|
| | |  Sujet: Manoir des Bachelard  Dim 25 Mai - 16:11:03 | |
| Bienvenue dans le manoir des Bachelard. La famille est une très vieille famille de sorcier. Et comme toute famille de sang pur, elle possède un manoir où la magie règne dans toutes ses pièces. Pour se protéger des moldues, les Bachelard ont construit leur manoir sur une parcelle isolée, entouré de forêt ou de verger. Pour y arriver il faut donc partir sur un sentier protégé de sort repousse-moldue. Le sentier pénètre dans une allée bordée de grands cyprès. Au bout de l’allée il y a une grille noire qui protège l’entrée des jardins. Une fois entrée l’on peut enfin le voir se fameux manoir.  La végétation y est reine car le maitre des lieux est un fada de la botanique. D’ailleurs la cour intérieure de la demeure est parsemée de plantes plus ou moins dangereuses.  Ensuite vous pénétrez dans la demeure. Un hall vous accueille, froid ses murs sont recouverts d’un tapis de lierre et de cadres des membres de la famille. C’est un grand espace d’où l’on a accès à l’escalier montant à l’étage et en dessous de cet escalier se trouve la salle à manger. Mais le hall comprend aussi deux autres portes, une de chaque côté. L’une donne accès au cuisine, vous n’irez sûrement pas dans cette pièce elle est réservée à l’elfe de maison. Sylver est le vieil elfe de maison de la famille Bachelard. Très attentionné, il est toujours resté fidèle à la famille. Vous le verrez sûrement si l’on vous offre le thé, il n’est pas vraiment laid et prend soin de son apparence, il porte donc une taie d’oreiller propre. Par contre, la seconde est plus intéressante, car elle renferme un trésor. C’est la bibliothèque. Mais seuls les privilégiés ont le droit d’y entrer. Cette bibliothèque renferme des ouvrages uniques au monde et très convoités. Plusieurs étagères sont réservées à des ouvrages de magie noire. Pas mal d’autres parlent de plantes. Et les autres étagères renferment un peu de tout, de quoi se faire une bonne culture générale. La première salle que vous verrez, comme nous sommes de bons hôtes, est la salle à manger. C’est la porte en face de l’entrée située sous l’escalier. C’est une pièce vaste avec un haut plafond, possède une cheminée souvent allumée d’un le coin gauche de la pièce. De l’autre côté se trouve une grande table avec tout autour des sièges en bois massif avec des coussins en velours vert. Près du feu quelques fauteuils moelleux sont disposés autour d’une table basse. Il y a pas mal de bibelot en tous genres posés sur des étagères ainsi que des peintures. |
| | | | | | Sujet: Re: Manoir des Bachelard Jeu 29 Mai - 18:32:45 | |
| Une nuit pluvieuse avait bientôt touchée sa fin, une pluie torrentielle, révélée part à-coups par les éclairs impressionnants de l'orage qui frappait Londres et au plus fin fond des plus sinistres rues de la capitale, un manoir plus grand que les autres se dressait parmi les arbres aux branches semblables aux doigts osseux de la Faucheuse, spectre des nuits sombres.
Non, bien sûr... ce fut cette fin de nuit là une nuit comme toutes les autres à Londres. La pluie se faisait poudre sur les cheveux et les capes. Ces fines gouttelettes ruisselaient le long des branches d'arbres en renaissance, pleins de bourgeons, reflétant l'aurore qui avançait à grandes enjambées.
Le manoir des Bachelard s'éveillait au même instant que le soleil, comme s'il vivait au grès du jour et de la nuit. Et ses habitants, à première vue, étaient encore assoupis dans leurs rêves.
Tous ? Non ... Une jeune femme traversa la cours en admirant la beauté des fleurs qui ornaient les chemins, la végétation ici ne se faisait pas rare . Elle admirait, contemplait comme bon lui semblait, tout en marchant d'un pas léger vers la grande porte cloutée qui datait du 17eme siècle. Et celle-ci, malgré son âge antique, n'emetta qu'un léger grincement à son ouverture, bruit qui résonna en ecco dans le hall .
La jeune femme traversa la pièce et monta à l'étage , puis longea un corridor . Elle s'arreta à une porte, un long ronflement se fit entendre. D'un sourire sadique aux lèvres, baguette prête à la main droite et la main gauche sur la poignée ronde en porcelaine, elle ouvrit la porte à la volée et pointa le lit de sa baguette . La jeune femme fit ainsi voler les draps à travers la pièce. Un bruit sourd se fit entendre, quelqu'un était tombé à terre, derrière le lit.
-Que... Quoi ?
-Salut grand-frère !
-Mimmi ?
Elle souria. Une main tâtonna le matelas du lit, puis Sigmund se releva de derrière celui-ci.
-Ne fait plus jamais ça !
-Ohh ! Encor heureux, tu à une tenue descente, je n'ai pas non plus besoin de te donner, ni lampe à huile vide, ni essuie-tout !
Elle lui fit un clin d'oeil puis s'asseya sur le lit.
-Alors, content de me voir ?
Il grommela tout en s'asseyant sur la chaise face à Mimmi.
- Je prends ça pour un oui ! Où sont tes filles ? Il y à au moins 2 ans que je ne les ai pas vues ! Depuis ...
Un grand silence s'installa. Sigmund décida de le rompre le premier ...
-Elles doivent être dans leur chambre
-Tu m'y emmènes ? Le manoir a changé depuis que j'y habitais étant petite.
-Non, je vais m'habiller pour partir travailler, tu n'y est pas, d'ailleurs, au travail ?
-Sigmund... nous sommes dimanche.
Elle le regarda, inquiète ...
-Tu travail trop !
-Mais non .Sinon, comment va ta mère ?
Mimmi ne voulais pas parler de ça ,elle se leva donc et commença à marcher près de la fenêtre
-Pas fort... Bon je vais voir mes nièces, enfin je vais essayer avant qu'elles ne filent ...
Elle contourna le lit et commença à partir de la chambre ...
|
| | | | | | Sujet: Re: Manoir des Bachelard Dim 15 Juin - 12:59:30 | |
| Mizore était rentrée tard ce qoir là, elle avait travaillée d'arrache pied, corrigeant les copies des B.U.S.E de runes des élèves pour ne pas sombrer dans une folie douce. Lorsqu'elle avit transplanée, elle avait failli laisser un bout de doigt derrière elle, c'est dire qu'elle avait besoin de sommeil. Elle arriva tout de même sans trop de dêgat au manoir, elle fouilla en vain dans ses poches à la recherche des clés, avant de se souvenir qu'elle les avait laissée dans sa chambre. Elle frappa alors comme une démente à la porte. Derrière, elle entendit les pas de leur elfe de maison. Celui-ci clama de sa voix stridente, sans pour autant ouvrir la porte.
- c'est pour quoi?
- c'est moi ! Tu peux ouvrir? Je suis crevée et j'ai oublié mes clés dans ma chambre.
- Qui êtes vous?
- Mizore, Silver espèce d'imbécile ouvre.
L'elfe ne put qu'obéir aux ordres de sa maîtresse. Mizore put enfin entrer dans SA maison. Elle était enfin chez elle, elle n'aspirait alors qu'à être dans sa chambre, qu'à se changer, ôter sa robe de sorcier pour son pyjama de soie noire et à se laisser glisser dans le sommeil sans attendre, dans son lit douillet. Elle vit cependant, sur la petite table à l'entrée trois lettre, l'une pour sa soeur Eleona, écrite de la main d'un jeune homme vu comment c'était mal écrit et en plus à l'encre rose... Beurk... Enfin, Mizore n'allait pas s'afférer auour des affaires de coeur de sa soeur. Elle décacheta les deux autres lettres, l'une était une publicité, qu'elle réduisit en cendre d'un coup de baguette, l'autre était une facture, elle remplit le nécessaire et appela doucement.
Wizz... viens ici.
Son hibou, perché sur une poutre hulula d'un air indigné, il était en train de dormir, pourtant, il descendit et se percha sur la main de sa maîtresse. Mizore lui tendit la lettre et ouvrit la fenêtre. Le hibou s'envola dans la nuit. Mizore bailla et enfin put monter dans sa chambre, elle ferma la porte à clé derrière alle, détestant les intrusions matinales de son père lorsqu'elle était en petite culotte et soutient-gorge. Il faudrait vraiment qu'elle lui apprene les bonnes manières, surtout lorsque l'on a deux jeunes femmes chez soi. Enfin, elle sauta dans ses couvertures et s'engouffra dans le sommeil réparateur.
Cette nuit fut loin d'être tranquille. Mizore n'arrêtait pas de voir un poignard, celui-là même qu'elle avait donné à son père. Elle n'arrêtait pas d'y penser, il entait son esprit, sa lame rouge sang luisant devant ses paupières. Plusieur fois, elle se réveilla, le coeur battant à cent à l'heure, croyant qu'il se trouvait dans sa chambre, à la main de quelqu'un de malhonnête. La matin arriva enfin, un dimanche matin, pour tout le monde, cette matinée signifie grasse mat', pourtant sur son lit, Mizore semblait tendue, elle était en sueur et sa poitrine s'élevait et descendait de manière saccadée, soudain, un spasme parcouru son corps, ses mains se crispèrent sur sa couverture, sa tête se tournait de droite à gauche, ses jambes tenduent à l'extrême, son front plissé de douleur. Enfin, son corps se calma et Mizore se réveilla tranquillement. Elle se leva soucement, passa une jupe et un haut moldu. Elle se dirgea vers la glace de sa chambre. Ses yeux gris-bleus regardaient la glace sans la voir, ils pétillaient d'une démence incontrôlable, un sourire sadique apparut sur les lèvres de la jeune femme, elle se pencha sur la glace et souffla dessus, la buée se colla sur le verre. Mizore dessina avec son index une rose, elle rajouta avant que ça ne s'efface, une flèche traversant les pétales et du sang en coulant. La dessin disparut lentement. Soudain, quelqu'un frappa à la porte, Mizore ferma les yeux et les rouvrit, elle était de nouveau elle même.
Toc Toc Toc
-Entrez. |
| | | | | | Sujet: Re: Manoir des Bachelard Mar 17 Juin - 7:27:36 | |
| Eleona était dans sa chambre situé au dernier étage de la maison : le grenier.
Elle s'était aménagée sa chambre dans ce coin normale sordide de la maison, pour en faire un petit coin de paradis. Elle avait toujours aimé la hauteur, c'est pour cela qu'elle avait tenu à s'installer si haut. A l'origine sa chambre se trouvait au premier étage pas très loin de celle de son père. Mais finalement elle préférait s'éloigner de tout cela pour s'installer dans le grenier tranquille.
Le grenier à l'origine ne possédait qu'une petite fenêtre ronde. Celle ci existait toujours mais en plus de cela, Eleona avait rajouté un Velux, pour pouvoir voir le ciel. Son lit était dans un coin, dans la partie haute du toit. Il était surélever et dessous il y avait un canapé dèjà bien défoncé par le temps.
Le tapis sur le milieu de la pièce était une scène de quidditch qui se jouait et rejouait éternellement. Sur une étagère était disposées une coupe de quidditch, ainsi qu'une magnifique malette refermant toutes les balles de quidditch. On pouvait aussi voir 2 souaffes dans la pièce qui trainait par terre.
Son bureau se trouvait sous la petite fenêtre ronde. Sur celui-ci était posé une petite plante qui paraissait inoffensive, mais qui se révélait être carnivore. Heureusement elle ne mangeait que les mouches, et quelques doigts trainant par là. A côté du bureau, posé sur son perchoir, Laya, la chouette effraie d'Eleona faisait un petit somme.
Eleona était donc posée dans son canapé en train de lire quand elle entendit des bruits ne lui parraissant pas vraiment normal. Elle se leva et desccendit les escaliers. Arrivé devant la porte de sa soeur, elle frappa. - Citation :
- -Entrez
Eleona entra et vit sa soeur debout près de son miroir. Elle parraissait fatigué, peut être même épuisée.-Désolé de te déranger, mais j'ai entendus du bruit alors je suis venue voir ce qu'il se passait. Ca va Mizore?Elle se tenait maintenant près de sa soeur qui lui parraissait vraiment pâle. Peut-être était ce le fruit de son imagination, ou bien le peu de lumière de la pièce, mais il lui semblait avoir aperçu une lueur de démence dans ses yeux. Depuis le retour de sa soeur Eleona n'avait toujours pas réussit à la cerner. Elle était de plus en plus mystérieuse et refermée sur elle même.
Des pas dans le couloir sortirent Eleona de sa réflexion sur le comportement étrange de sa soeur. Bientôt quelqu'un d'autre frappa à la porte de la chambre. |
| | | | | | Sujet: Re: Manoir des Bachelard Sam 21 Juin - 17:55:09 | |
| Mizore regarda sa soeur entrer, celle-ci avait les traits tirés comme si elle avait passe la nuit sur son balais... Mizore pensa qu'il fallait qu'elle lui lance un sort d pistage pour voir où elle allait... Mais plus que la fatigue, le visage d'Eleona imprimait aussi l'inquiétude, une inquiétude que Mizore ne comprit pas tout de suite. *J'ai fais tant de bruit que ça?* Puis elle se rappela que l'insonorisation de ce vieux manoir n'était pas top et qu'elle avait dû l'entendre, sa chambre étant le grenier, jute au dessus de celle de Mizore. - Citation :
- -Désolé de te déranger, mais j'ai entendus du bruit alors je suis venue voir ce qu'il se passait. Ca va Mizore?
Mizore sourit à sa jeune soeur. Celle-ci s'inquiétait donc pour elle. Bien sûr, elles n'avaient pas passés beaucoup de temps ensemble étant petite, juste avant que Mizore soit entraînée par sa mère en Californie. Mizore se souvenait toutefois des parties de cache-cache avec la bébé qui tenait à peine sur ses jambes alors. C'était vraiment le temps de l'insouciance, avant que son monde doré ne s'écroule. Mizore posa ses yeux bleus-gris sur le miroir, sa voix était douce, quoi que un peu lointaine encore. Tu ne me déranges pas. Je suis désolée si je t'ai réveillée, je vais allez en bas, comme ça tu pourras continuer à dormir. On est dimanche, il faut que tu te reposes. Et oui, je vais bien ! C'est juste que entre les corrctions, les cours, les devoirs pour le seigneur des Ténèbres, j'ai été pas mal occupées et je suis un peu fatiguée. Ne t'inquiètes pas, je vais bien ! Mizore se leva et se dirigea vers son armoire, elle l'ouvrit et choisit une barette en or, représentant un cheval ailé pour attacher ses cheveux. Puis elle se tourna pour regarder sa soeur. Ne t'inquiètes pas, tout vas bien, tout ira bien, je te le promet. * elle ne sortira pas... Pas tant que je serais là* Elle souriait toujours tenant son avant-bras gauche avec sa main droite, ELLE la brulait depuis que Mizore L'avait... Mais elle était fière de la porter, et elle défendrait sa dignité et sa famille jusqu'au bout. |
| | | | | | Sujet: Re: Manoir des Bachelard Lun 23 Juin - 10:18:09 | |
| Bachelard avait reçu dans la journée, pendant son cours sur des mandragores martyres, la visite de sa fille ainée, celle ci semblait inquiète et avait donné à l'attention de Sigmund, un Couteau. Ce couteau, qu'elle lui avait donné, Sigmund n'avait aucunes idées de son origine, seulement qu'il avait du servir à tuer ou à couper de la viande, le sang pressant sur la lame en témoigner. Alors qu'il était parti dans sa chambre pour analyser ce couteau, Sigmund entendit la porte de devant claquer. Mizore était de retour, cet abruti de Silver, cet elfe de maison qui ne savait que garder la porte. Suite aux demandes répétées d'ouverture de la porte par Mizore à l'intention de Silver, elle put enfin entrer. Le lendemain matin, Sigmund avait décidé d'aller voir sa fille, d'autant plus qu'il avait entendue des bruits bizarres dans sa chambres dès le lever du jour. Seulement, sa cadette, Eleona avait devancé son père et parlait avec sa soeur. Sigmund entendit Mizore lui demander de ne pas s'inquiéter; c'est à ce moment là qu'il intervint.
Eleona, tu as l'air fatigué, retourne te coucher s'il te plaît... je dois voir ta soeur. Mizore, tu peux descendre j'ai à te parler.
Mizore lanca un regard désolé avant de se lever et de descendre au rez-de-chaussé. Sigmund posa une main sur l'épaule d'Eleona.
Ne t'inquiètes pas, elle est juste surbouquée, on l'est tous d'ailleurs.
Il lui sourit avant de descendre lui aussi. Mizore était assisse devant le feu de la cheminée, la main sur une plante carnivore, à la gueule fermée et apaisée, tel un chien d'intérieur Mizore passait sa main glacée dessus. Bachelard entra dans la pièce, Mizore semblait être prise dans ses pensées, Bachelard s'approcha du fauteuil où elle était assise, et s'assit à son tour face à elle. Celle ci sembla à peine remarquer sa présence. Bachelard se leva et alla placer dans un placard du salon, le fameux couteau, à la vue de celui ci Mizore sembla revenir à la réalité... Bachelard s'approcha d'elle, et commença à l'interroger sur ce couteau. Tout deux savent que les bonnes manières étaient bonnes pour Eleona et Mimmi:
- Ce couteau. Montrant le placard, d'où vient-il? Ton entrée chez les Mangemorts est elle à l'origine de ce sanguinolent couteau?
Suite à la demande de Sigmund, la plante sur laquelle Mizore avait appuyé son bras, sembla reprendre de l’agilité. L’agitation était certainement revenue dans Mizore. Bachelard prit place dans son fauteuil au lierre grimpant, face au feu qui crépitait et a Mizore dont l’attention était fixée sur le placard. Celle-ci semblait enfin décidée à parler de l’événement qui c’était passé. |
| | | | | | Sujet: Re: Manoir des Bachelard Jeu 26 Juin - 12:49:17 | |
| Mizore regarda sa soeur avec un air désolée, elle devait descendre pour parler à son père, elle était obligée de le faire vu qu'elle était arrivée en plein milieu du cours pour lui donner un objet et qu'il devait frocement se demander ce que c'était. Alors qu'elle descendait les marches, elle se tenait la tête entre les mains. Puis elle arriva dans le salon. Elle s'assit dans un fauteil et posa sa main sur une plante qui se trouvait à côté d'elle. Cette dernière se laissait caresser bien qu'elle soit extrêmement dangereuse. Mizore se parlait à elle même, pourtant, elle répondait à sa tête qui en cessait de la harceler. Son souffle froid s'évaporait dans la maison en petit nuages vaporeux. * Tu n'as besoin de l'aide de personne... Tu es seule, rappel t'en... je suis là moi ! Il n'y a personne d'autres...* je ne peux pas les laisser... * Si tu le peux! De toute façon, ils ne sont jamais venus te chercher là bas !* ils ne pouvaient pas, elle ne voulait pas ! *Oh si, ils pouvaient !!! Tu as toujours été seule... Maintenant je suis là ! Ne me rejette pas ! Je suis celle qui t'as aidée à accéder au pouvoir ! je suis celle qui a tout fait!!* Non, ils étaient là eux aussi !! * Figuration !!! Nous étions seules là bas, ils sont essayés de t'en empêcher, rappel t'en !! Ils ne voulaient pas! Ils t'ont laissé aller là-bas, ils avaient peur de nous ! Maintenant, nous sommes Un! Fais moi confiance...* Oui... Son père arriva et il posa le couteau à la lame rouge sur le buffet. Mizore le regarda faire, elle le regardait de ses deux yeux... Maintenant, elles étaient deux, pour toujours... elle avait combattue et avait accepté sa défaite, maintenant elles étaient deux dans son corps. Son oeil droit gardait sa couleur habituelle, gris-bleu, l'autre était plus foncé, bleu nuit et une sauvagerie s'exprimait à l'intérieur. - Citation :
- - Ce couteau. Montrant le placard, d'où vient-il? Ton entrée chez les Mangemorts est elle à l'origine de ce sanguinolent couteau?
Mizore sourit. Elle se leva de son siège et la plante, recommenca à bouger, ouvrant la gueule pour manger tout ce qui passait. Oui... Il est à moi... je l'ai trouvé...*je l'ai trouvé*...moi seule...* moi seule*... il est dangereux...*dangereux*... je ne peux pas le garder...* le garder*... je ne peux pas le prendre... *le prendre*. C'est à deux qu'elle perlait, l'une dans sa tête, l'autre à son père... Mizore regarda son père, puis le couteau, elle approcha sa main du manche. Le couteau se mit à vibrer lorsque les doigts de la jeune femme l'effleurèrent, sa lame devint rouge sang éclairée, comme s'il y avait une lumière qui parcourait la lame. Il n'avait que 17 ans...*17ans*... Il est mort... je l'ai tué...*tué*... Il agonisait... je l'ai tué... *tué*... Il hurlait... je l'ai tué... *tué*... ce poignard est le crime... sortit du sang de l'ennemi... *sang de l'ennemi*...sortit de son sang... je l'ai tué * tué*... couteau de sang apparut pour me délivrer, pour le tuer *mort*. Elle retira sa main du poignard et retourna s'assoeir dans son siège. cette fois, l'autre ne parla pas, laissant une seule personne s'exprimer... Celui qui tiendra ce couteau, ne pourra être tué, il ne pourra que tuer. Cette arme est dangereuse, elle ammène puissance à celui qui la possède... Je ne peux pas la prendre, sans quoi je ferais des choses horribles. * Surtout, tu seras recherchée par les aurors, nous Lui sommes plus utiles libres que cherchées...* |
| | | | | | Sujet: Re: Manoir des Bachelard Jeu 26 Juin - 13:23:48 | |
| Sigmund assit sur son fauteuil, écoutait patiemment le récit de Mizore, qui semblait lutter, mais contre qui… Sigmund replongeant dans ses songes se souvint que Mizore avait déjà eut ce problème. Il attend la réponse de Mizore, celle-ci semblait perturbée.Elle marchait aux quatre coins de la pièce, s’approchant tantôt de Bachelard tantôt du buffet. Effleurant le couteau, celui-ci vibré. Tout en le touchant elle parlait à Bachelard ou à elle-même.
« Il n'avait que 17 ans... Il est mort... je l'ai tué... Il agonisait... je l'ai tué... Il hurlait... je l'ai tué... ce poignard est le crime... sortit du sang de l'ennemi... sortit de son sang... je l'ai tué …couteau de sang apparut pour me délivrer, pour le tuer » Elle n’avait que 17 ans, son crime c’était donc passé lorsqu’elle vivait avec sa mère mais qu’avait t’il bien pu se passé…Mizore resta quelques instants prés du couteau et reprit la parole : « Celui qui tiendra ce couteau, ne pourra être tué, il ne pourra que tuer. Cette arme est dangereuse, elle amène puissance à celui qui la possède... Je ne peux pas la prendre, sans quoi je ferais des choses horribles. » Comment avait elle eu son couteau, encore un coup de sa mère pour la rendre folle… Sa mère si elle lui avait procuré l’avait elle ensorcelée pour rendre sa fille aussi dérangée qu’elle. Bachelard secoua la tête et alla rassurer Mizore, il se leva et se dirigea vers elle : - Mizore, tout va bien. Tu as l’air perturbé. Comment ce crime qui a eu lieu à tes 17 ans, resurgit il comme cela ? D’où vient ce couteau ? Encore un coup de ta sombre folle de mère ? |
| | | | | | Sujet: Re: Manoir des Bachelard | |
| |
| | | | |
Sujets similaires | |
|
| | Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
|
Accueil