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 A.S.P.I.C. Botanique
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MessageSujet: A.S.P.I.C. Botanique   A.S.P.I.C. Botanique EmptyVen 1 Mai - 15:30:20

BOTANIQUE
Accumulation de Sorcellerie Particulièrement Intensive et Contraignante



Consignes :
* Cet examen s'adresse uniquement aux élèves de 7ème année.
* Si vous avez choisi de passer cet examen, envoyez par MP la partie théorique à Minerva McGonagall . En revanche, postez la partie pratique à la suite de ce message.
* Les notes seront affichées dans le topic "Résultats".
* Vous avez jusqu'au 30 Mai à minuit (IRL) pour répondre à cet examen.


Partie Théorique (6 points) :

1) Qu’est ce que le Sisymbre ? A quoi sert-il ? (1 points)
2) Quelle plante ressemblant à un filet du diable est cependant inoffensive ?(1 point)
3) Les plantes carnivores : citez en des espèces, propriétés et utilisations. (4 points)

Partie Pratique (14 points) :

Vous êtes dans la serre numéro 3. Un jury est posé dans un coin de la serre et vous observe. Il est composé d’un petit sorcier barbu, d’une grande et fine sorcière à l’air sinistre et d’un sorcier mâchant continuellement et regardant les plantes autour plus que ce que vous faites.
Vous devez trouver l’aconit au milieu de toutes les plantes, en expliquer les propriétés au jury, puis en extraire un infime partie pouvant ensuite être utilisée pour des potions ou médicaments.

[Faites ceci sous forme de RP d’une 30aine de lignes minimum]
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MessageSujet: Re: A.S.P.I.C. Botanique   A.S.P.I.C. Botanique EmptyDim 3 Mai - 16:40:23

Ce sujet est à présent remplacé par le suivant, fait par Sigmund Bachelard.
Les consignes sont les mêmes, postez votre RP à la suite de ce message.
Ceux qui avaient commencé le précédent, envoyez moi un MP vous serez noté sur celui ci. Autrement à partir de maintenant, c'est le sujet suivant qui compte.

Sujet d’ASPIC
Les fruits : relations structure-fonction


Sur la table, chaque élève pouvait trouver les fruits suivants :


A.S.P.I.C. Botanique 266409fruits_copie


Une Fraise (N'oubliez pas de manger cinq fruits et légumes par jour.), un Marron d’Inde, un Fruit d’Erable Sycomore et une Châtaigne.

Chaque question devra être traitée pour chaque fruit, chaque réponse devra être argumentée, justifiée et basée sur vos observations. Tout le devoir est un travail pratique, il n'y a pas de questions, ainsi tout doit se faire sous forme de Rp.

Les Consignes:

- Un minimum de 40 lignes. Soyez original!!!

- A vous de voir quelles informations sont nécessaires dans votre Rp. Mais il faut mieux en mettre moins qu'en mettre trop.

- La note est sur 40 et sera remise sur 20. Soit 20 points pour le RP lui même et 20 points pour les informations contenues à l'interieur de celui ci. Votre A.S.P.I.C de Botanique sera corrigée par Lucy Ann ou moi même.

- N'hesitez pas à me contacter par MP, si vous avez des questions.

- Les questions à la suite des consignes doivent être traitées et intégrées dans votre Rp.

- Bon courage!!! Et que la Botanique soit avec vous!!!



I/ Anatomie





  • Externe : Décrivez les caractéristiques anatomiques de chaque fruit, en tâchant d’être le plus précis possible. Déterminez la limite entre graine et fruit.


  • A l’aide d’une découpe dans un plan médian, décrivez l’intérieur du fruit et la position de la graine (décrire également l’anatomie interne de la graine si possible)




II/ Relations fonctionnelles.

Le but principal du fruit est de protéger la graine, garante de la pérennité de l’espèce, et aussi favoriser sa dispersion.

A l’aide de vos descriptions précédentes, vous ferez la relation entre la structure du fruit et les fonctions citées ci-dessus.


III/ Il était un fruit…

Le fruit est l’étape finale de la reproduction sexuée des végétaux, suivant la floraison. Chaque fruit est donc issu d’une fleur.
En vous aidant de vos connaissances sur l’anatomie florale et de vos observations précédentes, vous déterminerez de quelle partie de la fleur est issu le fruit.
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MessageSujet: Re: A.S.P.I.C. Botanique   A.S.P.I.C. Botanique EmptyMer 27 Mai - 20:35:34

Attablée à sa paillasse de travail, Pénombre Craft observait consciencieusement les différents éléments que l’on avait disposés à son intention. Le travail à fournir lui sembla considérable à première vue, interminable et exigeant, ce qui lui arracha un long soupir plaintif.

Une Fraise, un Marron d’Inde, un Fruit d’Erable Sycomore et une Châtaigne seraient ses sujets d’épreuves et la jeune sorcière maudit silencieusement toute la théorie qu’elle allait devoir manipuler dans ses tentatives soutenues d’excellence. L’héritière des Craft lut plusieurs fois son sujet d’A.S.P.I.C.S. de Botanique tout en prenant des notes de réflexion, regrettant sinistrement, une fois encore, les interminables parties pratiques des travaux d’examen imposés dans les autres matières. Puis, elle entreprit de discipliner quelque peu son esprit afin de faire rapidement l’inventaire de ses outils de dissection végétale.

Les premiers concepts qu’elle avait acquis en matière de botanique à Poudlard, reconnaissaient le fruit comme l'organe végétal protégeant la graine. Caractéristique des Angiospermes, celui-ci succédait à la fleur par la transformation du pistil comme le leur avait expliqué le vieux Professeur Bachelard et la paroi de l'ovaire formait ensuite le péricarpe du fruit tandis que l'ovule, portant d’ailleurs significativement son nom, donnait naissance à la graine finale. Cette dernière était donc la structure contenant et protégeant l'embryon végétal, d’ailleurs souvent contenue dans le fruit lui-même, qui permettra finalement sa dissémination, d’où certainement la logique de la seconde partie de son épreuve.

Sa fraise avait belle allure dans ses formes onctueuses, délicieusement formées par l'ensemble du réceptacle charnu de la fleur et son parfum sucré était littéralement à croquer tandis que sa texture se présentait moelleuse, juteuse sous la pression de ses doigts, pleine du relief de ces sortes de petites entités sèches qui en tachetaient la robe. A la base de la fraise, l’Animagus distingua nettement les pièces florales, le calice et les étamines sèches de la fleur de laquelle la belle tentatrice était issue. Habituellement d’une appétissante couleur rouge ou jaune blanchâtre selon les variétés, la sienne irradiait d’un rosé prononcé, presque carmin tandis que sa configuration ovoïde oblongue, joliment arrondie appelait à la débauche des sens. Une merveille comparée au beige fade et passé du fruit d’érable sycomore, sec, dont seul l’aspect physique lui semblait digne d’être relevé. De taille moyenne, et de toucher granuleux, peu moelleux et à micro relief veiné, il arborait deux parties hétérogènes dont celle présentement étudiée était d’une épaisseur assez fine, aux longueurs harmonieuses, d’une vraisemblance symétrique, un peu comme les ailes d’un papillon aux contours doux et arrondis. Un fruit à deux parties qui paraissait fragile et friable dans les soigneuses mains laiteuses de la Serpentarde, qui n’humait toutefois rien de singulier. Chaque samare contenait ainsi une partie beige plus élancée que sa base verdâtre : son akène, plus rond et plus épais que le reste de son corps et qui contenait la graine.

Cette petite graine, en provenance directe de la transformation de l’ovule fécondé, permettait ainsi à la plante d'échapper aux conditions pénibles d'un milieu devenu hostile et ce, de deux façons possibles selon la Septième année :

• hypothèse numéro un : en s'éloignant de celui-ci,

• hypothèse numéro deux : en ‘dormant’ sitôt créer, attendant le retour de circonstances plus favorables.

Chacun des éléments lui ayant été proposé à son examen se devait d’appartenir à l’une ou l’autre de ces deux catégories et la question entrerait certainement dans le cadre de la problématique soulevée au sein de la seconde partie de son sujet d’A.S.P.I.C.S. de Botanique. Une pensée en entrainant une autre, la Rusée maintint sa concentration à la suivie de la logique à peine esquissée.

Puisque l’ovule était en cause dans la création de la graine, cette dernière était donc forcément composée à la fois de parties provenant du sporophyte maternel, autrement dit les enveloppes de la graine, du gamétophyte, c'est-à-dire les tissus de réserve de la graine et du sporophyte de la génération suivante, soit l'embryon. La graine supportait donc le double rôle de protection du nouvel individu grâce à son enveloppe souvent durcie mais également celui de la nutrition grâce à ses riches réserves de substances nourricières. Elle avait en effet la propriété notable d'accumuler, sous une forme facile à conserver, des réserves destinées au développement futur de l'embryon, ce qui constituait un critère important de reconnaissance aux yeux de la Serpentarde devant identifier et expliciter les délimitations entre graine et fruit dans son compte rendu final, et cela pour chacun des éléments qui lui avait été imposé. Selon ses connaissances en la matière, un sorte de voile cotonneux, protecteur et différencié, nommé tégument entourait à la fois un tissu de réserves nutritives et l'embryon. L’enveloppe bouclier constituait donc forcément l’une des caractéristiques principales de la structure graine et c’était exactement sur ce détail en particulier que Pénombre comptait s’appuyer pour s’orienter dans ses recherches de démarcation entre la graine et le fruit.

Jugeant indispensable de bien organiser son temps, Pénombre décida d’étudier préalablement l’aspect de deux autres fruits à sa disposition avant de se lancer dans un approfondissement disséqueur de la fraise et du fruit d’érable sycomore. Après tout, ils ne lui étaient guère plus familiers que cela. Repoussant son parchemin de compte rendu d’un geste nonchalant du coude, la Ténébreuse se pencha donc le fruit du marronnier d’Inde. A priori, elle s’était souvenu de lui comme d’une capsule déhiscente, coriace et hérissée de pointes, qui renfermait en général une seule, parfois deux, grosse graine brune, lisse et luisante, pourtant toxique que l’on appelait marron d'Inde et qui était précisément ce que l’on avait mis à disposition de la Vipère. La coque piquante lui avait été épargnée d’études et elle se souvint alors que c’était uniquement la graine contenue dans cette capsule manquante que l’on appelait marron d’Inde, celle là même qui ressemblait d’ailleurs beaucoup à la châtaigne que l’on avait également placée sur sa table de travail. Il n’était donc pas un fruit comme cette dernière, mais plutôt directement une graine.

A bien l’analyser, Pénombre reconnut qu’il était d’ailleurs fort aisé de les confondre tout deux, mais tandis que l’un était un fruit comestible de certaines variétés de châtaignier, l’autre ne l’était pas et l’objet sec et déhiscent, dont elle étudiait scrupuleusement l’aspect au creux de sa main ganté d’un sortilège de protection, ne parvenait à dissimuler son identité singulière, à son œil exercé. La présence d’une queue à la châtaigne la différenciait absolument de l’autre, sur lequel on n’était guère en mesure de l’observer.

De sa connaissance, la solide coque cuirassant le fruit du marronnier, qui assurait donc la protection de celui-ci aux dangers extérieurs, contenait initialement 3 graines en général, toutefois une seule d'entre elles n'avortait pas. La sienne, d’une petite forme patatoïde, était de surface lisse et brillante, de toucher solide, dur et portait une sorte de halo plus pâle sur le corps, plus granuleuse, une zone cicatricielle claire. La graine du marronnier d'Inde était certes une graine volumineuse mais elle était toutefois déformée parce que comprimée dans sa boque.

Moins brillante et de motifs de corps différents, sa châtaigne était, elle, formée d'une masse farineuse, enveloppée d'une écorce lisse de couleur brun rougeâtre. Elle paraissait également plus petite et moins gracieusement rebondie que le marron d’Inde aux examens attentifs de la Brune aux yeux clairs. Presque enfoncée dans sa plénitude charnelle, elle arborait effectivement un côté nettement plus plat que l’autre qui s’expliquait par le fait que les châtaignes murissaient souvent par deux à l’intérieur de leur bogue : cette enveloppe hérissée de piquants qui protégeait les fruits. Et ainsi mise l’une contre l’autre, la partie comprimée permettait une meilleure répartition de l’espace. D’ailleurs, la Capitaine de l’équipe de Quidditch de Serpentard se souvint que l’on appelait préférentiellement "marrons" les variétés à gros fruits uniques dans la bogue, et "châtaigne" les variétés à fruits plus petits et à plusieurs dans une même bogue. La coque protégeant les deux espèces étaient d’ailleurs d’un aspect plutôt similaire l’une de l’autre... La châtaigne était donc un akène selon la Rédactrice en chef de la Gazette, c’est à dire un fruit à péricarpe sec, ne s'ouvrant pas avant maturité et elle était habituellement contenue dans une bogue protectrice, épineuse constituée par un involucre de bractées mimant une capsule.

Sur un brouillon d’épreuve, la Ténébreuse alors se mit à dessiner la structure schématique d'une drupe typique, la pêche, montrant à la fois le fruit et la graine, ce qui lui permettrait peut-être d’y voir plus clair sur les différents cas qu’elle avait à résoudre.

A.S.P.I.C. Botanique 300px-Drupe_fruit_diagram-fr.svg

Tout en écrivant, la Serpentarde se souvint alors que les Spermatophytes, ou plantes à graines, étaient divisées en deux grands groupes principaux : les Angiospermes et les Gymnospermes. Chez ces derniers, l'ovule, et donc la graine qui en résultait, était nue comme c’était le cas pour sa châtaigne. Seuls les Angiospermes produisaient des fruits, issus du développement de l'ovaire qui entourait l'ovule, et ces derniers n’étaient donc rien de plus que des ovaires mûrs. Cependant, ils pouvaient aussi être constitués d'autres parties de la fleur et Sigmund leur avait alors introduit la notion de faux-fruits ou de pseudo-fruits à cet instant de la progression cours. Si la mémoire de l’ancienne Poursuiveuse de Quidditch était exacte alors la pomme et la fraise en faisant partie.

La graine et le fruit correspondant à une certaine forme de viviparité, l'embryon des Angiospermes se développerait dans un premier temps, protégé et alimenté par son parent femelle, puis sera ensuite libéré, dans un état de vie ralentie que l'on nomme diapause, muni de protections et de réserves alimentaires, soit le fruit. Tout est ainsi fait pour garantir le succès de la mission de la graine, à savoir la pérennité de l'espèce concernée.

Un bref coup d’œil à la pendule murale et la jeune sorcière se mit au travail, dégainant un gracieux coutelet tranchant de la pochette à outil qui lui avait été réservée, elle s’empara de la petite fraise trônant à sa gauche. Lorsque l’Animagus s’en saisit, elle se remémora qu’au sens botanique du terme, les « vrais » fruits étaient en fait les akènes, ces petits grains secs communément appelés à tort pépins -alors que ce dernier terme ne devrait désigner que leur minuscule graine centrale- disposés régulièrement sur la fraise, de couleur verte à brune, et renfermant chacun soit un ovule non fécondé, soit une graine. Ces dernières porteraient donc un germe dès lors que la fraise arrivera à maturité. Forte de cette illumination soudaine, la Septième année effrita la chair tendre et juteuse de la fraise afin d’en dégager plusieurs petits fruits qu’elle disposa consciencieusement sur une tablette d’observation. Le corps charnu de la belle tentatrice sucrée, étant formé par le réceptacle floral ou induvie, était ce que l’héritière des Craft préférait consommer et elle se passait habituellement volontiers de l’épépinage, qui consistait en fait à ôter ces fruits secs du reste de la chair pulpeuse. Le Professeur Bachelard leur avait une fois confié que c’était ces akènes qui produisaient l’hormone permettant au faux-fruit de grossir.

A l’aide d’un sortilège de capture, Pénombre s’empara de l’image de son microscope magique et le calqua sur son parchemin de compte rendu, juste sous le titre élégamment esquissé de sa fine écriture penchée : ‘ Morphologie externe de la fraise : ’

A.S.P.I.C. Botanique Fraise-profil


A la base de celle-ci, elle distinguait nettement les pièces florales de la fraise aussi appelées calice, ainsi que les étamines sèches de la fleur.

A.S.P.I.C. Botanique Fraise-dessous

Sur son second cliché magique, elle pointa rigoureusement dans la légende les pièces du calice et du calicule de la fleur. Enfin, ajustant le grossissement, la Rusée affina l’image des détails importants à la surface de la fraise :

A.S.P.I.C. Botanique Fraise-akene1

A.S.P.I.C. Botanique Fraise-akene2

A.S.P.I.C. Botanique Fraise-akene3

Trois manipulations successives lui furent nécessaires pour afficher correctement les akènes à la surface du réceptacle floral charnu. A droite de son dernier cliché, elle nota que les styles et les stigmates étaient bien visibles, prouvant ainsi qu'il s'agissait effectivement de carpelles.

Suivant le protocole d’épreuve pratique, la Serpentarde procéda ensuite à la coupe longitudinale de sa fraise, se saisissant du manche râpeux d’une lame lisse et non dentelée, elle procéda ensuite à la découpe, concentrée, silencieuse et méthodique, luttant difficilement contre les effluves sucrées qui émanait de la belle et qui lui donnaient envie de dévorer tout cru son sujet d’étude plutôt que de l’analyser.

A.S.P.I.C. Botanique Fraise-coupe1

Sur la vue générale de sa coupe, la Brune aux yeux clairs observa distinctement les faisceaux conducteurs blanchâtres qui se traçaient régulièrement dans la rougeur de chair alentour, directement en liaison avec les akènes posés à la surface. Observant son travail à intervalles temporelles constantes, la candidate aux A.S.P.I.C.S. procéda simultanément à la conception d’un schéma explicatif afin de mieux exposer la situation à ses correcteurs.

A.S.P.I.C. Botanique Fraise-coupe1-s

Puis, de nouveau, elle travailla assidument sur les nombreuses manettes du microscope magique en effectuant quelques grossissements successifs, plus puissants cette fois, qui lui permettraient de mieux élaborer un schéma détaillé de l’anatomie de la fraise.

A.S.P.I.C. Botanique Fraise-coupe2

A.S.P.I.C. Botanique Fraise-coupe3

La Sang Pur sélectionna ensuite un autre détail de l’objectif : un akène ne possédant en son sein qu’une seule graine et photographia d’un sortilège de capture le résultat. Procédant de la même façon que précédemment, la Disciple de la maison Serpentard esquissa un nouveau résumé illustratif.

A.S.P.I.C. Botanique Fraise-coupe2-s


Dernière édition par Pénombre Craft le Mer 27 Mai - 21:22:25, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: A.S.P.I.C. Botanique   A.S.P.I.C. Botanique EmptyMer 27 Mai - 20:39:42

Il ne lui restait plus à présent qu’à répondre à la seconde partie de son épreuve pour en terminer avec la fraise et passer à la suite. La Ténébreuse se mit à réfléchir, abandonnant son microscope et ses outils de dissection au profit de sa plume et de son compte rendu d’examen. Si elle exceptait l’énorme développement du réceptacle, la demoiselle pouvait peut-être considérer la fraise comme un fruit multiple, un polyakène, somme toute assez proche de celui d'une renoncule puisque les nombreux carpelles libres étaient devenus des akènes représentés par les petits grains visibles à sa surface. La fraise était donc un fruit complexe, un polyakène sur un réceptacle charnu développé. Cela favorisait-il sa dispersion ?

Sans doute, si l’on considérait que ses douces chairs attiraient irrésistiblement les gourmands. La candidate aux A.S.P.I.C.S. l’avait souligné auparavant, les animaux trouvaient sûrement dans les fruits, une riche source de nourriture et de ce fait ils contribuaient évidemment à la dispersion des graines. Le processus de digestion s'occupait des parties juteuses du fruit, laissant les pépins et les noyaux intacts. Ceux-ci se retrouvaient alors dans les excréments souvent très loin de la plante mère, ce qui entretenait la dispersion de l’espèce. Ajoutant le fruit de ses réflexions ( :sifle: ) à son feuillet à rendre, la Ténébreuse nettoya ensuite rapidement sa paillasse d’un Tergeo entrainé avant de procéder à sa seconde étude.

Le fruit de l'érable Sycomore manipulé par l’Anglaise était un fruit simple, sec et non déhiscent ne contenant qu’une seule graine. S’agissant d’une pensée importante, enseignée durant ses années d’études à l’école de sorcellerie de Poudlard et ne s'appliquant qu’aux fruits ne s'ouvrant pas naturellement à la maturité pour laisser tomber leur graine, l'indéhiscence était un caractère ayant autrefois servi pour la classification des fruits comme se plaisait à le répéter leur vieux professeur de Botanique. Cette notion s’opposait également à celle de la déhiscence et son marron d’Inde, qu’elle n’étudiait pas encore, avec son épaisse coque piquée, entrait donc parfaitement dans cette catégorie.

Sous ses yeux aux éclats limpides, le fruit de l'érable Sycomore présentait deux expansions membranaires évoquant des ailes écartées d’un angle obtus et la Septième année jugea que cette configuration particulière devait probablement favoriser leur dispersion au vent. Effectivement, les graines les plus légères des plantes mère étaient souvent transportées par des brises battant les lieux de sa prolifération et beaucoup d’entre elles possédaient des structures en forme de parachute qui augmentaient considérablement leur chance de déplacement. Ces "parachutes" formés par des excroissances ressemblant à des poils pouvaient ainsi porter les graines sur de très longues distances. Une alternative à la méthode du parachute se retrouvait présentement entre les mains de la jeune Majeure : des graines possédant des ailes dont certaines agissaient avec ingéniosité comme de petits hélicoptères miniatures. La Famille de l'Erable avait ainsi optimisé avec succès cette méthode car ses graines possédaient typiquement une aile rigide ou membraneuse à l’une de ses extrémités. On ne pouvait qu’admirer la Nature d’avoir astucieusement pourvu l'aile d’une légère excroissance (sorte d'hélice ou lame de ventilateur) qui permettait à la graine de tourner sur elle-même, augmentant de la sorte sa capacité à voler à mesure qu'elle tomberait.

Etant donc indéhiscent, les deux akènes se séparaient à maturité et leur type particulier était appelée une samare. La sienne était d’ailleurs jumelée en disamare et elle formait l’hélice remarquable que la Belle avait décrite sur son parchemin de compte rendu, à côté des lettres ‘Akène ailé’. La graine était ainsi en mesure, grâce au vent, d’être transportée sur des distances considérables et répondait donc à l’hypothèse numéro un ayant été posée par Pénombre, concernant les moyens avec lesquelles les végétaux pouvaient assurer la pérennité de leur espèce. A savoir que c’est en s’éloignant de son habitat fixé que la plante chercherait à échapper aux conditions pénibles d'un milieu devenu hostile ou à étendre son territoire d’existence.

La graine parvenait à maturité sur l'arbre en quelques semaines à six mois environ, selon l'espèce et était dispersée peu de temps après. La plupart des espèces ayant besoin de la stratification pour germer, la graine pouvait donc rester "dormante" à sol, durant plusieurs années avant de germer. L’hypothèse numéro deux évoquée précédemment était donc également valide.

Les samares doubles étant une caractéristique que l'on observait chez tous les érables, la Sang Pur photographia la vue de son microscope magique sans annoter la légende plus que nécessaire, ayant décidé de suivre un plan classique, qui consistait à débuter d’une considération générale pour s’engager ensuite progressivement vers plus de détails et de spécificités à mesure que se déroulait son exposé.

A.S.P.I.C. Botanique 200px-Samara_maple

Elle commença donc par dessiner une vue générale d’artiste, représentant des fruits dérivant d’une inflorescence.

A.S.P.I.C. Botanique Erable-inflorescence

Puis la jeune majeur poursuivit ensuite sur des observations des doubles "samares" de l'érable, aussi notées disamare dans son compte rendu.

A.S.P.I.C. Botanique Erable-samare

Pénombre sépara deux samares parvenues à maturité de gestes délicats esquissés du bout de ses doigts aux longueurs arachnéennes et captura une nouvelle fois les images obtenues à l’aide d’un sortilège adapté.

A.S.P.I.C. Botanique Erable-separe

Enfin, la Ténébreuse procéda à l’imposée section transversale, démontrant que chaque akène possédait bel et bien une graine en son intérieur.

A.S.P.I.C. Botanique Erable-coupe

S’apprêtant du même coutelât à la lame lisse et non dentelée qui lui avait précédemment servi plusieurs fois, l’héritière des Craft retira avec soin et précaution l'akène de gauche de son spécimen d’étude, exposant ainsi la graine à la lentille enchantée de son appareil. Elle prit un nouveau cliché, notant dans la légende de ce dernier que l'akène de droite contenait une graine avortée que l’on pouvait également observer.

A.S.P.I.C. Botanique Erable-ouvert

Cette fois-ci, la Rusée dût manipuler plus longtemps son sujet de dissection afin d’isoler une des graine du fruit d’érable Sycomore. Effectuant plusieurs fois le geste requis à plusieurs centimètres au dessus du fruit, Pénombre s’entraina quelques minutes avant de se décider. Elle entama enfin la ‘peau’ végétale d’une incision patiente quoique nerveuse. Peinant avec la dureté irrégulière de l’akène, elle dût s’y reprendre à plusieurs fois et entailla quelques peu la graine tant désirée, qu’un épais tégument protecteur et cotonneux recouvrait sur toute la surface. La tournant côté abimé au sol, la Vipère glissa cette dernière dans le microscope et l’observa un instant avant de la photographier.

A.S.P.I.C. Botanique Erable-graine

Procédant ensuite comme appris en classe, Pénombre retira soigneusement l’embryon (tégument enlevé) pour distinguer la radicule ainsi que deux cotylédons imbriqués l'un dans l'autre. La Verte et Argent nota dans ses remarques qu’au sein même de la graine, les cotylédons étaient déjà chlorophylliens.

A.S.P.I.C. Botanique Erable-embryon

Sa conclusion sur cette partie de l’épreuve visa à mettre en valeur la façon complexe et complète avec laquelle la graine était protégée des agressions extérieures, ce qui devait assurer en grande partie la pérennité de l’espèce en question puisqu’elle était couplée à une forme en hélice du fruit qui assurait lui, une favorisation de la dispersion. Un bref coup d’œil à la pendule murale et la Septième année s’attaqua cette fois-ci au fruit du marronnier d’Inde.

Ce dernier était un fruit sec déhiscent que les livres de Pénombre disaient s'ouvrir par trois valves. La paroi du marron d’Inde était une capsule arrondie à coque épaisse, charnue, coriace et hérissée d’épines molles contenant en général une seule graine avec avortement des autres : le marron. Le problème résidait dans le fait que l’Anglaise n’avait strictement aucune idée de la manière dont pouvait bien se disperser la graine et que le temps lui manquait pour étudier convenablement toutes les possibilités envisageables afin de trouver la plus probable. Tout ce dont elle avait connaissance se résumait à la multiplication par semis. Lorsque les graines devaient être semées aussitôt après la récolte ou mises en stratification jusqu'en avril de l’année en cours. Elle savait juste qu’on les repiquait en pépinière à la fin de l'année de semis mais ignorait toutefois les moyens naturels de dispersion de l’espèce, ce qui la contrariait notablement. Peut-être les graines étaient-elles capables d’hiberner jusqu’à ce que les conditions d’éclosion soient optimales ? De toutes évidences, ce n’était pas grâce aux animaux qu’elles pouvaient étendre leurs lieux de vie car contrairement à la châtaigne, le marron d’Inde était toxique. Peut-être par l’eau alors ? Certains arbres situés près d’elle utilisaient effectivement cet élément pour disperser leurs graines, ces dernières y tombaient et y flottaient ensuite jusqu'à atteindre une berge de terre favorable. Si elles étaient assez chanceuses, elles accostaient un endroit qui leur convenaient et y poussaient ensuite. Le cycle pouvait reprendre. Pénombre coucha ses hypothèses sur son compte rendu en espérant gagner tout de même quelques points pour ses idées d’une logique acceptable.

Ayant déjà procédé à la description préalable du fruit, la Sang Pur passa directement à la prise photographique. Son premier cliché décrivait la capsule loculicide du marronnier au début de son ouverture où l’on pouvait observer la graine à la surface lisse et luisante, brun rougeâtre, séparée du péricarpe par plusieurs membranes qui représentaient les cloisons des trois carpelles. La zone cicatricielle claire, l’hile blanchâtre correspondant au point d'insertion de l'ovule n’y était guère visible.

A.S.P.I.C. Botanique Marron-fruit

Le Blason Vert et Argent devait ensuite procéder à la section exigée de son fruit. S’emparant du couteau qu’elle avait au préalable nettoyé d’un nouveau Tergeo, elle s’appliqua à maintenir immobile son sujet d’études sans se blesser sur les pics impressionnants de la bête. Plusieurs minutes de manipulations lui furent nécessaires avant que le bruit mat de son couteau sur la planche à trancher ne résonne macabrement dans la salle d’examen silencieuse. Pénombre passa les doigts sur la plaie ouverte, parfaitement nette et remarqua ainsi que la cavité du fruit était formée de plusieurs loges, les carpelles, dont une seule contenait la graine.

A.S.P.I.C. Botanique Marron-coupe

La sorcière attrapa ensuite un nouveau spécimen de marron, l’extirpa péniblement de sa coque protectrice aux dangereuses pointes et photographia la graine en tâchant de valoriser la partie blanche correspondant au hile, qu’elle avait remarqué aux toutes premières ébauches d’études.

A.S.P.I.C. Botanique Marron-graine

Puis, la Serpentarde s’accorda à répondre à la seconde partie de son examen, mettant artificiellement en scène les quatre étapes classique de l'ouverture de la capsule du marronnier, qui favoriserait donc la dispersion des graines. Craignant d’abimer son dernier spécimen en utilisant la Magie, la Ténébreuse sépara manuellement les trois valves formant la capsule et observa au creux de l'une d’entre elles, les trois loges carpellaires dans lesquelles se trouvaient des ovules non fécondés. La candidate aux A.S.P.I.C.S. photographia patiemment l’ensemble.

A.S.P.I.C. Botanique Marron-dissect1 A.S.P.I.C. Botanique Marron-dissect2 A.S.P.I.C. Botanique Marron-dissect3 A.S.P.I.C. Botanique Marron-dissect4

Puis, s’intéressant cette fois à la graine contenue dans le fourreau végétal, la petite amie d’Ultan Bower compléta ses descriptions de la première partie de son épreuve, sous l’intitulé ‘Morphologie externe du marron :’

A.S.P.I.C. Botanique Marron-graine2

Procédant ensuite à l’ablation du précieux tégument protecteur, la Vipère mis cette fois en évidence la radicule et les deux cotylédons avant de prendre de nouveau une photographie du fruit, qui l’espérait-elle, appuierait son exposé de façon appréciable.

A.S.P.I.C. Botanique Marron-embryon

Une dernière image d’une coupe longitudinale passant par l'axe de la radicule lui permit de valoriser le fait qu’il n'y avait pas d'autres tissus à l’intérieur que l'embryon : La graine était exalbuminée.

A.S.P.I.C. Botanique Marron-coupe2

La Capitaine de l’équipe de Quidditch acheva finalement son feuillet concernant le marron d’Inde en prenant le temps et le soin de requérir à un schéma explicatif sur le sujet, afin de poser ses conclusions.

A.S.P.I.C. Botanique Marron-s

Le titre qu’elle inscrit en tête de son illustration s’exposait clairement et nettement sur la texture granuleuse de son support ‘Développement du fruit du marronnier’. Sa partie A expliquait qu’à l'origine, l'ovaire était composé de trois carpelles soudés et qu’il existe six ovules à placentation axile. Dans la représentation B, elle notait qu’un seul uniquement se développerait en graine. Enfin, dans la dernière partie de son résumé, l’ancienne Championne du Tournoi des quatre sorciers parlait de la fin du développement de la graine, au cours duquel le marron prenait finalement toute la place dans sa loge. Les deux autres loges carpellaires avortées seraient fatalement aplaties sur les côtés.

La septième année prit également grand soin d’annoter son schéma comme non ontogénique et ne respectant pas les proportions observées.

Son ultime illustration concernant le marron d’Inde détaillait la déhiscence de la capsule du marronnier. Car bien qu'une seule loge ne se soit développée, la déhiscence s’effectuait par trois fentes situées au milieu des loges (déhiscence loculicide) et les parois de ces dernières non développées constituaient finalement des membranes entourant partiellement le marron. Elles le protégeaient donc d’autant plus des intempéries extérieures.

A.S.P.I.C. Botanique Marron-dehis-s
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MessageSujet: Re: A.S.P.I.C. Botanique   A.S.P.I.C. Botanique EmptyMer 27 Mai - 21:04:42

Plus qu’une demi-heure avant la fin des épreuves, Pénombre avait pris trop de retard. S’activant nerveusement, elle entreprit de détailler brièvement la morphologie externe de la châtaigne avant de rendre sa copie.

Son premier reflexe fut de prendre le cliché d’un groupe de bogues en place, uniquement séparées de la branche. Et tandis que cette dernière représentait les bractées d'une inflorescence femelle, en général de trois fleurs, la structure allongée était, elle, une inflorescence mâle. La Septième année se hâta de prendre en photographies les trois étapes de la déhiscence d'une bogue en notant que l'ouverture s'effectuait par quatre fentes et que l'on pouvait discerner à l’intérieur trois akènes, châtaignes, qui seront ensuite libérées. Le fruit du châtaignier était donc formé par une cupule provenant des bractées de l'inflorescence et contenant les châtaignes, chacune un akène, c'est à dire, un fruit sec indéhiscent contenant une graine.


A.S.P.I.C. Botanique Chataignier A.S.P.I.C. Botanique Chataignier-inflo

A.S.P.I.C. Botanique Chataigne-dehisc1 A.S.P.I.C. Botanique Chataigne-dehisc2 A.S.P.I.C. Botanique Chataigne-dehisc3

L’ancienne Championne du Tournoi des quatre Sorciers photographia ensuite une bogue ouverte afin d’appuyer le côté protecteur, en faveur de la pérennité de l'espèce, de la coque d’un geste rapide et précis :

A.S.P.I.C. Botanique Chataigne-bogue

Enfin, elle s’appliqua à cibler la pointe représentant le reste des stigmates des carpelles.

A.S.P.I.C. Botanique Chataigne-fruit

En enlevant le péricarpe coriace, brun et brillant, la Brune aux yeux clairs découvrit la graine farineuse et de goût délicat, recouverte par son tégument mince ainsi que par les restes de l'endocarpe pelucheux. De la même manière que la fraise, le fruit était certainement dispersé grâce à la participation de la faune ambiante car la châtaigne était en effet un met des plus appréciés. Il lui était aisé d'imaginer des animaux trouvant dans ces fruits, une riche source de nourriture. Le processus de digestion s'occuperait des parties comestibles du fruit, laissant les pépins ainsi que les noyaux intacts. Ceux-ci se retrouveraient alors dans les excréments de ces bêtes, souvent très loin de la plante mère. Aujourd'hui plutôt délaissée, la châtaigne fut d'ailleurs longtemps la base de l'alimentation humaine dans des régions entières. On appelait même le châtaignier « l'arbre à pain » mais aussi « l'arbre à saucisses » car les châtaignes servaient également à l'alimentation des porcs moldus, ce qui soutenait parfaitement les hypothèses de Pénombre.

A.S.P.I.C. Botanique Chataigne-pelee A.S.P.I.C. Botanique Chataigne-graine


Pénombre nota rapidement la grande ressemblance morphologique observée entre la cupule du châtaignier et la capsule du marronnier ainsi qu'entre l'akène du châtaignier et la graine du marronnier, avant de rendre finalement ses copies d'examen...



[ J'ai eu pas mal de problème à traiter la partie III dans la majorité des cas car je n'ai pas trouvé beaucoup d'informations accessibles sur le net, reliant la fleur et le fruit Sad .]
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