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| | |  Sujet: Après... toi (un mec de préférence)  Jeu 26 Oct - 16:15:07 | |
| Celà faisait un petit temps que Emman'avait prit un peu de temps pour elle; simplement pour entreprendre une réflection sérieuse sur l'homme et ses sois disant convictions et principes de base. Certes, dans son emploi du temps, il y avait quelques instants à consacrer à la chose, mais elle n'avait jamais pensée que le simple fait de se ranger dans un coin était quasis impossible dans cet école au grouillait les élèves tel un amas de petites bêtes rampantes appellés communément: insecte. En effet, tel une fourmilière, les élèves se polotennaient en masse partout où il était possible de s'entasser en dehors du regard soucieux et grotesque de Rusard. Tiens! Celui-là, celà faisait un petit temps qu'on ne l'avait pas vu. Mais on ne pouvait douter que son retour dans les recoins de l'école était proche.
Vers six heures du soir, la petite serdaigle s'avança vers la salle de bain. A cet heure-ci, il était impossible de recontrer un quelconque élève, tous devaient être regroupés dans la grande salle le ventre criant famine et le dos douloureux; rapport à la journée. Arrivée devant un cabine assez modeste mais qui convenait parfaitement à ce pensionnat, elle enleva ses chaussons ocres et entra rapidement en prenait soin de déposer sa serviette au dessus de la porte coulissante pour ne pas qu'elle tombe (on ne sait jamais ^^').
Emma enleva ses habits et tourna la poignée qui actionnait la pression. Sous la contact d'une eau qui, magnifestement, était gelée, la deuxième année poussa un petit cri puis pesta contre tout ce qui se trouvait à sa portée.
" Espèce de saloperie d'école pourrie qui ne sait même pas réglé l'eau de manière correcte. "
En fait, c'était en grande partie de sa faute mais le caractère d'Emma lui interdisait de recconnaitre que si elle avait prit la peine de régler l'eau avant, elle ne s'en retrouverait pas là. Mais l'idée même qu'on pouvait la surprendre était inconsevable.
Les goutelettes qui éffleuraient sa peau l'a fit frémir. Certes, elle en avait légérement marre de cette école, mais elle ne pouvait s'en vouloir qu'à elle même car, à force d'être une solitaire endurcit, on le reste. Et derrière l'air inconvenue qu'elle se donnait, la petite seraigle réfléchissait ardieusement à sa vie si sobre et tranquille. Pourtant, elle n'avait pas toujours été comme celà! Il fut un temps où elle aurait voulu gifler le premier goujat venu. Et il n'était pas qu'un mirage dans cette école, mais plutôt un fléau.
Les cheveux caressés par la chaleur enivrante de l'eau laissait place à un certain plaisir et on n'avait peine à trouver des inconvénients à ce qui, il y a quelques instants encore, était invivable.
La quète du savoir avait toujours passionné la consernée. Et elle s'était lançé dès son plus jeune âge, à l'analyse de certaines personnes qu'elle considérait comme étant des cas exeptionnels. Elle s'emportait souvent, son caractère n'était pas fort facile mais il fallait la connaître pour se rendre compte qu'elle était bien plus qu'une fille insolente et pourtant si faible à l'intérieur.
L'eau devenait tiède et quelques secondes après que celle-ci soit devenu potable, Emma empoigna la porte et décida qu'une douche serait la bienvenue, étant donné que le jet d'eau dans le visage n'était pas très agréable. Enroulant une serviette autour de ses formes récentes, elle marcha rapidement vers le creux de la baignoire et entreprit d'ouvrir les robinets. Après 15 minutes, le flot de bulle et de buée qui s'étallait dans toute la pièce était réconfortante et ne permettait à quiconque de voir clairement son corps nu.
Emma trempa un pied dans l'eau délicieusement chaude et faillit tomber quand derrière la porte, elle entendit la voix d'un garçon, et qui, magnifestement, se dirigeait dans sa direction. Emeline plongea dans l'eau et, reprenait de l'air à la surface, laissa sa curiosité et son air d'ange faire le reste. Laissant son petit nez et sa chevelure noire jais guetté l'intrus. La buée rendait les choses difficiles mais elle cru aperçevoir tout de même une silhouette brumeuse qui entrait, l'air irrité ou profondement heureux, du moins, il hurlait presque.
[ Si je ne répond pas aujourd'hui, je répondrais sûrement vendredi ou du week-end. ] |
| | | | | | Sujet: Re: Après... toi (un mec de préférence) Ven 27 Oct - 14:02:45 | |
| Sebastian était véritablement épuisé, il avait écumé toute la bibliothèque pour trouver un livre sur la magie noire, mais n’avait déniché q’une vulgaire brochure insignifiante qu’il avait survolé puis remise à sa place, la suggérant inutile à son savoir qui, disait-il, était « quasi suprême. ». Cette recherche, il l’avait faite après les cours, il avait pu trouver un petit quelque chose à manger pour ne pas assister au souper, se disant que son passage à la bibliothèque serait fructueux en trouvailles. Mais, - comme je l’ai dit un peu plus haut – le jeune apprenti ne trouva rien de très intéressant.
Il erra donc, seul dans les couloirs, pendant que tous les autres élèves se régalaient. Tout en errant, il croisa un tableau plutôt courageux de s’adresser ainsi au serpentard :
« Que fais-tu donc seul dans les couloirs à l’heure à laquelle tu devrais manger dans la grande salle, jeune première année ? »Sebastian, toujours plongé dans ses maléfiques idées n’entendit pas tout de suite le doyen du tableau. Il continua donc sur quelques mètres sans réagir, puis se retourna brusquement, rebroussa chemin et fit face à la peinture vivante. Il lui renvoya alors :
« Vois-tu vieux bougre, je fais ce que je veux, quand je le veux et ou je le veux, ET NE ME TRAITE PLUS DE « PREMIERE ANNEE », CAR MON INTELLIGENCE DEPASSE SUREMENT LA TIENNE ! ! ! »
Entendant cela, le tableau eut un petit rire en entendant les parole du jeune garçon. Ce rire, Sebastian ne le supporta pas, il piailla, prêt à répliquer, mais couper par la réplique du tableau se tut :
« Eh bien, jeune insolent, comment oses-tu parler de cette manière à ancêtre important du ministère ?Enfin, faut-il encore que tu saches ce qu’est le ministère, hahaha… »
Les traits de Sebastian devinrent rouge sang, étant « un peu susceptible », - je mets se terme entre «» , pour montrer l’ironie de la chose – il sortit sa baguette, la pointa sur la peinture et murmura ces mots :
« Ne te moque plus jamais de moi, car même jeune, je peux frapper fort ! »
Sur ce, le serpentard s’éloigna, se sentant touché, poignardé. En effet, ce jeune garçon avait une grande estime de son intelligence qu’il croyait « suprême », mais le précédent affront lui prouva encore une fois qu’il n’avait pas le savoir le plus évolué. En effet, il ne savait pas ce qu’était le ministère, car il ne connaissait pas encore bien le monde magique.
Tout en marchant et murmurant quelques insultes, une idée lui vint. Il alla dans sa chambre, y prit une serviette de douche et se dirigea vers les bains de l’école. C’est là-bas qu’il se trouverait probablement seul, pensait-il.
Il marcha quelques minutes puis, arrivé dans le couloir correspondant, il trouva la porte qu’il cherchait et y entra. Il trouva quelques cabines pour se déshabiller. C’est ce qu’il fit, il enroula ensuite sa serviette de bain autour de son torse puis ressorti de la cabine pour se trouver devant sept grande porte. Toujours irrité, Sebastian continuer de dire de vilaines paroles. Mais il ne les murmurait plus, il les criaient, ces paroles. Le garçon ne fit pas long et choisit une des portes, il baissa la poignée et pénétra dans la salle.
Là, une brume épaisse recouvrait chaque centimètre carré. Un peu étonné, il arrêta de crier et, toujours l’air irrité fit cette simple réflexion :
**Mais y aurait-il quelqu’un ?**
Sebastian continua à avancer, cette fois silencieusement, jusqu’à ce qu’une violente douleur aux genoux lui fit baisser la tête. C’est la qu’il remarqua qu’il venait d’atteindre une grande baignoire, qu’il avait, au passage, heurté. Tout en scrutant l’air enivrant, il découvrit que la baignoire était généreusement remplie d’eau.
« Voilà une personne gentille et compatissante qui à remplie le bassin pour moi. On ne rencontre pas si souvent des gens gentils dans cette école de m****.»
Il s’apprêta à enlever sa serviette pour entrer dans l’eau lorsqu’il découvrit un visage à moitié immergé, ne laissant dépasser que deux magnifiques petits yeux.
Sebastian stoppa net ses gestes, fit quelques pas en arrière, ne quittant pas des yeux la baignoire. Tout en se calmant peu à peu, il dit d’une voix assez timide :
« Y….y a quelqu’un ? »
Il passa ensuite une main dans sa tignasse blonde, prouvant sa surprise et sa gêne. Cette gêne que peu de monde avait la chance de pouvoir assister, car plutôt de nature susceptible et arrogante, Sebastian ne laissait apparaître cette facette de sa personnalité que lorsque la situation était VRAIMENT gênante. |
| | | | | | Sujet: Re: Après... toi (un mec de préférence) Ven 27 Oct - 17:35:10 | |
| Emma vit entrer le jeune homme qui déballait un surcroit de grossiéreté qui ne l'avait pas échappée dès le début. Et, à remarquer l'élan d'importance qu'il se donnait même si personne ne pouvait admirer ses paroles pleine de clarté et de sobriété, ce ne pouvait être qu'un jeunot de serpentard qui venait passer ses nerfs sur tout et n'importe quoi.
La serdaigle se raidit face à la découverte du jeune serpentard. Il était désormais impossible de se cacher. D'ailleurs, l'avait-elle vraiment voulu? Il était vrai que l'endroit n'était pas idéale pour ne pas entrevoir un corps dont on aurait très bien pu ignorer sa simple existence.
En passant une main maladroite mais assuré dans ses cheveux trempés, Emma aperçut dans les mouvements du première année une once de gène du simple fait d'entrevoir une fille qui ne pouvait qu'imaginer puisque la seule partie de son corps se résumait à deux petits pupilles noir encre. Il semblait jeune et arrogant mais l'influence des serpentard se lisait facilement dans ses yeux. L'insulte facile et le regard en biais, il n'avait pas vraiment quelques choses qui le différencait des autres. Si ce n'était l'air sûr de lui qui ne faisait aucun doute. Déduction qui se résumait à la façon qu'il avait d'approcher un problème qui n'en était pas vraiment un.
La troisième année, après quelques temps de réflection, nagea en retrait, préférant éviter d'être à la porter du nouveau venu, sans pourtant en être trop loin." Tes yeux ne te trompent pas serpentard, tu n'es plus seul en ces lieux. "Emma était curieuse de voir ce qu'un première année pourrait bien faire contre elle. L'expérience contre l'arrogance. Le sang contre le savoir. La bleu et bronze souria de bon coeur. Il y avait longtemps qu'elle avait goûtée à l'amère goût qu'était la satisfaction et la retraite d'esprit d'après une victoire, qu'elle n'espérait pas trop facile.
Une porte de douche claqua et la fit sursauter. La main de la jeune fille prit appuyée sur le rebord de la baignoire d'une balncheur presque étincellante (magique), la buée ne s'était pas encore dissipée, mais bientôt, seule la mousse cacherait son coeur des yeux du première année." Puis-je savoir ce qui te préoccupe ou me laisseras-tu dans l'ignorance d'une serdaigle? "Emma savait depuis longtemps que l'audace et l'intelligence privilégiait toutes les autres qualités. Mais celà porterait-il ses fruits ici?
Les dernières mots étaient fatals, c'était eux qui déterminerait si le serpentard avait assez d'audace pour entrer dans l'histoire, ou s'il était indigne de son interêt et tremblerait devant le pouvoir pour ensuite s'y plier. La question était là et se résumait à la réplique qui allait suivre.
Tout en écoutant la réaction de Mickael, elle replongea sa tête dans l'eau et arriva de l'autre côté de la baignoire. Sa simple présence ne l'intimidait plus et elle se trouvait parfaitement bien en sa compagnie pourvu qu'il ne dise mot de trop.
[Je répondrais sûrement ... lundi ou mardi. Ja pars en vacances trois jours. Patience  ] |
| | | | | | Sujet: Re: Après... toi (un mec de préférence) Lun 30 Oct - 10:23:40 | |
| Tout en reculant, Sebastian put discerner le mouvement de l’eau dans le bassin, une voix féminine s’éleva alors dans la salle. Celle-ci lui confirma une tiers présence. Mais ce qui surpris Sebastian au plus au point, c’était la manière dont la fille qui se trouvait à quelques mètres de lui avait put deviner la maison à laquelle le serpentard appartenait. Curieux et maintenant rassuré, Sebastien se rapprocha du bassin. Et tout en marchant à pas lents, sursauta lorsqu’une porte claqua.
Suite à ce bruit, la fille qui était en sa présence voulait savoir ce qu’il lui avait fait crier des paroles « pas très catholiques ». C’est à cette question que Sebastian put logiquement déduire la que c’était une serdaigle qui était non loin de lui. D’après la voix qu’elle avait, il put deviner que la bleue et argent devait être un peu plus âgée que lui
Étant donné qu’il était venu dans les salles de bain pour prendre un peu de repos, Sebastian ne voulut pas chercher à insulter ou embêter la serdaigle.En effet, le silence régnait dans la salle, la brume se dissipait, le serpentard fixait la serdaigle comme pour deviner qui elle était. Quelques minutes après la question de la fille, Sebastian se décida, il allait répondre franchement à sa question, il n’était plus du tout gêné, il s’assit même sur le rebord de la baignoire pour conter son histoire à la serdaigle, qu’il voyait maintenant parfaitement bien.
« En fait, je viens de me disputer avec un tableau, dans un couloir menant ici même… »
Sur ces mots Sebastian laissa glisser ses doigts tout froid dans l’eau tiède du bassin. Tout son corps grelotait de froid, et cette eau si chaude qui caressait sa main lui donna envie de se glisser dans la baignoire. Mais il chassa cette idée de sa tête et, tout en plongeant ses yeux marrons dans les yeux noirs de la serdaigle, il continua de narrer son histoire.
« La personne qui se tenait dans ce tableau m’a fait remarquer mon infériorité intellectuelle, ce que je déteste ! »
Sebastian laissa ces mots sortire de sa bouche, il les avait dits avec du mécontentement, mais plus il parlait, plus il lui semblait qu’un fardeau s’en allait et qu’il était alors plus léger. Il continua donc, un peu inconscient :
« Je sais beaucoup de chose, mais le monde magique reste encore, disons, assez inconnu à mes yeux. »
La colère ne résonnait plus dans ses paroles, mais la tristesse, le chamboulement se faisait entendre dans sa voix. En temps normal il n’aurait jamais éprouvé un tel sentiment en face de quelqu’un, mais il lui semblait que la serdaigle l’écoutait, portait une importance sur ses paroles.
« Je suis vraiment minable, je connais rien de la magie, et je me fais rabattre le caquet par un vulgaire tableau vivant. »
Plus le garçon bougeait ses doigts dans l’eau tiède, plus l’envie d’y tremper ses pieds le chatouillait. Vint un point où il ne put résister. Les pieds de Sebastian se soulevèrent puis entrèrent dans l’eau de la baignoire, lui procurant un sentiment de bonheur, de tranquillité d’esprit. Sebastian était bien et avant de continuer son récit, il écouta la serdaigle qui allait, elle aussi, se mettre à parler. |
| | | | | | Sujet: Re: Après... toi (un mec de préférence) Lun 30 Oct - 18:08:26 | |
| Emma se sentit légérement troublée par la réponse du serpentard. Il lui semblait impossible qu'un serpentard donne un morceau de lui même à quelqu'un qu'il venait de rencontrer, ni même qui se mette à ses pieds en lui donnant l'ocassion de le soumettre à maintes et maintes humiliations. Il était différent, certes, mais était-il un peu plus soucieux de l'avis des autres, plus intelligent aussi?
Le visage dénoué par l'incompréhention, la serdaigle prit l'iniative de le mettre à bout, de défaire cet être sensible de son minimum de bon sens. Elle allait faire de lui "sa chose". L'instinct d'animal reprenait le dessus, c'était une chasse dont elle ne serrait pas la proie.
Reprenant ses cheveux trempés entre ses mains fines, elle s'étira et s'enroba d'un essuis de laine blanche et d'une serviette en lin. Ses cheveux noirs se rebellant contre la réstrinction de leur habituelle liberté, on pouvait apercevoir sur la peau sablé de la troisième année quelques mèches noir qui ajoutaient à la petite ado solitaire un air de dévoreuse d'enfant et de fille revèche.
Emma n'était pas une fille facile. Elle était comme l'arc-en-ciel du début de printemps. Il fallait du flair pour saisir ses moindres désirs et ses humeurs qui changeaient régulièrement. Il fallait aussi du temps pour la comprendre et pour arrêter ses gestes qui paraissaient parfois trop déplacé pour qu'il soit sincère. Mais tout n'était qu'un jeu, et parfois, elle aurait aimée qu'on l'arrête, qu'elle se sente enfin heureuse, ou tout simplement, oublier le monde et tout ses inconvénients...
Emma s'approcha de Sebastian. Jouant de ses prunelles noirs pour deviner ses pensées, pour mieux le posséder, pour qu'il se soumette enfin à elle. Mais avant qu'elle ai pu commencer son supplice, elle repensa à ses paroles, si sincère et révélatrice de son mal être. Ce n'était plus un jeu, c'était un gain, elle voulait l'aider. La femme était revenue, peut-être trop tard pour qu'on puisse l'arrêter. Mais la bleue et argent était ainsi, elle faisait plus de mal aux autres que de bien.
Ne se rendant pas compte de l'ampleur de ses gestes, elle emprissonna les lèvres du première année entre les siennes, laissant couler son désespoir en faveur du sien, sentant ses lèvres gelés sur les siennes, réchauffé par l'eau tiède. La tièdeur de l'eau autour d'elle ne lui suffisait plus, elle saisit son pull et ne lui laissait plus le choix que d'être un homme qui devait asumer ses différences sans pour autant douter de ce qu'il était, de ce que les autres avaient à lui dire, et d'accepter qu'on pouvait lui offrir bien plus que des reproches. Car en remuant sa merde, on finissait toujours par y rester.
Les larmes se mirent à couler, mais les lèvres de la jeune fille restaient désespérement raccrocher à l'espoir. Cependant, elle le détacha de son emprise, de celle qu'elle voulait sur tout.
" Tu n'es pas un minable. Crois moi, les personnes qui te le diront ne valent pas la moitié de ce que tu es. "
Emma caressa sa joue, à la fois admirative et découragée. Elle s'asseya dans l'eau, devenu plus froide mais encore d'une température agréable à son corps. Elle eu un frisson. Elle avait froid et peur. Peur d'elle même, peur d'une fille qui demeurait en elle et qu'elle ne connaissait pas, qu'elle maitrisait plus. Son corps se mit à trembler sur le coup.
L'élève appliquée qu'elle était enleva la serviette qui recouvrait sa chevelure brune. Ses cheveux dans tout les sens, elle devait être belle à voir, emplie de sa solitude éméché et de son insuportable arrogance.
" Je suis désolé, je n'aurai pas du... "
La main recroquevillée sur son épaule, elle rougissait à vue d'oeil. Le mal l'a tenaillait, sa cicatrice lui faisait horriblement mal et elle ne pouvait rien dire, faire d'autre que de regarder les autres. Eux qui la narguaient de leurs sourires, de leurs joies, qui l'inondait de leurs espérances. Et elle, qui mourrait de cette vie qui ne lui offrait rien. Rien d'autres qu'un aperçu primaire d'elle même, de son être. |
| | | | | | Sujet: Re: Après... toi (un mec de préférence) | |
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