*Titre de ta nouvelle : « La Maison des Sorciers »
*Présentation de l'histoire (3 lignes max, pour donner envie de vous lire...) : Cette histoire se passe dans la maison des Weasley. Une nouvelle famille Moldue a emménagé juste à côté de chez eux. Malheureusement, les Weasley a invité tout le reste de leur famille pour un grand banquet. Et tout cela ne passe pas inaperçu. Donc, la famille Weasley va se débrouiller d’une drôle de manière pour faire passer cette histoire de sorciers.
*Protagonistes : (en gros tu met quels personnages connus du livre interviennent dans ton histoire) Mme Weasley, M Weasley, Ronald Weasley, Percy Weasley, Fred Weasley, George Weasley, …
*Catégorie : (cf. en bas) Autre : Autre de l’école
*Genre : (cf. en bas) Humour/Aventure
* Nombre de chapitres : non fondé
*Complet : (non)


Chapitre 1 : « Lettres de la famille »

C’était un beau et ordinaire samedi pour la grande famille Weasley. Monsieur Weasley était dans la cuisine a travailler sur un projet pour le Ministère, Madame Weasley, elle, s’occupait de la vaisselle et Percy travaillait dans sa chambre. Les quatre autres enfants de la famille se trouvaient dans le jardin. Ginny était avec son frère aîné, Ron, qui s’amusait à piquer avec un bout de bois un gnome. Sa petit sœur, effarée, n’arrêtait pas de lui crier dessus pour qu’il arrête. Mais le jeune homme ne le fit pas pour autant. Il continua, un petit sourire aux lèvres. En attendant, les deux jumeaux, Fred et Georges, se baladaient dans le pré environnent. Il rigolait de tout et de rien, comme à leur habitude. Le sujet principal était le fait que leur meilleur ami, Lee Jordan, allait venir chez eux une semaine plus tard. Il avait hâte de ce moment, car c’était à cette période que Percy passait un examen pour rentrer au Ministère. Bien sur, ils étaient fous de joie à l’idée qu’il pourrait l’embêter pour un événement si important !
Alors qu’ils parlaient de ce magnifique moment de complicité contre leur frère aîné, une chose attira l’attention de Fred. Une magnifique chouette se dirigeait vers la maison Weasley. Fred donna un coup de coude à son frère et lui dit :

« Eh ! George ! Cette chouette, elle n’appartiendrait pas à tante Genièvre ?

George regarda dans la direction de Fred et dit, lui aussi ébahis :

-Je le crois bien ! J’espère qu’il n’y a pas de paquet avec ! La dernière fois qu’elle nous a envoyé quelque chose, c’était une boite de chocolat à la guacamole ! Beurk ! J’en frémis encore !

Fred leva les yeux au ciel avant de tendre le bras, comme pour appeler la chouette. Celle-ci vint se poser sur son bras et picora dans la main de Fred, pour lui demander à manger. Mais Fred ne lui donna rien. Il la tendit à George qui la prit sur son bras et commença à lire la lettre qu’il venait d décrocher de la patte de la chouette :

« Ma chère sœur Molly,

Cela fait bien des années que notre petite famille ne sait pas retrouver complète. Notre famille se sent si consterné de se long moment de détachement, qu’elle a décidé de se retrouver ! Bien sûr, toute ta famille, tes enfants et ton… mari sont invités ! Ce grand festin se déroulera le vendredi 14 août, chez notre bonne mère.
Avec une grande hâte de te revoir, ma chère sœur,

Ta grande sœur préférée, Genièvre. »

Dès que Fred eut finit de lire la lettre, George s’exclama :

-Quoi ?!! Toute la famille de Maman ?! Ca fait beaucoup !! Heureusement qu’ils ne font pas la fête chez nous !!

Fred leva les yeux au ciel et se dirigea, avec son jumeau, vers la maison familial.


Quand ils arrivèrent, ils trouvèrent Ginny et Ron qui se disputaient pour un pauvre petit lutin des champs à moitié épuisé de ce chahut. Quand les jumeaux passèrent devant eux, Fred attrapa le lutin et le relâcha plus loin. Ron gronda et lui cria dessus :

-Pourquoi t’as fait ça ? Tu ne vois pas que Ginny le voulait ?!

Celle-ci le tapa sur le sommet du crâne pour le punir. Mais, sans un son, George leur fit signe de les suivre. Quand les quatre enfants entrèrent dans la maison, Monsieur et Madame Weasley étaient entrain d’écouter un discours de Percy à propos de son travail au Ministère :

-Donc… Le Ministre veut bien m’accepter comme assistant temporaire au bureau du Ministère. Un grand honneur pour une jeune personne comme moi qui vient juste de finir ses années d’études. J’acceptes donc de…

Il venait de remarquer la présence de ses frères et sœur. Monsieur et Madame Weasley se retournèrent vers eux et Madame Weasley leur demanda :

-Pourquoi ces petites mines ? Les enfants, vous êtes malades ?

Les jumeaux leurs répondirent que non, puis se placèrent devant toute la famille. Ginny alla s’asseoir à côté de son père et Ron à côté de sa mère. Puis regardèrent les jumeaux. Ceux-ci se regardèrent dans les yeux, puis George commença à annoncer à sa famille :

-Chers parents, frères et sœur, nous avons une annonce à vous faire. Quand nous nous baladions, mon frère et moi, dans le pré, nous avons vu au loin…

Fred lui donna un coup de coude pour le presser et George reprit :

-En fait… nous avons reçut une lettre…

Avant qu’il ne puisse continuer, Madame Weasley se leva rapidement, le regard ébahis et inquiet, et l’attrapa par les épaules en le secouant :

-Une lettre ?! De qui ?! De quoi ?! Le Ministère ?! Qu’est ce que vous avez encore fait ?! Qu’est ce que…

Fred l’attrapa et George répondit, tout aussi ébahis qu’elle, à cause de sa réaction :

-Mais non, ce n’est pas pour nous ! C’est une lettre de ta sœur !

Madame Weasley se calma et se rassit à sa place, en soufflant, contente qu’il n’y ai pas de problème. Puis, après s’être bien calmer, elle reprit :

-Ouf ! Heureusement, se n’est rien. Ce n’est que ma… ma sœur ?! Pourquoi ?! Qu’est ce qu’il y a ?!!

Elle les regarda, à moitié effrayé de la réponse qu’ils auraient, à moitié surprise que sa sœur lui ai envoyé une lettre, après deux ans sans un mot ni lettre. George, remit de ses émotions fasse à sa mère, continua :

-Elle… elle voulait nous prévenir qu’une grande fête serai organisé au château de grand-mère. Et qu’on était tous invités.

Et là, dès qu’il eut finit, toutes les expressions se mélangèrent. Madame Weasley paraissait très surprise ; Monsieur Weasley, lui, n’avait pas vraiment l’air content de retrouver sa belle-sœur ; Percy était content, car plusieurs membres de la famille étaient de grandes personnes ; Ron n’était pas plus heureux que Monsieur Weasley, car toutes ses tantes lui pinçaient les joues tellement forts qu’elles saignaient parfois ; Ginny était assez contente, car elle aimait beaucoup ses cousines. Fred et Georges, eux, n’étaient pas contents, car ils ne pourraient pas voir Lee pendant les vacances. Ils baissèrent les yeux mollement, quand tout à coup, un drôle de bruit se fit entendre. Toute la famille se retourna en même temps. Un carreau de fenêtre venait de se briser, laissant rentrer un hibou grand duc gris dans la cuisine. Ginny se leva vivement et alla voir le hibou. Elle décrocha le bout de parchemin attaché à la patte de l’animal et l’emmena à son père, qui demandait à le voir.
Ginny lui donna et retourna s’asseoir, en attendant la réaction de son père. Celui-ci défit le parchemin et lut, en silence. Dès qu’il fut arrivé à la moitié de la lettre, son visage devint blême et pâle. Ron essaya de lire par-dessus son épaule, mais son père le repoussait.
Quand celui-ci eut finit de lire, il releva la tête et annonça à sa famille, toujours très pâle :

-Chérie, on va avoir un problème.

Il tendit le parchemin à sa femme qui le lut. Elle devint tout aussi pâle. Fred et Georges arrivèrent à lire par-dessus son épaule :

« Cher famille Weasley,

Toute la bonne et vraie famille Weasley vous invite à une grande fête organisait par notre bon père. Alors, Arthur, prend ta femme et tes enfants, vous êtes conviés à venir le vendredi 14 août, au ranch de Lionel, notre oncle bien aimé. On vous attend pour faire cuir la dinde à la citrouille.
Répondez vite !! On vous attend !

Ton vieux cousin, Jack Weasley »

Toute la famille devint blême. Un long moment de silence se posa dans la cuisine, jusqu’à que Ginny demanda, incertaine :

-A… alors… on va faire comment ? »

Chapitre 2 : « Nouveaux voisins »

La soirée des lettres était passée depuis un moment. La petite famille des Weasley essayait de s’organiser, pour savoir à quelle fête ils iraient. Ginny eut la drôle d’idée de se faire des clones mais Percy lui rappela le fait que cela était impossible à cause des règles impliquées par le Ministère. Mais avant qu’il eut fini, son père l’obligea à se taire. Alors, Fred et George eurent l’idée du siècle : inviter les deux familles chez eux. Monsieur et Madame Weasley ne furent pas d’accord au début, mais après maintes décisions, ils décidèrent d’envoyer une lettre au deux familles pour les prévenir de l’éventualité de la chose.
Alors que Madame Weasley préparait le déjeuner et Monsieur Weasley faisait la lettre pour les deux familles, les jumeaux sortirent dans le pré environnant. Comme une semaine plus tôt, quand la lettre était arrivée, Fred et George se trouvaient dans ce même pré. Les deux frères s’assirent sur un vieux tronc d’arbre et regardèrent le ciel, en parlant des anciennes bêtises qu’ils avaient fais au Poudlard :

-Eh ! George ! Tu te rappelles de la cuvette de toilette des filles ?

Son frère lui répondit :

-Oui, on l’a encore, même…

-Vraiment ?!...

-Oui, et… c’est quoi ce bruit ?!

Un drôle de bruit, comme si deux planches se tapaient lui contre l’autre, se fit entendre derrière la colline du pré. Fred se leva brusquement, en faisant rouler des pierres sous ses chaussures. Accompagné de son frère, il se dirigea vers le bruit en question.
A la grande stupéfaction des jumeaux, une construction se faisait juste devant eux. D’après ce qu’ils virent, c’était une maison de Moldue pour des Moldus. Des ouvriers Moldus, avec des casques jaunes et des habits bleus, ne les remarquèrent pas quand les frères passèrent à côté d’eux. Mais, avec des petits sourires astucieux, les deux frères se dirigèrent vers un bout de la maison. Des poutres pouvaient les cacher d’éventuels problèmes. Ils arrivèrent donc derrière la maison, toute neuve. Alors que George rigolait dans un coin, Fred percuta une silhouette noire. George arriva à côté de son frère et l’aida à se relever alors que celui-ci vit qui il avait percuté. C’était une jeune fille aux cheveux brun, avec des yeux en amande et vert. La fille devait avoir le même âge que Ron, le jeune frère des garçons. Sans perdre de temps, Fred aida la jeune fille à se relever à son tour. D’un petit bout silencieux et gracieux, la jeune fille fut sur ses deux pieds, face aux jumeaux. George, qui n’avait encore rien dit depuis un moment, prit la parole en voyant que personne ne parlait :
-Salut ! Je m’appelle George ! Et lui, c’est Fred !

La jeune fille leurs sourit et dit à son tour :

-Je m’appelle Sacha. Enchantée !

Elle leurs sourit gentiment. George lui sourit aussi mais fut très surprit de la réaction de son frère. Celui-ci rougit comme une tomate. Son frère lui donna un coup de coude pour qu’il arrête puis demanda à Sacha :

-Alors… tu… tu vas habiter ici ?

Sacha leurs sourit de nouveau, en enleva la poussière de charbon qui s’était déposée sur ses habits :

-Oui. La maison sera finie dans un mois. Elle n’en a pas l’air, mais elle se construit vite ! On dirait… de la magie !

Elle sourit au deux garçons avant de se retourner brusquement, appelé par une voix au loin. Alors qu’elle se retournait pour dire au revoir aux jumeaux, elle fut surprise de ne plus les voir. Ils étaient partis en courant, la laissant dans ses songeries.
Les deux garçons coururent le plus vite possible vers le Terrier, sans cessait de penser à cette nouvelle maison et fille. Juste avant d’arriver chez eux, George attrapa le bras de son frère et lui demanda, avec un sourire aux lèvres :

-Alors ?! Pourquoi t’es partis comme ça ?! La pauvre ! Tu as posé un lapin, c’est méchant !

Fred tira le bras pour que son frère le lâche et continua sa course sans dire un mot. George, toujours un sourire aux lèvres, sortit sa baguette et lança un sort de Jambencoton à son frère. Celui-ci tomba par terre, la tête la première. George courut à ses côtés et l’attrapa pas le col en demanda, toujours avec son sourire :

-Alors, petit frère, il n’y a vraiment rien de spéciale, tu es sur ?

Pendant que son frère se débattait, George vit Errol, le hibou de la famille, s’envolait, deux lettres accrochaient à la patte. Distrait par le hibou, George ne vit pas que son frère avait attrapé sa baguette et s’était lancé le sort pour le libérer. Il se leva, tant bien que de mal, et se jeta précipitamment sur son frère jumeaux. Celui-ci fut très surprit et tomba sous le poids de son frère. Fred attrapa le col de son frère et lui cria dans les oreilles :

-Il n’y a rien du tout !!

Il lâcha son frère et continua de marcher vers la maison. George se releva et suivit son frère en scandant, toujours avec un petit sourire amusé :

-Fred a connu une fille, Fred a connu un fille, Fred a connu une fille, et, et, et…

Il ne finit pas parce que son frère se jeta de nouveau sur lui et ils se débâtir en rigolant, ou en criant.
Monsieur et Madame Weasley, ainsi que les autres enfants, regardèrent les jumeaux se battre, tout en se demandant pourquoi ils faisaient cela.

Quand la nuit tomba sur la petite contrée de Loutry Ste Chaloupe, la famille Weasley passait à table. Ginny raconta à ses parents le pauvre petit chevreuil qu’elle avait trouvé et que Ron avait voulut tester avec un sort Stupéfix. Ses parents le grondèrent avant de se retourner vers Ginny, pour la consoler. Percy, qui n’avait suivit qu’une partie de l’histoire, parla à sa sœur et lui expliqua que le chevreuil auprès put être la proie d’un chasseur Moldu et qu’il devait être traqué, dès à présent. Prise dans un sanglot, la petite fille monta dans sa chambre, maudissant Percy avec ses histoires horribles. Madame Weasley suivit Ginny, en regardant Percy avec des yeux accusateurs. Celui-ci ne comprit mais ne laissa pas Ron se moquer de lui comme cela. Alors que des disputes éclataient, Fred et George se concertèrent. Ils se demandaient si il fallait parler de cette nouvelle famille qui s’installait à côté de chez eux. Après un moment de réflexion, alors que toute la famille revenait à table, George prit la parole et dit :

-Ah ! Au fait… y a une nouvelle famille qui s’installe derrière la colline.

Alors, sans un bruit, toute la famille se concentra sur eux. Monsieur Weasley, qui essayer de manger son repas, bégaya, en laissant tomber de la sauce sur sa chemise :

-Qu… quoi ?! Une famille derrière la colline ?! Qu’est ce que c’est encore que cette histoire ?!

Fred répondit, alors que son frère riait de l’expression de leur frère aîné :

-Oui, une famille de Moldus vient de s’installer derrière la colline. La maison devrait être finit dans un mois…

Quand Fred eut finit de parler, George ajouta une petite remarque, en rigolant :

-Oui, et notre petit Fred et tombait, comme qui dirait, amoureux de la jeune fille de la famille !
Fred attrapa son frère et le plaqua contre la table, alors que leurs parents gardaient les yeux ronds comme des balles de tennis.
Quand la soirée fut finie, tout le monde partit se coucher, toujours cette histoire de famille Moldue dans la tête. Les deux frères continuèrent de se disputer dans leur chambre.

Chapitre 3 : "Petite visite"

Deux jours étaient passés depuis ce moment. Fred et George n'avaient plus le droit d'aller voir les Moldus sous peine d'être remarqué et arrêté par la police Moldue. Mais bien sur, comme toujours, les jumeaux n'avaient pas écouté leurs parents et ils étaient partis voir comment se portait cette famille ainsi que leur fille.
C'était assez tôt, le matin. Fred avait reveillé son frère en le secouant. Celui-ci avait bien grogné avant de se reveiller et de suivre son frère. Pendant qu'ils se dirigeaient vers la maison, George dit :

"Tu crois vraiment que ces Moldus peuvent nous envoyer dans une prison? ..."

Fred ne répondit pas. Il était beaucoup trop occupé à penser à cette fille. Elle avait un étrange regard. Un regard que Fred connaissait bien. Pour ne pas se faire de fausses idées, il pensa que s'était le regard d'un acheteur dans son magazin de farces et attrapes.
Quand George comprit que son frère avait disparut de la surface avec ses pensées, il continua d'avancer. Quelques minutes plus tard, les jumeaux Weasley arrvièrent sur le haut de la colline qui surplombait la maison de Sacha. Fred observa tout le contour de la maison alors que George dit, étonné :

"La... la maison est finit!"

C'était vrai. En deux petits jours seulement, la maison à peine commencée était déjà fini. bien sur, il fallait encore la peindre, ect.

*C'est surement pour ça qu'elle devait être finit plus tard*, se dit Fred.

En fait, il n'avait pas tout à fait tort, même si il n'y avait pas que cela. Alors que les jumeaux descendaient la colline, ils virent un grand terrain retournait juste derrière la maison. Quand Sacha leur avait dit qu'il fallait encore du temps, c'était surement pour le grand terrain, qui devais surement être la prochaine ferme.
Enfin, Fred et George arrivèrent à côté de la maison. Tout était noir, sauf un petit local. Quand les deux jeune hommes arrvièrent à côté de ce local, ils entendirent deux sortes de sons. La première, c'était le bruit des sabots de petits animaux. Le deuxième sons était plus doux : c'était un chant. Alors que Fred écoutait ce magnifique son, George dégota une petite fenêtre, accroché au local. Les jumeaux se précipitèrent et regardèrent par la fenêtre. En effet, il y avait un petit troupeau de chèvre naissante ainsi qu'une autre personne. C'était Sacha, qui chantait un petit refrain pour endormir un animal qui ressemblait à un petit singe. Les jumeaux se demandèrent pourquoi elle avait un singe dans les mains, mais avant qu'ils ne trouvent la solution, il y eut une drôle de chose. Le mur où étaient adossés les jumeaux fit un drôle de bruit et tomba. Ce n'ai qu'après qu'ils remarquèrent que c'était un faux mur, utilisé pour proéger les animaux. Une sorte d'enclos.
Alors, quand les frères se retrouvèrent par terre, l'un sur l'autre, se fut un grand chahut qui sortit de l'enclos, en plus de la maison. Toutes les lumières de la petite maison étaient allumées et le bruit d'une personne descendant vivement les escaliers se fit entendre. Alors qu'une porte claquait dans l'arrière-cours, Fred et Georges furent emmenés quand un coin par une personne. Heureusement, les garçons virent avec satisfaction que s'était Sacha qui les avaient aidé à se cacher. Quand ils furent bien camouflés, un viel homme entra dans le local et cria sur Sacha. Celle-ci se défndit jusqu'à ce qu'une vielle dame fasse son entrée. Celle-ci était revetue d'un large pijama mauve, qui allait très bien avec son teint de vielle sorcière. La sorcière cria sur Sacha qui ne broncha pas un instant.
Pendant quelques minutes, il y eut un grand chahut et, dès qu'il fut finit, le vieux couple remonta dans la maison. Sacha les suivit quelques minutes après, après avoir jeter un oeil triste aux jumeaux. Ceci, dès que tout le monde fut partit, sortirent de leur cachette et coururent jusqu'à la plaine qui surplombait la maison.
Le visage déçut et désolé, Fred lança un bref regard à son frère qui lui dit :

"J'espère qu'elle ne soufrira pas trop..."

Mais, dès qu'il eut finit sa phrase, il vit une chose encore moins bonne. Mme Weasley, elle aussi revêtue d'un long pijama, bleu clair pour sa part, les attendait, les bras croisés. Elle attrapa les deux garçons par les oreilles et leur fit la morale, tout en les ramenant chez eux :

"Comment avez-vous put faire ça ?! Pour une fois que je voulez vous pardonner de ce que vous aviez fait, je retrouve les lits vides. En plus, vous vous amusez à reveiller tout le monde avec votre chahut..."

Elle continua à les gronder alors que Georges lui demandait, tout en essayant d'évietr de se faire trop pincer :

"Comment ça! Tu nous a entendu?!"

Mme Weasley répondit en fesant de grands gestes, mais sans lacher pour autant des deux garçons :

"Moi?! Vous entendre?! Toute l'Angleterre vous a entendu, petits galopins!"

Mmes Weasley continua à crier jusqu'à ce qu'ils arrivent chez eux. Quand ils entrèrent, toute la famille se trouvait dans la cuisine. Ginny et Ron rigolaient dans leur coin, même si Perçy les rapellait souvent à l'ordre. M Weasley regarda ses enfants, sans broncher. La seule chose qu'il leur dit, c'était d'aller se coucher. Le lendemain, il les obligerait à faire toutes les corvées pour l'arrivée de la famille.
Mme Weasley jugea que ce n'était pas assez et qu'il fallait encore plus les punire, mais m Wealey ne dit plus rien et remonta se coucher. Tout le reste de la famille fit de même.
Fred et Georges montèrent dans leur chambre et se repassèrent tout les évènements de la matinée. Ce qui les intrèguaient le plus, c'était les deux autres personnes qui étaient avec Sacha. Ces personnes étaient des sorciers.