Bachelard après une rude journée, passée à l'UMA. En effet, l'UMA était en pleine portes ouvertes et malgré le peu d'élèves et parents d'élèves présents ces jours ci, ceux qui étaient là, avaient bon nombre de question... Bachelard commencé à préparer son stand avec sa fille Mizore, qui elle était venu au porte ouverte pour rencontrer un de ses collègues. Après introspection, Bachelard revint au moment présent, il se trouvait devant la porte des trois balais, où comme toujours Rosmerta l'accueillerait à bras ouverts. Bachelard poussa donc la porte du magasin, la lumière était au rendez vous, parfait pour avoir une conversation sérieuse, en effet, Bachelard attendait un élève de Poudlard, pour que tous deux préparent une conférence qui débuterait à Poudlard d'ici peu, sur le thème des plantes guérisseuses. Bachelard avança vers le bar, où Rosmerta venait d'arriver, les mains pleines de farine qu'elle était en train d'essuyer pour venir servir Bachelard, avec comme toujours une sourire rayonnant, Bachelard entama donc la conversation:

- Bonjour, ma chère Rosmerta, votre beauté m'éblouira toujours autant! Je viens comme habitude dans votre bar, mais cette fois je ne viens pas avec mes deux filles, mais avec un élève de Poudlard! Vous allez me dire que c'est impossible Ombrage ne permettrait jamais cela, cependant vu que c'est professionnel et dans le cadre du ministère elle ferme les yeux! Il me faudrait donc une table pour deux et comme toujours à l'abri des oreilles indiscrètes! William ne devrais pas tarder à venir il doit être en train de finir les cours.

"Bien le bonjour professeur!" salua Rosmerta d'une voix enjouée "Désolée si je ne suis pas très présentable, mais j'ai été débordée toute la journée! Une dizaine de gobelin sont arrivés hier soir et on passé la nuit ici; si bien que depuis ce matin, je m'acharne à leur expliquer que aucun des plats ni aucunes des boissons que je leurs sert n'ont étés empoisonnées! C'est qu'ils sont soupçonneux avec l'Inquisitrice dans le coin…"

C'est alors que la patronne aperçut un élève dans la foule des client. Une fois qu'il les eut rejoints elle l'accueillit chaleureusement.

"Voilà donc le jeune homme que vous attendiez, Sigmund? Ca réchauffe le cœur de te voir mon garçon. J'ai l'impression que ça fait des lustres qu'aucun élève de Poudlard n'a mit les pieds chez moi. Tout ça à cause de cette mégè… de Miss Ombrage." se reprit-elle en adressant un clin d'œil complice à William.

Il n'y avait pas vraiment de risque à médire sur la nouvelle directrice, puisqu'elle connaissait les sentiment du professeur Bachelard sur la question, et qu'elle avait noté l'absence de badge de la brigade inquisitorial chez le jeune Gryffondor. Et puis quand bien même, la patronne était encore libre de dire ce qu'elle voulait : avant de venir "inquisitorier" aux Trois Balais, il faudra que la harpie lui passe sur le corps! >.<

"Mais je parle, je parle, et je vous laisse debout! Suivez moi."

Sur ce, Rosmerta les guida tout deux vers une table en retrait, sous un tableau animé qui représentait Hagrid et plusieurs habitués entrain de festoyer joyeusement. En arrière plan, un œil attentif aurait pu noter le nombre considérable de chopes vides…

"Installer vous donc ici. Cette table est spécialement enchantée pour que seul les personnes qui y sont assises puissent entendre la conversation. Qu'est ce que je vais vous servir? Pour vous professeur, j'imagine que ce sera un petit rhum, non? Et toi mon garçon, qu'est-ce que tu veux?" demanda-t-elle avec un large sourire.

Bachelard en joie grâce à l'éternelle bonne humeur de son hôte, Rosmerta, lui répondit:

- Alors pour moi, ça sera bien entendu un petit verre de rhum, même un bon verre de rhum, j'ai besoin d'inspiration.

En effet, Bachelard avait bien besoin d'un verre de rhum, il se souvint qu'une mère de ses élèves était venue dans la journée aux portes ouvertes de l'université. Par mégarde ou par punition, un jeune filet du diable étudié par les élèves de l'université se trouver présent elle avait du certainement approcher son bras un peu trop prêt. Bien qu'avant cette péripétie elle s'était empresser de critiquer la manière excessive dont fessait preuve Bachelard pour l'apprentissage des vices et vertus de certaines plantes, qui aux yeux de cette vieille femme sénile, était fort trop dangereux pour son enfant. Ce qui bien entendue, c'était mal déroulé pour lui, puisqu'elle avait eu l'illustration de ses propos! Bachelard reprit donc la parole pour finir avec sa commande, alors que Rosmerta toujours bien en chair et avec grâce lui adressait un sourire:

- Rosmerta, vous me rajouterez un thé au Bergamote avec une rondelle de citron, vous m'emmenez le deux en même temps ceci n'a pas d'importance. Par contre vous vous en doutez pour notre cher ami William pas d'alcool, sinon Ombrage dans sa médisance naturelle, s'occupera de mes plantes!

Il adressa à présent un sourire à William en attendant sa commande pour que tous deux puissent commencer à préparer leur conférence...

"Deux thé et un rhum c'est noté!" déclara-t-elle sans quitter son sourire chaleureux "Je vous apporte ça le vite poss…"

Soudain un craquement retentit. Rosmerta fit volte face et aperçu l'origine du fracas à l'autre bout de la salle. La table qu'occupait le groupe de gobelins était en pleine agitation. Deux des petites créatures étaient en train de se battre comme des chiffonniers en roulant sur la table, dévastant au passage toute la vaisselle qui s'y trouvait.

Un troisième avait fracassé une chaise sur l'un des deux autres, provoquant ainsi le bruit qui avait donné l'alerte à la patronne; et se saisissait déjà d'une autre chaise pour poursuivre sa besogne.

"Ils vont me rendre dingue…" grogna-t-elle entre ses dents en passant une main sur son visage dépité.

Puis elle s'élança pour arrêter la bagarre, prenant à peine de temps de lâcher un "Je reviens!" au Professeur Bachelard et au jeune Craig.

Un autre client, humain cet fois, avait tenter de s'interposer et avait attrapé le petit teigneux à la chaise par le col de sa veste, le soulevant du sol. Grave erreur! Ce fut le coup d'envois pour tous les autres gobelins qui s'était contentés jusqu'à présent de trépigner sur place en encouragent à grand cris tel ou tel combattant. Comme d'une seule volonté, ils se précipitèrent tous sur l'homme qui avait tenté de pacifier la situation et ce dernier fut littéralement immergé sous un océan de petits coup de poing rageurs.

"Je vais avoir du pain sur la planche…" soupira Rosmerta en elle-même.

[HJ: Continuez sans moi, c'est plus réaliste si vous faites deux ou trois tours de paroles tout seuls. ^^]

Mr Bachelard comprenait les réticences du préfet... très bien. William ne se voyait pas jouer l'assistant du professeur, tout au long d'une conférence qui pouvait fort bien durer deux heures... Il se rendit compte soudain que le professeur McGonagall n'avait pas mentionné de durée maximale des interventions... Mr Bachelard semblait plutôt bavard, il était bien capable de retenir son auditoire pendant un long moment- surtout s'il réalisait des expériences.
Quoi qu'il en soit, l'universitaire était compréhensif, et il assura à William qu'il ne lui en voulait pas le moins du monde. Le rouquin eut un petit sourire en remerciement- il était assez soulagé.
Bachelard entra immédiatement dans le vif du sujet, en s'interrompant assez bizarrement toutefois pour noter quelque chose dans un carnet ; William en profita pour récupérer son sac sous la table et fouiller dedans. Tandis que l'universitaire exposait son idée de présentation, le préfet extirpa de son sac un parchemin, un brouillon sur lequel il avait pris quelques notes rapides.

Sur son brouillon, William a écrit:

-Présenter la discipline (utilité, méthodes, matériel, déroulement des cours)
-Présenter le prof : carrière, livres, renommée, etc
-Dire dans quelles formations cettte discipline est obligatoire/ facultative (dans ce cas, qu'apporte-t-elle dans le cursus ? pourquoi choisir cette option)

Un stylo moldu en main, le préfet ajouta en haut de la page "présenter l'UMA", et expliqua en tournant le parchemin vers son interlocuteur :

-J'ai préparé ça... c'est peu de choses... mais ça donne déjà une idée de la trame générale... Qu'en pensez-vous ?

Il posa son stylo et laissa Sigmund lire ses notes ; lui cherchait des yeux Madame Rosmerta, et trouvait qu'elle tardait à revenir. Deux thés et un rhum, ce n'était pourtant pas le bout du monde...
Voyant le professeur Bachelard relever la tête, William reporta son attention sur lui, et demanda un peu nerveux :

-Alors, ça va ?

Rosmerta arriva en catastrophe à la table où discutaient le professeur Bachelard et son jeune ami de Gryffondor. Son tablier était imbibé d'un substance gélatineuse rose fluo et plusieurs mèches d'un blond vénitien s'étaient échappées de son chignon.

"Excusez le retard du service mais je ne savais plus comment m'en sortir!" s'exclama la patronne dans un soupir "Heureusement un sorcier a réussit a engluer tous les gobelins dans une espèce de confiture géante. Ca devrait les maîtriser cinq minutes, mais je ne sait pas encore comment je vais réussir à enlever la couleur rose de mon plancher… Mais oublions ça! Voilà vos commandes. Nous disions donc…"

La tavernière s'interrompit en voyant qu'elle avait apporter trois bièraubeurres et une flasque de Firewhisky. Dans l'agitation générale, elle avait intervertit les commandes. Mais c'était sans compter sur l'expérience et l'initiative sans faille de la célèbre patronne des Trois Ballais! Celle-ci fit volte face se précipita vers une table où un vieillard était en train de servir du thé à sa femme, un vielle dondon trop fardée. Elle se saisit de la théillère et des tasses et leur laissa la bièraubeurre et le scotch, sans autre explication q'un clin d'œil pour le vieux monsieur, avant de repartir vers le professeur et le jeune William. Alors que la grosse dame s'indignait d'un tel comportement, le petit vieux, quant à lui, entama joyeusement une des chopes, semblant penser avoir gagner au change.

"Veuillez me pardonner!" s'excusa Rosmerta lorsqu'elle revint enfin "Mais il y a tellement de monde ce soir, et tellement d'agitation! Voilà déjà pour le thé. Je vais essayer de revenir avec le rhum le plus vite possible! Encore une fois, milles excuses! Comme vous êtes un précieux habitué Sigmund, nous dirons que c'est la maison qui offre, en compensation du service perturbé." conclut-elle avec un sourire enjôleur.

Sur ce, elle repartit tenter de calmer la vielle femme à qui elle avait dérobé le thé, qui s'était mise à hurler à tout vent que le service était déplorable, qu'elle connaissait des gens au ministère, que ça ne se passerai pas comme ça etc. avant d'essayer d'arracher la chope de bièraubeurre des mains de son mari qui défendait vaillamment sa boisson.

Madame Rosmerta finit par revenir, recouverte d'une sorte de jelly fluorescente que William ne put identifier, portant des chopes que ni le préfet, ni Mr Bachelard n'avaient commandées. Elle se rendit compte de son erreur et procéda à un échange un peu cavalier avec la table voisine ; deux petits vieux furent ainsi privés de thé, pour la plus grande joie du monsieur qui entama immédiatement une des chopes servies en remplacement. Sa femme, une sorcière visiblement tyrannique, commença à se débattre pour essayer d'enlever la bière à son mari, en lançant des "Amos ! donne-moi ça tout de suite !" qui faisaient sourire tous les clients alentour, William le premier. Amos ne l'entendait pas de cette oreille ; il vida sa première chope en un temps record et se saisit prestement de la flasque de whisky, provoquant les hurlements indignés de sa femme.
William se détourna de cette réjouissante scène pour se servir une tasse de thé, et revenir à sa conversation avec Mr Bachelard. L'universitaire voulait à présent parler de Poudlard- de la scolarité du préfet, mais surtout d'Ombrage et de sa mainmise sur l'école. Le rouquin eut un sourire et répondit :

-Je suis effectivement préfet de Gryffondor, mais je ne sais pas si je suis aussi brillant et apprécié que vous le dites... Ma scolarité se déroule bien, en général j'ai des notes correctes dans toutes les matières...

Le reste était plus délicat. Il était terriblement imprudent, pour un élève de Poudlard, de critiquer ouvertement la Grande Inquisitrice ; elle avait des espions partout, et il fallait s'attendre à des représailles. William poursuivit lentement, en choisissant bien ses mots :

-Le professeur Ombrage veut changer beaucoup de choses à Poudlard, elle publie sans cesse de nouvelles interdictions... Elle a recours à des punitions très dures...

Il pensa un instant à Ashley, qui s'était à demi vidée de son sang, et reprit une gorgée de thé en songeant qu'il pourrait bien se faire un peu de publicité. Après tout, si la renommée des BR pouvait s'étendre en dehors du collège, ce ne serait que mieux... Un petit sourire aux lèvres, le rouquin reprit :

-Depuis quelque temps, elle a des ennuis à cause d'un groupe subversif, qui défie son autorité et brave les interdictions... Ils signent leurs actions "BR", mais Ombrage n'a pas encore pu les démasquer...

*et elle ne le pourra jamais*, conclut-il silencieusement.

Bachelard semblait approuver l'action des BR, mais, pour une raison inconnue de William, il ne voulait apparemment pas en parler. Il confia brièvement son approbation au préfet, expliquant qu'il serait dangereux de trop parler... comment ne pas lui donner raison, surtout lorsqu'on est soi-même membre de l'organisation subversive en question...
Ils reprirent donc le cours officiel de l'entretien ; William s'empressa de noter sur un parchemin les principaux éléments de ce que disait l'universitaire. Déroulement des cours... un exemple de thème... en revanche, Bachelard resta discret sur lui-même. William acheva sa prise de notes et demanda carrément :

-Dites-moi, professeur... avez-vous écrit des livres ? collaboré à des revues ? reçu des distinctions particulières ?

En demandant cela, il avait en tête le curriculum vitae de Dumbledore, suffisamment long pour remplir plusieurs pages... Bachelard avait sans doute un CV moins imposant, mais s'il enseignait à l'université, il devait être un chercheur reconnu... avoir écrit quelques ouvrages, ou été récompensé pour ses travaux...
Le préfet but une gorgée de thé en attendant une réponse, le stylo prêt à servir. A la table voisine, le vieux sorcier tenait des propos complètement décousus, interrompus par les "mais tais-toi donc !" de sa femme qui essayait en vain de le faire lever. Avec un sourire, William se retourna vers Bachelard, qui semblait chercher Rosmerta des yeux.

Bachelard dans un profond soulagement, constata que William n'avait pas décidé de poursuivre sur Ombrage. Ils reprirent donc le cours normal de la conversation. Bachelard d'un naturel altruiste n'avait pas décidé de parler de lui, cependant ceci semblait essentiel pour le bon fonctionnement de leur conférence. Bachelard dû se remémorer les livres écrits, sa collaboration avec le journal "La Botanique est un art magique", et sa renommée pour l'invention du sortilège d'Herbivicus:

- Alors puisque tu as décidé de me questionner sur ma vie plus intime, je vais te faire honneur en y répondant le plus précisément possible. D'abord, J'ai écrit quelques livres, pour l'enseignement, la reconnaissance des plantes magiques dans leur milieu naturel ou encore pour bien savoir les utilisées. Tu peux noter que mes plus connus se compte sur une main. Je te les cite donc d'abord La Botanique pour les Débutants ; Les tanins et alcaloïdes dangereux et bénéfiques pour les sorciers ; Comment bien dosé ses saines plantes en 14 leçons et enfin Les plantes sous votre baguette.
J'ai également écrit quelques articles dans un magasine de magie naturelle, dans la spécialisation des plantes, ma rubrique s'intitulait la botanique est un art magique. Les thèmes étant relativement variés. Et enfin, il y a une dizaine d'année j'ai remporté un tournoi de sorts et enchantements pour le bien être naturel, en prolongeant les effets du sortilège d'HERBIVICUS.

Bachelard pensait avoir fiat le tour de la question, tout en ne quittant pas William des yeux, il cherchait Rosmerta, non pour assouvir sa pulsion d'Eros, mais simplement pour avoir son verre de rhum.

William remercia l'universitaire d'un sourire ; apparemment, parler de lui-même n'était pas ce qu'il préférait, mais c'était indispensable... Le rouquin prit rapidement quelques notes au sujet des ouvrages écrits par Bachelard, nota le nom du sortilège d'Herbivicus en se promettant de faire quelques recherches, et posa sa plume pour boire un peu de thé. Tandis qu'il prenait sa tasse, son regard tomba sur sa montre... Six heures vingt ! déjà ! Le professeur McGonagall avait précisé qu'il devrait être de retour au château à six heures et demie... A moins d'apprendre à transplaner en quinze secondes, il serait donc en retard. Il reposa sa tasse de thé sans avoir bu, fourra à la hâte ses parchemins dans son sac et prit congé :

-Je suis désolé de vous quitter comme ça, professeur, mais il faut que je rentre à l'école... Je dois être rentré à six heures et demie, ça ne me laisse pas beaucoup de temps...

Il se leva, ajusta sa cape et accrocha son sac à l'épaule avant de conclure :

-J'ai été très content de pouvoir vous rencontrer, professeur. Je pense que cet entretien me permettra de faire une bonne préparation... enfin, j'espère. A très bientôt !

Il adressa à Bachelard un signe de tête, et se fraya un chemin vers la sortie. Arrivé dehors, il se mit à courir en direction du château. Inutilement, puisqu'il serait en retard de toute manière, mais il était agréable de se dégourdir les jambes après être resté assis toute la journée.

Rosmerta revint avec le rhum commandé par le professeur Bachelard. Mais alors qu'elle posa le verre sur la table à laquelle étaient installés Sigmund et William, elle ne souffla mot. Toute son attention était retenue par la vielle grosse dame qui avait fait scandale quelques instant plus tôt. Celle-ci avait finalement endormit son mari avec un sortilège. Mais ce qui inquiétait l'aubergiste c'était qu'elle s'était installée dans un coin de la salle et marmonnait on ne savait quoi en agitant sa baguette.

"Hum… Voilà votre commande professeur…" annonça la patronne le regard toujours fixé sur la grosse dame "Si vous avez besoin de quoi que ce soit… n'hésitez pas à m'appeler… Maintenant si vous voulez bien m'excuser…"

Elle se dirigea alors d'un pas vif vers la perturbatrice, craignant qu'elle ne cherche à se venger du "service déplorable". Et ses inquiétudes étaient fondées. Peu à peu, des protestations s'élevèrent dans la salle. Toutes les chopes de bièreubeurre s'étaient remplient … de limonade!

Rosmerta aurait voulu se jeter sur la harpie pour lui arracher de son visage l'expression de défi méprisant qu'elle affichait, mais les clients mécontents lui barraient le passage pour lui faire entendre leurs contestations. L'aubergiste soupira. Cette dure soirée était loin d'être finie…

[hj: Voilà! Maintenant, vous pouvez continuer sans moi jusqu'à la fin, je reviendrai pour faire le post de clôture ^.^-]