Fin juin. Il y a quelques jours de cela, un grand événement s'était produit. Un élève de Poudlard, un Poufsouffle, avait quitté ce monde. Quelle joyeuse perte quand on connaissait sa cause, cet idiot de loyal n'avait qu'à pas accompagner Potter. Ce dernier qui avait encore échappé in extremis à la mort, au grand dam de la communauté mangemorte et surtout du Seigneur des Ténèbres. Mais IL était de retour, de chair, d'os et de sang, son corps reconstitué pour de longues années esperons le. Pour la gloire à la pureté du sang.
Une fois que ces idiots du ministère auraient réellement admit son retour, les sangs de bourbe et les moldus n'aurait plus qu'à trembler et patiemment attendre que la mort vienne les cueillir à la pointe d'une baguette. Celle de Torin était d'ailleurs prête à contribuer à cette noble cause. Mais nous n'en étions pas encore là, l'heure était à la réorganisation d'un reigne qui s'était éteint il y a plus de treize ans. Le fait que le ministère veuille étouffer la vérité était par conséquent un point positif. Qu'ils occultent et qu'ils ignorent autant qu'ils veulent, leur chute n'en serait que plus radicale. Et c'est à ce moment précis, lorsque le ministère serait complètement dépassé par les évènements, que Lord Voldemort aurait à sa merci le gouvernement du monde sorcier britanique.

Ainsi, depuis quelques temps maintenant, Torin semblait plus que satisfait, la chance lui souriait. Il avait presque retrouvé Lynn et voilà que le maître tant attendu faisait son retour. Il en avait presque oublié la corvée que représentait la responsabilité d'un nourisson. Vivement les vacances et le retour de ses frères pour qu'il n'ait plus à se charger de Léan dont les pleurs étaient plus qu'agaçants. Fort heureusement il conservait un minimum de liberté, le weekend en particulier. Son père était au manoir et pouvait donc se charger du bébé. Le jeune mangemort en profitait ainsi pour prendre l'air.
Certes, pour le commun des mortels, se promener dans l'allée des embrumes n'avait rien à voir avec le terme « prendre l'air ». Mais pour un être comme Torin, cela paraissait naturel. A chaque pas foulant le pavé, son regard se dirigeait vers quelques passants. Les différentes expressions de ces visages inconnus étaient ditrayantes. Entre les êtres froids, se tenant la tête haute, déjà intégrés dans ce qui serait bientôt le « nouveau monde », puis les personnes insignifiantes, poussées dans ces sombres ruelles par un triste destin, baissant quant à eux le regard, sentant qu'une nouvelle atmosphère commençait à baigner en ces lieux et qu'il vallait mieux courber l'échine dès maintenant.

La plupart des gens ici savaient ce que se tramait. Seuls les ignorants se distinguaient des deux catégories précédentes, se promenant insouciamment. Il ne le savaient pas encore, mais ce n'était qu'une question de semaines, de mois, d'une mince poignée d'années tout au plus. Juste le temps necessaire pour redonner à la marque des ténèbres sa splendeur passée. Et même davantage.

La porte du Dark Shop s'ouvrit sur Torin. Un client discutait avec le patron. Les trois hommes se saluèrent d'un hochement de tête. Le jeune Bower voyait leur mince sourire, ils savaient, peut-être avaient-ils été présents cette nuit-là. Mais la politique de confidentialité incitait à ne rien dire tant que rien ne serait officialisé. Le magazin ne contenait d'ailleurs rien qui puisse être l'objet d'une perquisition, ce genre de transition s'effectuant ailleurs.
Le gerant avait demandé à Torin de le remplacer une partie de l'après-midi, il avait soit-disant quelques affaires à regler. Il disparut d'ailleurs bien vite dans la rue, aux côtés de son client. Le jeune mangemort était désormais seul dans l'échope, se mettant à arpenter les quelques étagères parsemées de toiles d'araignées. Il s'arrêta soudainement devant un crâne humain, d'apparence anodine. Quel genre de pouvoir pouvait bien receler ce genre d'article? Mordait-il? Parlait-il? En tous cas, il n'était pas recouvert de poussières, il avait été nouvellement mis en rayon. L'ainé des fils Bower se dirigea donc vers le comptoire. Il ouvrit un énorme grimoire craquelé servant de registre. C'était là, sur une page presque encore vide. Le Veilleur Etourdissant, quel drôle de nom... Il avait pour caractéristiques d'observer un bâtiment entier, de voir les malvenus entrer et d'émettre un cri à double éfficacité. D'une part le cri prévenait le propriétaire où qu'il soit, mais en plus la plainte étourdissait les intrus, s'ils restaient trop longtemps, il s'évanouissaient.

Durant sa lecture, Torin remarqua quelques autre nouveaux articles. Pas forcément utiles, certes quelquefois pratiques, mais si chers... Remarque il n'allait pas s'en plaindre, le prix contribuait à son salaire plutôt généreux. Il savait donc désormais globalement ce qui était actuellement en vente et pourrait ainsi faire preuve d'éfficacité face à la demande d'un éventuel client. D'ailleurs, alors qu'il était occupé à lire une liste de commandes, la porte d'entrée vint buter contre la petite clochette la surplombant. Signe qu'une personne allait apparaître d'une seconde à l'autre dans le Dark Shop.

[HJ: Nan c'est pas court, j'ai fait la même longueur ]

La liste des commandes était un peu plus longue que d'habitude. Comme certains objets n'étaient pas « fabriqués », Torin se partageait la tache avec son patron. Cependant, si la liste devait s'allonger chaque semaine, ils ne seraient bientôt plus assez de deux, ou alors surchargés de travail, dans l'obligation de refuser la création de certains articles. Il était hors de question de faire appel à des grossistes dont la qualité de travail n'était que trop piètre en comparaison à celle qui faisait la réputation du Dark Shop. Car en effet, la boutique n'était pas en réelle concurrence avec les autres enseignes de l'allée des embrumes, qui elles vendaient en bien plus grosse quantité, mais des outils bien plus banals. Ici, excepté quelques objets très populaires ou de collections rares, presque tout était sur commande, exigeant un certain porte-monnaie. Ainsi la clientèle réduite était un avantage.
D'ailleurs, la plupart des clients étaient des habitués ou venaient sur recommandation, via le bouche à oreilles. Il était donc simple de reconnaître les perquisiteurs du ministère et ils n'étaient pas un problème en soi. Le seul soucis se posant actuellement, comme cité précédemment, était la subite augmentation des commandes. Probablement explicable par ces mêmes perquisiteurs, les anciens adeptes de la magie noire avaient détruit leur materiel afin d'éviter tout risque. Et maintenant que le Lord était de retour, ils désiraient de nouveaux jouets, songeant que bientôt ils redeviendraient légaux... En bref, les prochains mois s'annoçaient très chargés pour Torin, entre métier, activités de mangemort et la jeune Léan. Heureusement pour lui, il était de nature plutôt travailleur.

La porte venait donc de s'ouvrir, l'extirpant de ses songes. Le jeune mangemort releva les yeux vers l'entrée, voyant une silhouette apparaître, refermant derrière elle. Il fit mine de poursuivre sa lecture, continuant à regarder en coin. Parait-il que les clients aimaient cette attitude, le vendeur à son comptoir en train de lire pour s'informer et améliorer ses techniques. C'était tout du moins ce que le patron des lieux pensait, Torin s'en fichait royalement lui, ne faisant qu'appliquer les consignes de son employeur.
Il daigna enfin se redresser et quitter sa lecture en entendant des talons claquer au sol. Les mocassins ne faisaient pas ce bruit, ce devait probablement être une femme, chose plutôt rare ici. Il eut bien vite sa reponse en voyant la nouvelle venue retirer sa capuche. C'était en effet une demoiselle, enfin son visage semblait jeune, ce n'était pas celui d'une dame. En bon vendeur, Torin la salua d'un hochement de tête poli. Une chose était sûre: il ne l'avait jamais vue mettre les pieds au Dark Shop auparavant. Peut-être l'avait-il croisée à Poudlard, il n'y avait pas l'air d'avoir une grande différence d'age entre eux. Mais le jeune mangemort et ex préfet en chef avait été trop hautain pour mémoriser chaque tête durant sa scolarité, c'était à l'époque aux autres de retenir la sienne pour s'assurer de bien se comporter en le croisant, afin de ne pas perdre de points.

D'un geste de la main, sans avoir besoin de quitter du regard sa cliente, il referma le vieux grimoire auparavant lu. Certaines commandes étant d'ordre plus ou moins illégal, mieux vallait que des yeux malvenus ne s'y balladent pas. Enfin, il écouta la requète de la jeune femme. Immédiatement, il comprit pourquoi il ne l'avait jamais vue ici auparavant. Elle ne semblait pas connaître le moins du monde le Dark Shop, et pour cause, elle n'avait pas dit le mot magique... Mais en professionnel, Torin se montra compréhensif et répondit d'un ton doucereux.

« Tout dépend de ce que l'on entend par interessant, Miss. »

De ses yeux gris d'acier, il soutint le regard qu'elle lui portait, haussant les sourcils pour accentuer le ton de sa réponse. Il aurait très bien pû lui présenter quelques articles tels qu'une coiffeuse en bois massif équipée d'un miroir parlant faisant également office de glace de l'ennemi. Ou un bracelet en forme de serpent, enchanté pour étrangler l'être dont la nuque aurait été touchée. Mais il savait par experience que ce n'était pas parce qu'il avait une jeune blonde face à lui que cette dernière recherchait forcément des articles féminins. Ici même en l'occurence, étant donné la question qu'elle avait posé, il était possible de croire qu'elle ne cherchait rien en particulier...
A part bien sûr quelque chose d'interessant. Il n'y avait pratiquement que de ça ici. Excepté si mademoiselle avait reçut un sortilège de confusion et pensait se retrouver chez Guipure. Ce ne devait pas être le cas, elle était entré avec une capuche, chose plutôt rare dans le chemin de traverse, tandis que dans l'allée des embrumes... Torin s'attarda l'espace d'un instant sur la tenue de la jeune femme, peu visible car dissimulée par le comptoire. Puis, après avoir jeté un coup d'oeil vers les étagères, il ajouta:

« Et si vous me disiez quel genre d'article vous recherchez? »

Ce serait plus simple ainsi. En esperant tout de même qu'elle ne redemande pas quelque chose d'interessant à moins d'en donner sa définition. Et qu'elle ne soit pas l'une des nouvelles recrues du ministère. Mais ce dernier cas ne serait pas un soucis trop genant.

[HJ: désolé, j'avais pas trop le temps, j'ai un peu fait le post à la va-vite ]

Dans ce genre de métier, on apprenait vite à avoir affaire à une étrange clientèle. Les indécis étant plus rares: la plupart des gens savaient exactement ce qu'ils cherchaient et se dépechaient de l'acheter avant de repartir aussi rapidement qu'ils étaient venus. Ce qui n'était pas le cas de cette jeune femme. Torin avait donc essayé de se renseigner sur ce qu'elle désirait. Et après lui avoir demandé, il remarqua la manière dont elle le regardait. Il est clair que la plupart des commerçants dans cet endroit étaient souvent bien plus vieux que lui, l'age inspirant experience et professionnalisme. Enfin tant qu'elle ne demandait pas à voir le patron, et surtout tant qu'il n'était pas pris pour un stagiaire, tout allait bien.
Suite à sa question, elle s'était lentement tourné vers les rayons. Oui, c'était en effet plus simple de trouver quoi acheter en voyant ce qu'il y avait à vendre. Torin lui aussi regarda un instant le magazin. Puis, pensant qu'elle irait certainement faire un tour près des étagères, il renvint à sa paperasse, prenant sur le comptoire une plume et un parchemin. Il n'eut pas le temps d'écrire que la voix de la demoiselle se fit entendre. Apparemment, le fait qu'il l'ait appellée miss l'avait surprise. Il allait d'ailleurs s'excuser de l'offense mais elle se retourna vers lui, ayant l'air de dire qu'elle n'avait finalement peut-être rien à faire ici.

« Le hazard ne fait pas toujours mal les choses. Vous ne vous trouviez quand même pas dans l'allée des embrumes par ce même hazard? »

Il n'attendait pas particulièrement de réponse. Il esperait par contre qu'elle trouve quoi acheter, il recevait une prime sur ses ventes. Mais il n'allait tout de même pas lui faire un listing de tous les articles en vente ainsi que des commandes effectuables. Et puis il avait été embauché en tant qu'ensorcelleur, pas vendeur. Rester à un comptoire pour servir des clients n'était pas son but, il le faisait simplement pour aider son patron, et pas tout le temps.
Esperons juste que la jeune cliente trouve ce qu'elle veuille. D'ailleurs, elle s'approchait à nouveau du comptoire, l'air d'être en pleine reflexion. Torin réprima un sourire amusé. Soit elle était vraiment ce genre de cliente agaçante, soit c'était bel et bien une employée du ministère cherchant ses mots pour en venir à parler d'articles en lien avec la magie noire... Sujet qui arriva bien vite. Elle demandait un cadeau « mauvais ». Il y avait donc deux options pour savoir quelles étaient ses vrais intentions. La première était de lui demander clairement si elle était oui ou non du ministère, puis la seconde: jouer le jeu. Choisissons cette dernière. Le jeune mangemort fit donc mine de reflechir avant d'esquisser un mince sourire et de hocher la tête. Voyant que la demoiselle s'impatientait, il ne la fit pas attendre plus longtemps.

« Je vois. J'ai ce qu'il vous faut. Ce serait pour quel genre de personne? Juste quelqu'un à qui vous voulez faire une petite blague, ou quelqu'un à qui vous en voulez vraiment... J'entends par là, un ennemi qui mériterait une bonne correction. »

En prononçant la dernière phrase, le ton de sa voix s'était légèrement baissé, donnant un air malsain à ses paroles. Une lueur mauvaise était apparue dans ses yeux, une lueur à double sens. D'un côté, l'idée de faire du mal, le contentement de vendre un article qui servirait de mauvaises intentions. Et d'une autre part, les conséquences qu'auraient été de lui mentir, de cacher le fait qu'elle vienne ici au nom du ministère. Selon la vrai nature de sa cliente, elle interpreterait probablement differemment son attitude.
Certes, il était peut-être un peu trop paranoïaque sur les bords, mais son patron lui avait dit de se méfier, je cite: « en ces temps ». Et étant actuellement responsable de ce qui se passait dans la boutique, il preferait prévenir plutôt que guérir, au risque de sembler peu convenant avec une cliente. Enfin, pour sembler ne rien soupçonner, il reprit un air normal, quittant son comptoire pour montrer quelques articles à la jeune blonde. Il lui présenta d'abord quelques bagues, anneaux et chevalières.

« Ce sont des anneau-serre. Une fois portés, ils se ressèrent jusqu'à trancher le doigt. Bien entendu ils stoppent si vous leur en donnez l'ordre, sans ça ils seraient illégaux. Ça correspond à ce que vous cherchez ou il vous faut quelque chose de moins... Ou plus... Dangereux? »

De nouveau, son air mauvais, suivit d'un léger sourire, firent leur apparition sur son visage. Voyons voir comment la demoiselle y réagirait...

[hj: désolé c'est pas super mais j'ai pas trop d'inspi en ce moment]

Le hazard, encore ce truc. On vit dans un monde de fous, c'est moi qui vous le dit. Mais finalement on s'en fiche parce que la demoiselle elle est entrée et finalement, le pourquoi du comment, osef . Par contre, le fait qu'elle ait dit Truc ça c'était moins bien. Torin la regarda d'un drôle d'oeil, apparemment pas très content de ce manque incalculable de respect. Truc, non mais pourquoi pas machin aussi tant que t'y es! Ah je vous jure, y'a des doloris qui se perdent. Encore une chance que notre Toto national ait du sang froid.
Et même pas elle s'excuserait la p'tite dame hein... Bref, tant pis elle payerait un jour ou l'autre mais pas maintenant car en tant que bon vendeur, la doctrine lui disait de tuer après avoir été payé. Et pour être payé, faut vendre. Logique. Elle voulait un truc pour faire un blague, très bien, on allait lui trouver ça. Mais quand on lui demandait des precision sur le niveau de méchanceté de l'objet demandé (osef si c'est pas du joli français bien littéraire), elle avait l'air mécontente à l'idée d'un truc bien sadique. Cliente difficile, niah.

Peu importe Torin daigna quand même lui montrer quelques articles, en esperant que cela lui convienne, sinon... Sinon il lui demanderait de passer directement à la perquisition plutôt que de tourner autour du pot en croyant qu'il n'avait pas deviné ce qu'elle était venue faire ici. Et bien entendu -il fallait s'y attendre- les anneaux-serre ne lui convenaient pas. Elle parlait d'une douleur morale. Et plus elle avançait dans ses explications, plus Torin trouvait ça louche.
Elle termina même par demander des clowns. Elle se croyait où là? Dans un magazin de farces et attrapes? C'était pas le genre de la boutique, ici quand on avait besoin d'un objet pour faire une blague, c'était une blague qui faisait réellement mal, pas un de ces gadgets ridicules simplement destinés à faire peur. Le jeune mangemort se détourna donc des bagues pour dévisager la demoiselle.

Il réalisa enfin le genre de comparaison qu'elle venait de faire. Sang de bourbe/ sang pur. Devait-il en déduire qu'elle avait quelques choses contre les sorciers issus de famille moldue pour les nommer ainsi? Ou était-ce un moyen détourné pour rabaisser les sangs pur en disant qu'ils étaient aussi faibles d'esprit que les impurs? Hum, dur dilemme. Mais le fait est que Torin ne pensait pas la même chose. Ce genre de clown ne faisait pas peur. Encore moins à un sang pur. De toutes façons ils n'en vendaient pas ici.
Son visage prit un air désapprobateur. Il secoua la tête en signe de négation et commença à marcher pour retourner à son comptoire. Mais il s'arreta avant d'arriver derrière ce dernier. Sans prendre la peine de se tourner vers la demoiselle, il lui répondit.

« Je ne sais pas à quoi vous jouez mais vous ne trouverez rien ici. Si vous êtes venu pour une perquisition dites-le directement, sinon allez donc voir dans un endroit plus approrié pour votre blague. Et je vous prierai de ne plus m'appeler Truc. »

Son ton avait été sec. Il esperait avoir remit en place cette étrange demoiselle qui semblait être venue ici juste histoire d'embêter les gens serieux. Cela, Torin ne le supportait pas, maintenant les choses étaient claires. Il allait donc enfin rejoindre son comptoire, reprenant sa marche, lorsqu'une nouvelle chose l'interrompit.
Nous étions encore en plein après-midi, il était rare qu'à cette heure-ci cela arrive. Mais le fait est qu'une étrange douleur traversa son avant-bras gauche. La marque des Ténèbres. Il inclina sa tête vers l'origine de la douleur, puis, réalisant qu'il n'était pas seul, la releva. Elle n'était pas intense, ce qui signifiait qu'il avait le temps. Sans doutes pour prévenir qu'il y aurait une réunion le soir. En attendant, le jeune mangemort revint à sa place initiale et, une fois ses bras cachés derrière le comptoire, il posa sa main droite sur son avant-bras gauche.