Le Deal du moment :
Bon plan achat en duo : 2ème robot cuiseur ...
Voir le deal
600 €

Partagez
 
 Quand ma mémoire me ramène à ces années passées...(en cours)
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
  • Alan Desoya
    • Nombre de messages : 841
    • Age : 32
    • Date d'inscription : 17/01/2011

    • Pensine
      Statut sanguin: Né-Moldu
      Baguette magique: Bois de noyer noir, plume de phénix, 30 cm
    Alan Desoya
  • Médicomage Médicomage
MessageSujet: Quand ma mémoire me ramène à ces années passées...(en cours)   Quand ma mémoire me ramène à ces années passées...(en cours) EmptyMar 31 Jan - 20:04:03

Titre de ta nouvelle : Quand ma mémoire me ramène à ces années passées...

Présentation de l'histoire : Comme le titre l'annonce, ce sera un petit retour dans le passé - assez conséquent quand même pour remonter jusque dans l'enfance du personnage principal - et un diaporama synthétisé des évènements majeurs dans la vie du petit enfant moldu qui découvre un monde inconnu, se forme et au fil des années se transforme ainsi que la chenille en chrysalide puis en papillon au jeune homme qu'il est maintenant, pour comprendre ses évolutions successives à travers une adolescence tumultueuse et indisciplinée, en soif d' Idéal avant de retomber dans les méandres de la Réalité. Tout ce qui est impossible à raconter en détail en Rp, mais qui a son importance. Une mosaïque de petits évènements d'une modeste vie qui n'aspire qu'à grandir et se faire une place dans ce nouveau monde...

Protagonistes : Alan Desoya, Susan Desoya (mère), Francis Desoya (père), Honor Desoya (petite soeur), Honor Woodsen (Mac Tansey), Patrick Blake et autres invités...

Catégorie : 1ère - 7 ème année à Poudlard ; Ante Poudlard

Genre : Action/Aventure ; Amour/Romance ; Fantastique ; Tragique

Chapitres : 1/10

Complet : NON
(Premier chapitre dès que possible ! Rythme de post lent, je préfère vous prévenir, pas dans mes priorités)


Dernière édition par Alan Desoya le Jeu 2 Fév - 12:29:46, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
  • Alan Desoya
    • Nombre de messages : 841
    • Age : 32
    • Date d'inscription : 17/01/2011

    • Pensine
      Statut sanguin: Né-Moldu
      Baguette magique: Bois de noyer noir, plume de phénix, 30 cm
    Alan Desoya
  • Médicomage Médicomage
MessageSujet: Re: Quand ma mémoire me ramène à ces années passées...(en cours)   Quand ma mémoire me ramène à ces années passées...(en cours) EmptyJeu 2 Fév - 12:28:23

Chapitre Un : What the word "family" really means ? This world of mine is no my world :

- "Mon ange ?"

Une jeune femme très élégante et visiblement en attente d'un heureux évènement d'ici quelques mois venait brutalement de s'arrêter dans une énième dispute avec son mari, ayant crut entendre un bruit venir du haut de l'escalier menant aux deux chambres à coucher - la leur et celle de leur fils unique seulement âgé de sept ans - mais son mari impatient, après avoir attendu quelques secondes durant, reprit avec colère explosive tout en serrant de ses doigts le coin de la table de salon avec nervosité :

- "Il dort le pétiot, qu'est ce que tu crois ? Lui au moins il dort ! Lui au moins il peut dormir alors que moi je dois t'attendre quand tu rentres à pas d'heures le soir ! Pour faire je ne sais quoi...."

- "Francis, arrêtons là, tu veux bien, nous allons le réveiller...."

Un poing vint frapper avec une force pareille à celle du tonnerre de Jupiter Stator dans les légendes grecques et latines pour couper court à l'argument, alors que l'homme se rapprocha de sa femme avec une colère on ne peut plus visible et grandissante de minutes en minutes :

- "Comme si cela te préoccupais ! Tu pourrais rester avec lui, le soir, avec le gamin, plutôt que d'aller fricoter avec je ne sais qui ! Ah non, n'essaye pas de me contredire, j'ai des preuves de source sûre ! Faire tes devoirs de mère et d'épouse plutôt que être prise en flagrant délit d'adultère !"

- "Chéri, s'il te plait, je... et puis en quoi cela te regarde ! Tu n'es presque jamais là, toi non plus ! Tu te trompes, tu es seulement maladivement jaloux ! Tu..."

[...]

Il n'osait pas faire un pas de plus, au pas de la première marche du haut de l'escalier en bois, de peur que le bois ne craque et ne révèle sa présence. Il n'aimait pas les entendre crier, tout comme il n'arrivait pas à dormir. Cela avait commencé depuis quelques semaines, le petit garçon les entendait crier depuis plusieurs jours tous les soirs durant. Lové dans la semi-obscurité de l'étage éclairé par la lumière du rez de chaussée de la maison, le petit bonhomme tendait l'oreille dans l'espoir de comprendre en dépit de son jeune âge de quoi ses parents discutaient. Il y avait des rumeurs qui glissaient sur eux dans le voisinage et à l'école, pas gentilles du tout, alors il voulait juste comprendre ce qu'il se passait.

"Pourquoi est-ce qu'ils crient ? Je ne peux pas dormir moi ! Il est si tard, je suis fatigué... je ne peux pas dormir..."

Il songea au dessin qu'il avait fait à l'école la veille, un dessin assez bien fait pour son jeune âge représentant ses parents heureux, souriants avec toute la naïveté de son enfance, et lui au centre. Lui tout seul, et sa mère au ventre plat. Pas de petite soeur ou de petit frère comme annoncé, il voulait rester fils unique lui ! Oui, il n'était pas partageur, c'étaient SES parents à lui et c'était tout d'abord na ils n'avaient pas besoin d'un autre enfant que lui. Tout à l'écoute des cris, tremblant, terrifié, il se souvint de ce qu'il s'était passé quelques heures à peine :

"Maman ! On a apprit une nouvelle poésie aujourd'hui ! ...J'ai obtenu un B+ en anglais aujourd'hui ! La maîtresse était très contente, surtout que j'ai eu un A+ en Mathématiques ! C'est bien, hein dis, maman ! Maman ?"

Il mettait tant le coeur à l'ouvrage dans ses études, dans l'optique de rendre ses parents fiers et qu'ils soient contents et non pas en train de crier comme en ce moment. Mais que ce soient son papa ou sa maman, ils n'écoutaient pas ce qu'il leur disait, répondait sans grande conviction et sans grand intérêt, mais posaient plein de questions étranges ! Papa demandait si maman n'était pas avec d'autres messieurs quand elle venait le chercher à l'école, Maman lui demandait si papa lui avait posé la question et lui assurait que ce n'était pas le cas. Papa était si méchant en ce moment ! Alan ne l'aimait pas, lui faisait la tête na vexé qu'on ne lui prête pas plus d'attention. Il se sentait si seul, si délaissé Sad Même si ses parents prétendaient le contraire, le petit bonhomme aux cheveux bruns en pagaille se doutait que quelque chose n'allait pas, et qu'il essayait de leur donner de l'affection en câlins affectueux, c'était pas comme avant, ils avaient l'esprit ailleurs, et au dîner, l'ambiance était tendue. Et dès qu'ils commençaient à s'énerver, son père disait la phrase fatidique :

- "Alan, il est tard, et tu as école demain. Va te laver les dents et te coucher. Ce n'est pas une heure pour les gamins !"

Et au bout de trois jours, il avait comprit que cela signifiait qu'ils allaient encore se disputer et refusaient sa présence. Se sentait exclu, il prenait un air boudeur et vexé, tardait avant que son père ou sa mère ne le traînent de force à l'étage, dans son lit... avant qu'il ne se relève pour aller les écouter du haut de l'escalier, comme ce soir-là. Cela dura longtemps, avant que sa mère ne lance d'une voix qui ne lui ressemblait pas, étranglée et pleine de fureur :

- "Puisque c'est comme cela, je ne vais pas rester une seconde de plus ici ! Je vais demander le divorce, tu ne pourras pas m'en empêcher !"

Divorce ? Cela voulait dire quoi ? Ils n'en parlaient pas à l'école, non, les parents, c'était lié au mot amour, ils l'avaient vu en cours ! Il ne connaissait pas ce mot, mais le ton de sa mère le rendait tout tremblant. Il étouffa un sanglot de son mieux, déglutissant pour rester silencieux, commençant à reculer d'un pas vers sa chambre alors que l'orage continuait de s'abattre sur la maison :

- "Très bien, je n'ai pas envie d'une traînée chez moi ! Mais Alan restera avec moi, je ne veux pas qu'il vive avec tes p***** de fréquentations..."

- "Tu ne peux pas me faire cela ! Alan est mon fils, je suis sa mère ! J'emmènerais Alan avec moi, que tu le veuilles ou non ! Il sera mieux avec moi qu'avec toi !"

Des cris. Une porte qui claque. Le silence. Alan recula un peu plus en retraite jusque dans sa chambre. Il regarda son dessin avec des yeux tristes. Il prit un crayon de papier et le gribouilla complètement avec tristesse. Les yeux noirs étaient rougis et emplis de larmes, qui coulaient doucement sur les larmes. Silence. Son père qui remontait en soupirant, claquant avec colère la porte de sa chambre à lui. Maman... Maman ? Il ne l'entendait plus. Personne ne venait le voir. Personne ne se doutait qu'il était éveillé. Personne ne venait le consoler. Il pleura doucement, étouffant ses sanglots sous les couvertures de son lit. Oublié. Encore oublié. Il avait été oublié...

"Liars ! You just liars, dad, mom ! All is nothing but a big lie ! Life is nothing but a big, big, the biggest lie of all ! Mom... Dad... liars..."

[...]

Maman n'est jamais rentrée depuis ce soir là. Il l'avait attendue, mais Maman n'était jamais revenue pour l'embrasser le soir. All alone...

[...]

Rien ne fut plus pareil qu'avant. Papa s'était remit à fumer, cela ne sentait pas bon dans la maison. La maison n'était pas synonyme de chaleur. La maison était froide, silencieuse, glacée, triste. Something is missing. Love as run away, Mom is missing... Papa venait toujours le chercher tard à l'école, il était le dernier à partir de la garderie post école. La maîtresse s'en inquiétait toujours, mais lui commençait à être blasé de tout cela, son sourire avant si éclatant se fanait progressivement et se faisait de plus en plus rare, et il marmonna en retenant ses larmes :

- "T's alright. T's always like this. Since Mom is gone. Madame, je ne veux pas rentrer à la maison..."

Suprise, la vieille dame le reprit en lui disant que ce n'était pas bien de penser ainsi, que ses parents se feraient du souci pour lui, et Alan hocha avec vigueur la tête dans un signe négatif :

- "Wrong ! They don't care a bit about me since... since... They left me ! They just shout at each other, they don't care a bit about me, that's all ! Ils ne sont jamais là... papa travaille tard, et c'est plus comme avant. Tellement triste et silencieux. C'est pas de l'amour entre eux, ils se détestent !"

Il se tut un moment, la maîtresse ne savait pas quoi dire, avant qu'il ne demande, les larmes aux yeux et un air désespéré sur son visage :

- "Madame... c'est quoi, le divorce ?"

[...]

Un soir, c'était sa mère qui était venu le chercher. Il était heureux, des mois après le clash familial. Le ventre de maman avait encore grossit. Il croyait qu'elle revenait enfin à la maison. Elle l'avait enlacé comme elle le pouvait, avec une chaleur inattendue, il était si heureux qu'il en pleurait presque. On était en Décembre. La maîtresse avait un air grave. Maman la salua avec un air cordial, dans cette école primaire de Chatham. Elles discutèrent longuement, et regardaient plein de papiers, pendant que Alan jouait tout seul dans la cours de récréation vide, avec un ballon de football, contre des adversaires imaginaires, riait aux éclats, tout de suite plus heureux que les derniers jours. Maman revint toute seule, avec un sourire au visage, tout en invitant son fils à se tourner vers la maîtresse :

- "Allez Alan, dis au revoir à Mme Llapier !

Ne comprenant pas très bien la signification de tout cela, Alan avec le sourire aux lèvres s'exclama, son ballon de football dans les mains :

- "Merci madame pour aujourd'hui ! C'était génial vos cours ! A demain !"

La réaction de la maîtresse d'école surprit beaucoup Alan, elle avait l'air si triste et désolée tout d'un coup... pourquoi ? La jeune femme le prit de court quand elle le prit dans ses bras, l'étreinte et son intensité le surprit. D'accord, Mme Llapier avait été son enseignante depuis quatre ans dans la petite école, et c'était elle qui gérait la garderie où il était resté longtemps le soir, mais pourquoi était-elle si triste ? Il la reverrait le lendemain, pas vrai ? Hein ? Puis elle le relâcha, toujours avec cette lueur triste dans le regard en dépit du sourire qu'elle lui offrait, hochant lentement la tête d'un air pas très convaincant. Alors qu'il repartait avec sa mère des grilles de l'école, le petit garçon demanda à sa maman :

- "Dis, M'man... pourquoi elle était toute triste madame la professeur ?"

Sa mère évita de répondre, serrant seulement un peu plus la main de son fils dans la sienne, et l'invitant à se presser un peu plus loin des grilles de l'école primaire de Chatham, vers une grande voiture qu'il ne connaissait pas. Avec un inconnu pas rassurant devant ladite voiture. Les mots de son père si peu rassurants lui revinrent à la mémoire. Il s'arrêta brutalement, sans prévenir, le regard noir posé au sol, étonnant sa mère :

- "C'est qui, ce monsieur ? Pourquoi il est là, et pas papa ?"

- "C'est... un ami à moi. Ne t'inquiète pas mon grand, il est très gentil ! Viens Alan, ne traînons pas, nous avons de la route à faire devant nous..."

- "Ah d'accord... mais on..."

Sa question resta en suspend dans sa gorge, alors que timide et méfiant il n'osa pas aller plus loin qu'un salut poli vers l'inconnu à la belle voiture, et monta à l'arrière comme sa mère l'en pressait. Il s'étonna de voir ses affaires les plus importantes dans la voiture. Ses jeux, ses livres, ses vêtements... il allait poser une question supplémentaire quand la voiture démarra. Inquiet, retenu par la ceinture de sécurité, le petit bonhomme s'exclama vivement en voyant la direction prise par la voiture :

- "Mais ce n'est pas par là, chez papa ! C'est dans l'autre sens ! Pourquoi..."

Les mots moururent dans sa gorge dès qu'il croisa le regard désolé et doux de sa mère. Il venait de comprendre un pan du sens de divorce. Un pan des mots de dispute de ses parents, la présence du monsieur. Détournant le regard vers la fenêtre passager de gauche, il murmura doucement d'une voix triste :

- "On ne rentre pas à la maison ? On ne rentre pas chez nous, maman ?"

Le silence, pesant. Puis la voix de l'homme invitant sa mère à lui expliquer à lui, "au gosse la réalité des choses". Les mots de sa mère qui tombèrent comme une sentence :

- "Ce n'est plus chez nous. Non, au contraire... nous rentrons vers le chez nous, à nous, Alan. Notre maison à nous, avec Dimitri. Tu verras, tu t'y..."

Mais le petit garçon ne répondait plus, n'écoutait plus, le regard vide dans les yeux noirs, alors qu'il regardait défiler les derniers restes de la ville maritime de Chatham dans la vitre, comme un animal qu'on arracherait de force à son foyer. Il contenait ses larmes, ne voulant pas blesser sa mère. Il resta silencieux tout le long du voyage, alors qu'ils arrivaient dans une toute nouvelle ville, après un fort long voyage. L'aidant à descendre du véhicule, sa mère lui dit avec douceur et le plus d'enthousiasme possible devant le porche d'une maison inconnue :

- "On est arrivés, Alan ! Je te présente ta nouvelle maison, à Brighton. Notre nouvelle vie à nous..."

Le petit garçon, si inhabituellement silencieux, hocha simplement de la tête, avant de jeter un regard courroucé à l'inconnu qui embrassait sa mère comme le faisait son père avant. Non mais oh Mad ! Pour qui il se prenait, lui ! Il s’avança à grands pas sur ses petites jambes de jeune enfant de bientôt huit ans, alors que le type reculait pour se tourner vers lui, un sourire au visage, mais Alan lui colla le vent du siècle en ne se dirigeant pas vers lui, mais en s'interposant dans l'espace entre sa mère et l'inconnu, prenant l'une des mains de cette dernière dans les siennes d'enfant, avant de lui donner un câlin filial dans une attitude un peu possessive et protectrice. Les yeux noirs avant si doux étaient alors aussi noirs que le plus terrible des orages, tout aussi troublés et coléreux, mécontents. Limite, bien qu'il ne le montrait, on aurait pu deviner un grognement silencieux entre ses lèvres. Pas que le petit garçon n'était pas affectueux de nature, mais seulement...

Quelque chose venait de se briser en lui. Définitivement, à jamais. Quelque chose qui ne reviendrait jamais. A child's broken heart.

(Premier chapitre fini, j'attends vos avis ! La suite plus tard ^^)
Revenir en haut Aller en bas
 Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

 Sujets similaires

-
» Quand ma mémoire me ramène... (pv Ethel/Akiko)
» Cours n°1 - Années 1 à 3
» Cours n°2 : années 1 à 3 [terminé]
» Cours 2/1 : années 2 à 3
» Cours 3/1 : années 4 à 7

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Le Miroir du Riséd :: Hors-Jeu :: Vos créations :: Fanfictions-