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|  Sujet: Re: Chercher la vérité peut brûler les ailes(pv) TERMINE  Lun 25 Juil - 19:59:27 | |
| Alan s'assit sur sa chaise face à Shun et fit un petit sourire.
- "Hmmm... une double-enquête ? Un peu comme dans les récits fictifs de Conan Doyle ? Vous voulez faire comme Sherlock Holmes face aux enquêtes officielles de la police et de Lestrade ? Bon, je ne vous demanderais pas comment vous comptez vous y prendre, chacun a le droit de garder le silence sur ses méthodes et ses sources je présume..."
" Les récits de Conan Doyle, on raconte que cet homme était un sorcier. En effet un peu comme dans ces récits qui, je dois avouer sont, malgré le fait qu'ils soient possiblement écrit pas un né-moldu, bien. Mais vous présumez bien, mes méthodes, même si vous en avez vu une ou deux, resteront les miennes. "
Shun se remit bien sur sa chaise, dignement et avec un petit sourire amusé et un regard de défi il dit :
- "Moi, ché-tif ? Vous plaisantez ! Je ne crains pas cette personne, je lui ai botté le derrière une fois je peux recommencer au besoin ! C'est le moindre que je puisse faire pour le repos de Patrick... si ce sale type ne veut pas rester en prison, si je le recroise, je l'y renverrai avec les intérêts aux besoins !"
" Vous ne le craignez pas, mais qui ne craignez-vous pas. Vous craignez une personne qui est peut-être aussi puissante que Voldemort. Je pense qu'avant de ne pas craindre quelqu'un on le connait. Vous ne me connaissez pas bien, vous me craignez, je le sais. "
Shun avait rarement eu un adversaire de verbes si coriace et cela lui plaisait, même s'il n'en laissait rien transparaître.
- "Franchement, monsieur, vous n'avez aucun humour quand vous vous y mettez ! Quel dommage, je m'apprêtais à me le lancer au besoin... vous avez lu mes pensées ou quoi ? Mais soit, passage à Sainte Mangouste oblige... bien que je déteste ce lieu en tant que "patient", j'admire ceux qui y bossent..."
" J'ai remarqué que vous aimiez les sortilèges informulés. Vous voulez que j'aie de l'humour, je veux bien, car on peut rire de tout, mais pas avec tout le monde. Quoi de plus drôle que votre obstination a vouloir gagner sur moi, ce que vous n'arriverez pas à faire. Non je n'ai pas lu vos pensées, mais voyez à quel point votre prévisibilité et humoristique. Je l'ai déjà dit, prenez ma main. Vous aussi Miss McTansey. " |
| | | | - Alan Desoya
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Pensine
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| | Sujet: Re: Chercher la vérité peut brûler les ailes(pv) TERMINE Lun 25 Juil - 21:00:39 | |
| " Les récits de Conan Doyle, on raconte que cet homme était un sorcier. En effet un peu comme dans ces récits qui, je dois avouer sont, malgré le fait qu'ils soient possiblement écrit pas un né-moldu, bien. Mais vous présumez bien, mes méthodes, même si vous en avez vu une ou deux, resteront les miennes. "
Pan ! Troisième point en commun entre "je suis le spécialiste pour me retrouver dans des situations impossibles", "je suis malicieux et j'adore jouer sur le verbe" et maintenant "je respecte le cher Conan Doyle !" Et bien, on dirait qu'ils ont autant de sujets de tensions que de ressemblances sur certains aspects. Mais jamais Alan ne se rallierait totalement à un prof, même s'il l'apprécie, c'était tout simplement contre-nature à sa personnalité ! Il s'était donc relevé avec dignité et s'approcha de l'enseignant comme demander, presque trop sagement d'ailleurs pour qui le connait bien :
- "Et bien dans ce cas j'ai doublement du respect pour cet auteur, qui à la fois enchante le monde moldu et le monde sorcier sous son emprise. Ses nouvelles sont tout simplement diaboliques pour le lecteur, et très intéressantes aussi. Donc vous ne verrez aucun inconvénient à ce que je garde les miennes sous silence également ?"
" Vous ne le craignez pas, mais qui ne craignez-vous pas. Vous craignez une personne qui est peut-être aussi puissante que Voldemort. Je pense qu'avant de ne pas craindre quelqu'un on le connait. Vous ne me connaissez pas bien, vous me craignez, je le sais. "
Alan garda cette lueur amusée et "joueuse" qui bientôt effaça temporairement celle emplie d'amertume et de sentiment de trahison. Okay, il le respectait un peu sans doute, il était un adversaire de valeur. Un prof, mais peut-être respectable à certains moments, quand il sera de bonne humeur. Ce qui n'était pas totalement le cas présentement. Son expression se fit un brin plus sombre avant qu'il ne se reprenne, sur un ton badin et léger :
- "Oh craindre est bien grand mot... mais je ne connais personne qui ne craint aucune chose, le cas de l'épouvantard le montre assez aisément. Je ne manque pas à la règle, mais je ne m'étendrais pas là dessus. La crainte est un obstacle à l'analyse méticuleuse du monde, des faits et des gens si elle n'est pas régulée décemment. Je ne crains que ce que je ne connais pas encore, après je ne les crains plus. La crainte est liée à l'ignorance, totale ou partielle, de la chose ou personne crainte, alors en un sens seulement vous avez peut-être raison. Non, je ne vous crains pas tant que cela, mais je me méfie, naturellement. Je ne vous connais pas bien, et je dois avouer que vous êtes l'une des personnes les plus insondables que j'ai rencontré jusque là, pourtant je suis doué en étude de la physionomie, par expérience."
" J'ai remarqué que vous aimiez les sortilèges informulés. Vous voulez que j'aie de l'humour, je veux bien, car on peut rire de tout, mais pas avec tout le monde. Quoi de plus drôle que votre obstination a vouloir gagner sur moi, ce que vous n'arriverez pas à faire. Non je n'ai pas lu vos pensées, mais voyez à quel point votre prévisibilité et humoristique. Je l'ai déjà dit, prenez ma main. Vous aussi Miss McTansey. "
Alan eut alors un sourire profond et énigmatique si rare à déceler quand il n'était pas avec de proches amis. Il vint gentiment prendre son amie pour la guider vers l'enseignant, tout en répliquant avec un regard noir songeur et presque philosophique :
- "Pas tant que cela, mais je m'exerce régulièrement. Je ne suis pas un grand fan des duels, mais il faut bien que je me défende en toute occasion ! Je ne cherche pas à gagner sur vous monsieur, loin de là... je suis juste curieux, c'est tout, un curieux philanthrope... l'arbre peut cacher la forêt vous savez... Ben vous inquiètez pas, je vais vous économiser de l'énergie, prenez Honor, je vais me transplaner tout seul comme un grand à Sainte Mangouste. Je ne risque pas de me perdre et je n'ai aucune raison de vous fausser compagnie, donc vous inquiétez pas."
Il eut un léger sourire illisible en émotions avant de commenter à voix basse :
- "Le rire est des fois un excellent remède contre certains maux... puis cela détend un peu aussi..." |
| | | | | | Sujet: Re: Chercher la vérité peut brûler les ailes(pv) TERMINE Sam 30 Juil - 11:23:49 | |
| Alan fit une remarque qui avait un certain sens et Shun vit qu'en même temps qu'une rivalité s'installaient une complicité se créaient. Shun aurait bien voulu lire dans l'esprit du jeune Desoya, c'est pourquoi il voulait devenir legilimens et il s'était entraîné et renseigné plus jeune, mais le moment était à l'écoute d'Alan :
- "Et bien dans ce cas j'ai doublement du respect pour cet auteur, qui à la fois enchante le monde moldu et le monde sorcier sous son emprise. Ses nouvelles sont tout simplement diaboliques pour le lecteur, et très intéressantes aussi. Donc vous ne verrez aucun inconvénient à ce que je garde les miennes sous silence également ?"
" Je n'y vois aucun problème jeune homme. Je peux comprendre que vos méthodes puissent rester secrètes. Mais méfiez-vous les murs ont des oreilles comme le prouve cette nuit où j'ai réussi à vous suivre. "
Soudain la malice déserta les yeux d'Alan et quelque chose de plus froid apparut dans ses yeux. Il dit d'un ton léger, mais très légèrement froid.
- "Oh craindre est bien grand mot... mais je ne connais personne qui ne craint aucune chose, le cas de l'épouvantard le montre assez aisément. Je ne manque pas à la règle, mais je ne m'étendrais pas là dessus. La crainte est un obstacle à l'analyse méticuleuse du monde, des faits et des gens si elle n'est pas régulée décemment. Je ne crains que ce que je ne connais pas encore, après je ne les crains plus. La crainte est liée à l'ignorance, totale ou partielle, de la chose ou personne crainte, alors en un sens seulement vous avez peut-être raison. Non, je ne vous crains pas tant que cela, mais je me méfie, naturellement. Je ne vous connais pas bien, et je dois avouer que vous êtes l'une des personnes les plus insondables que j'ai rencontré jusque là, pourtant je suis doué en étude de la physionomie, par expérience."
" Je vois, je vois. Je prendrais comme un compliment le fait que je sois insondable à vos yeux. Effectivement des gens disent que la crainte vient de l'inconnu, or vous ne me connaissez pas bien, vous ne me craignez pas. Mais si un jour vous appreniez ne serait-ce que le quart de ma vie, un frisson vous parcourrait l'échine à chaque fois que vous me regardiez. D'ailleurs avant de partir j'ai une petite question. Que voyez-vous si je fais ça. "
Shun fit un geste de la main et une armoire s'ouvrit laissant apparaître un épouvantard. Shun attendit juste de voir ce qui apparut et referma l'armoire content.
" J'ai pu voir votre crainte, merci d'avance. "
Alan proposa ensuite de se transplaner lui même ce à quoi Shun acquiesça. Il était en effet un peu fatigué. Alan ajouta discrètement :
- "Le rire est des fois un excellent remède contre certains maux... puis cela détend un peu aussi..."
" Lorsqu'un Auror a prévu de vous tuer, le rire n'est pas une solution. Croyez-moi,,, "
Shun prit la main d'Honor et ils arrivèrent tout les trois dans le hall de Sainte-Mangouste.
" Allez à la réception avec elle je reste ici. " |
| | | | - Alan Desoya
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| | Sujet: Re: Chercher la vérité peut brûler les ailes(pv) TERMINE Sam 30 Juil - 18:02:33 | |
| " Je n'y vois aucun problème jeune homme. Je peux comprendre que vos méthodes puissent rester secrètes. Mais méfiez-vous les murs ont des oreilles comme le prouve cette nuit où j'ai réussi à vous suivre. "
Si Alan grimaça légèrement en entendant le terme de "jeune homme", il se reprit un peu et un mince sourire vint étoffer ses lèvres, alors qu'il répondit d'un air presque taquin, flirtant entre respectueuse insolence et politesse effrontée :
- "Dans ce cas nous sommes d'accord. Les murs peuvent certes avoir des oreilles, mais on peut les rendre sourds avec un peu d'habileté. Ne comptez pas sur moi pour refaire la même erreur que cette nuit !"
Cela avait donc été son professeur de magie noire qu'il avait vaguement apperçu dans la fenètre de la boutique de l'Allée des Embrumes, mais ce dernier ne l'avait démasqué que sur un coup de chance, rien plus. Donc rien n'était perdu, si le besoin s'en ferait nécessaire, il devra juste être plus vigilant. Prit dans ses réflexions il fut surpris quand l'enseignant reprit la parole et ne releva les yeux qu'au tout dernier moment :
" Je vois, je vois. Je prendrais comme un compliment le fait que je sois insondable à vos yeux. Effectivement des gens disent que la crainte vient de l'inconnu, or vous ne me connaissez pas bien, vous ne me craignez pas. Mais si un jour vous appreniez ne serait-ce que le quart de ma vie, un frisson vous parcourrait l'échine à chaque fois que vous me regardiez. D'ailleurs avant de partir j'ai une petite question. Que voyez-vous si je fais ça. "
Alan avait de nouveau ce regard vif et acéré qui se planta dans celui de l'enseignant, dubitatif et inquisitateur. Le prof devenait de plus en plus sombre et mystérieux à chaque seconde qui défilait. Un frisson ? Mouais, plutôt du dégoût probablement. De la haine peut-être. Du mépris, du dédain, de la colère possiblement. Il ouvrit la porte d'une armoire brutalement et Alan eut le temps de se concentrer sur une autre peur que celle principale, pour ne pas révéler sa réelle crainte. Sa deuxième plus grande peur déforma les traits de l'épouvantard pour prendre ceux d'un détraqueur. Alan n'avait pas un bon souvenir d'eux, à Poudlard, ainsi que des Carrows. C'était une époque bien sombre de l'école... Il regarda avec une légère frayeur un peu jourée le spectre, avant de soupirer et de lancer en pointant sa baguette magique sur l'épouvantard :
- "C'est petit franchement monsieur... un coup bien bas que vous faites là ! Riddiculus !"
Le génial professeur Remus Lupin leur avait apprit ce sort lors d'un cours mémorable en troisième année de Défense Contre les Forces du Mal, tout comme l'ont été tous ses cours jusqu'à son retrait obligatoire puis sa mort lors de la Bataille de Poudlard. Le détraqueur se tétanisa totalement alors avant de trébucher sur les draps de son longs manteau et de s'enrouler dedans par terre comme un tapis du Moyen Orient, de manière totalement comique, arrachant à l'étudiant un léger rire avant que l'épouvantard ne rentre dans sa tanière, et qu'Alan ne lance d'un ton badin, mais l'intelligence pétillait dans ses yeux noirs :
- "Puis c'est si facile à contourner ce genre de choses... ne me dites pas que vous pensiez réellement pouvoir en tirer quelque chose sur moi, professeur !"
" J'ai pu voir votre crainte, merci d'avance. Lorsqu'un Auror a prévu de vous tuer, le rire n'est pas une solution. Croyez-moi..."
Alan, loin d'être effrayé, eut un ricanement à peine contenu. Il avait réussi à se concentrer sur sa deuxième peur à temps, et masquer sa réelle phobie, car oui, comme tout le monde, il en avait une, et pas très avouable à ses yeux : de se retrouver de nouveau devant une créature nommée le basilic, dont il avait été victime en deuxième année, cela l'avait traumatisé à vie. Alan regarda ensuite le prof avec un regard pénétrant, ayant retenu le lapsus volontaire ou pas : il avait peur qu'un Auror le tue ? Il est donc un criminel ? L'étudiant se nota intérieurement cette info croustillante et savoureuse dans un coin de sa tête, sans relever la partie un peu trouble :
- "J'ai bien dis, certaines situations, pas toutes certes. Vous pensez que c'est mieux quand un mangemort ou un mercenaire veut vous tuer sur le champ ? Je ne pense pas... mais je vous crois... je vous crois..."
Ce après quoi ils se retrouvèrent à Sainte Mangouste, et Alan resta en compagnie d'Honor, tout en lui indiquant d'une voix sèche et autoritaire, froide de colère retenue :
- "C'est la dernière fois que je te sauve la mise, compris ? Maintement tu te démerdes toute seule, comme une grande. Je suis très furieux contre toi, et ne crois pas que je vais te pardonner aussi facilement le lavage de cerveau et l'endoloris. T'as pas intérêt à te pointer devant moi jusqu'à nouvel ordre, compris ? Je l'espère bien pour toi..." |
| | | | | | Sujet: Re: Chercher la vérité peut brûler les ailes(pv) TERMINE Jeu 4 Aoû - 14:10:11 | |
| Comme Shun l'avait pensé l'épouvantard ne servit pas à grand chose. Les dires d'Alan confirmèrent même ces suppositions :
- "Puis c'est si facile à contourner ce genre de choses... ne me dites pas que vous pensiez réellement pouvoir en tirer quelque chose sur moi, professeur !"
" Non je ne le pensais pas, mais savez-vous que l'épouvantard peut révéler bien des choses. Mais oublions ceci qui était comme vous le dites...petit. "
Lorsque Shun évoque le fait qu'un Auror avait eu envie de le tuer, il comprit qu'Alan était content de cette information. Il dit alors en le regardant d'un regard plein de malice :
" Ne vous méprenez pas. Tout ce que je prononce est voulu et finement choisi. J'ai moi même consenti à vous dire cela. N'imaginez rien. "
Alan continua :
- "J'ai bien dis, certaines situations, pas toutes certes. Vous pensez que c'est mieux quand un mangemort ou un mercenaire veut vous tuer sur le champ ? Je ne pense pas... mais je vous crois... je vous crois..."
" Un mercenaire est faible et certains mangemorts aussi, ce n'est pas le cas des aurors. Mais passons ! "
Ils transplanèrent à l'intérieur de Sainte-Mangouste puis Alan murmura des mots que Shun ne voulait même pas entendre à l'oreille d'Honor. Shun sourit, mais vérifia que personne ne le voyait et murmura avant de transplaner dans son bureau :
" Ravi d'avoir fait votre connaissance Monsieur Desoya... "
Lorsqu'Alan tourna la tête, Shun avait disparu. |
| | | | - Alan Desoya
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| | Sujet: En conclusion ^^ Jeu 4 Aoû - 15:36:00 | |
| " Non je ne le pensais pas, mais savez-vous que l'épouvantard peut révéler bien des choses. Mais oublions ceci qui était comme vous le dites... petit. "
Alan eut un sourire un peu plus franc et amusé de la répartie et de la malice de l'enseignant de magie noire, avant de répondre avec une tonalité joyeuse et un peu faussement exaspérée :
- "Oh je m'en doute, mais je pense que vous nous en direz un peu plus dans l'année, en cours... mais soit, oublions cette petite et fine plaisanterie de votre part..."
Ce prof était légèrement retord et attirait le doute, mais Alan sentit qu'il pouvait encore lui donner un zeste de confiance cabotine, rivale et opposée. Après tout, leur mystérieux et invisible directeur Altair n'aurait jamais laissé un mauvais gars pénétrer sur les terres de l'Université Magique d'Angleterre qui étaient sa fierté et sa responsabilité. Il ne savait rien de lui, sinon de quelques rumeurs et autres racontards, mais il le respectait quand même dans sa légende très romancée et romanesque quand on y pensait, mais cela l'amusait plus dans le fond qu'autre chose
" Ne vous méprenez pas. Tout ce que je prononce est voulu et finement choisi. J'ai moi même consenti à vous dire cela. N'imaginez rien. "
L'étudiant aux cheveux bruns renvoya le regard espiègle et emplit de malice à son professeur, bien qu'encore un peu respectueux et cabotin en même temps, avant de répliquer sereinement :
- "Mais cela me permet de vous saisir un peu mieux, ne serait ce qu'un tout petit peu, et cela me suffit amplement. Tout savoir sur vous ne serait pas amusant du tout, ce serait sauter trop rapidement à la conclusion qui en sera donc forcément erronée."
" Ravi d'avoir fait votre connaissance Monsieur Desoya... "
Alan se retourna d'un coup sec en entendant cela, tandis qu'Honor était prise en charge. L'enseignant avait disparu comme il était apparu. Le jeune homme eut un léger sourire amusé et frustré à la fois, agacé et blasé en même tempsn avant de souffler à voix basse, plus à lui même qu'autre chose :
- "J'peux pas dire que le ravissement soit réciproque, mais enchanté sans doute. Vous êtes un adversaire de verbe de valeur et un homme qui pique ma curiosité... professeur Mc Alric" |
| | | | | | Sujet: Re: Chercher la vérité peut brûler les ailes(pv) TERMINE | |
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