Le Deal du moment :
Sortie PlayStation 5 Pro : où ...
Voir le deal

Partagez
 
 Alison Basley (Serpentard)
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
  • Invité
  • Invité
MessageSujet: Alison Basley (Serpentard)   Alison Basley (Serpentard) EmptyLun 28 Juil - 13:41:56

[Serait il de changer mon nom actuel en "Basley" ? Meurchi niarkhéhé ]

« Tu auras le droit à la vie trépidante du professeur Binns
- Douce somnolence... »


Devant tant d'optimiste frénétique et plein d'un irréfutable manque d'entrain, la fillette ne parvint qu'à lâcher du bout des lèvres, irritée et dédaigneuse a l'égard de ses pompeux aînés un « chouette » des plus éloquents, relevant à peine les yeux de l'ouvrage imposant posée devant ses joues rosie par l'été et constellée de ses traditionnelles et invariables tâches de rousseur mordorées, haussement résolu d'épaules. Contrairement à d'autre ou plus exactement à une certaine et imposante majorité de la communauté sorcière, la rouquine n'avait pas la moindre envie ni l'étoile brillante et puérile dans le regard à l'évocation seule du nom, d'aller a Poudlard. Baver devant les conseils d'érudits chevrotants lui semblaient d'une monotonie épouvantable et d'un classicisme affligeant, au milieu d'une masse d'élève bêlants, de verts et argents roulants pompeusement des mécaniques et de pouffys incapables qui jacasseraient a la manière des pies à chaque enseignement un peu original. Les explications seraient mornes, les épreuves théoriques certainement en binôme et l'idée d'avoir a supporter un de ces serpentards pédants ou encore une adolescente au cerveau proportionnellement réduit et aux sujets de conversation aussi inintéressant que le dernier garçon repéré en sortant du train lui arrachaient un soupire résigné. Autant dire que l'année se montrait à ses yeux pessimiste comme une suite de rencontres fructueuses confrontant pimbêches écervelées et l'exemple atypique du Petit Con Arrogant. Le sigle sonnait bien et le malheur voulait que l'espèce prolifère dans les espaces scolaires. Lorsque ses doigts avaient habilement ouvert l'enveloppe, elle avait eu un vague sourire de première instance devant la confirmation de ses pouvoirs avant de poser nonchalamment le papier administratif dans un coin et de ne plus y penser. Son esprit avait été occupé par toute autre chose que des espoirs stupides et sans intérêts notoires et elle avait jugé l'incident clos jusqu'à l'achat des fournitures scolaires necessaires.

Joyeux bruit que celui des pas qui trépignaient sur les pavés de la large et imposante avenue commerciale, le frottement des capes des passants le long des boutiques de briques décrépies aux façades mornes, le glissement des averse sur les gouttière métalliques qui contournaient les magasins de potions et d’antiquaires miteux où stagnaient l’odeur acerbe et âcre d’ingrédients a la péremption singulièrement douteuse. Douce mélodie aux oreilles d’une fillette qui jetaient des regards discrets aux étalages et enfournait sans humeur les livres imposées dans les sac de toiles ensorcelées, un sourire poli a défaut d’amical à l’égard d’un vendeur un peu plus aimable que les autres. Car oui voyez vous, la petite Alison aurait trouvé tout à son compte une étude assidue magique à domicile, convaincue que les livres lui offriraient des services bien meilleurs et crédibles que les blablatations sempiternelles d’un vieil homme boitillant et d’une sorcière aigrie par un manque virulent de sociabilité. Seulement depuis des générations de Basley, du moins dans la branche sorcière maternelle, on allait à Poudlard et on en ressortait examens au fond d’une poche humide de crapaud et de sortilèges, de plaisanteries magiques douteuses et d’objets ensorcelés tout ce qu’il y a de plus interdit. Ses deux frères étaient allés l’un comme l’autre dans l’académie de Grande Bretagne et malgré sa décente affirmation
« mes frères sont tous des crétins congénitaux », nul doute que l’enseignement magique des professeurs de la vieille école leur avait beaucoup apporté. Aussi gente dames et damoiseaux, la petite rousse s’était hissé dans un effort que son statut de lève tôt ne rendait pas incommensurable le matin même d’un imminent départ, quittant des draps réparateurs non sans une pointe de regret en songeant à l’agitation bruyante de conversations ridiculement axés sur les mornes aventures d’une bande de filles pulpeuses aux mèches décolorées. Un petit déjeuner rapide a l’anglaise avait suivit dans l’heure, l’estomac placide de la fillette comblé par une part généreuse de toast, tradition dans toute sa splendeur.

Comme tous les élèves de onze ans, Alison était arrivé le long du quai encombré en compagnie de parents confiants et radieux dont un père dénudé de pouvoirs magiques aux yeux grands ouverts malgré la répétition du geste devant les cages contenant chouettes et hiboux, emplissant la voie de piaillements suraigus, toussotant discrètement sous l’épaisse fumée se dégageant âprement des rails et de la voix bourrue de plusieurs sorciers en cercle commentant les dernières nouvelles du monde des sorciers. Andromeda Basley était une femme tout en rondeur mais dont la petite taille et la silhouette un peu replète allait tout simplement bien, dégageant une chaleur massive sous des yeux de porcelaine dépeinte. Elle dégageait une impression certaine de puissance sous ses cheveux flamboyants coupés court et son teint blanc d’anglaise. Mais surtout, elle était la branche sorcière de la famille et connaissait Poudlard et son enceinte là ou Philius Basley nourrissait de profondes et inconditionnelles lacunes. Lourde valise derrière elle, la fillette traînait du pied, jetait des regards acerbes et critiques aux élèves de son âge dont elle sentait les défauts a des kilomètres. Oh, n’allez pas croire que la rouquine était convaincue qu’elle était parfaite, loin de là. Mais ses défauts lui semblaient moins important que ceux des autres et si nul doute que la demoiselle était un poil hystérique sur les bords, sa fierté studieuse, sa minutie consciencieuse et son côté très critique lui étaient bien moins lourds que la pédanterie surdimensionné, l’ego dépassé et les jérémiades des filles et des garçons de son âge d’un insupportable classique monotone. Et bien oui : espèce nouvelle autant en voie prolifération que les petits cons : la masse bêlante des pimbêches, redoutables et potentiellement stupides, repérables grâce a leur veste trop courte, leurs couleurs vives et leurs bouches en cul de poule trop maquillée du haut de leur dizaine d’années.


« Tu m’enverras des lettres par hiboux postaux papa » expliqua la fillette avec la patience des adultes face a un jeune enfant incompréhensif devant les interrogations anxieuses de Mr Basley, s’interrogeant mollement sur le bien fondée d’avoir pris à sa fille un rat plutôt qu’un hiboux, bien plus pratique a l’exception du côté original et d’un transport bien plus aisée. Calmons donc les attitudes d’un paternel en surnage était donc devenu l’un des objectif numéro un et se dérober aux virulentes étreintes d’une mère attristée le second. Quand on avait onze ans, on tenait a sa fierté et les bras ballants parentaux n’étaient certainement pas exempte d’une source inutile de gêne. Entrer dans ce train branlant et enfumé était suffisamment désagréable, pas la peine de rajouter une couche écoeurante de sentimentalisme pour parfaire le tout alors un bisou sur chaque joues droite et gauche et le mot fin lisible sur le visage aux tâches de rousseur. Bref, la silhouette frêle et menue avait bondit dans le train, tirant la valise derrière elle sous le coup de sifflet tonitruant qui aurait arracher une grimace amère a n’importe quelle Alison Basley de passage tandis que les lourdes portes a battants coulissaient et se fermait hermétiquement aux agaçants courants d’air persistants dans l’activité du train. Le rat blanc sur l’épaule, la fillette jouait a présent des coudes et des mains pour se frayer un passage dans la quête d’un compartiment vide, chose pentue qui se révéla au bout de maintes heures, ou plutôt minutes de discorde, tout simplement impossible et rehaussa le prompte agacement de l’excentrique fillette. Et certainement la petit rouquine aurait elle camper dans le couloir si Mr Tudder – l’énorme rat blanc acheté quelques jours plus tôt – n’avait pas eu la brillante idée nourrie de roman d’aventures de sauter allégrement de l’épaule de la demoiselle et de se faufiler gaiement entre les pieds des quelques élèves passants le long des murs.

Mr Tudder. Peut être un jour aurez vous le droit au récit passionnant de la vie de ce rat aux proportions inquiétantes. Pour l’heure, la fillette avait laissé choir la valise tel la baleine échouée et d’une démarche vive criait le nom de la bestiole à plein poumons, bousculant par mégarde le chariot à friandises et trouvant au rongeur des qualificatifs a l’étonnante imaginative ! Loin de réfréner sa course, les pattes agiles de Mr Tudder dévalaient la pente des wagons de plus belle et disparut bientôt hors de vue de la fillette haletante qui pestait contre l’animal, les gens et le monde en général.


« Hey toi ! Oui toi le p’tit gros ! Ouvres un œil et ne me regarde pas avec cet air de cachalot au bord de la décrépitude ! Tu n’aurais pas vu un rat blanc ? Avec une tâche noire sur la patte droite en train de longer les murs ? » Il était vrai que l’agressivité n’était peut être pas de mise envers le malheureux un peu rondelet dont les yeux de merlan frit lorgnait une fillette essoufflée par sa course, les cheveux en bataille, la mine revêche et la langue bien pendue au manque cruel de délicatesse soit Alison Basley. Mais revenons en à nos montons lorsque, s’apercevant que le gros garçon ne fournirait aucun élément de réponse convaincant, elle s’était laissée choir a ses côtés avec un soupire de désespoir. Pas franchement pour Mr Tuddle auquel elle n’avait pas franchement eu le temps de s’attacher mais plutôt en songeant aux précieuses mornilles a demander au paternel qui voulait lui inculquer depuis des années la valeur de l’argent. Elle avait donc passé le reste du trajet assis dans un compartiment, se levant pour récupérer la lourde valise posée désormais à ses pieds avec pour seul locataire un gros garçon qui avait passé la plupart de son temps a s’empiffrer de friandises et de bonbons, offrant a la fillette tout le loisir de se demander quand l’énorme ouverture béante appelée « bouche » imploserait.

Et puis oh joie et délivrance ! On avait aperçut entre deux ronflements compatriotes du gros garçon les imposants murs du château. Si la fillette n’était pas franchement ravie d’avoir a partager son dortoir avec une bande de fille braillarde, elle allait être délivrée de la pesante attente qui mettait a rude épreuve ses trésors de patience et de persévérance t les cours donnés le lendemain auraient le joyeux timbre de la sortir de l’ennui et lui éviter le regard bancal de deux garçons qui se passaient obligeamment la main dans les cheveux. Elle avait docilement suivie le guide crépu qui leur avait indiqué le chemin et soupirer devant la myriades de compliments à l’unisson lancés par deux filles qui se tenaient joyeusement la main, raillant leur portrait idyllique par une remarque innocente avant de repartir dans ses pensées. Le portail avait fait face a la salle vastement décorée et désireuse de passer à quelque chose de plus intéressant qu’un banal sort faisant planer les lustres avait accélérer la cadence de sa marche.


« Oh regardes ! C’est le choixpeau là bas, au fond ! Il est tellement…
- miteux… »

Noms qui passent et défilent, la fillette rousse observait du coin de l’œil les allées effrayée de quelques élèves, la démarche fière d’autre et lorsque son nom, rapidement prononcé dans tout la magnificence du B majuscule, fut lancé dans les airs, elle adopta des pas mesuré, prudent mais qui se voulait résolument décontracté. Dire qu’elle n’avait pas peur aurait été mentir sous son ton résolument fier et placide, comme toute adolescente normale.

« Bon allez. C’est toi qui m’envoies dans ma maison hein ?! Pourtant tu as l’air vieux, moche et… En tout cas, pas serpentard, il suffit de voir tous les prétentieux envoyés là bas et ça ne m’étonnerait pas que leur cerveau soit aussi étroit que celui d’un boursoufflet… Et les pouffsouffles, avec leurs grands yeux de chien battus, on a l’impression qu’il porte le poids du monde sur leurs épaules… Les gryffondors, les filles ont toutes l’air de pimbêches insupportables et serdaigle, ils tirent une tête de strangulot incompris ! »
Revenir en haut Aller en bas
  • Invité
  • Invité
MessageSujet: Re: Alison Basley (Serpentard)   Alison Basley (Serpentard) EmptyLun 28 Juil - 14:53:46

Hummm....


J'hésite beaucoup...


Aucune maison ne te convient ?


Tu es bien difficile....


Cela dit je te verrais bien à...


SERPENTARD !!!


PS : Très jolie fiche bravo à toi ! j'espère que tu passeras de bons moments sur le forum.
Je change de suite ton nom.
Revenir en haut Aller en bas
 Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

 Sujets similaires

-
» Amy Märkel (Serpentard)
» Wat Daragon (Serpentard)
» Saï Suzuhara (Serpentard)
» Dorian Steel (Serpentard)
» Lya McMillan (Serpentard)

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Le Miroir du Riséd :: Accueil :: Personnages :: Présentation des personnages :: Fiches Acceptées-