I.Renseignements Généraux

Nom :Racine
Prénom :Malia
Date de naissance : 12 Février 1994, elle a donc 11 ans.
Sexe : Féminin
Âge HJ: 18 ans
Comment j'ai connu le forum?: C'est une amie qui m'en a parlé.

II. Histoire

L’Automne montrait ses couleurs et enfin la température s’adoucissait. Agathe, dont le corps entier la faisait souffrir, laissait les corvées à sa petite-fille. Elle regardait la petite blonde aux yeux noirs de jais courir de tous les sens afin d’alléger le fardeau d’une des dernières survivantes de sa famille. La détermination et l’exactitude de ses pas la menait et bientôt le ménage entier de la résidence non loin de Newport serait achevé. L’enfant rejoint enfin son aînée avec une carafe de thé, du sucre et du citron bien placé sur un magnifique plateau d’argenterie. Elle la servit puis fit pareil pour elle-même, avant de s’asseoir dans un fauteuil avoisinant celui de la vieille dame. D’un seul coup, Agathe toussa bruyamment et Malia le regard attentif scrutait les moindres symptômes d’une maladie connue. Elle était inquiète, pas pour elle-même mais pour celle qui l’avait élevée, elle craignait que la mort ne l’emporte et elle était déterminée à la garder avec elle dans ce monde. Heureusement, la toux se calma et la satisfaction remplit le coeur de ces deux femmes bien d’âge bien distinct.

-Il est très bon ce thé, Malia.
-Grand-mère, il n’est pas nécessaire de parler, reposez-vous, je serais terrassée si votre toux revenait en force.

Agathe admirait la jeune fille, elle avait 9 ans et la force vibrait en elle tel un faisceau de lumière divine. Il était hors de question qu’elle se taise, pas maintenant, même jamais. Trop de choses, d’évènements dont elle voulait faire part à sa petite fille au cœur si noble et si franc, trop de secret elle lui cachait qui la rendait mal à l’aise. Elle posa sa coupe sur la table devant elle, et invita la gamine à venir sur ses genoux, la serra dans ses bras du plus fort que ses capacités lui permettait. Elle était si grande pour son âge et elle lui rappelait sa propre mère du temps qu’elle était professeure et que l'âge ne l'avait pas heurté ainsi.

*Si douce enfant et si pleine de vie, qu’aurais-je fait sans toi? Toutes ses années, je t’ai vu grandir avec un plaisir et une soif de vie qui me rappelait la mienne d’antan. Mon petit ange aux nez de cerise, qu’adviendra-t-il de toi le jour où seule tu te retrouveras…*

Derrière ce sourire peiné, elle établissait un plan d’attaque. Cette enfant n’était pas faite pour être coupé de ces pouvoirs, elle avait lors de moment de fougue fait craquer sa vaisselle. Dans les moments de panique, lors de pannes d’électricité allumée des bougies, par sa seule concentration. Sans connaissance, laissé à elle-même cet enfant serait un danger potentiel pour les moldus trop curieux.

«Qu’y a t il chère Agathe? Vous semblez furieuse… » dit Malia.

Malia frémit, elle la voyait rarement dans cet état et bien qu’elle ne connaissait pas la cause exacte, elle savait qu’elle participait à ses débats intérieurs. Elle battit des cils puis le changement d’humeur fût radical.

-Ma chère enfant, il est temps que je t’apprenne…
-Mais quoi Grand-mère? !
-Il est temps que tu apprennes et connaisses le don que tes parents t’ont donné à la naissance : La Magie.


(Suite prochain Post)

V.Histoire (Suite)

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Deux ans passa.

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Malia était encore couché dans son lit les yeux fermés à profiter du soleil qui entrait dans la fenêtre de sa chambre. C’était une agréable matinée et elle ne se sentait pas pressé de faire quoi que ce soit.

-Malia, je fais le petit déjeuné, il faudrait bien que tu te lève avant que ça soit froid.

*Frédéric, toujours là pour m’aider, pensa-t-elle. *

C’était son frère qui l’appelait, dans la vingtaine et assez costaud, il avait réussi à intégrer le cours de pompier puis avait obtenu sa licence deux ans auparavant. Il partirait travailler dans un moment, lorsqu’ils auraient fini de manger. Malia étendit son bras jusqu’à sa table de chevet et prit ses lunettes, s’assit sur le rebord du lit puis les mit sur son nez. Elle ouvrit doucement un œil. Ce qu’elle vus alors ne lui plût pas énormément mais la curiosité l’emporta et elle chercha la source de toutes ses plumes. Elle ouvrit finalement l’autre œil et s’aperçu qu’une chouette lui avait passé par-dessus la tête avant d’atterrir sur le haut de sa chaise de travail. Elle tenait dans ses griffes une lettre; et comme elle voyait que Malia était réveillée, elle vola en direction de la fenêtre ouverte et laissa tomber la lettre sur ses genoux tout en continuant sa route vers l’horizon. Trop surprise pour dire quoi que se soit et trop joyeuse de revoir une de ces beaux animaux, elle se contenta de sourire et d’ouvrir sa lettre. L’estampille avait quelque chose de très symbolique et aussi de très étonnant; c’était un emblème qu’elle n’avait jamais vu, d’ailleurs elle se doutait que ce soit des humains ordinaires qui lui aurait fait un coup, donc une seule idée lui restait c’était du monde des sorciers. Pour avoir vécu près de 6 ans avec sa grand-mère, une sorcière, elle savait ce que cela pouvait signifier. L’arrivé d’une lettre dans ce temps, n’était autre que la possibilité d’aller dans une école de Sorcellerie. La vieille Agathe lui avait montré bien des emblèmes mais c’était la première fois qu’elle voyait celle-ci. Un mélange de Lion, Serpent, Blaireau et Aigle n'était nul autre qu'une estampille énigmatique à ses yeux. Elle ouvrit tout de même la lettre et la déplia.


Malia fût moins surprise qu’elle aurait pu le croire. Agathe l’avait préparée à une éventuelle rentrée dans une école de Sorcellerie et comme elle ne connaissait pas la langue ici et que son frère ne semblait pas vouloir la lancer dans ce nouvel environnement. Il était hors de question qu'il l'introduise dans une école française moldue; c'était bien clair dans sa tête et cette lettre arrivait pile à temps.

Pendant longtemps, Malia avait cru que ses parents avaient été tués dans l’incendie de leur maisonnée quelques temps après qu’elle ait rejoint sa grand-mère en Angleterre. Ce n’est qu’au chevet de cette dernière qu’elle appris la vérité. Ses parents avaient été tués par des citoyens sorciers mécontents de leur travail, ils travaillaient tous deux pour le Ministère de la Sorcellerie de l’Amérique, l’un pour la Régie des Régulations Magiques et sa mère au contrôle des Arrivés Sorciers sur le Continent. Lorsque certaines personnes, dont grand-mère ne savait pas le nom, ont découvert qu’il ne pourrait pas franchir la frontière magique et que leurs objets de valeurs leur seraient pris à l’arrivé, des objets ne devant pas être découvert en l’occurrence, ils ont tués les deux seuls qui pouvaient avoir atteinte à leur personne. Cela avait fait tout un drame sur le continent et dans le Monde des Sorciers mais Malia n’avait pas entendu les ragots. Ce fut un choc pour elle, elle avait passé presque 8 ans avec cette vieille femme qui lui avait tant montré sur ces origines que cela en était devenu un peu comme une mère et pour la seconde fois, elle se sentit brisée. Sa grand-mère mourut deux jours après; elle lui légua Ella, sa vieille chouette, deux clés pour les comptes de Gringott, le sien et celui de ses parents qu’ils avaient visités quelques années auparavant, ainsi qu’un collier dont le médaillon était en forme de cœur, lorsqu’elle serait assez vieille, elle pourra prendre aussi possession de la maison de campagne de ses ancêtres. Elle avait alors contacté son frère qui avait pris une journée de congé pour allé la chercher en Angleterre et la ramener chez lui. Depuis, elle s’était isolée dans la pièce qu’elle appelait ‘’sa chambre’’ et ne parlait à Éric que très peu, étant donné que son travail le menait par le bout du nez, la situation ne gênait personne...

Elle glissa ses pieds dans ses pantoufles jaunes puis se leva de son matelas. Elle prit le temps de se brosser les cheveux, puis avertit son frère qu’elle s’en venait. La jeune fille espérait que les crêpes qu’ils préparaient tous les matins seraient aussi bonnes après tout le temps qu'elle avait fait attendre son grand frère d'ours.

Frédéric tournait depuis un moment en rond à préparer le mélange à crêpes et lorsque Malia arriva, il ne restait plus de traces de son acharnement avec la farine. Il commençait à couler le mélange à crêpes dans le poilons tout en faisant très attention de ne pas la faire brûler, une fois sur 3, sans faire exprès, il faisait carboniser la première crêpe. Le petit déjeuné était leur rituel du matin à lui et à Malia. Il faisait toujours des crêpes parce qu'elle semblait les adorées et c’était bien le cas. La jeune fille alla au frigo et sortit le sirop d’érable que son frère avait fait importer de l’Amérique, il ne supportait pas le sirop de France, trop fade à son goût.. Malia se servit un verre de jus d’orange et en versa un second pour son frère qu’elle mit de l’autre coté de la table et à proximité pour qu'il puisse se désaltérer. La petite blonde n’avait encore dit mot mais on sentait à la regarder qu’ils lui brûlaient les lèvres, elle se contenta de poser le message qui avait été écrit à son intention juste devant son assiette qui attendait toujours d'être remplie.

-Et hop!

Il fit sauter la crêpe dorée de son poilons. Malia sourit puis prit une gorgé de jus, c’était le moment qu’elle aimait le plus, le voir sourire et essayer de l’amuser, elle qui, par rapport à lui, semblait avoir perdu des années à sa jeunesse, au lieu d’en obtenir d’autre. Il se retourna et glissa la crêpe dans l’assiette de Malia, jeta un coup d’œil sur le bout de papier sur la table.

-Qu’es-ce que c’est? Une facture?
-Non, c’est une lettre pour toi, il semblerait. J’ai reçu une lettre qui la contenait, tu devrais la lire quand tu auras fini de faire cuire tes délicieuses crêpes.

Son frère ne semblait pas étonné, mais se demandait ce que cela pouvait bien être, déjà à l’apparence ça ne ressemblait à aucun papier normal. Il prépara une seconde crêpes pour Malia puis deux pour lui et s’assit finalement à table. Il ne lût pas tout de suite la lettre, mais l’observait d’un œil interrogateur. Du temps qu’il était très jeune, son père et sa mère utilisaient le même papier pour écrire, cette idée revient en lui et il eut un moment de tristesse puis se reprit en pensant que maintenant ils devaient être bien, pourquoi alors se ronger les sangs? Ils n’avaient aucunes raisons. Mais il savait quelques part que sa jeune sœur savait quelque chose que lui ne savait pas encore.

La jeune femme huma l'air avant de penser sérieusement à vider son assiette. Versa soigneusement un peu de sirop et trancha sa crêpe en quatre morceaux qu'elle voulait égaux.

-Tu l’as lu? Qui a envoyé tout ceci?

Malia n’eut pas le temps de le dire, la bouche trop pleine que Frédéric l’avait ouverte et commençait à la lire. Il semblait étonné et aussi très effrayé. Malia savait pourquoi du moins elle supposait. Autant il avait récupéré sa jeune sœur autant il avait peur de la perdre, ce comportement avait toujours été ainsi lorsqu’ils étaient enfants. Frédéric avait toujours été très protecteur avec elle sans la brimer pour autant, de plus, il était le seul à ne pas posséder de pouvoirs magiques, dans un sens, elle n’était pas sur qu’il aurait appréciés, ces buts et objectifs avaient été écrits et gravés dans sa tête depuis qu’il était gamin. Sa grand-mère Agathe s’était marié avec un moldu et sûrement avait fait que Frédéric n’ait aucun pouvoir comme ce dernier. Après un moment, la figure de Frédéric changea puis devient plus grave.

-C’est vrai? Dit-il d’un air interrogateur.-Qu’est-ce qui est vrai? Je ne l’ai même pas lu.
-Cette histoire de magie!

On aurait dit que ces nerfs en prenaient un coups.

-Oui. Grand-mère m’avait prévenue que ça pourrait se produire.
-Non, je veux dire, cet accident…

Il tendit la lettre à Malia. Visiblement, il avait reçu une lettre en deux parties, la première concernant Malia et ses études et l’autre la véritable raison de la mort de ses parents. Frédéric qui avait toujours été forts et courageux, se leva de table et alla s’asseoir sur son lit, avant de laisser tomber des sanglots le long de ses joues. Malia fut troublé de la réaction de son frère, autant qu’elle l’avait été lorsque sa vieille dame lui avait dévoilé. Elle alla s’asseoir à ses cotés et comme pour montrer qu’il était fort, il l’a pris dans ses bras. Il avait l’impression d’être briser, mais le fait de tenir sa jeune sœur dans ses bras lui donnait l’impression qu’il n’était pas réellement vulnérable, un trait de caractère qu’il haïssait de lui-même lorsqu’il n’était plus capable d’endurer une situation.

-Je ne savais pas. Je… je n’ai jamais su…

Malia ne savait pas trop comment réconforter quelqu’un, elle l’avait été tant de fois qu’elle avait pensé à être la seule qui pleurerait. Elle posa la tête sur le torse de son frère et écouta son cœur aller à toutes allures. On aurait dit que Frédéric y revoyait la scène triste et morbide de la mort de ses parents et qu’elle le consumait.. Soudain, il se calma.

-Je les aimais, beaucoup… même si je les héritais plus qu’autre chose…

Il essuya ses larmes puis reprit le contrôle de lui-même, il fallait qu’il aille travailler sinon son patron ne serait pas des plus gentils avec lui.

-Malia, je … tu peux aller à cette école si tu le désire, mais … j’aimerais que tu reviennes me voir ici pendant les vacances et aussi, je ne veux pas que tu m’oublis…

Elle se contenta de passer sa main dans les cheveux de son frère avant que ce dernier se lève, attrape sa veste et sorte travailler. Les autres journées s’écoulèrent très rapidement, n’ayant pas accès au Chemin de Traverse directement, la jeune fille préféra attendre que son cher frère ait congé et puisse l’emmener en dehors des frontières françaises et ainsi lui montrer les merveilles qu’elle avait vues jadis qu’elle n’était pas plus haute que trois pommes. Dès lors, la fin de semaine arriva et ils parcoururent la distance nécessaire à ce que Malia puisse acheter ses effets. Deux jours plus tard, Malia et son frère se levèrent après avoir séjourner dans une auberge sur le Chemin de Traverse, la jeune fille devait le quitter très bientôt pour prendre le train la menant à sa future école.

-Tu me manqueras, dit Frédéric alors qu’il regardait sa petite et unique sœur faire le paquetage de ses effets personnels.

Elle se retourna d’un mouvement brusque et se lança dans les bras de son grand frère qu’elle sera le plus fort qu’elle pût. Il lui manquerait lui et ses crêpes, sa voix le matin lorsqu’elle se lèverait mais chaque oiseau à besoin un jour de quitter le nid et c’est ce qu’elle faisait. Elle se sentait prête du moins c’est ce qu’elle croyait. Le reste qui s’en suivit ne la laissa pas plus perplexe qu’admirative, et bien que les autres élèves avec lesquels elle partageait sa cabine du train semblait apeurés, tremblants et troublée, elle admirait le paysage et l’animation dans le corridor avec une grande envie de participer à sa nouvelle existence. Elle ne pouvait qu’imaginer une suite plus joyeuse et excitante. Sans qu’elle ne puisse mesurer le temps qu’il soit passé, son entrée dans ce monde se précipita devant ses yeux et elle avait maintenant un chapeau parlant sur la tête. Elle n’était pas nerveuse, elle ne craignait pas les épreuves ni même le fait d’être scrutés intimement dans son esprit parce qu’elle se savait forte et prête à relever le nouveau défi qui se présenterait sous ses yeux et cela plus que jamais.


HJ: BONNE CHANCE ET BON COURAGE À CELUI OU CELLE QUI VA LIRE MON TEXTE AU COMPLET!

Hummm...




Je dirais...




GRYFFONDOR !!!!



(Ta fiche est nettement mieux que la première fois où je l'ai lue. Par contre, il reste encore quelques coquilles. J'attends de toi que tu prennes grand soin à écrire tous tes prochains messages. Prends bien le temps de te relire et de passer tes textes sur word et je pense que de cette matière, ton niveau en orthographe n'en sera que meilleur.
Bon jeu. )

Malia sourit, satisfaite et surtout prête à commencer l’année. Elle ne connaissait encore personne réellement, mais ça ne serait tarder. Elle se leva d’un sursaut et déposa le chapeau sur son tabouret avant de passer à travers du groupe d’élèves non répartis.
Puis, elle alla s’asseoir à l’une des places libres à coté des anciens. Elle sourit gênée avant de saluer les personnes à cotés d’elle et continua à regarder la cérémonie jusqu’à ce qu’elle s’achève. Son ventre gargouillait affreusement et une dizaine d’élèves restaient à répartir. Honteuse, elle posa ses mains sur son ventre.

* J’ai faim!!!!! C’est bien le début mais là, ça devient interminable. *

Elle rit intérieurement.

* C’est vraiment fantastique comme endroit. Regardez-moi ce ciel qui s’ouvre sous nos yeux! Toutes ses bougies qui brûlent et éclairent le moment. On dirait qu’elles flottent, comme des bulles de savons. Tout le monde semble satisfait de porter des robes : même les garçons! Jamais je n’aurais cru voir cela un jour. Il faut bien que je l’admette, c’est un autre monde ici, comme grand-mère me l’avait dit. *

-Aucune trace de nourriture… dit-elle tout bas.

Lavande n’avait pas le souvenir que la Cérémonie de Répartition fut si longue de son temps, enfin peut-être que le stress de savoir dans quelle maison elle allait être répartie l’avait entretenue l’année de sa Répartition, mais pour l’année précédente comment se faisait-il que le temps soit passé bien plus vite que cette année-là ? Peut-être était-ce le fait que cette année elle avait faim et que la Cérémonie s’éternisait ? Peut-être était-ce le fait que maintenant qu’elle sortait avec Kael, elle avait hâte que la Cérémonie se termine enfin pour le saluer ? Ou bien peut-être les deux combinés ? Oui c’était sûrement ça !

Ses suppositions furent confirmées lorsque son ventre gargouilla de façon ostentatoire, heureusement le bruit fut couvert par le Choixpeau qui cria « Gryffondor ». Elle poussa un soupir de soulagement, qu’est-ce que ses amis auraient dit s’ils avaient entendu le cri de famine de son estomac, la honte ! Pour se changer les idées elle chercha son petit copain à la table des Poufsouffles placée juste à côté de celle des Lions, mais à ce moment, elle entendit quelqu’un dire :

Citation :

-Aucune trace de nourriture…

Ce fut un brutal retour à la réalité, elle se retourna pour voir qui lui avait rappelé sa faim et vit une jeune fille aux cheveux d’or assise à sa droite. C’était la fillette qui venait d’être répartie à l’instant et Lavande oubliant Kaelir pour l’instant décida d’expliquer à la nouvelle pourquoi il n’y avait pas de nourriture. Elle lui sourit donc et dit :

-Salut, bienvenue à Gryffondor, je m’appelle Lavande Brown, je suis en troisième année. Si tu ne vois rien à te mettre sous la dent, c’est parce que les plats apparaissent par magie lorsque le dernier élève a été réparti et que Dumbledore, c’est le vieillard qui préside la table des profs, le directeur, a prononcé son discours.

Elle jeta ensuite un coup d’œil au groupe des premières années et vit qu’il avait bien rétréci depuis le début de la Cérémonie, elle dit donc à la première année :

-Les plats devraient arriver dans un quart d’heure environ. Et sinon tu t’appelles comment ?

Elle attendit la réponse de la blondinette en regardant du coin de l’œil la table des Jaunes et Noir pour apercevoir son chéri mais rien n’y fit, il était introuvable.

[HJ]Désolée pour le retard j'avais une tonne de boulot ! Surtout ce ******** de TPE !!!

Ainsi donc la petite blonde se prénommait Malia, joli prénom. Lavande attendit que la nouvelle donne plus de renseignements sur elle-même mais elle ne fut pas satisfaite. En effet, la petite s'était mise à contempler le ciel, ce qui n'avait rien de bien anormal car tout nouvel élève à Poudlard avait forcément le regard attiré par le magnifique plafond magique. Seulement Malia semblait perdue dans ses pensées et Lavande en déduit donc une chose : seus les élèves issus de familles moldues avaient ce regard mi-mélancolique mi-fasciné lorsqu'ils admiraient le plafond de la Grande Salle donc, par conséquent la jeune lionçonne devait être une fille de Moldus.

Laande décida donc de continuer la discussion par ce thème et tout naturellement, reprit la parole pour demander :

-Tu es fille de moldus, n'est-ce pas ? Je n'en suis pas sûre mais ton air relativement perdu m'a quelque peu renseigné. En tout cas fille de Moldus ou de sorciers, je vais te mettre au courant des choses esentielles à savoir pour pouvoir vivre au Château. Tout d'abord il y a quatre maisons comme tu le sais déjà : Poufsouffle, ce sont les Jaunes et Noirs, leur qualité est la loyauté, il y a Serdaigle en Bleu et Bronze, eux ils ont tous surdoués en cours, Serpentard ce sont les Verts et Argents, ce sont tous des traîtres, moins tu les fréquente et mieux tu te portes et ensuite il y a Gryfondor, c'est nous les Lions, on est courageux et sympathiques. En un mot toutes les maisons se valent sauf Serpentard, tous les mages noirs en sortent c'est pour dire ! Sinon tu vois la dame au chignon à côté de Dumbledore, c'est McGonagall notre directrice de maison, elle est très stricte mais elle est toujours là si tu as besoin d'elle. Voilà j'ai fini mon briefing.

Après cette loongue tirade, elle sourit de nouveau à la première année et poussa un cri de joie car Dumbledore venait de claquer dans ses doigts et à cet instant précis des centaines de plats étaient apparus sur les tables. Elle se précipita sur une cuisse de poulet au curry et la dégusta tout en attendant la réaction de Malia concernant ce qu'elle venait de lui apprendre ou rappeler.

[HJ] Le délai, toi mais tu réponds toujours super tôt ! Tu n'as pas à t'excuser ! Sinon je savais que tu n'étais pas fille de moldus, j'ai lu ta fiche mais Lavande est une cruche, donc ...

Et voilà l'année venait à peine de commencer que Lavande avait déjà fit une gaffe monumentale, décidemment elle progressait pas de doute là-dessus, elle devenait de plus en plus stupide avec l'âge ! Non seulement Malia était fille de sorciers mais en plus à cause de la bourde de son aînée elle avait dû expliquer son passé qui était bien triste. Lavande s'en voulait, elle s'en voulait terriblement d'avoir rappelé à la pauvre blondinette des évènements douloureux pour elle. Elle rougit fortement et bafouilla une excuse à miotié bancale :

-Je ... c'est à dire ... je suis ... enfin ... bon je m'enfonce là, désolée je en voulais pas te rappeler des choses qui te font de la peine, c'est juste que j'ai un cerveau bien moins développé que celui de la plupart des humains et j'accumule connerie sur connerie ! Enfin je suis vraiment désolée, je comprendrais que tu m'en veuilles.

Pendant tout son discours les rougeurs de son visage n'avaient pas disparu un seul instant et lorsqu'elle se tut, elle sentit une chaleur étouffante au niveau du cou, des joues et des oreilles. Elle voulut baisser les yeux et se faire aussi petite que possible, pour se faire oublier, espérant qu'elle n'avait pas totalement gâcher la première journée de Malia.

Seulement le visage de Malia la fit changer d'avis. En effet, la petite gryffone venait de boire d'un trait son verre d'eau et elle s'apprêtait à prendre un morceau de nourriture mais quelque chose dans son expression alarma Lavande. La fillette n'allait pas bien, après les révélations qu'elle venait de faire c'était compréhensible mais la troisième année eut l'impression qu'il y avait autre chose. Elle demanda donc d'une voix que l'appréhension rendait plus aigüe que d'habitude :

-Malia, tu vas bien ? Enfin je veux dire, je me doute bien que tu ne dois pas aller bien , mais je veux dire physiquement ça va ? Enfin ...

Elle s'arrêta là avant de faire un plongeon olympique dans l'estime de la nouvelle Gryffondor et attendit de savoir si une nouvelle fois elle avait dit une connerie ou bien si pour changer elle avait anticipé un désatre au lieu de le provoquer. Décidemment cette troisième année ne commençait pas particulièrement bien !

[HJ] Pour la longueur ne t'inquiètes pas, tu écris ce que tu peux, ce n'est pas un concours de longueur, ce qui compte c'est qu'on s'amuse à écrire ! Sinon petit rappel mets tes actions en italiques et tes paroles en couleur. :sifle:

Apparemment Malia semblait aller mieux, elle reprenait des couleurs, mais si Lavande conservait un visage tendu c'est parce qu'elle mettait plus de temps à se remettre de ses émotions que la nouvelle Lionne. Ce ne fut que lorsque la première année lui demanda ce que contenait son verre, qu'elle retrouva son sourire habituel et répondit :

-C’est du jus de citrouille, une spécialité de Poudlard ! Hagrid le garde-chasse et prof de SACM et Chourave la prof de Botanique font pousser des citrouilles et les elfes en font le jus merveilleux que tu es en train de boire. Moi j’adore ça !

Et pour prouver ce qu’elle avançait, elle se versa un verre et le but d’un trait. Puis pour relancer la conversation, elle demanda à Malia :

-Dis-moi, est-ce que tu as une matière préférée ou alors tu ne les pas encore toutes ?

Si elle posait une telle question, c’est parce que de un elle était curieuse et aimait connaître les goûts de ses amis et de deux parce que si la blondinette ne connaissait pas les matières, elle pourrait les lui apprendre et lui dire ce qu’elle en pensait. En un mot, cette question devait forcément déboucher sur une discussion et c’était exactement ce que voulait ma cruchinette. En effet, elle était passée maîtresse en l’art subtil et noble de la parlotte, seule une personne pouvait se vanter d’arriver à suivre son rythme, lorsqu’elle parlait sans arrêt : Kaelir, son merveilleux petit ami !

Mais comme elle ne passait pas sa vie avec lui -ce qui était bien dommage- elle devait faire attention à ne pas prendre la parole trop longtemps parce qu’elle avait tendance à ne pas laisser son interlocuteur en placer une. Mais surtout son problème majeur c’était qu’elle changeait de sujet si souvent et posait tellement de questions que la personne avec qui elle était en train de discuter était perdue et incapable de lui répondre. Voilà pourquoi, cette fois-ci elle s’était contentée d’une question simple.

C'était une bonne question pour Malia. En fait comme elle ne connaisait pas grand chose à la magie à la base, c'était un point plutôt ennuyeux mais elle se doutait qu'elle serait surment bonne en astronomie étant donné que la vieille et elle s'était amusé le soir à regarder les étoiles avec un viel appareil.

-Astronomie, je supose. Je n'ai rien appris qui nécésite l'usage de la baguette et puis encore moins de balai. Je pense que l'Astronomie sera surment ma matière forte et puis remarque, j'apprend vite. On en reparlera lorsque l'année sera terminée.

Elle but aussi son verre de jus de citrouille.

-Pas mauvais du tout! Ça ressemble à du jus d'agrume mais goute complètement différent. Il y a d'autre chose qui pourrait m'être inconnue sur cette table?! J'adore essayer de nouvelles choses et j'en garde bon souvenir.

Elle sourit à la Gryfondor puis fonça sur le plat de poulet au curi dont son amie s'était servi. Elle n'y avait jamais gouté, mais celà semblait bien bon et en plus, c'était commestible. La preuve, Lavande était encore sur ses jambes.

** L'année commence bien, des personnes à profusions, des professeurs qui semblent pas trop ennuyeux et une ambiance à faire réver! Les cours commences bientôt, et j,ai très hâtes d'apprendre sur la vie de ma famille. sur la vie de mes parents. Leurs vies devèrent être très excitantes, si tout ici était dans leur réalité. Ahhh! Ça goute pas mauvais de plat, normal que Lavande en dévore de assiette complète!! **

Elle avait fini son assiette de poulet et vint piocher dans un plat de pâte gratiné. Visiblement, c'était de la lasagne! Son fumet vint chatouillé les narines de Malia; elle n'avait pas bessoin d'autre signal pour dévorer sa part en entier.

Les choses s'étaient maintenant bien arrangées, Malia était contente, Lavande aussi et elles avaient le ventre plein, en un mot tout allait bien. Enfin presque ! Parce que pour Lavande lorsqu'on ne parle pas, il y a forcément un problème. Elle voulut donc de prendre une nouvelle fois la parole, mais elle ne put pas car Dumby prit la parole :

-Maintenant que nous nous sommes tous bien rempli la panse, que chacun suive son préfet jusqu'à son dortoir. Bonne nuit à tous et bonne année !

Bon bah au moins, c'était clair. Il était temps d'aller se coucher, car même si l'envie n'y était pas, le lendemain il y avait cours. Lavande se leva donc de sa chaise, mais continua de parler avec sa nouvelle amie.

-Viens, le dortoir des premières années et des troisièmes années est tout prêt, donc on peut continuer de parler quand même, il suffit de suivre le grand roux qui fait des signes dans tous les sens, c'est Percy Weasley notre préfet et aussi un des deux préfets-en-chef. En tout cas, moi l'Astronomie, c'est pas trop mon truc, j'aime bien regarder les étoiles mais je ne comprends rien à la signification des constellations, je préfère de loin l'Astrologie.

Pendant qu'elle parlait la jeune fille s'était dirigée vers la sortie de la Grande Salle et suivait à présent son préfet dans les escaliers mouvants du Château. Après quelques caprices de début d'année des escaliers, ils durent restés plantés dans le vide pendant dix minutes, les Gryffondors arrivèrent en haut de la Tour. Le deux adolescentes entrèrent dans la Salle Commune et là Lavande se sépara de Malia car leurs dortoirs étaients séparés.

-Bon salut, j'espère qu'on se recroisera. En tout cas, si tu as une question, viens frapper dans mon dortoir, c'est en haut à gauche.

Elle fit un dernier geste à la blondinette et rejoint Parvati sa meilleure amie qui l'attendait en haut des escaliers pour lui raconter ses vacances d'été.

[HJ]Désolée d'arrêter maintenant le topic , mais j'en ai plein en cours et j'ai plus trop le temps donc je préfère arrêter celui-là, pa parce que tu comptes moins, mais parce que je suis pas trop inspirée. Mais dès que tu veux, on s'en refait un.

[Y-a pas de problème, j'allais moi aussi te le demander ou plutôt faire pareil. Les cours ont commencés et je pense que c'est pour tous la même chose.]

Malia sourit à Lavande pendant tout le trajet et lorsque celle-ci lui dit Bonne nuit, elle sembla complètement désarsonnée.

-Bonne nuit!

Le bon coté était que dans ses rêves, tous prendrait leur cours habituel et c'est avec un sourire qu'elle emprunta le chemin vers le dortoir de première. Demain serait une drôle de journée pour elle et surtout l'une des plus chargée de son existence. Elle soupira devant le moment d'aise qu'elle pourrait s'offrir en rejoingnant le confort du dessous de ses couvertures et surtout en déballant ses effets qu'elle avait laissé aux elfes de maison...