(Toutes personnes qui entrent dans le monde imaginaire de Malia, devienne en quelques sortes des héros de ce monde. Ils prennent place dans cet univers, et s'y conforme. Exemple: Malia est une gamine élevée par des pirates, alors ceux qui entrent doivent prendre le même contexte pour participer. S.V.P. Si vous avez des questions, faites-moi en part à la fin de vos messages ou pas MP. )

Malia avait marché le long des couloirs, les yeux mi-clos et l’esprit embrumé. Voilà quelques jours, qu’elle se brûlait dans ses livres afin de pouvoir conclure son année sur une bonne note. Elle le savait, cela n’importerait aucunement à son frère car malgré tout, ce dernier ne si connaissait en rien à la magie. Elle s’était tout de même fait l’honneur de réussir pour elle-même. De ses deux bras, elle serrait ses bouquins de peur de les laisser tomber tout autant que ses notes de cours. Elle ne traînait plus son sac, car elle en avait les épaules démolies depuis les quelques derniers jours. Comme elle, beaucoup s’intensifiait dans leur apprentissage à ce moment de l’année, et elle venait presque à regretter de ne pas avoir pris à cœur plus tôt ses études. Elle se savait non particulièrement studieuse mais elle avait tout de même la soif de la réussite.

Donc, Malia marchait dans les couloirs, mi-endormie, mi-somnambule. Elle se savait d’aucune chance de se rendre jusqu’à sa chambre, et les murs s’en fit ressentir. Comme par magie, une porte s’ouvrit à même le mur, une porte de pierre, qui semblait lourde et impossible à déplacé.

* Entre Malia, au moins tu seras au chaud là. *

Elle avait soudain l’impression qu’on s’adressait à elle, mais ce n’était que son esprit qui réclamait la chaleur et l’intimité du sommeil. À petit pas, elle entra dans la salle, et s’entendit sur le sol. Couvert de coussin duveteux, il lui semblit mou et agréablement relaxant. Sans pensée, elle s’assoupit.

L’environnement changea comme si, il se conformait à son esprit, l’ambiance changea et puis de l’extérieur, le monde ou elle avait sombré dans le sommeil, remplaça celui dans lequel elle était rentré : dans le monde de ses rêves.

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*Il était une fois, ... Non, pas encore cela. Voyons! Ah, j'ai trouvé! Un beau matin, une jeune fille se réveilla. Elle était grande, les cheveux noirs et les yeux verts et habitaient sur le navire de son père. Elle était en apprentissage pour devenir marchande et remplacé son père lorsqu'il serait mort. Voilà! *

Malia se réveilla, trempé de la tête au pied. Couché sur le ventre comme le matin auparavant, elle s'était assoupi en train d'observer les étoiles. Mais ce matin-là, les matelots y avait été plus drastiquement avec elle. Il avait passé d'une gourde d'eau saine à une chaudière d'eau saline. La jeune fille avait l'impression d'avoir été frotté à même une barre de sel et savait qu'en plus elle ne pourrait prendre un bain avant 1 semaine. Date de leur arrivé au port de Marqanvil.

-C'est bien ma veine! Très gentils messieurs, je m'en rappellerai.

Elle se leva un peu éreinté mais sachant que ce n'était tout de même pas sa place au milieu de ses gaillards. D'ailleurs, elle le savait depuis toujours, et cela bien avant que sa mère veuille l'envoyé au couvent parfaire son éducation. Mais cette vie l’ennuyait, elle avait besoin d’action , et bien que une maisonnée soit plus d’une affaire d’un jour, elle aimait la maison que représentait le bateau de son père. Ses voiles et cette coque, un passage droit vers la liberté qu’elle voulait chérir.

[HJ : Valà Valà ! Alors, j'ai essayé de m'adapter un pitit peu, je ne sais pas si ça ira ! Maintenant si ça ne va pas, dis le moi, j'éditerai ]




* Dodooooo *

Voilà. En cette jolie fin d'année, la jeune Zélie ne pensait plus qu'à ça. Dormir, et partir. Partir en vacances, mais partir pour au moins ne plus voir ces profs ! Non mais vraiment ! Y'en a qui n'ont vraiment que ça à faire de donner des devoirs à des pauvres sorciers qui n'attendent qu'une chose : Les vacances. Mais non ! Les profs eux, s'en foutaient ! Ils étaient totalement vieux, alors la jeunesse, il n'en avait vraiment rien à faire ! Bref. De plus, la Serdaigle n'avait pas trop envie de bosser ! Pourquoi ? La coupe des quatre maisons était remportée par les gryffondors ! Oh non ! Ne croyez pas que la rouquine était jalouse des lions ! C'est juste qu'elle aurait quand même bien aimé que sa maison gagne cette coupe. Tant pis ! En même temps il lui restait 5 ans pour faire quelque chose.

Et oui. La jeune fille dans deux mois exactement, ou presque, serait en troisième année ! Plus de cours, plus de devoirs, plus de tout ! Et moins de dodo ... Arf ! C'est la vie ! Mais sa deuxième année était passée si vite qu'elle n'avait même pas eu le temps de souffler ! Bien entendu, elle avait le temps pour dormir. Mais n'allez surtout pas dire que Zélie était feignante ! Ou un petit peu seulement, pas beaucoup plus !

Puis, la Serdaigle s'était maintenant retrouvée au milieu d'un long couloir. Elle avait très envie de dormir, mais aussi de silence, car bien sûr, les vacances, tous les élèves n'arrêtaient pas d'y penser ! Donc tout le monde criait, jouait, dansait, mais plus personne ne travaillait ! Impressionnant tout de même ! C'est donc d'un pas plutôt maussade que la jeune fille parcouru ce long couloir quand elle remarqua une chose bien étrange. Une porte, oui bon d'accord, ce n'était pas vraiment quelque chose d'étrange une porte, mais quand même. En deux ans de sa petite vie, la rouquine n'avait jamais remarqué qu'il y avait une salle par ici. Bizarre, en même temps, elle le savait, elle était à Poudlard. D'un oeil curieux et fatigué, la jeune fille s'approcha doucement de cette fameuse porte. Rien de bien exceptionnel vous allez me dire, mais quand même, la curiosité de la jeune fille l'emporta.

Zélie ouvrit délicatement la porte et se retourna bien vite pour la refermer. Non, elle n'avait pas encore vu le décor de cette salle. C'est donc en se retournant que la Serdaigle trébucha sur un de ces oreillers.

* Heeeeeeepp *

Oui, la jeune fille venait, certes de tomber, mais tomber dans un monde qui n'était en aucun le sien ...

Quand la rouquine se réveilla, ou essaya de reprendre vie, elle était dans l'eau. N'allez pas comprendre pourquoi, c'est comme ça ! Dans de l'eau de mer en plus ! Certes Zélie savait nager, mais dans la mer ou l'océan, c'était plus dur ! De plus, elle ne savait pas ce qu'elle faisait là, comment elle était arrivée là, seul son esprit lui disait qu'il fallait mieux s'adapter, et sortir de là au plus vite.

« Pppcchhhhhfffffff »

De l'eau dans la bouche, de l'eau dans le nez, de l'eau dans les oreilles ! Mais quel confort vous me direz ! Rien à voir avec les coussins qu'il y avait quelques instants avant ! Puis quelques instants ? Zélie n'avait même plus la notion du temps, et elle commençait sérieusement à paniquer, comme dans un rêve, comme dans les rêves de quelqu'un d'autre.

« A l'aiiideeeeuuuhh ! Mon Dieu maaammaaannnnn !!!! »

Simple réflexe d'appeler sa maman dans ces moments-là ....

(Désolé, ca été un peu long, Fin de Session Oblige!)

Malia fit un saut en avant, rejoignit le bastingage. Personne ne semblait avoir remarqué la jeune fille qui était près de la noyade. Méthodiquement, elle cria au matelot de venir la rejoindre a bâbord avec une échelle de corde pour rattraper la jeune fille qui criait a l’aide et désespérément appelait sa mère.

*Sa mère, voyons, elle ne pourra pas te sauver de l’eau… Nous sommes bien trop loin du rivage… *

D’un seul mouvement, elle se jeta a l’eau. Habile nageuse, elle ramassa la jeune fille et la hissa jusqu’au cordage. Elle ne pouvait pas être plus mouillé maintenant, et c’était bien le dernier de ses soucis. Maintenant ce qui l’incombait était la présence de cette dame dans ses eaux noirs et froides.

-Tenez-vous au cordage et montez, sinon vous allez finir gelé.

Elle l’aida de son mieux jusqu'à ce qu’elles aient rejoints le bastingage. Elles furent aidé par 4 hommes afin de reprendre pieds sur le pont de l’Ophélie. Couverture furent amené, et elle fut transporter dans la cabine de la seconde : Mademoiselle Sabine Sourina. Un gaillard, grand aux cheveux bruns et aux yeux verts émeraudes, la transporta jusqu'à ses cartiers, prit comme une enfant dont la robe pesante et lourde d’eau n’avait certainement pas aidé a l’empêcher de se noyer.

-Mademoiselle, une dame de votre qualité ne devrait pas être ici. Votre toilette démontre que vous êtes de l’aristocratie Norvadienne, votre père ou votre mari doit présentement se faire du sang d’encre.

Sabine venait d’entrer dans sa propre chambre pour voir l’état de cette passagère plutôt inusité. Ses cheveux maintenant rattaché en une longue tresse noirs pendaient sur son épaule teinté du soleil. Elle alla s’asseoir sur la chaise devant sa table a écrire puis se retourna vers la jeune fille étendue sur le lit.

-Vous trouverez dans la commode de quoi vous changer. Vous faites a peu près ma taille, j’espère qu’il ne vous en incombera point trop.

Sur ce, elle se leva puis avant de sortir de la porte dit :

-Demander Mademoiselle Sabine Sourina, si vous avez besoins de quelque chose et rester soigneusement dans cette cabine. Les hommes a bords, sont tous un peu a crans, et je ne voudrais pas qu’il arrive quoi que ce soit a une femme de qualité telle que vous.

Sur ce, elle sortit rejoindre ses tâches.

*Ces jeunes femmes, toutes étourdies et sottes. Elle pourait sortir du couvent et je ne m'en étonnerait pas. L'idée aussi. Peu débrouillarde, exactement comme Maman voudrait que je sois.