Nom: Awar
*Prénom: Nysinthos
*Age de vôtre personnage : 11 ans pour tous à l'arrivée(sauf les connus du livre, nous sommes dans la deuxième année d'Harry Potter.)
*Age du posteur (au moins 14 ans) : 18
*Comment avez vous connu le site? Par l'intermédiaire d'un ami.
" Non, je ne t'écris pas pour te forcer à me répondre... cela n'a jamais été mon but. Je t'écris parce que j'en ai besoin avant tout. Je crois savoir que ces derniers temps ont été dur pour toi même si je n'en sais pas plus, j'espère tout d'abord que tu vas mieux. Encore une fois, ne te sens pas du tout obligée de répondre à ce que tu vas lire qui je t'avertis, ce ne sera pas facile à faire .
Tu n'es pas la seule à penser que se confier équivaut à devenir un fardeau pour la personne qui nous écoute... Je ne me plains jamais de moi, de mon passé, ou de mes peines même si je sais que je devrai...
Je ne sais pas, peut être que l'envie de le faire ne me vient pas, mais je n'arrive pas à me lancer dans la peur d'abaisser le moral d'une personne plus bas que ce que nous on espère monter... On m'a toujours dis que mes phrases étaient "magiques", mais aussi belles aussi magiques qu'elles soient, elles n'effacent pas pour autant les mœurs cachés au fond d'un cœur qui crie tout les jours la même complainte depuis maintenant deux années.
Il y a un ans de ça, je n'étais pas plus qu'un autre, je me moquais des phrases, des mots, de ce que pouvait être une métaphore; une comparaison ou tout genre de style confondue... Je peux le certifier, il y a deux ans de ça, je n'étais pas celui que je suis, je ne sais pas si j'ai bien ou mal évolué mais je ne pense même plus que la question soit la...
Tu veux des réponses, et bien tu vas tout savoir, mais même si je t'ai averti, la vérité est parfois lourde a être entendue, après ces quelques lignes tu sauras pourquoi j'ai caché tout ça, pourquoi je ne l'ai pas dis plus tôt...
Ce n'est pas glorieux, et même très loin d'être glorieux, la source de cette histoire se trouve justement au coeur de cette année, lorsque le destin m'a porté un coup d'épée et qui me laissera allongé pour mort... Je suis violent dans le choix de mes mots, mais comment ne pas l'être?
Il y a 2 ans de ça j'ai connu une fille extraordinaire... Une ange incarnée, une beauté parfaite, une âme claire comme du cristal... Il y a 2 ans de ça, je suis tombé amoureux... Au sens premier du terme aimer... Tout c'est mieux passé comme je l'aurai cru, cette fille aussi m'aimait... Que de bonheur... Elle s'appelait Adela... Mais elle préférait se faire appeler Miranda qui était son deuxième prénom...
Je sais pourquoi maintenant à cette époque la, je me moquais éperdument des mots et des phrases... Ses yeux me suffisaient amplement pour fournir une excuse face a cette attitude envers les textes... Tout était si beau... Tant de beaux souvenirs... le premier baiser, le premier câlin, le premier rendez vous... J'étais un homme ou adolescent comblé... Mais j'ai le souvenir désagréable qui est de me souvenir que je n'en avait pas conscience de ce bonheur à cette époque la... Quel idiot j'étais...
Tu dois t'apercevoir que j'écris au passé... Tu dois sans doute t'imaginer que quelque chose est arrivé, et si j'en parle avec tant de nostalgie tu en as du en conclure que cela pouvait être grave... Si tu as pensée comme cela, alors c'est que tu as raison... J'étais avec elle pendant deux longues années pourtant si courte... Deux années ou je savais ce que vivre voulait signifier... Ou rire était le maître de ma conscience... On dit que les bons moments ont toujours une fin... J'en connais pas d'aussi brutale en tout cas...
Je t'écris les larmes aux yeux, je ne sais pas quelle folle pensée s'est emparé de moi pour m'ordonner ce que je suis en train de faire... Mais face à ce silence... Je me sens tellement seul... Si mes paroles te font de la peine j'en suis vraiment désolé mais je n'en peux plus...
Il y a deux ans maintenant, le 18 décembre le jour de mon anniversaire, elle m'avait offert un cadeau que nul ne pouvait mieux rêver lorsque l'on est comblé... Elle m'avait demandé en mariage... Même si on était jeune... On avait tout calculé pour que ça fonctionne... Tout avait été mis au point... et nos parents étaient d'accord... C'était le jour le plus beau de cette putain de vie...
J'arrive à ce qui me fais pleurer... Ce qui me tourmente depuis deux années, ce qui me poursuit jusqu'au fin fond de mes rêves pour les transformer en cauchemar... Ce qui peu à peu me fait sombrer dans la folie par la force de l'usure...
Deux jours après mon anniversaire, le 20 décembre, ses parents ont décidés de m'emmener avec eux en Espagne, pour aller chercher leur famille... Mais au dernier moment, Adela m'a sortie de la voiture et elle est partit à ma place... Elle était toute tremblante... Je pense qu'elle le savait... Mais je n'y avais pas prêté attention... En plus d'idiot j'étais un imbécile...
Je suis donc resté chez moi... Je me suis réfugié dans ma chambre... Pris ma guitare... J'ai inventé un morceau superbe... Mais étonnement triste... une pensée désagréable me hantais depuis... Et le pire c'est qu'elle c'est révélé être exacte...
J'ai commencé à l'attendre... Mais d'un voyage sans retour...
Je ne sais pas exactement comment, j'en ai plus les souvenirs... Un accident à surgit de nulle part... Tuant les parents de ma bien aimée sur le coup...
Les pompier auraient accouru pour emmener l'élu de mon cœur à l'hôpital... Elle était sur le siège arrière... Elle n'était pas morte sur le coup... Mais franchement... J'aurai préféré qu'elle le soit...
Dans son porte monnaie, elle avait gardé mon numéro de téléphone... Un des infirmiers à appelé à la maison... Et c'était moi qui avait répondu... "Allo monsieur Awar? " "Oui?" "Ici les urgences de l'hôpital de Londres, vous connaissait une certaine Adela?' ... C'était même pas la peine d'entendre la suite... j'avais tout deviné... Oué tout sur tout...
... Je suis tombé en larmes j'ai lâché le téléphone... Mes parents sont venus et m'ont demandé ce qu'il se passait... Ils ont eux aussi compris très vite et m'ont emmené à l'hôpital... Je n'ai aucun souvenir du trajet...
Je suis arrivé devant cette saleté de bâtiment qu'on appelle hôpital... Je sais plus par ou on est passé ni par ou on est monté mais on s'est retrouvé dans sa chambre... Elle était merveilleuse... Dans ce lit blanc couvert de sang... Des larmes... que des larmes... Elle vivait encore...
Je me suis approché... Lui ai pris la main... Elle a ouvert les yeux... Elle m'a regardé... Elle m'a reconnu... Elle a sourit... Elle a voulu parler mais son tuyau dans la gorge l'en empêchait... Mais je sais ce qu'elle m'a dis... Elle m'a dis " je t'aime"...
J'ai essayé de le lui dire moi aussi je t'aime... aucun son ne sortait... et au moment ou j'allais le lui dire... Sa tête est tombé... Arrêt respiratoire je crois... On m'a fait sortir de la salle... Mais elle en est morte...
Voila mon passé... Finalement je me rappelle que tu m'as dis que tu te reprochais la mort de quelqu'un... Et bien tu vois moi c'est la même chose...
Prends ces paroles comme tu le peux... En tout cas je crois que tu as toutes les réponses de ma part qui y sont clairement énoncé sur le fait de mon absence... En tout cas... Si je dois te dire merci, c'est de m'avoir soutenu même si tu ne connaissait pas cette période de ma vie, et pour cela je t'en suis extrêmement reconnaissant..."
Soudainement, une voix réveilla Nysinthos de son état comateux. Il venait de réaliser que le train était arrivé à Poudlard, la fameuse école des sorciers. Pourtant, le garçon ne partageait pas le même sentiment que les autres élèves... En effet, la plupart d'entre eux étaient surexistés à l'idée de pouvoir apprendre ce qu'était la sorcellerie.
Nysinthos n'était pas surpris par le monde magique. Etant fils de sorciers, il avait vécu dans cet univers depuis sa naissance. Mais, il savait qu'il avait perdu la chose la plus magique qu'il soit... C'est à dire l'amour.
Continuant à suivre les premières années, Nysinthos entra dans le hall du magnifique chateau... L'épreuve de la répartition les attendait. La voix très distincte de McGonagall les apellait... Certainement que sa mission était d'emmener les nouveaux à la salle ou était entreposé le choixpeau magique...
Toute la famille du jeune Nysinthos s'était retrouvé à Serdaigle... Sans connaître la raison, ce dernier espérait suivre les traces de sa famille... Mais seul le choixpeau décidera. La voix de Mcgonagall appelait les élèves qui étaient répartis à la minute même. Puis elle s'arrêta sur le nom du jeune garçon...
Awar Nysinthos.
Accueil 
Sujet: Awar Nysinthos (Serdaigle) 
Je veux être sur que tu ais vu ce message pour éviter les problèmes de connexions^^)