|  Sujet: Chambre de Bellatrix Lestrange  Lun 19 Nov - 17:31:01 | |
| FLASH-BACK « Une chambre pour Bella,
Et voilà plus de tracas,
On oublie les petits soucis
Bella a été choisie. »C’est en chantant cette chanson que Bellatrix entra pour la première fois dans sa chambre, et depuis elle avait installé un mot de passe qui consistait à réciter ses quatre vers pour prouver qu’elle était bien elle. Mais parfois vous vous en doutez, elle entrait chez elle par effraction faisant sauter le verrou magique avec de grands sortilèges, tout cela parce qu’elle n’était pas en état de s’amuser à fredonner un petit poème.
La pièce était jadis vide, mais quelques années après elle serait pleine de photographies de sorciers de sa famille, tous ceux qui lui avait donné l’envie de devenir ce qu’elle était, et donc en premier lieu, Sirius, son indigne de cousin qui avait rejeté les principes familiaux, pour rester avec cet imbécile de Potter dans le clan de Dumbledore, alors que toute la famille dont il descendait avait depuis longtemps voué une passion pour le Seigneur des Ténèbres. Mais peu importait, un jour elle en avait la certitude elle lui enlèverait la vie, et ce d’une façon fort agréable, et puis elle festoierait sur cette victoire, pendant longtemps.
Le regard de la Belle se posa sur la pièce, elle venait d’y entrer pour la première fois et cet endroit l’avait accueilli en son sein comme un élément habituel, Bella se sentait chez elle dans cette planque pour Mangemort, plus peut être qu’elle ne l’avait jamais été à Poudlard. Mais il ne fallait pas repenser à cette période, l’innocence de jadis, et un jadis lointain je vous prie de me croire, ne devait pas déteindre sur la folie malveillante d’aujourd’hui.
La douce folle s’allongea sur le lit et s’endormit, son sommeil fut lourd de rêve, elle revoyait les maltraitances infligées à ces deux gosses et ça la faisait littéralement jouir de plaisir, quel bonheur que de donner la souffrance, c’était sûrement mieux encore que de donner la vie, pauvres folles que ces femmes qui passaient leur vie enceintes, il fallait vraiment ne pas connaître les bienfaits du sadisme, de la folie et du meurtre.Fin du FLASH-BACK |
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