| Sujet: Mechtïlde G'Zhaï - Professeur de Runes Jeu 31 Aoû - 12:23:53 | |
| Nom : G'Zhaï Prénom : Mechtïlde Age de votre personnage : 22 ans Age du posteur (en H J) : 14 (presque 15, en novembre ^^) Comment avez vous connu le forum ? : Sur l'annuaire de forumactif Poste souhaité : Professeur d'Etudes des Runes (et autres Langues Magiques, si possible...) Mechtïlde frappa à la porte, puis poussa celle-ci, sans attendre de réponse, tout en visualisant à la fois Ans et Wynn. Elle se trouvait dans le bureau de Dumbledore, comme le lui avait indiqué Rad, lors de la dernière consultation de la jeune femme avec la Rune du Voyage. Elle était habillée de manière simple, avec une jupe noire à coutures rouges, un haut moulant de la même couleur, portant un symbole runique couleur de feu et une grande cape couleur d'encre, qui comprenait également une capuche (bien qu'elle ne la portât pas à cet instant). Ses vêtements contrastaient de manière prenante avec sa peau pâle et ses cheveux blonds, qu'elle avait coiffés avec un soin particulier pour son arrivée, veillant à ce qu'ils aillent de ses épaules pour les mèches du devant jusqu'au milieu de son dos pour les plus longues, tout n'en ayant aucun qui vienne obstruer sa vue devant ses yeux, couleur vert , qui semblaient être deux grandes émeraudes fichés dans son visage aux traits aussi fins que sa bouche qui dessinait un fin arc symétriquement opposé à ses sourcils noirs. Son nez mettait en relief l'ensemble de cette partie de son corps, qui lui-même n'était pas dépourvu d'une certaine grâce. En effet, elle était de taille plutôt supérieure à la moyenne, avec toutefois une minceur de guêpe, en partie masquée par sa jupe ample, mais qui se devinait malgré tout. La jeune femme portait des bagues de facture excellente à trois de ses doigts, et si on les regardait de plus près, on pouvait voir qu'une rune était gravée sur chacune des pierres précieuses qui l'ornaient, respectivement un Jaspe sanguin (de couleur rouge), un diamant et une émeraude (verte). Mechtïlde songea à ce qu'une fille de sa noble lignée scandinave avait pu faire pour arriver à enseigner dans une école de magie anglaise (ce n'était pas qu'elle n'aimait pas cette idée, au contraire, elle la chérissait, mais c'était simplement imprévisible). Elle se remémora les pas qui l'avaient conduite jusqu'ici... tout commençait, dans ses souvenirs, quand sa mère, Lëanë Arriakwald, issue d'une famille de l'ancienne noblesse scandinave, la bordait dans son lit, depuis sa plus tendre enfance et ses premiers souvenirs. Elle lui racontait toujours une histoire, souvent la même : Une jeune femme, dont les parents nobles vivaient dans un manoir en Norvège, et qui était la troisième de sa famille, adorait le voyage, et, bien que ses parents la désapprouvent, elle jouait souvent avec des amis, peu "recommandables" selon ses parents, c'est-à-dire des vagabonds et des gitans, qui venaient accoster au canal qui longeait la propriété des Arriakwald. Or, un jour, malgré les interdictions de ses parents, la jeune bourgeoise y retourna, et y rencontra un gitan, dont elle tomba immédiatement amoureuse. Hélas ! Ses parents lui interdirent de le voir, furieux des fréquentations de leur fille. Alors, celle-ci, une nuit, fuit sa famille et embarqua à bord de la péniche de son amoureux. Il firent route vers Oxford, et s'établirent là-bas.
Mais Lëanë ne racontait jamais la fin de ce conte de fées, car la suite devint rapidement un cauchemar, et elle voulait épargner cela à sa fille, du moins avant un certain âge, dont elle repoussait toujours l'échéance. Mais la petite fille finit par soupçonner le lien entre la réalité et le conte de fées, et un jour, alors qu'elle voyait sa cousine gitane (elle voyait son père uniquement en été), Loloya, cette dernière lui apprit une partie de l'histoire. Alors, du haut de ses sept ans, Mechtïlde mena une "enquête", et finit par reconstituer toute l'histoire, grâce à des informations butinées de-ci, de-là, et enfin, avec sa mère qui lui expliqua tout, lorsqu'elle eut neuf ans. Après s'être établis à Oxford, rapidement, le jeune couple comprit qu'ils ne pourraient vivre longtemps ensemble : leur amour était passionel, et malgré tout, ils méprisaient chacun la classe sociale de l'autre. Ils se disputaient aussi souvent qu'ils s'embrassaient, et ce, en s'insultant mutuellement de "Vagabond sans foi ni loi" et de "Bourgeoise pourrie par le fric" (avec toutes les dérives possibles et inimaginables). Mais la goutte qui fitdéborder le vase, la cerise sur le gâteau, ce fut quand Lëanë découvrit... qu'elle était enceinte ! Elle passa alors par diverses phases, tout d'abord en injuriant copieusement le père, Jay G'Zhaï, puis en tombant dans la dépression, puis en passant sa colère sur lui à nouveau. Enfin, elle bouda, et ne prit plus aucune nouvelles de lui, en s'enfermant dans son appartement luxueux acheté dans la ville universitaire. Là, elle réfléchit, longtemps, et cinq mois après s'être aperçue de sa maternité, elle reprit contact avec son ex-amant. Elle avait gagné en maturité et s'était quelque peu calmée. La jeune femme donna rendez-vous à Jay, sur une place (afin 'être en "terrain neutre"), et ils convinrent de ce qu'ils allaient faire. Ils décrétèrent ensemble qu'ils ne pouvaient monter un foyer à eux deux, car la vie serait impossible pour le futur bébé, alors, ils resteraient séparés. Comme Jay voyageait beaucoup à bord de sa péniche et qu'il fallait donner la meilleure éducation possible à l'enfant, celui-ci resterait chez sa mère durant l'année scolaire. Pendant la plus grande partie des vacances d'été, elle irait sur la péniche de son père, et le reste des vacances, elle serait soit chez sa mère, soit dans le "manoir de vancances" des Arriakwald, en Norvège. Jay resta pour soutenir son ex-amante jusqu'à la naissance de la petite fille, à qui on donna le nom de famille de son père, mais un prénom scandinave, Mechtïlde (prononcer Mektilde).
Ainsi, la fillette vécut dans l'appart' de sa mère à Oxford, fit ses études primaires dans la prestigieuse ville, tout en rendant visite aux deux côtés de sa famille (sa mère s'était réconcilié avec ses parents), ainsi jusqu'à ses onze ans. Mais avant cela, il convient de raconter un "incident", qui se passa alors qu'elle se rendait chez ses grands-parents : en effet, sa mère lui expliqua une chose étrange : sa cousine, Lëlia, était... une sorcière ! En fait, la grande soeur de Lëanë en était une également, et avait apparemment donné ce don à sa fille en même temps que la vie. Juste après que sa mère le lui expliqua, elles allèrent voir la cousine en question au manoir, (celle-ci avait douze ans et avait fait déjà une année d'étude à Durmstrang, tandis que Mechtïlde en avait neuf) et Lëlia leur montra quelques tours. Par contre, leur expliquèrent leurs mères, cela devait rester entre elles quatre, elles ne devaient jamais en parler à quiconque d’autre. Mais, un jour, durant ces vacances, Mechtïlde se promena dans la forêt (elles étaient encore nombreuses dans le Nord de la Scandinavie), et elle tomba dans une clairière qu'elle n'avait jamais vue auparavant. Au centre, se trouvait un rocher, sur lequel... elle se frotta les yeux, puis vit des signes étranges, qui luisaient d’une lueur argentée… Elle s’approcha et les eflleura de la main, et… Elle sentit alors une énergie nouvelle et puissante se répandre en elle, dans son corps en entier ! Cependant, elle ne paniqua pas, et comprit que c’était la Magie dont parlaient sa mère, sa tante et sa cousine, sans trop comprendre autre chose que cela. De plus, en faisant le tour du rocher, elle découvrit trois pierres précieuses, une rouge qu’elle ne connaissait pas (elle n’avait pas la couleur du rubis), mais dont elle apprendrait plus tard que c’était un Jaspe sanguin, une verte qu’elle supposait être une émeraude (elle avait la même couleur que ses yeux) et enfin, une argent, qui semblait être un diamant. Elles étaient toutes minuscules, mais dégageaient la même énergie que les signes gravés sur la roche… de plus, sur chacune d’entre elles était gravé un des signes se trouvant sur le rocher. Etrangement, elle ne se posa pas de questions, ramassa les pierres et retourna chez elle, sans en parler à personne.
Lorsqu’elle eut onze ans, elle reçut, de la part d’un grand oiseau blanc qui vivait dans les montagnes, une invitation à prendre… des cours de magie dans une école de magie scandinave peu connue, Löimhov, où l’on enseignait beaucoup les différentes langues magiques. Folle de joie, elle s’y rendit, et appris différents langages, dont principalement les Runes et les Oghams, mais tant d’autres également ! C’était sa passion, elle adorait ces cours. Elle fit donc des études supérieures de sorcellerie en Lettres Magiques, et devint experte dans le domaine des langues et de la littérature du monde des sorciers. Entre-temps, elle apprit la signification de ses pierres précieuses, qu’elle monta en trois bagues.
Et maintenant, elle était là, cherchant à exercer sa passion, à la communiquer… Bref, elle était très heureuse qu’on est accepté de la recevoir (même si elle savait très bien que cela ne voulait pas forcément dire qu’elle serait prise…). Elle avait été élevée ainsi, par sa mère qui été devenue douce et compréhensive, et avait hérité de ce trait de caractère, tout en ayant également un peu de timidité (ce trait-là, elle ne savait trop d’où il venait… sûrement pas de son père non plus…), qu’elle arrivait à masquer quand elle était de bonne humeur. Elle avait une certaine joie de vivre, toujours de l’espoir, comme l’indiquaient ses Runes…
La sorcière, à qui l'on pouvait donner environ de vingt-et-un à vingt-cinq ans, s'avança dans la pièce, un sourire aux lèvres, ses yeux émeraudes pétillants de joie, ou d'un autre sentiment approchant. Elle ne portait nul sac visible, mais, arrivant devant le bureau du directeur, elle le salua, et prit la parole, d'une voix douce et mélodieuse : "Bonjour, M. le Directeur.
Je me nomme Mechtïlde G'Zhaï, peut-être avez-vous eu vent de mon arrivée ? Si ce n'est pas le cas, veuillez pardonner ma chouette, qui aura sans doute eut l'envie d'aller grignoter un mulot."La jeune femme fit alors glisser la grande cape noire qui recouvrait ses épaules, et sortit un petit sac, d'une quinzaine de centimètres sur vingt, noir, et brodé de nombreuses runes (environ trente-cinq). Etrangement, il semblait y avoir pourtant, en dépit de sa petite taille, un grand nombre d'objets à l'intérieur, toutefois, Mechtïlde ne donna pas de plus amples explications. Elle sortit une feuille de parchemin, et la tendit à l'homme âgé et respectable qu'était le directeur de l'école : "Voici, M. Dumbledore, mon Curriculum Vitae., que j'ai rempli avec ma meilleure volonté. Toutefois, je comprendrais tout à fait qu'un entretien plus approfondi soit nécessaire avant l'engagement d'un professeur pour une si prestigieuse école, bien que les personnes ayant la capacité et la compétence d'enseigner les Runes, poste auquel je prétend, soient plutôt rares à trouver. J'aurais également une question à vous poser à propos de la matière que je souhaite enseigner. N'hésitez donc pas à me questionner sur le pourquoi et le comment de ma vie, du moment que ce n'est pas trop personnel, bien entendu."On pouvait lire, sur le parchemin en question, ce formulaire : - Citation :
Nom : G'Zhaï Prénom : Mechtïlde Âge : 22 ans Cursus scolaire : Sept années d'études à une école scandinave, Löimhov, établissement peu connu et spécialisé dans l'étude des langues magiques, particulièrement les runes, puis quatre dans une Ecole Supérieure de Langues Magiques, où j'ai pu approfondir mes connaissances linguistiques. Qualifications :
- BUSE : Une moyenne de E, avec O en Runes, Oghams, Langues Magiques diverses, Astronomie, Potions et Métamorphose.
- ASPIC : Une moyenne se situant entre E et A, avec O pour Runes, Oghams, Langue Magiques diverses et Histoire de la Magie.
- DLMA (Diplôme de Lettres Magiques Appliquées), mention E
- ELRO (Examen de Langues Runiques et Oghamiques), mention O
- DHLm (Diplôme d'Histoire des Langues Magiques), mention entre A et E.
Comme vous aurez pu le constater, je parle couramment les langues magiques, et particulièrement les Runes et les Oghams. C'est pourquoi je pose ma candidature à ce poste.
Je vous prie d'agréer, Monsieur, mes sentiments les plus distingués.
Mechtïlde G'Zhaï, |
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