Après avoir quitté la gare.

Electra n'avait adressé la parole a personne, pas même à son père qui avait fait l’effort de venir l’accompagner à la gare. Même si elle était contente qu’il se soit intéressait à son départ, elle avait souhaitait lui faire clairement comprendre que son indifférence lorsqu’elle avait reçu sa lettre lui était restée au travers de la gorge. C’était son père et il devait comprendre que son attitude n’était pas celui d’un père normal. Il faut dire, il n’était plus le même bien avant la naissance d’Electra. Avant qu’il ne devienne mangemort, il était beaucoup plus compréhensif et beaucoup plus gentil que maintenant. C’était sa mère qui le lui avait dit mais Electra avait du mal à le croire, comme elle avait du mal à croire qu’il avait épousé sa mère par amour.
Le train roulait avait quitté la gare depuis quelques minutes et Electra regardait défiler les paysage avec un calme étonnant pour une première année. Quelques élèves passaient et la regardaient avec étonnement. Sûrement étaient ils surpris par la couleur des yeux de la jeune fille. Il était vrai que des yeux jaunes d’or étaient plutôt rares chez les êtres humains.

Elle n’espérait qu’une chose : entrer dans la prestigieuse maison de Salazar Serpentard pour prouver à son père qu’elle était digne des McConnor. Plongeait dans ses pensées, elle caressait son chat noir dont les yeux, qui étaient de la même couleur que ceux de sa maîtresse, observaient la porte avec intérêt.

Telemach ne pouvait s'empécher d'être heureux. C'était son départ pour un an loin du chateau familial. Loin de père et de mère. Pendant un an. Un an pour prouvait plusieurs choses. Choses qu'il prouverait dès son entrée a Poudlard. Etre chez les serpents de Salazar Serpentard. Il fallait que père le voit differamment que comme un enfant banal. Il n'était pas banal, il le savait. Il était un Fribuste. Un Fribuste ce doit d'être a Serpentard.

"Mère, Père, au revoir. Je vous reverrais dans un an. Je vous interdit de m'écrire. Je vous écrirez une fois par mois pour vous dire quels sont mes exploits. Si je vois une seule lettre de vous, je la brûle sur le champs. Je ne prendrais pas la peine de la lire. Père vous allez être fier de moi. Mère vous aussi.

Il partit sans se retourner. Enfin si il se retourna et pour la première foi il vit son père avec un autre regard qu'indigné. Mais ce jour là il lui lança un regard dur comme de la pierre. Qui voulait dire je ne veux pas de ton bonheur, ni de ton amour.

*Pendant tout ce temps tu m'as haïs. Je vais te montrer que je suis meilleur que toi. Tu crois que le fait que je sois ton fils te donne le droit de me prendre de haut. Bientôt tu me suppliera de te parlait.*