assauts des mains exploratrices restait sans voix. Bientôt quelques paroles se perdirent dans cette atmosphère plus que chaude… Les seules que le cerveau de la fille de moldus reteint furent ces dernières: « J’ai envie de toi Mione… ».

Il ne fallut pas en dire plus pour réveiller les sens de la « panthère » qui se cachait en la rouge et or. Elle entraîna sur le lit son « chuchoteur » et bientôt, leurs corps ne firent plus qu’un, elle, les yeux vers le plafond sombre et criant tout le plaisir qui était en elle, se faisant aller d’avant en arrière, lui, les yeux fermés, la respiration saccadée, laissant échapper de temps à autre un cri étouffé.
Le bas de son ventre se contractait, il se décontractait, des gouttes de sueur coulaient sur sa poitrine généreuse, sur ses fesses, des mains poussaient son bassin à continuer de bouger, encore et toujours plus, jusqu’à l’explosion des sens, jusqu’à l’extase… Bientôt, cet instant vint, il fut bref mais prodigieusement orgasmique. Après cet effort physique, car il fallait l’avouer, c’était une réelle performance que de faire l’amour ainsi, l’étudiante se laissa tomber sur le matelas, respirant comme si elle venait de courir un cent mètres.

Elle passa une main dans ses cheveux en broussaille et plongea un regard coquin dans les yeux de son « Roméo ». Il s’approcha d’elle et l’embrassa amoureusement et goulûment n’hésitant pas à envoyer sa langue en éclaireur. Hermione caressa la chevelure noire et légèrement en bataille de celui qui prenait joie à coller son corps au sien. Et c’est pendant qu’il logeait sa tète sur son ventre chaud qu’elle eut la bonne idée de poser son attention sur l’horloge située à l’autre bout de la pièce… Seize heures déjà?! Il fallait vite qu’elle sorte de là! Drago n’allait pas tarder à arriver et il ne fallait pas qu’il la trouve dans cet état, avec cette personne de plus…

Sans ménagements, elle retira la tête du petit noiraud, elle se rhabilla, se recoiffa tant bien que mal et elle prit son sac en bandoulière. Elle n’avait par contre pas pris le soin d’essuyer la sueur de son corps, ce qui donna un effet collant à sa chemise blanche.
Elle lança un dernier regard à son « adultère » et partit au pas de course sans ajouter un mot… C’était comme ça à chaque fois depuis un mois, depuis que la rentrée avait montré le bout de son nez. Et c’est ainsi que Severus Rogue laissa partir la nouvelle femme de ses nuits…

Il se releva, ne prenant pas la peine de se rhabiller, à quoi bon, aujourd'hui était dimanche et en conséquent, pas de cours! La pièce était sombre et humide, sur les murs de pierres d'habitude froide, on pouvait voir la condensation des respirations des occupants de celle-ci. Seules quelques bougies éclairaient l'endroit de leurs flammes incertaines. ça aurait pur être romantique, oui ça aurait pu si des tats de bocaux contenant toutes sortes de choses étranges n'avaient pas été là ainsi que des toiles d'araignées et toutes sortes d'insectes et de rongeurs ayant élus résidence dans les cachots.

Le maître des potions se dirigea vers le hibou qui claquait du bec avec un regard couroucé! Pauvre bête, elle avait assisté à toute la scène sans avoir pu dire quoi que ce soit... Et puis les enfants voudraient pouvoir parler aux animaux, mais imaginez un peu ce qu'ils entendraient de la bouche de ceux-ci? Rogue prit la missive et reçu au passage une pincette du volatile. La lettre était écrite par une main féminine, une main qu'il connaissait bien, une main qu'il aimait lire... Toucher...