Souffrance...[Libre ^^ ]

..Sojiro se demandait si il allait recevoir- une lettre de ses parents , ses parents qui avaient pris l'habitude d'envoyer le courrier non pas par la poster , mais par les hiboux. Il esperait peut être que ses parents s'informent sur ce qu'il se passait dans le monde "normal" , surtout que des Moldus mourraient presque chaque semaine , encore une fois la faute etait aux mangemorts. Il quitta donc la salle commune a l'aube et se diriga lentement vers la voliére , il regarda autour de lui , c'etait la premiére fois qu'il voyait le chateau "endormi" puis finalement il reprit sa route , il rencontra Miss Teigne , la chatte de Rusard , sur le chemin mais il ne fit pas attention a cette chatte sournoise ! Il arriva efin a la voliére et regarda autour de lui , il évita quelques fientes marcha vers une fenêtre et il eut un quart de seconde pour remarquer un Hibou lui foncer dessus , il manqua de s'etaler par terre (Surtout avec ce qu'il y a sur le sol...) et il regarda le hibou se poser sur son épaule en tendant la patte , il prit la lettre et l'ouvrit.. Il vit tout de suite que de temps a autre l'écriture etait presque illisible a cause de larmes..La lettre se résumait en deux parties : La premiére etait "Est-ce que tu vas bien ? Blablabla et tout le baratin Habituel d'une mére qui s'inquiete , mais la deuxiéme parti racontait le meutre de son pére..Bien sûr par les Mangemorts..S'armant de courage il lut la lettre jusqu'au bout..

Citation :: Sojiro , ton pére etait parti filmer un événement étrange qui a un rapport avec vous les sorciers..Mais..La bas , des serviteurs de voldemart [HJ : Elle ne connait pas vraiment les mangemorts ] etaient présent pour tuer des humains non-sorciers..Il..est..

..Le jeune garcon froissa rapidement la feuille , en serrant les dents , il connaissait deja la fin de la lettre..Il savait que de toute facon il etait trop tard , il ne reverait jamais plus son pére journaliste. Il savait que les mangemorts etaient dangereux que de nombreux proches de ses camarades etaient morts , car il avait lu la Gazette Du sorcier et le dernier articl concernant les proches tuées de ses camarades..il se retourna d'un coup , il avait entendu un bruit..

Organza voulait voir à quoi ressemblait le chateau vu de haut, avec ses jardins et son lac. Elle s'était donc réveillée assez tôt pour réussir à faire ceci sans que personne ne la dérange. Elle s'était donc habillée sans un mot, avec la robe de sorcier noire qu'elle détéstait par dessus tout et avait empoigner sa guitare avant de partir à l'aventure dans la haute tour de la volière. Elle ne savait pas vraiment où elle se trouvait, mais après quelques temps de marche déjà, elle arriva enfin où elle voulait. Elle monta les escaliers sans un mot. Elle s'attendait à voir des tonnes de chouettes voler dans tous les sens, et faire un bruit infernal. Pourtant, alors qu'elle gravissait les escaliers, aucun son ne se faisait entendre. Elle respira un cou avant d'arriver un haut. Elle posa le pied sur le sol de la volière comme si elle arrivait sur une terre nouvelle. Puis, elle posa l'autre et aercut un garcon qui était déjà là... Elle fit un geste brusque, trop brusque et sa guitare vint se claquer contre le mur avec un bruit épouvantable. Le garçon sursauta. Organza ouvrit de grand yeux.
#Au non, pas ça...# pensa t'elle.
Elle se retourna lentement pour constater l'étendue des dégats. Heureusment, sa guitare était très solide et n'avait pas grand chose. Pourtant, même avec seulement deux petites égratignures, les larmes montèrent aux yeux d'Organza... Elle caressa son instrument sans prété attention aux oiseaux ni à la vue qu'elle avait d'ici. Mais quand elle revint à la réalité avec des larmes mouillant son visage, elle murmura :

Excusez moi de vous avoir fait sursauter...

..Sojiro regarda la jeune fille qui devait considérer sa guitare comme une..divinité , un être vivant ? Ouai peut être..Il s'en fichait..Son pére etait mort , lui le journaliste ..M'enfin , il savait que tout le monde courait un danger , que plusieurs de ses amis avaient perdus plusieurs de leurs proches , il décida de fixer la jeune demoiselle qui venait de pénétrer dans la voliére , il la regarda avec un visage impassible , il se demandait combien de temps elle etait la , a le regarder..Puis il la regarda et consentit a sourire tristement en disant a la jeune fille (Il avait remarqué qu'elle etait de poufsouffle) que ce n'etait pas grave , si elle l'avait fait sursauté..

Organza regardait elle aussi ce garçon qui la fixait. Elle se demander ce qui c’était passé avant qu’elle arrive. Il avait l’air triste. Et même si il aurait essayer de la cacher, Organza l’aurait tout de suite vu. C’était l’expression qu’elle avait toujours sur le visage. Ce regard triste et désespéré avec un sourire tout aussi triste qui essaye de rendre la situation meilleure. Et, prise par un élan soudain de compassion et d’envie de l’aider, elle s’approcha de lui _car il était pas très loin de la fenêtre et Organza n’avait pas oublié qu’elle venait là pour la vue_ et lui dit :

Je suis désolée de vous dérangez alors que vous devez vivre un moment difficile... Mais je compr...

Elle ne continua pas sa phrase qui devait se terminer par “comprends très bien ce que vous ressentez”. Car en fait non, elle ne comprenait pas car elle ne savait pas se qui se passait. Mais à le voir comme ça, elle aurait juré que quelqu’un était mort. Elle avait fait exactement la même tête, sauf qu’elle, il y avait beaucoup plus de larmes. Elle ne continua pas ses pas jusqu’a la fenêtre. Elle jeta quand même un coup d’œil à sa guitare avant de rendre son petit sourire triste à l’autre élève. Et elle ne bougeait plus, le regardant de la tête aux pieds, ce demandant ce que pouvait bien se passer dans sa tête...

[hrp: il y avait marqué libre, et deux ptits pouffys qui pleurnichent... une occasion à ne pas rater... loool. alors, je me paie l'incruste...]

Joana monta précipitemment les escaliers qui menaient à la volière, une lettre à la main. La jeune fille avait un message urgent à envoyer et ce matin, son hibou grand duc, Emaissène, ne lui avait pas apporté de courrier à la salle commune.
Elle entra en coup de vent dans la volière, et reconnaissant deux poufsouffles, les bouscula volontairement, feignant de les ignorer, et d'un sifflement strident, appela son hibou. Celui-ci descendit d'une poutre haute et vint se poser sur le bras de sa jeune propriétaire. Celle-ci lui noua le message à la patte et lui indiqua la direction, avant de l'inciter à s'envoler d'un grand mouvement de bras.
Elle le regarda s'éloigner dans le lointain, puis fit demi-tour, prenant enfin pleinement conscience des deux élèves. Un sourire cynique prit place sur son visage tandis qu'elle croisait ses deux bras sur sa poitrine.

- Oohhh, regardez-moi ça. Le club des pleurnichards s'est déplacé du lac à la volière. Vous avez bien fait, vous gâchiez vraiment le paysage là-bas... C'était dommage. Ben voilà pourquoi Lysa faisait la tête, elle ne trouvait plus les petits pouffys. Je la préviendrais, ça lui fera très plaisir. Vous lui manquez teeeellement... Tiens, je ne la connais pas celle-là. De la chair fraîche ? Ca commençait à en manquer ici... ajouta-t-elle en lançant un regard dédaigneux à la jeune fille.
- Oh, mais c'est qu'elle a une guitare en plus. C'est vrai que c'est mieux de pleurnicher en cercle autour d'un feu en grillant des Marshmallows et en jouant de la musique pour vous aider à mieux pleurer....

La jeune irlandaise fit une pause, adopta une mimique tragique et un ton qui s'y prêtait et ajouta.

- Je m'excuse, j'interromps un moment intensément triste et sentimental. Qu'est-ce qu'il se passe ? Tu as perdu ton nounours en peluche ? Ta maman ne t'as pas répondu ? Ou tu n'as plus de maman du tout -si d'ailleurs tu en as eu une un jour-.. ? Oh, que c'est triste ! Bon, pleurnichez en paix, les crétins !

Organza regarda la nouvelle demoiselle qui était arrivée en la bousculant. Elle sentait déjà que le feeling n’allait pas bien passé entre elles. Elle lui lanca un regard triste, comme toujours. Puis elle lui dit :

Je ne crois pas que le moment soit vraiment bien adapté aux propos que tu tiens. C’est vraiment déplacé !

Organza ne comprenait pas le comportement étrange de la fille. Elle qui était dans son petit monde bien au chaud et qui ne connaissait rien aux sorciers, ça lui faisait bizarre.
#J’espère qu’ils ne sont pas tous comme ça les élèves, sinon je reste cloîtrée dans ma chambre moi...# songea-t-elle.
Puis elle continua, d’une voix triste en regardant toujours de la même façon l’autre élève :

Et je crois que c’est impossible de ne pas avoir de mère du tout... Et je dois te dire que je suis venue là seulement pour la vue et pas pour... les raisons que tu as énoncées...