Ernest était vraiment plongé dans ses pensées (pas dans l'eau, hein?). Il se demandait comme trouver une conclusion à la fois claire et synthétique et souriait car c'est justement ce qu'il demandait aux élèves. Lorsque une jeune fille lui parla, ce fut un dur retour à la réalité. IL retira brusquement son bras de l'eau éclaboussant la demoiselle et lui-même. Et il manqua de tomber mais se rattrapa de justesse.
-Euh, bonjour, je suis vraiment désolé mais je ne pensais vraiment pas que quelqu'un viendrait me parler ici. Je crois que tu es la première personne à qui je parle en dehors de mon dortoir et de mon bureau. To visage me dit quelque chose. J'ai du te voir à la répartition mais tu n'es pas encore venue en cours, en tout cas dans le mien, n'est-ce pas.
Puis il remarqua que (comme toujours^^), il était en train de monopoliser le temps de parole. Il est vrai que dans sa carrière, il avaot été ammené à faire de nombreux discours pour donner le resultat de ses recherches mais il avait gardé sa facheuse habitude. Lorsqu'il était arrivé ici pour son entretien d'embauche, il s'était apperçut que son long discours ennuyait profondemment le bon vieil Albus. Lorsqu'il s'apperçut de sa boutade, il dit à la jeune fille:
-Euh, tu es venue pour quelques choses en particulier?
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Sujet: Aération du prof d'Histoire.