Comme elle n'avait pas de cours, Gabie décida de se promener dans les couloirs de l'école. Elle longeait les murs comme à son habitude car elle y aimait le manque de lumière. C'est aussi dans ces ténèbres qu'elle se met à penser.

*Pourquoi est-ce que je suis à Serpentard? Il est vrai que j'aime le noir, que j'ai de l'ambition, que je longe les murs, que ma famille est de sang pur, que j'ai eu la vie difficile... Mais vraiment pourquoi m'envoyer dans une maison pleine de préjugés et qui suit les légendes comme-ci c'était le livre de la conduite de toutes personnes? Voldemort et ses idées racistes, il peut aller où je pense car il rend ma vie encore plus difficile! Si je suis à serpentard, serait-ce parce que je suis ce qu'aurais dû être la maison de serpentard sans un fou à lier qui dirige ses idées?*

Elle s'arrêta quand, tout à coup, elle entendit des pas dans le couloir sombre. Une de ses camarades de classe apparue à l'autre bout de l'étroit passage. Elle ne semblait pas d'humeur à être agréable. Alors, Gabie décida d'accélérer le pas pour éviter les foudres de la fille. Lorsqu'elle entendit "Drusiella, regarde moi cette petite vermine et fausse Serpentard.", elle savait qu'elle ne pouvait pas lui échapper. Elle attendit donc que l'autre fille dise quelque chose.

Dans les couloirs d un grand labyrinthe, les cachots un endroit ou on pouvait se perdre facilement,
une filette a la chevelure couleur blé qui lui tombait sur les épaules. Ses meches blonde dégradées de
sa coiffure longait son visage rond. Ses paupieres semblaient lourdes, qu on voyait a peine son regard
bleu métallique. Elle avait de petites cernes sous les yeux. Des gouttes de sueur sur le front qui
avait cristalisées. La sorciere venait juste se réveillée, on pouvait se demander si elle avait bien dormit.
Son teint était devenu plus bleme que d habitude. La nuit précédente, elle n avait pas montée dans
son dortoir, elle n aimait pas vraiment monter ses escaliers car elle devait dire bonne nuit
a Ethan Mathnik son petit copain. Pendant cette nuit, elle s était endormit contre lui sur le canapé,
entourer des bras du jeune Serpentard. Le couple s avait trouver une couverture de laine pour
se couvrir laissant les dernieres etincelles du feu s eteindre dans la cheminée. A son réveil,
le salon était invahit par les serpents qui les dévisagaient avec leur yeux presque sortient de leur orbite.
L un d eux, ressemblait a un poison avec la bouche grande ouverte, son regard d acier figé sur
la belle et la bete. Il s agissait de Drago Malefoy, le cousin de la premiere année. Le jeune blondinet, l héritier
d une famille trés noble et respectée, la famille Malefoy devait penser toutes sortes de scénario qui lui traversait
l esprit.Drusiella se relevait devant la vue de tous, portant une longue chemise bourgone qui descendait en
bas de ses genoux. Les manches étaient retroussées et les premiers boutons détachés. On pouvait appercevoir
le bas de ses jambes. On entendait un petit ronflement suivit d un sifflement qui provenait du canapé.
Le jeune homme dormait encore cherchant la couverture d une main pour se recouvrir. Drusiella eut un petit
rire amusé voyant son gros ourson endormit comme un gros bébé. Elle prenait le bout de la couverture la serrant
dans la paume de sa main, puis elle longait le corps d Ethan pour le couvrir car il n était quant calcon.
En effet, il s avait mit a l aise car il ne douterait pas que les camarades de sa maison allaient le surprendre
de cette maniere. Quelques vetements trainaient, pres du meuble qui leur avait servit de lit. Des Livres
de la bibliotheque étaient ouvert, trainaient un peu partout par terre, sur la table de chevet.
On pouvait avoir appercevoir la couverture noir d un manuel avec un titre doré inscrit les creatures malefiques
au pied d une patte de la table.

La verte et argent s avancait vers la foule qui les observait, s arretant juste a coté de Drago.
Elle glissa ses doigts fins sur la joue de son préfet. Elle lui tappait doucement la joue pour
qui est une petite rougeur. Puis elle y déposa un petit bisous suivit d un petit sourire amusé.

Ce n est pas se que tu penses ne t inquiete pas..

Elle montait dans le dortoir des filles se vetir en l uniforme des Serpentards,car elle allait
quand meme se promener avec un vetement de son copain dans les couloirs du chateau, imaginez les rumeurs.
Une jupe grise,de longs collants qui montaient jusqu aux genoux, une chemise blanche qu elle laissait
legerement dépassée mettant par dessus une veste sans manche avec le blason de sa noble
maison. Un ecussion avec un fond vert et un serpent argenté dessiné dessus.
Devant un grand miroir a la glace ronde qui flottait, pres du lit en balaquin de la jeune
fille. Elle regardait son reflet qui était d une tres grande beauté car depuis des generations
les dames Rosier étaient de subblimes creatures. Elle attachait sa cravate rayé aux couleurs de
sa maison autour du collet de sa chemise. Puis elle redescendait, dans sa salle commune pour
aller faire sa petite tournee habituelle. La reine noire de son club, elle, cherchait du gibier a se
mettre sous la dent car elle n avait pas encore déjeuner. L heure du déjeuner était dépassée car elle avait
dormit trop longtemps au chaud. Elle jetait un dernier coup d oeil a son amour qui dormait encore,
il semblait épuisé, le pauvre! Avant de quitter la salle commune, elle s approchait de lui pour prendre
son bras qui était entouré d un bandage, qui pointait vers le sol pour le cacher sous la couverture de laine.
Drusiella quittait enfin sa salle commune pour aller a la chasse. Elle quittait l antre des serpents montant
l escalier lugubre et froid. Elle visitait les couloirs, saluant ses camarades qu elle croisait. Tout a coup,
elle entendait son prenom. La premiere annee levait son regard, en la direction de Narcissa Bodom une
camarade de son année qu elle admirait beaucoup pour son caractere. Elle marchait de sa demarche
hautaine et s avancait vers Narcissa. Du coin d oeil, elle avait remarquée une autre fillette, celle ci
semblait pressée de les fuir. D un mouvement imprevisible de la part de la descendante des Rosier,
elle avait sorti sa baguette d une grande souplesse avec du bois de rosier et un cheveu de velane d une
des poches de sa jupe.

Jabencoton

S ecria t elle avec une voix haute mais a la voix avec beaucoup de haine. Un rayon de lumiere violet
sortait du bout du morceau de bois. La lueur foudroyait Gabie Fangus. Ses jambes se mettaient soudainement
a trembler, elle commencait a perdre l equilibre car ses jambes devenaient molle comme un chiffon.
Elle était a la merci de Miss Rosier.

Tu parles d elle Narcissa?

Drusiella était a quelques centimetres a présent de sa proie. Elle pointait sa baguette sous la gorge de Gabie.
Elle appuyait son arme contre le bas du cou pour la pointe de son baton s enfonce dans la gorge.
De la paume de sa main, sous le menton de Gabie elle soulevait la tete de la traitre de sa maison.
Les prunelles de son regard bleu plongaient dans les yeux de son adversaire. Son regard était
cruel et sans pitie. Un sourire au coin de ses levres était satisfait. Puis elle lui crachait sa salive en plein
dans le visage.

On n accepte pas la vermine dans ton genre dans notre maison...

Elle s eloignait legerement du gibier, qui était encore sous le charme du sort, elle lui tournoyait presque le
dos, puis elle prenait son élan pour finalement donner un coup violent de coude dans le bas du ventre de Gabie.

Premierement sache que je ne tournerais jamais le dos a mon ennemie

Puis elle lui faisait face de nouveau, la regardant se tordre de douleur plier, les mains sur son ventre.
D un mouvement brusque de main elle attrapait sa tignasse de cheveux noirs les tirait de toutes ses forces
tout en obligant la proie a aller vers le sol. Elle attendait que son nez touche les dalles froides
du couloir avant de la lacher et lui mettre un coup de pied a la meme place que le coup de coudre.

Tu as mal? Tu sais la douleur est une étape avant la mort! Tu sais j ai jamais voulue te blessée
j ai seulement voulue te donner une lecon car tu salis le sang pur que tes parents t ont donnés
en frequentant avec des sangs de bourbes.

Une main de la victime était posée sur le plancher glacial. Drusiella déposait son pied dessus
en mettant son poid pour écraser les doigts de Gabie sous son soulier.

Si jamais tu racontes se qui c est passé dans ce couloir a ce vieux fou qui accueil les vermines
dans le college je te promet qu on va se recroiser mais cette fois, ton sang va coulé... car tu

Elle s accroupit d elle, approchait ses levres du creu de l oreille de Gabie pour lui murmurer un
secret de sa voix sifflante.

Tu vas rencontrer Ethan Mathnik mon petit copain... souvien toi de ce nom c est ton futur cauchemar..

Puis elle se relevait avec un sourire cruel aux levres.

Elle est a toi Bodom amuse toi bien avec elle...

Drusiella serrait toujours sa baguette dans sa main car il ne faut jamais sous estimé l ennemie.
Puis elle pointait un doigt vers Gabie.

Sache que je te surveille...

Même si elle se sentait blessée dans son estime, Gabie savait attendre. Elle avait vécu plusieurs fois cette situation dans son enfance, alors elle savait attendre le moment opportun. Lorsque Rosier s'en alla, Gabie décida de surprendre Bodom. Elle savait pertinemment bien que les Serpentards étaient trop fières pour tourner le dos à leurs ennemis. Quoiqu'il y ait parfois quelques exceptions. Gabie avait une botte secrète : elle avait sa baguette dans la main. Rosier avait fait les erreurs d'oublier de vérifier si elle avait la baguette et d'oublier de lui lancer un sort pour qu'elle ne puisse pas parler. Alors que Bodom ne s'y attendait pas, Gabie marmonna un sort.

Wingardium Leviosa!

La statue derrière Bodom bougea avec une cacophonie effroyable. Bodom se retourna et poussa un cri de stupeur. Devant elle se dressait la statue du Baron Sanglant dans toute sa splendeur. *HS: il fallait un nom* Profitant de cette diversion, Gabie lança un nouveau sort.

Rictusempra!

Bodom commença à rire sans s'arrêter. En fait, il n'y avait que des rires qui sortit de sa bouche. Gabie parla douloureusement :

Tu ne dois pas sous-estimer ton adversaire! Je n'arrive pas à y croire que vous êtes prêtes à faire des choses pareilles. Vraiment, vous tombez bas dans mon estime.

Sur ce, Gabie partit dans la direction opposé de Rosier. Elle boîtait et avait de la misère à respirer. Elle longea les murs pleins de toiles d'araignées dans l'espoir de trouver une porte, n'importe laquelle. Dix minutes plus tard, elle se retrouva devant une porte d'un noir d'ébène. Elle tourna la poignée mais malheureusement elle était barrée. C'est alors qu’elle s’est souvenue d'un sort dans le livre Milles et Un Charmes.

Alohomora!

La porte s'ouvrit sur son nez, mais elle retient l'obscénité qui aurait dû sortir de sa bouche. Elle ferma la porte, la barra et sombra dans l'inconscience dû à la fatigue.